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Santé, diététique, beauté

L'olivier pour votre santé

L'olivier comme vous ne l'avez jamais vu ! Le professeur Henri Joyeux et l'oléiculteur Frank Poirier nous font découvrir les extraordinaires vertus de ce trésor méditerranéen. La science prouve les vertus de l'huile d'olive pour la digestion, la santé du coeur, des os et de la peau, du système nerveux, du système reproductif et plus largement pour l'immunité et la longévité... Au-delà de l'huile, c'est tout l'olivier qui contient, dans ses fruits, ses feuilles, son bois, des composés vertueux qui ont encore beaucoup à apprendre aux médecins. Le cancérologue et l'oléiculteur nous proposent une plongée dans la vie d'un arbre extraordinaire et décryptent le monde de l'oléiculture, entre grandes monocultures industrielles et paysans respectueux des terroirs et héritiers d'une culture millénaire. Un voyage tout autour de la Méditerranée, mais également à travers les siècles ! Pratique, ce livre nous montre comment intégrer au mieux les bienfaits de l'olivier dans notre vie, en nous expliquant comment choisir notre huile, comment la déguster, et comment la cuisiner, avec des recettes simples et savoureuses qui vont transformer vos repas en un concentré de saveurs... et de santé ! Henri Joyeux, ancien chirurgien cancérologue et chirurgien des hôpitaux, a aussi enseigné à la faculté de médecine de Montpellier. Il a publié de nombreux ouvrages consacrés à l'écologie humaine, notamment sur l'alimentation, parmi lesquels Changez d'alimentation et Manger mieux et meilleur de 0 à 100 ans. Conférencier, il s'engage maintenant au service de votre santé par ses messages de prévention des cancers : nutrition & comportements de santé. Frank Poirier est moulinier-oléiculteur. Il exploite en agriculture biologique une oliveraie d'altitude, dans les Hautes-Corbières. Il produit une huile de première pression à froid obtenue par simple pressurage dans un moulin à meules traditionnel et décantée naturellement ainsi que des olives de table désamérisées à la cendre de chêne vert, selon une recette médiévale.

03/2019

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Littérature française

Le pont du Mazafran. Livre 1, Ils n'ont dansé qu'un seul été

L’auteur, bébé prématuré qui ne devait pas vivre, après une enfance partagée entre les deux rives de la Méditerranée, marquée tristement par le spectre de la tuberculose qui a endeuillé sa famille, puis plus heureusement par une adolescence algéroise enjolivée par le soleil et la mer, devient un jeune homme qui nourrit un rêve apparemment inaccessible : devenir pilote. Après avoir évoqué sa prime enfance à Vincennes puis en Algérie, à Koléa, son adolescence à Belcourt, faubourg d’Alger, à l’E.P.S. du Champ de Manœuvre et les pudiques premières amours, jeune adulte il assiste au débarquement allié du 8 novembre 1942, un tournant de la guerre qui permettra notamment la renaissance de l’Armée d’Afrique. Il est bientôt affecté aux Chantiers de Jeunesse dans les gorges de la Chiffa, puis dans l’Armée de l’Air, au “Théâtre aux Armées“ dans un premier temps et enfin au “Centre de Formation du Personnel Navigant en Amérique”. Au cours de ce parcours, riche en anecdotes savoureuses, laissant vagabonder son imagination “sur les chemins retrouvés”, il évoque dans la région parisienne sa famille paternelle qui a connu les plus grands malheurs, notamment la perte de l’un de ses fils sur le front d’Artois en 1915, puis en Algérie où il raconte la vie tout aussi douloureuse de ses ancêtres maternels, où ses grands-parents “n’ont dansé qu’un seul été” et où un grand oncle avait déclaré : “ Ce n’est pas toujours celui qui plante un arbre qui en récolte les fruits” constat désabusé en raison des déceptions vécues et paroles prémonitoires au plan de l’Histoire. Il est vrai que la vie des “colons” n’avait pas toujours été aussi rose que certains ont pu l’imaginer. En conclusion de ce long cheminement imprégné tour à tour de nostalgie et d’espérance l’auteur voit enfin se concrétiser son rêve et peut s’exclamer : “A nous deux l’Amérique”.

