Assouline, Perret

Devenue la première ville des Emirats arabes unis, la ville de Dubaï séduit de plus en plus une population cosmopolite venue des quatre coins du monde avec des mirages de réussite plein les yeux. Mais quand est-il réellement de cette ville qui s’est taillée une image de carte postale en quelques décennies.  

La romancière mauricienne Ananda Devi a été désignée lauréate du Prix de la langue française, créé par la Ville de Brive en 1986. Son œuvre, qui « contribue de façon importante à illustrer la qualité et la beauté de la langue française », lui permet de succéder à Nathacha Appanah.

Après près de 70 ans de disparition, la Torah de Schirmeck, petite ville du Bas-Rhin, va retrouver son berceau. Le trésor historique et sentimental de la communauté juive de la ville retrouvera la synagogue de Schirmeck-La Broque le 4 septembre, grâce aux efforts de l’association des Amis de la synagogue. Une histoire qui commence en 1908 avant de prendre un mauvais tour en 1945...

Sa dernière adaptation au cinéma date de 1963 : Jules Maigret, éminent commissaire et personnage principal de l'œuvre de Georges Simenon, revient sur grand écran, incarné par Gérard Depardieu. Dans une interprétation tout en retenue, l'acteur de 73 ans est de retour sur grand écran, déjouant un mystère psychologique et intimiste. L'occasion de revenir sur la « période américaine » de Georges Simenon, de laquelle naitront quelques-uns des meilleurs épisodes de Maigret. 

Erwan Le Morhedec vient de publier Fin de vie en République, aux éditions du Cerf. Dans un texte pour ActuaLitté, il évoque des questions fondamentales, sur le rapport à l’existence. Un de ces discours qui apportent le débat contradictoire, souvent essentiel.

Les 4, 5 et 6 juin prochains, à l’occasion de son festival annuel La Bibliothèque parlante, la Bibliothèque nationale de France invite une pléiade d’écrivains, de comédiens et de musiciens à célébrer la lecture à voix haute, pour une nouvelle édition organisée en écho à l’exposition Henri-Cartier Bresson. Le Grand Jeu.

L'académie Goncourt a rendu son verdict ce matin au restaurant Drouant, à Paris, comme le veut la tradition. Éric Vuillard est donc le lauréat du Goncourt 2017, pour son livre L'ordre du jour. Quatre auteurs, deux femmes et deux hommes, étaient en lice pour cette récompense qui fait toujours figure de Graal de la rentrée littéraire. 

En janvier, le Traité sur la tolérance de Voltaire, en novembre, Paris est une fête d’Ernest Hemingway : après les attentats qui ont touché la capitale en 2015, chacun de ses deux livres a en effet connu un regain de popularité. Entre hommage, symbole ou refuge, se tourner vers la littérature face au drame serait alors une démarche « très française ». 

J'ai découvert l'existence de Binet-Valmer par hasard, en relisant l'excellente biographie de Pierre Assouline sur Simenon (Julliard 1992). En 1922, Simenon quitte Liège pour Paris et débarque à la gare du Nord, seul. Il a derrière lui trois années de journalisme passées à la Gazette de Liège où il a  fait un peu de tout, notamment les faits divers qui l'inspireront plus tard (cliquer ici). En poche, peu d'argent, mais une lettre de recommandation qui lui permet de trouver un emploi de secrétaire auprès d'un homme alors célèbre, Binet-Valmer.

À l'occasion d'une réunion au Sénat, de la Commission de la Culture de l'Éducation et de la Communication, le sénateur David Assouline a fait part d'une très intéressante nouvelle. Alors que la France et le Luxembourg sont sous le coup d'une procédure d'infraction, pour avoir harmonisé la TVA du livre numérique sur celle du papier, l'Allemagne rejoindrait manifestement cette idée. 

L’art ne veut point de pleurs et ne transige pas, dit Verlaine. Telle devait être également la conception de Kléber Haedens en matière littéraire. J'ai lu son roman Adios (1974). Récit d’une enfance et d’une adolescence qui ne sombre jamais dans l’éloquence, l’effet, le « poétique ». Mais en lisant sa prose dépouillée, l’émotion gagne parce qu’on y rit beaucoup, et par ce rire, un moment, le temps d’une lecture, on parvient à retrouver la magie de la jeunesse et à la regretter, sans amertume.

Pierre Assouline, dit Passou, a livré pour le Centre national du Livre une étude concernant « la condition du traducteur ». Un rapport qui entend établir un état des lieux et qui fut présenté durant le Salon du livre de Paris édition 2011.

Il y a quelques mois, passait sur France 2 un téléfilm réalisé par Nina Companeez, qui mettait en scène La Recherche du temps perdu de Marcel Proust.

Parmi les amendements qui constituent la nouvelle Loi sur le prix unique du livre numérique, l'apparition de l'article dit 5 bis n'a pas manqué de soulever des interrogations.

Les éditeurs rendus obsolètes par l'impression à la demande

Après le recueil épistolaire, le roman courriel-stolaire ?