L'autopublication est un outil formidable pour la diversité culturelle, puisqu'elle permet à chacun de proposer ses écrits à la vente. Mais la médaille vient avec un revers, visible dès les vitrines des revendeurs. Tout le monde n'est pas graphiste, tout le monde ne dispose pas d'une banque d'images, et la couverture des livres en fait souvent les frais. Un tumblr en forme de galerie des horreurs rassemble les pires.