Je le dis franchement: je viens de lire pour la première fois Emmanuel Bove. J'étais chez Gibert, samedi dernier, et j'épluchais systématiquement les rayons de littérature française, lorsque je suis tombé sur ce nom, à la sonorité si étrange: Bove. Nom qui ne m'était pas inconnu, mais dont les œuvres ne m'avaient a priori jamais intéressé.