Sous-jacent

Stéphan Erick

"Sous-jacent" est livre ouvert à tout le monde, car il nous parle de notre société contemporaine, sous une forme ludique et narrative.

Par Stéphan Erick
Chez Les Editions du Net

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Ce soir, il faisait bon dans la chambre à coucher, et plus tard, je tombais de sommeil pendant cette nuit courte. Lassé de voir les mêmes personnes et convives, je filtrais également mes appels téléphoniques et j’étais très critique à l’égard des médias !
Limpidité et chemin de traverse, pour cette société, sans merci. La soif de regarder et contempler, les vitrines de ces superettes et boutiques de lingeries et de vêtements.
Paraître dans le soir et se réveiller le matin dans les journaux n’était que l’anniversaire de ma naissance médiatisée dans les tabloïds et journaux, voir et écouter les télévisions et radios, las de se répéter et repérer dans les mouvements quotidiens, des vies et morts diffusées dans les kiosques et chez les libraires, les héros de ce roman fleuve et noir, n’est que le panache d’un gouvernement, non sans fin et doctrine, voir réformes et accords plurilatéraux et disciplinaires d’un bourreau de la politique, qui doit passer et repasser éventuellement par la grande porte, sans marquer d’arrêt primordial, à l’instar de ce gouvernement qui jadis aurait été dissolu ou remanié de manière inéluctable.
Dans l’attente de revoir de meilleurs hospices, et gratitudes, nous recevons le bon escient ! Et le tour de gloire avec le panache d’une star ou d’un businessman, comparez maintenant, la décrépitude survenant et sortant d’une lumière de projecteur, élégamment habillé et vêtu, non sans moindre soucis de paraître des plus connus, dans l’artifice des stars et du showbiz. Nous sommes aux États-Unis, là où se forge le plus d’artistes et célébrités, venant des différents pôles artistiques. Reste le sommet de la gloire et de la reconnaissance en tous genres et gentes. Arboré ses tenus de scènes et de planches, voir effets spéciaux et troisième dimension, pour les plus subtiles, et le septième art, le cinéma, avec les festivals estivaux et carrément médiatisé, au plus haut sommet de la reconnaissance et de tremplin du futur pour ceux et celles qui arrivent à en vivre largement, la culture et la diversité sont de mises et bien entendu obligatoire pour parvenir à se frayer un chemin dans les brèches artistiques, intellectuels et de masse, mouvement et mode sont les attendus, comme dans chaque décennie ou siècle impérissable. Une ombrelle de couleur vient embellir les murs et paroisses, monuments autres modèles de société, les conjonctures sont des plus alléchantes, les vitrines des boutiques made in design ne font que de rapporter les bien faits de notre société moderne, vite nous constatons l’effervescence de notre monde culturel et sociétal.
Je reste en principe clôt face à l’engouement du public, allant et venant de tous les bords de notre nation et patrie, même les touristes semblent être pantois avec nos chefs d’œuvres contemporains, et rustiques pour certains, futuriste et traditionnel. Voilà les théories les plus semblables à notre ère ! Greffé de toutes parts et partis, les ressemblances ne font que pourrir les exclusivités et les principes du modèle, la peinture abstraite soit que l’illustration d’un monde difforme ou déformé, les cubistes et de la renaissance sont déjà exposés dans les musées et galeries d’arts. Non sans émoi et éteint de leurs vies d’artistes célèbres et marginaux pour la plupart ! Certes, ce n’est pas la mer à boire.
Zéro de conduite et pneus crevés, plus de roue de secours ! Juste un peu de chance pour faire du stop, et être pris, enfin cela n’est pas trop grave, mais plutôt inquiétant. L’abri-meuble est ouvert tous les jours, ce n’est pas très prudent, par les temps qui courent, trop dangereux même, voir néfaste pour l’intérieur des pièces, n’importe qui peut pénétrer et voler, peut-être même mettre le feu et s’en aller incognito, sans aucune preuve découverte, seulement des témoignages de palier.