10/2012

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Religion

Débaptisez-moi, pour l'amour de Dieu !

Ni exégète, ni théologien, ni philologue, ni psychanalyste, Paul C. Bruno est simplement un libre penseur, un être humain à la recherche d'une spiritualité vivante, vivifiante et enrichissante. Un homme qui revendique le droit absolu de penser, de croire et de croître librement. L'auteur a beaucoup cherché ce Dieu d'amour censé être présent dans textes et les enseignements de l'Église catholique, mais en vain.... Il nous présente cette religion comme une pure invention humaine, basée sur des mythes et légendes antérieures à la venue de Jésus, et qui s'établit sur des rites, paroles et dogmes conçus plusieurs siècles après son passage sur Terre. Les quatre fameux évangiles canoniques sont truffés de contradictions et de falsifications du message initial, sans compter les incohérences historiques et les ajouts littéraires plusieurs siècles après l'écriture originale, tels le mystère de la Trinité, la mariologie et bien d'autres. Si on reconnaît l'arbre à ses fruits, cette religion nous adonné pendant vingt derniers siècles des guerres interminables, des inquisitions, des meurtres, des croisades, des crimes de tous genres contre l'humanité même récemment ! Faut-il être fou, téméraire ou tout simplement lucide pour oser dénoncer 2000 ans de mensonges, de tricheries, de duperies et pour demander que soient effacées les traces de son propre baptême au registre de l'Église? L'année 2005 a donné un nouveau chef à la religion catholique. La foi chrétienne va-t-elle grandir ? Les brebis disséminées reviendront-elles a bercail ? Regardez comment l'Église respecte l'être humain, comment elle traite la femme, comment elle évite d'admettre les torts causés au victimes d'abus sexuels de ses propres messagers ! Elle refusera encore longtemps la réalité de l'homosexualité, la nécessité du mariage des prêtres et l'utilisation du condom. finis la foi aveugle et les comportements dictés ! Finie l'adhésion à cette Église qui s'arroge le contrôle de la conscience, le contrôle de la vie, et même le contrôle de l'éternité... Hors de l'Église, le salut est-il possible ? Pourquoi pas !

09/2006

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Jardinage

Au fond de mon jardin

J'ai rencontré Dieu tout petit, sur les genoux de mon grand-mère, au fond de son jardin. Avec de telles racines, la vie devait tout naturellement m'amener à l'écologie. Je m'y consacre depuis deux décennies, et j'ai décidé, après ce long parcours, de lire la Bible. Dans une société qui privilégie le progrès scientifique et technique, dans un monde devenu radicalement urbain, le nomadisme et le ruralisme bibliques apparaissent comme surannés. Pour un jeune, la lecture de la Bible est aussi plate que l'électroencéphalogramme d'un coma dépasse, aussi insolite qu'un troupeau de manchots à l'Equateur... De fait, on aura vite saisi que les projets, les valeurs de notre époque sont en opposition avec la Bible. Ces contradictions sont soulignées d'un bout à l'autre de l'ouvrage et chacun comprendra que nous sommes acculés à un choix clair : l'esprit de modernité ou l'esprit biblique, dont on découvrira qu'il est, en fait, on ne peut plus d'avant-garde. Et c'est ici que la Bible a un message à délivrer à l'écologie, donc à nous tous; car, pour elle, le sort de l'homme et de la nature sont étroitement liés. Que l'homme s'en éloigne, qu'il malmène la Création et aussitôt celle-ci, par une colère, une sécheresse une pollution, sanctionne ces transgressions. Au long de ce périple, j'évoque des épisodes ou des personnages de ma propre existence. Ma vie ? Cette histoire étrange, en vérité, commencée dans un jardin comme au Paradis terrestre; puis, après la guerre et l'exclusion le sort commun des émigrés, suivie du temps de la science triomphante, comme s'il m'avait été donné de goûter à l'Arbre de la connaissance du bien et du mal. Mais je ne me souviens pas du goût du fruit défendu. A moins que, oui, sans doute est-ce cela...

