Les bibliothécaires sont unanimes, et les témoignages se multiplient : le ralentissement économique montre que le livre est bien une valeur sûre et que personne n'est prêt à réellement s'en séparer. Les gens optent maintenant pour l'emprunt, plutôt que la privation de livres.

Tout le monde est à la recherche de moyens économiques pour disposer de ressources continuellement, et les bibliothèques semblent toujours la meilleure source d'approvisionnement. Comparativement à 2001, et aux conséquences des attentats du 11 septembre, on retrouve le même enthousiasme, significatif d'une crise économique, certes, mais surtout d'un désir de pouvoir se divertir, lire ou écouter de la musique encore.
Contactés, plusieurs établissements en France semblent observer un mouvement similaire, même si l'on reste prudent sur ce genre de déclarations. « Il nous faudrait un peu plus de recul pour y voir vraiment clair, mais il semble bien que le public soit plus présent qu'il y a, mettons, quatre ou cinq mois. Mais en même temps, les vacances sont passées par là et cela fausse un peu notre regard », nous explique une bibliothécaire de Paris.
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