La télévision ! L’objet le plus convoité des foyers, pour les familles et célibataires.
La radio pour les oreilles et le méninges, la presse pour les yeux, et la vue !
Et l’ordinateur pour le travail et les informations, films, séries…
La musique pour la culture, ainsi que la peinture, et les écrits (manuscrits).
La littérature pour le sommeil et rêves profonds, enfin tout de bon. Comme on dit.
Fini les apostrophes et trémas. Propos et conversations jaillissent dans les soirées arrosées de champagne et cocktails juteux, et frais, plus tout ce qu’il va avec ces moments forts de rencontres, soirées organisées par des banques, associations, sociétés, et musées, ainsi que certaines institutions.
La discrétion est de mise par instants, ou alors l’apothéose, rien de plus. Maigre sujet !
Lecteurs et lectrices, allez-vous prendre conscience des faits interposés, cités auparavant. Maintenant que faîtes-vous ! Je souhaite le savoir, ou je vous fais surveiller.
La tanière du chien était feutrée de chaleur et réconfort. L’oiseau sur son perchoir, siffle, comme un rouge-gorge. De même pour le lynx qui est servi l’hiver. Puis les albatros qui s’envolent plus loin pour ne plus revenir. Ceci ne dégoute pas les voraces, tout au contraire, cela semble couler de source, et de limpidité, comme de l’eau de roche et puis après la rivière avec le torrent ! La gloire est de voir que cette micro société peut vivre de par leurs moyens et survivre dans certains cas de figure. Ils y étaient tous au rendez-vous pour leur copain animalier, le roi de la jungle et des montagnes, plaines et vallées, et forêts. Il y avait du baume au cœur ! Mais les conjonctures sont aux détriments de la nature, ainsi soit-elle faîte ! Les fêtes illustrent leurs gloires et renonciations dans cette sphère animalière, et puis les hurle-vents, et poteaux.
Le schéma de la nature est des plus simples, se nourrir pour survivre, chasser, guetter, et attraper, saisir, puis enfin déguster, sans moindres soucis dans certains cas. Le malheur des uns fait le bonheur des autres, mais pas de sauvegarde, comme lancé dans le vide en parachute, il reste à atterrir sans fracas ou perte de connaissance, le ballon rond de l’équipe de France supporte les coups de pieds et de têtes, voire les mains, il y a également les arbitres pour consolider le jeu et les réconcilier entre eux ces joueurs de ballon de football, le score est au niveau des prestations et des coups d’envois. Le sacrifice corporel et psychologique qui beigne dans ce climat est des plus inquiétants, non sans failles, et adversités, dans les tribunes de cette arène de spectateurs ! Reste à savoir laquelle des deux équipes va gagner ce match, de ligue ! Les faits remontent bien avant la découverte de cette vérité, plus cela jaillit comme dans une rivière de forêt ! Dur splendeur, plutôt réducteur, etc.…
À l’instar du mien et des autres, les carnivores ne sont plus au devant des planches.
Et les retardataires, où sont-ils ? Dans les coulisses, ou au café ? Serait-ce le début d’une histoire, ou le principal endroit pour commenter l’actualité, c’est à dire Cannes.
Week-end et semaines se ressemblent, tout du moins pour l’instant. Pour vrai dire, il n’y a que le matin et le soir qui ne sont pas pareils ! Hélas, le temps ne joue pas en notre faveur, seules les lois et conventions écrites sont dans les temps en ce moment. Allez-voir chez vos voisins frontaliers et lointains dans la distance. Certes les aléas persistent et subsistent dans les profondeurs de l’inconnu et de l’anonymat. Fort de constater que l’aurore est au beau fixe et le crépuscule s’éteint, comme un réverbère de rue piétonne.
