
Lundi dernier, les bureaux de cette organisation ont été pillés. On a constaté des vols d'ordinateurs et de matériels informatiques ainsi que la disparition de certaines pièces d'archives. Caroline Velásquez, la coordinatrice éditoriale de la CIMAC a notifié à Reporters sans frontières que « Nous ne pouvons pas considérer que les faits sont sans rapport avec la CIMAC et le travail que nous réalisons depuis des années pour défendre les droits de l’homme et la liberté d’expression ».
De son côté Reporters sans frontières a annoncé que « Nous joignons nos protestations à celles des organisations qui ont dénoncé publiquement ces actes de vandalisme et témoignons notre soutien à la CIMAC. Nous espérons qu’une enquête déterminera rapidement les responsabilités dans cette affaire ».
Pour l'heure la Cimac a déposé une plainte et une dizaine d'organisations s'est jointe à la maison d'édition en signant une pétition pour l'ouverture d'une enquête.
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