Imagine-t-on les rues, les parcs et les gens qui se trouvent au-delà du porche de la place Crinoline ? Un matin, il suffit que le vent d'automne nous pousse dans le canyon de la rue de l'Epine, que l'on arrive devant le 7B de la rue des Petits-Champs avec onze minutes d'avance, que le regard se porte sur un marron aux reflets bleutés, qu'un corbeau s'en saisisse et que l'on se rebiffe de façon incontrôlée pour que le monde s'ouvre et que le temps s'arrête. Mais est-ce bien raisonnable ? Pas sûr.
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