Ce serait la seconde fois depuis le début du mois d'avril, le 23 précisément que Gallimard a été victime d'une alerte à la bombe, a appris Le Parisien, par l'intermédiaire d'un policier amateur de lecture. Ou peut-être pas. On l'ignore en fait.

C'est désormais vers la brigade de répression de la délinquance contre la personne que les regards convergent. La BRDP, division de la police judiciaire va mener son enquête pour savoir le fin mot de l'histoire.
Peut-être un opposant à Antoine Gallimard qui voulait témoigner son mépris pour le prix unique du livre. Mais cela reste une théorie. Farfelue, effectivement.
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