par la voix de ma sœur, par sa bouche et par sa langue.
La mienne, celle de ma mère et de sa mère encore : l'histoire.
De nous toutes qui n'avions pas de jambes.
" Oh ! elles n'ont pas de jambes, pas de secret sous la robe : "
Mais si belle la voix passante de la petite amie.
Je voulais rejoindre le château éclairé et l'homme très jeune sur le beau parquet au milieu des bals.
Celui que la tempête
J'ai donné ma langue pour un sexe et un amour.
Et, si belle, ma voix qui montait, trémière au-dessus de l'eau.
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