Les badauds photographient avec leurs appareils photos, les endroits et recoins les plus rares, ne laissant aucune intrigue ou dénouement aux histoires. Lorsque la nuit tombe les lumières s’allument et enflamment les villes, comme un soleil artificiel jusqu’au matin. Ensuite l’énergie de la nuit s’amenuise et disparaît au profit des forces naturelles et énergétiques des journées, captation et récupération, voilà les vrais clefs de la diversité énergétique et économique au sens propre du terme. Rythmé dans le vent et les mêmes refrains chantants et jouent avec le ballon. La close arbitraire, n’est que le fait d’un jugement, dont on en tire les conclusions rapides et certaines. L’innocence et l’imposante vérité ne sont que le reflet d’une enquête, juste et droite dans la ligne de mire des enquêteurs et du procureur de la république, ainsi que les magistrats et experts auprès du tribunal de la cour d’assise, et avant correctionnelle, pour un délibéré en huit clos. Trêve à part équitable. Et non visible après ces tourments les plus sordides en la matière.
L’abreuvoir est rempli d’eau, comme un vase qui déborde ! Le foin est sur le chariot et la paille en rouleau dans les champs. Le tonnerre gronde et l’averse est violente. Les cimetières trop remplis et pas assez de places dans certaines communes, et campagnes et villes, voire capitales. Le chant des sirènes ne s’entend plus ! Et la matinée commence sur les chapeaux de roues ? Signal d’une journée de proximité et d’entente.
Le qu’en dira-t-on ! Sur place, vous trouverez le seuil de performance et de challenges, ainsi que la discipline, et les voitures garées dans l’impasse étroite et mal aménagée, signe de non conformité ! Dans le noir, vous voyez le frein à main, sans le boitier de vitesses, et puis dans le rétroviseur, vous voyez les parties avant des voitures déjà garées tant bien que mal ! Les monstres sortis des usines et garages pour être installés sur un support de garage ou de vitrine de magasin d’automobiles. Nous creusons déjà la partie morte du capot et des ailes de la carrosserie.
Faits surprenants de stabilités et de réinstallation du syndicat des quatre roues et autres véhicules roulants. Hauteurs des sièges et carrosseries, voir moteur et éclairages, système électrique, et neutralité du véhicule ! Somme toute, nous nous efforçons à mettre à disposition les modèles les plus rares. Rareté et produits de luxe semblent prendre leurs marques dans ce grand marché industriel.
Finition et incrustation, élégance et convivialité sont de mises. Ainsi que les sponsors et entraineurs ! Les dérivés de l’industrie automobile. Ne sont que les parties prenantes des marchés automobiles et de luxe, haut de gamme et grosse cylindrée. Les joies de la conduite, nous emmènent sur des chemins inattendus et vice et versa.
Folies meurtrières peuvent arriver à chaque virage et tournant, le mauvais temps et la neige, sont toujours là ! Les équipements ne manquent pas. Et les bruits des moteurs qui grondent et tournent au quart de tour ! Les marques pullulent et sont répertoriées selon les cylindrées, et des produits et accessoires de conduite. Pour certains, cela devient inéluctable, c’est de la grosse performance, en plus de cela, la vitesse des véhicules et également leur bruit de moteur performant. Le net plus ultra, et les formes, ainsi que les modèles, et caractéristiques, nuances maintenant sur les prix, et les garanties. Haut les marques, et mains d’œuvres, signalées aux garages, carrosseries, casses. Pourquoi ? Remettre à demain ce qui pourrait être fait aujourd’hui !
Pas de signalement sur cette route, ni de feux tricolores, pas même un stop. Les voitures roulent avec fluidité, et moyennes cylindrées ronronnent sous leur capot. En marge des festivités de la semaine et du week-end ! Ceci étant dit, et fait, nous passons à un autre chapitre, et formule. Le monde et ses habitants, c’est la récompense de nos dieux, et vies.
