S'il est quelque chose de plus connu que le porte-cigarette et les Ray-bans de l'écrivain Hunter Stockton Thompson, c'est bien sa consommation régulière et méticuleuse de stupéfiants. L'homme qui a développé le concept du Gonzo journalisme, un récit d'hyper subjectivité, assaisonnée de drogues pour rendre l'ensemble plus vivifiant, avait des journées très structurées.