Dans cette plaidoirie, écrite par le tyrannicide lui-même, Lorenzino de Médicis donne ses raisons et répond à ses accusateurs. Leopardi ajoute ceci : "Il est admirable de voir comment celui qui écrivait pour lui-même et ne pouvait rechercher la pédanterie avait porté comme un Atlas toute l’éloquence grecque et latine dans son texte où vous la voyez vivante et telle quelle."
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