Inexorablement, nous concevons des kilomètres de béton, avec toutes les infrastructures routières et nous nous apercevons du déclin de l’environnement écologique, ainsi qu’atmosphérique ! Constat initial des experts en la matière. Bien sûr, nous ne sommes pas coupables des échecs de certains recours et manifestations en ligne. Mais tout de même, il n’est point question de détruire ce qui est bâti, mais plutôt embellir les saisons intemporelles et signifiantes du changement et réchauffement climatique –
Voici, certaines conclusions et analyses, synthèses et préambules. Que faisons-nous ?
Est-il possible d’imaginer un nouveau monde ou univers, ne serait-ce que pour les cycles saisonniers, kaléidoscope. Et les recettes de grand-mère, pour embellir les frasques d’une famille décousue. Ne serait-ce qu’en impliquant les juges, et magistrats dans ce décors ! Haut en couleurs et théâtrales, maintenant les répliques se font plus dans les coulisses et vertus, bon ! Nous ne sommes pas des monstres, plutôt des titans et cyclopes !
Certes, les requins rôdent toujours dans les eaux sinueuses, et salées ! Vague à l’âme.
Surcroît de débauches. Suffocation et étranglement, voici les parties prises, d’un corps humain. Traditionnellement, nous nous arrêtons à des palabres et aussi aux signes d’avant-garde ! Crise humanitaire et déconcertante. Voilà notre génocide planétaire !
La fin du monde, et apocalyptique, finalement l’être humain et terrestre n’est guère envahissant, il nous reste beaucoup d’espace planétaire, et même, nous sommes certain de réduire la couche d’ozone et la pollution atmosphérique. Les climats et les intempéries sont toujours présents, comme les cyclones et les ouragans, voir séismes planétaires partiels.
Fort de ce constat d’analystes et experts en la matière, on regrette déjà les tours du monde en montgolfières, et en bateaux ! Les sous-marins périssent au fond des eaux et les naufragés meurent en noyade. Malgré toutes nos infrastructures, il ne semble pas de connivence avec la nature.
Les terrestres ou les terre à terre prennent pied dans l’océan météorologique ? Avec la sombre peur d’un cataclysme dramatique pour notre environnement. Par moment, il est impossible de contrôler ces aléas non prévisibles ou presque, quant à savoir la durée et l’intensité des rafales de vents et de grêles, pluies et vents. La nature détruite, ainsi que certaines villes et états de la planète. Certes, nous sommes à même de reconstruire et produire de nouvelles idées de faunes, arbres, buissons, plantes, et fleurs, ainsi que l’agriculture, et les cours d’eaux, ainsi que la végétation sur la planète, et de par le monde, ainsi soit la reconnaissance de l’être humain qui sait utiliser pour ses besoins les plus purs plantations, récoltes, que ce soit végétale ou synthétique.
Les récoltes les plus courantes sont le coton, l’huile, le grain, l’orge, le blé, et le chanvre.
Une vaste redistribution de ces échantillons qui permettent de fabriquer des textiles, parfums, et alimentations de toutes sortes !
Voir le cas échéant, une productivité de masse par secteur agroalimentaire de distribution et de marchés mondiaux, avec l’importation et l’exportation de ces produits et denrées alimentaires qui nous servent tous les jours presque. Le but final est de satisfaire le consommateur, sans trop de pesticide et autres mélanges scientifiques, comme pour le soja et certains légumes, la pomme de terre par exemple, les haricots verts et les herbivores, non contrôlés.
L’amalgame, c’est le marketing, comment les vendre sous la bonne forme ?
Pourquoi pas au détail, comme sur les marchés et fermes bio.
