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Certes, Richard O'Dwyer est coupable. Coupable d'avoir monté Tvshack.net en 2007, un site agrégateur de liens qui faisait la part belle à des renvois vers feu Mégavidéo, entre autres. Saisi par les autorités américaines en juin 2010, le site est depuis inaccessible, et la Justice US souhaite désormais juger le ressortissant british pour infractions du copyright. Aux États-Unis, il risque 10 ans de prison, beaucoup moins en Grande-Bretagne, le territoire où il a commis son délit.

Le 21 juin dernier, le site de l'académie de Dijon a mis en ligne un rapport sur Twitter, réalisé par le professeur documentaliste Alexis Pelte. Destiné aux non-initiés, qui froncent toujours les sourcils, lorsqu'on prononce les mots hashtags, ou FollowFriday, le document vise avant tout à tester ses connaissances et savoir enfin  « quel twittos êtes-vous ? »

Oh, qu'ils sont facétieux les touitteurs ! Réagissant à l'interview publiée dans Le Monde, du PDG de Hachette, Arnaud Nourry, les utilisateurs du réseau de micro-blogging se montrent des plus mordants. 

N'en déplaise aux défenseurs des mesures défensives adoptées par l'Argentine il y a quelques semaines (voir notre actualitté), les premiers effets de la forte retriction pour l'importation des livres imprimés à l'étranger commencent à se faire sentir. Les Argentins font savoir leur mécontentement sur les réseaux sociaux.

Jonathan Franzen, c'est un peu le Mathieu Kassovitz des Américains : comme le réalisateur français, il s'énerve souvent, mais lui ne le fait pas en tweets, bien au contraire. Cette semaine, c'est en effet Twitter qui est devenu la cible de l'auteur de Freedom, lequel n'y voit qu'un « médium totalement irresponsable ».

Le marché du numérique s'est très rapidement imposé comme incontournable pour les libraires, les auteurs et les éditeurs pour faire tourner la machine de l'industrie de l'édition.

C'est l'histoire de la littérature qui est en train de s'écrire : depuis quelques heures, la nouvelle fait le tour du net : alors que la coopérative d'auteurs Publie.net vient de proposer une traduction originale de Le veil homme et la mer, les éditions Gallimard qui en commercialisent leur propre traduction enjoignent François Bon « de faire disparaître ma traduction du Vieil homme et la mer ». Scandale ? Et pas qu'un peu... 

Le site Accredited Online Colleges a publié une note compilant dix actions qu'entreprennent et pourraient entreprendre les maisons d'édition pour faire face aux nouveaux défis des bouleversements de l'industrie, notamment depuis l'arrivée du numérique. Un top ten intéressant pour les plus combatifs.

La mission était bien de parvenir à faire voter la loi avant février, pour les sénateurs réunis dans le cadre de l'examen du projet de loi soumis par Jacques Legendre. Le contexte est assez simple : il s'agit d'examiner un projet qui permettrait la numérisation d'oeuvres sous droit du XXe siècle, qui sont aujourd'hui indisponibles.

L'an passé, le prix Interallié avait récompensé Jean-Michel Olivier, pour L'amour nègre. L'auteur suisse avait finalement réussi à l'emporter au quatrième tour de vote, à six voix contre cinq, face à Claude Arnaud, et son Qu'as-u fait de tes frères.

Pour sa 14e édition, le prix Wepler-Fondation La Poste a remis ses prix à deux lauréats, comme chaque année. Éric Laurrent, pour Les Découvertes et François Dominique, pour Solène (mention spéciale), sont ainsi à l'honneur durant la grande soirée donnée à la brasserie Wepler.

Il aura mis du temps à décoller le réseau de micro blogging, mais désormais, il est incontournable. Et c’est depuis le site officiel que l’on fait entendre « cent millions de voix ».

Le 15 juin, dans quelques jours, la rue Sébastien Bottin qui accueille aujourd'hui le siège des éditions Gallimard sera (en partie) rebaptisée, en l'honneur du centenaire de sa création, par Gaston Gallimard. Une célébration loin de faire l'unanimité.

Inventeur de l'annuaire du commerce et de l'industrie, Sébastien Bottin compte parmi les figures de l'administration française, à cheval entre le XVIIIe et le XIXe siècle.

Chez les mormons, on ne rigole pas avec la pornographie. Il suffit de jeter un oeil sur les bouquins de Stephenie Meyer pour se rendre compte de l'étendue des dégâts. Mais on ne rigole pas non plus avec la littérature de type Romance, passablement nuisible pour l'esprit des pauvres femmes...

A la suite de One Book, One Twitter club, qui avait vu l’an passé 12 000 personnes débattre sur Les dieux américains, de Neil Gaiman, Jeff Howe, professeur de journalisme à l’université Northeastern de Boston, a décidé de relancer l’initiative en liaison avec l’Atlantique Magazine, et de remettre sur pied un lieu de rencontre mensuel pour lecteur.

Après l'inénarrable Zadig et Voltaire de Frédéric Lefebvre, qui avait déchainé les tweets francophones sous la liste #bibliolefebvre sur Twitter, voilà que les livres reviennent sur le devant de la scène mais cette fois... en anglais.

Tous les vendredis, les utilisateurs de Twitter cèdent généralement au grand appel du Follow Friday, que l'on retrouve avec le hashtag #FF. Cela signifie simplement que l'utilisateur publie une liste de personnes qu'il suit et qui lui sont sympathiques...

Depuis qu'il s'est fait prendre la main sur la tartine de confiture, Frédéric Lefebvre s'est montré beau joueur, en saluant lui-même la profusion de titres détournés, cette fois à dessein, parodiant la boulette du secrétaire d'État.

Ce soir se déroulera une conférence réunissant les deux pans de du livre : l'éditeur et l'auteur. Quatre invités seront présents à la SCAM, Société civile des auteurs multimédias, pour un débat portant sur l'activité du créateur, et la création, face à son éditeur.

Booktrust est un organisme de bienfaisance indépendant, avec pour mission d'encourager la lecture, au travers de trois programmes pour la jeunesse. Bookstart, Booktime et Booked Up ont toutefois subi une grave avanie. Et framboise.

L'une des forces de Twitter réside dans l'utilisation de mots-clefs pour créer un fil de conversation permettant à des millions d'utilisateurs de se répondre. Toute une affaire de questions-réponses qui parfois prennent particulièrement bien...

Obtenir des retours de consommateurs par Twitter

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