Boissinot

Le Conseil supérieur des programmes (CSP) a été institué en 2013, en remplacement du Haut Conseil de l’éducation, afin de gagner en transparence dans le processus d’élaboration des programmes d’enseignement. Mais cette institution, depuis sa création, peine à convaincre les acteurs de terrain. Au sein même de cet organe, les tensions sont parfois vives, avec la démission en juin 2014 du premier président, Alain Boissinot, agrégé de lettres classiques.

Installé par Vincent Peillon en octobre 2013 le Conseil supérieur des programmes (CSP) a notamment pour mission de faire des propositions de nouveaux programmes pour la maternelle, l’école élémentaire et le collège.

Président du Conseil supérieur des programmes (CSP), Alain Boissinot vient de faire part de sa démission auprès du ministre de l'Education nationale (voir notre actualitté). Trouvant la structure du CSP inappropriée pour pouvoir réformer les programmes scolaires efficacement, il a préféré se retirer de cette instance.

Alain Boissinot, président du Conseil supérieur des programmes (CSP), vient de remettre sa lettre de démission au ministre de l'Education nationale, rapporte l'AFP. Pour expliquer sa démission, il précise que selon lui, le Conseil supérieur des programmes n'est pas une instance adaptée pour arriver à réformer les programmes scolaires.

Bien cher Hervé, Je travaille à mon prochain roman qui décrira un épisode de la guerre des sexes, de la lutte ouverte ou souterraine entre l’homme et la femme. Avant les difficultés de la rédaction, il y a les plaisirs de la recherche : je découvre, j’apprends, j’approfondis et je viens de lire La Garçonne, de Victor Magueritte (1866-1942). On pourrait classer Margueritte dans les Ensablés : il a beaucoup publié, il a été très célèbre et célébré, mais aucun titre ne surnage et plus rien n’est publié aujourd’hui. Sauf La Garçonne, justement.

Québec : la BAnQ fait sa rentrée