Et puis les produits laitiers, la viande bovine, dans tous les cas, cela nécessite un contrôle aux frontières, en matière d’importation et d’exportation sur les territoires destinés aux commerces et à la consommation, soit de luxe ou de base. Ne nous pressons pas de ces faits factuels et évidents, nous sommes tous concernés, en majeure partie. L’état de grâce et le rabais de la quantité, casser les prix, échanger et contrôler, voici les principes du libre-échange et du libéralisme commercial sur cette planète, et vous savez bien que rentabilité rime avec intoxication publicitaire. Prenez le chou ou la volaille, et le fromage, puis les sauces d’accompagnements, plus il y en a mieux c’est pour un choix d’éthique alimentaire et rudimentaire. Neutralité du produit sous la marque la plus connue et mémorisable. Cependant les détaillants y trouvent leur compte, en qualité-prix. Nous avons encore l’abattage dans les porcheries et abattoirs, selon les informations internes qui résultent des travaux de campagne de marketing et commercial. Finalement nous ne perdons rien, nous gaspillons, pour ainsi dire, c’est les raisons pour lesquelles, nous avons inventé la banque alimentaire et les soupes populaires, car de ces faits courants, il y a les pertes économiques récupérables !
La gratuité alimentaire, et la menace de la précarité et de la maladie, voilà ce qui choque l’opinion ! Le gaspillage n’est qu’un simple jeu de rôle dans la société, par contre l’intoxication elle est le méfait de la contre-culture. La prolifération des pesticides et engrais de toutes sortes, les herbivores n’en peuvent plus. Situation inédite dans le domaine de l’alimentation sous formes de légumes !
Zéro chimique que du naturel ! Merci à la bonne société de consommation, reste à voir pour les volatiles.
À savoir que c’est de la bonne gastronomie qui nous fait vivre sainement !
Les plus intelligents ont tout compris à partir de là. Certes, il nous fait savoir, le chef que chaque plat à son odeur, et nous en sommes arrivés à ne plus voir la fin des haricots ou le début du repas. Fine bouche et volupté sont au rendez-vous, les plus raffinés d’entre nous et les plus exquis sont là ! Ce soir un plat révolutionnaire nous est offert, devinez lequel du merlan frit, accompagné de riz basmati, avec une petite sauce épicée pour parfaire ce met de saveur. Fort de vapeur et aromate, servant à embellir le repas de la soirée dans le pub spécialisé dans ces produits comme il en existe en Angleterre et dans certains pays lointains ou plus proches. Ceci nous mène à croire qu’il fait meilleur de vivre sous les tropiques ou dans l’hexagone. Point de non retour par certitude ! Repas copieux et boissons légères, juste quelques degrés désirés pour assombrir le couvert du soir et de voir venir le jour du lendemain commençant le week-end, et finissant le lundi matin pour le travail de bureaux et paperasses, afin d’anoblir la royauté de ce pays. Femmes battues sortent, ce soir dans ce pub quelconque ? Normalité de tous les jours pour ces femmes assoiffées de souffrances, malgré elles.
La raison pour laquelle, nous avons prétendu à cette richesse de savoir et d’entreprise ne datent pas d’aujourd’hui, mais depuis des années et décennies, voir siècles.
Valet de chambre et gouvernante font bon ménage au sein de la villégiature !
Femmes de chambre et bonnes, puis chef de rang, serveurs et serveuses, commis de cuisine, cuisiniers, et plongeurs, Hôteliers.
Refaire cette société au plus beau quart de la journée et soirée ?
Âprement, nous sommes happés par le temps qui passe et les symboliques de nos vies sont illustrées de légende, puis commentaires. Beau et fidèle, comme une chien en chaleur qui va faire son tour de garde avec ses fidèles amies, les chiennes. Fierté forte et égocentrisme, voir perversion et réversion de la situation, bêtes de scène et costard ne font que restaurer du mieux possible nos vies et destinées parallèles, mais certaines !
Reste au plus grands, le privilège de choisir et d’anticiper le présent et le futur, rapidement avec exactitude, forme et fond. Les autres candidats aiment se surpasser au-dessus du filet, et sans rebondissement. Dans ce que l’on appelle la volonté des cieux terrestres et célestes. Bienvenue à vous tous, qu’arrive-t-il sans retenue, forcé de faire le geste et s’alarmer, tout de même, triple saut périlleux en parachute, et remonté de l’eau en canoë kaïque. Ceci étant dit, nous faisons la même gestuelle en parallèle. L’argent comptant, voilà ce qui trébuche, au fond de vos souliers de père noël ! Le placard et l’amphithéâtre, pour ne plus paraître narquois ou malin, voir maladif. Surtout après que la mer soit passée sur le sable fin ! À vrai dire, qu’est-ce qui reste à voir de plus près, juste une récolte de vins de bon vignoble, et vignerons ! Gardons la tête froide, car nous sommes tous là à constater, avec enthousiasme. Que, les fans de vins de qualité. Sont amers de bons crus. Et plus encore de très bonnes cuites magistrales, voir plus. L’engouement ! Sachons garder la tête froide. Allons-nous refaire le monde d’ici bas.