06/1996

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Poésie

La vie de la licorne

La vie de la licorne pourrait s'inscrire dans la formule "il était une fois la lumière". Quoi que nous fassions, que nous soyons dans l'attente ou le départ, il y a tellement d'instants où s'écoulent nos larmes, en longs sanglots bleus, quel que soit notre certitude, la licorne est là avec ses attentions, sa douceur. J'ai attendu et durant ma traversée, quand tu n'es pas là ô licorne, tu es là par l'apprentissage du "saut du fil", c'est-à-dire parvenir à franchir les murs de l'angoisse, mais aussi du désir par excellence et je sais qu'avant demain tu me redonneras la force et la confiance dont tout être humain a besoin, oui nous faisons partie de ta vie. Et sans le savoir, chaque jour nous avons besoin de ta vie ; licorne, amie des hommes. Ta vie, c'est effectivement de nous éclairer, tu es notre lumière et même la nuit dessine tes yeux. Au nom de l'amour, ta vie se confond dans la douceur et la perfection. Pour sa vie, pour elle, j'ai chanté la chanson orientale, et le secret c'est que durant ses nuits de galop, le philosophe pour une fois pose un nom sur son existence. Le nom qui lui est donné n'est pas connu, mais signifie vie. Cette vie peut-être une vie contemplative : c'est-à-dire une vie coupée du monde et vouée à la prière et à la méditation. Ou une simple vie, peut-être loin des pensées et des réflexions métaphysiques. Ou encore celle des artistes qui sans le savoir, la frôlent, elle est sans doute comparable aux muses, qui les rapprochent de la vérité. On la trouve souvent aux pieds de l'arbre de vie, lieu sacré qui symbolise les origines de la vie de la nature. La vie de la licorne, c'est l'éternité.

02/2014

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Loisirs et jeux

Delphine vous emmène dans les Pyrénées (Calendrier mural 2021 300 × 300 mm Square). Les Pyrénées en photos (Calendrier mensuel, 14 Pages )

Vous trouverez toujours le bonheur dans les yeux de celui ou celle qui fréquente la montagne. Moi, j'ai attrapé le virus et depuis je vais à la montagne pour m'évader, me reconnecter à moi-même et avec la nature. Quand je pars la rejoindre c'est comme si j'allais retrouver un amoureux. A chaque fois que je La retrouve, elle m'éblouie, elle improvise, elle me surprend, et me fait plein de cadeaux. J'aime flaner à ses côtés, écouter le vent, la mélodie des cloches, la marmotte qui siffle au loin, le ruisseau qui chante. J'aime m'arreter pour admirer la beauté d'une fleur, la forme d'un arbre, la grandeur et la beauté d'un paysage, mais aussi pour surprendre une marmotte, photographier un papillon joueur qui aime à me narguer en passant plusieurs fois sous mon nez, tomber sur la naissance d'un petit veau qui essaye de se mettre debout sur ses pattes. Mais encore j'adore sa grandeur, sa majestuosité, son immensité, sa diversité, découvrir ses lacs, ses ruisseaux, ses sommets, ses couleurs, ses saisons, ses animaux et elle a encore tant à nous offrir ! C'est tout cela qui me rend heureuse là haut. . Les calendriers Calvendo sont des produits haut de gamme - avec ces plus qui font la différence : nos calendriers présentent bien toute l'année grâce à leur papier de qualité supérieure et leur reliure à spirales pour une manipulation des pages plus aisée et une tenue parfaitement droite contre le mur. Un film plastique transparent protège la couverture de ces calendriers toujours plus solides, qui se déclinent désormais en cinq langues. Offrez-vous un calendrier Calvendo qui reste beau tout au long de l'année. Ce calendrier à succès a été réédité cette année avec les mêmes images et une grille calendaire mise à jour. Ce calendrier réussi a été réédité cette année avec les mêmes images et le calendrier mis à jour.

