Ce roman est une ode à la vie, à la nature, à l’observation respectueuse du vivant auquel nous appartenons et dans lequel nous avons perdu et perdons tous les jours un peu plus le lien viscéral qui nous rattache, nous intègre à lui. Jusqu’à le traiter comme une ressource dans laquelle puiser. Inconsidérément. Jusqu’à détruire, sans autre forme de procès, ce qui ne nous convient pas.