Forcé de croire aux préceptes, et prétextes latents. Dorénavant ! Face à cette démographie ambiante, nous restons stable pour l’environnement et la nature.
Surévaluation, et surpopulation ! Dans certaines sphères mondialement connues. Succinct. Trêve de connerie, et de forme olympique. Nous avons pour missions évolutives, de construire autour nous un monde meilleur. Polichinelles. Blouson de cuir et santiags, bottes et bottines en cuir et en peau ! Débauche totale et euthanasie cérébrale. Préceptes apocalyptiques et genre humain. Le gouvernement ! Résolument forfaitaire. Sans moindre principe. Seul doute conforme, la thèse de l’attentat. Virulent et explosif dans notre vie de tous les jours, la peur au ventre. Blasphèmes et communions vont de pairs. Vitriole en Angleterre et mortalités précoces pour une masse ouvrière et jeune tout d’abord.
La gauche l’emporte amplement, et sinon plus totalitaire. L’urinoir n’est pas plein, car il se vide après chaque besoin urinaire. La chasse d’eau n’est pas la question, puisqu’il n’y en pas, seulement un pressoir en fonction. Les fines bouches et gastronome ne cessent de pâlir en voyant ces plats délicieux et cuisiner avec la plus grande saveur. Bonne conduite et narcissisme, version académique et universitaire.
Chercher l’erreur où faute dans ce stratège des classes modernes, fini l’archaïsme !
Labyrinthe complexe et escarpé tout le long du parcours, pour une fin obsolète, comme un jeu d’osselets. Tributaire de la fratrie et recevable en fierté. Tout est question de principe, voyez-vous les clans se séparent pour former des familles comme en politique.
Les raisons sont diverses et aussi lunatique, voir stratégique ! Bien encore, il ne faut pas tuer la poule aux œufs d’or, ni même trop la gaver ! Reste les oies, et les autres volatiles.
Finalement, tout est compris dans ce buffet campagnard. L’addition n’est pas des plus élevées, juste normale. Les boissons sont comprises dedans, même l’apéritif, et le café.
Nous nous régalons, déjà dans ce déluge de convives et sympathisants. Hormis la fête.
Le discours de grâce est très limpide et vertueux. L’anonymat n’existe pas, tout le monde se connaît déjà de près ou de loin, ceux sont les salamandres.
Triste destinée, pour les peureux et froussards ! Nous devons rétablir l’ordre et la morale ! Tous les mêmes ! Des incapables, de toutes les mesures, nous ne pouvons pas accéder, à ce dégel. Jeune et jolie. L’esprit conserve la raison et maintien, de plus en plus.
Opérons nous, dans la même et seul indice occasionné pour cet effet. Lapse de temps inédit et de formulation doctrinale et occasionnelle. Pour le moment ! C’est la patrie qui en démord, et déborde de stratèges, plus ou moins élaborés.
Maigre péril dans l’hexagone, et finalement appauvrit. Stupéfaction réduite, et calamité.
Débordement de pouvoir, et synagogues. Les Juifs, comment font-ils pour rester entre eux, alors que leur slogan est de diviser pour mieux régner, quant à la Reine de Windsor. Et le Duc de Canterburry ! Sachant chasser sans son chien. Palabre et conquistadors.
Le but émérite n’est que l’entraînement torride d’un attaquant. La lucarne, est plus souple dans les neuf mètres, ou dans les six mètres.
