La tempête de Mario Neri est un beau paysage dans lequel la détresse est affective. Chez Jean Eustache, l'ouragan est soit sourd, soit volubile, caché derrière un flot de paroles. Tyst veut en sortir de l'orage : « Me perdre dans un autre monde. Si cet autre monde doit être de ma fabrication, la démence vaut mieux que de coûteux psychotropes. »