Nu, le corps de la Mate était tout bourrelé, avec des seins et des fesses énormes comme la Vénus callipyge, et, au ventre, comme le visage recousu de Frankenstein, nombre de cicatrices et de coutures : verticales, horizontales et de travers. Toutes très impressionnantes, stigmates de ses multiples accouchements, césariennes et opérations, dont elle se vantait tant ! Son corps était un champ de bataille avec la vie, une guerre contre la mort !
Par
Flore Lefebvre des Noëttes Chez
Les Solitaires Intempestifs
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