Outre-manche et outre-Atlantique, et également sur les autres continents. Un royaume.
Rationalisation. Échantillonnage.
Parcellement. Illusoire et utopiste, garde fou des reines et rois de France et de Navarre. Âpre certitude, amère défaite, et glorieuses victoires, vaines sordides, et sang bafoué. Le règne féodal, et l’inquisition des lieux, comme les châteaux. Les pleines victoires et défaites ne font qu’agrandir les champs de visions !
Rustres et solides, comme un vieil arbre datant d’un siècle ou deux. Pachydermes et carnetiers sont ensembles dans ce vaste volume aristocratique et volubile. Loin du système populaire, enfermé dans ces tours d’argent. Pourquoi ?
La tragédie n’a pas lieu d’être. Le complot non plus. Reste l’histoire ou la légende, voir renommée ! Il n’y a pas d’alternatives, dans ce fourre-tout. Le métronome calcule et donne raison à l’espace et au temps qui passe par là.
Certain de ne plus revenir, et encore moins de faire parler de lui ! Il n’y a que le chuchotement du vent dans les broussailles et buissons, la pluie et les orages dans le ciel nuageux et imprévisible. Surtout que les intempéries peuvent provoquer des ambiguïtés ! Cela reste latent et contradictoire.
Somme toute nous nous efforçons, de ne plus jeter à la poubelle. Des micros et amplificateurs. Sujet d’un livre ouvert en pleine cathédrale ou basilique.
Trêve de guerrier urbain, les villes forment plus d’infrastructures. Les villages plus de produits agricoles ou viticoles, les capitales regroupent les marchés financiers.
Et les continents plus d’êtres humains, mers et montagnes, déserts, et toutes choses les définissants. Labyrinthe conjoncturel et d’exception. Les passagers embarquent ou montent dans les trains, taxis, bus, tramways, etc.
Sinueux et sournois vient le chat, mais que fait-il ? Il traîne ici et là dans la cour de la maison, et puis ensuite reviens vers nous, pour une tendresse ou un câlin ! Que restera-t-il des plumes d’oiseaux attrapées par ce félin.
Perte de poids et malnutrition voilà la différence physique de cet animal ! Il faudrait voir à l’alimenter convenablement, afin qu’il puisse se remettre de ses émotions, et puis ensuite manger à sa faim. Et boire du lait frais et en grande quantité comme un chaton en train de grandir et prendre des forces ! Ce n’est pas le cas de tous les autres animaux de cette maison, avec jardin et cour intérieur !
Sur place ! Il y a de l’espace pour les réunir ces animaux.
Quant aux bruits dans la ruelle, cela vient des pots d’échappements de mobylette et de karting, ils s’entraînent comme des bêtes, avec des dérapages et faire tourner le moteur de ces engins, somme toute, elles sont impeccables ces bécanes. Le parking est beaucoup plus loin pour y accéder cela prend du temps, et ce n’est pas l’endroit idéal, car il y a tellement de voitures garées ou à l’arrêt !
Donc, la ruelle est un terrain d’entraînement !
Il faut s’y faire, c’est tous les jours la même musique et pétarade ! En plus cela pollue vachement les murs et palissades. Il faut faire avec, il n’y a pas le choix. Cessant de croître dans les embouteillages et trafics, en tout genre, cela nous est égal, on doit faire avec encore une fois. Du pareil au même, pour les volatiles et, bêtes de toute vraie apparence dans le noir et les brumes des marécages et buissons des champs et des prairies. Les renégats s’en prennent aux poules, les voleurs de jardins et basse-cour.
Il faut mettre un terme à ce marché intrusif sur le territoire et déviant des bonnes formules de ventes et commercialisation.
Revenir loin en arrière pendant les guerres de contrées et de villages, il existait le pillage et le saccage des habitations et foyers. Tout en voulant garder la main sur les territoires conquis et villes, villages et lotissements.

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24/10/2019 13,00 €
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