04/2020

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Littérature étrangère

De terre et de rêve

... Lorsqu'il est long à revenir et qu'il me manque, je m'introduis parfois en cachette dans la chambre de papa et maman, j'ouvre l'armoire où se trouvent les chemises que papa n'a pas emportées. J'entrebâille doucement la porte et je les vois suspendues, blanches, lumineuses et parfumées, sur des cintres en bois. J'approche mon visage, je ferme les yeux et j'inspire, pour que leur odeur pénètre profondément en moi. Ensuite, dans mes pensées, ces chemises se tachent du sang de tous les gens que mon papa a fait massacrer et je pleure en silence. Maman dit qu'il n'a pas pu faire autrement, parce qu'il combattait de l'autre côté, que tout simplement il n'a pas pu faire autrement... A travers mes larmes, je vois tous ces gens morts. Je ne connais pas leurs visages, je ne sais pas comment ils s'appellent, mais je les vois, là, près des chemises blanches, dans l'armoire, comme s 'ils étaient là. Je les vois s'écrouler dans l'herbe, je les vois enlacer un arbre dans le bois et glisser le long de son tronc, puis rester étendus sur ses grosses racines. Je vois leur tête transpercée par une balle tomber sur la table et une assiette rebondir et se casser par terre... Ensuite je ne pleure plus. J'ouvre les yeux et je vois que les chemises sont toujours là, blanches, lumineuses et parfumées. Je ne veux plus les regarder, je ne veux plus de cette armoire, je ne veux plus de mon père. Je veux partir ailleurs, là où personne ne me connaît. Je claque la porte de l'armoire, même si je sais que je vais y revenir et l'ouvrir pour y sentir encore les chemises de mon père quand il n'est pas là, même si c'est au prix de mes larmes et de mes souffrances, vous comprenez ?

09/2017

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Littérature française

Des fenêtres sur l'océan

La coque noire et effilée du Djemnah, armé pour la ligne Singapour-Japon, brillait sous le soleil blafard de février. Ils étaient là, sur le quai, adossés au mur du hangar. Le froid leur mangeait le nez et les joues. Les mains rugueuses dans les poches, la langue figée, ils piétinaient le sol gelé. Ils étaient une trentaine, agglutinés autour de leur balluchon comme des corneilles sur un arbre dénudé, le visage fermé par la gravité d'un moment décisif. Ils avaient perdu le flegme des années insouciantes et dans leur regard mobile, perçait plus d'anxiété que de vigilance et de curiosité. Ils attendaient... Antonio s'était éloigné de ses compagnons. Il avait serré le col de son veston, posé son barda au pied d'un mât et grimpé dans les cordages. Il n'avait plus de mots mais une boule dans la gorge qui gonflait et l'étouffait. Son amour blessé. Le Djem na avançait et s'arrachaient de lui, le Piémont, son village, sa famille, ses amis et... Marta. Marta qui ne l'aimait plus, partie avec l'autre cazzo. Où était-elle ? Que faisait-elle, la puttana ? Le continent reculait et derrière lui, à des milliers de kilomètres, au bout de l'immensité, se trouvait une fie, française et sauvage. Une fie dont il ne connaissait rien : La Réunion ; un nom sur un papier où il avait apposé sa signature... Lorsqu'Angelo, jeune Réunionnais du bas de la rivière Saint-Denis, fait la connaissance d'Antonio, un Piémontais, il n'imagine pas à quel point cette rencontre va peser sur le cours de sa vie. Dans la société coloniale des dernières années du XIXe siècle où la construction du chemin de fer fait désormais partie de la vie des Réunionnais, nous plongeons dans le quotidien d'un adolescent, de sa famille, de son quartier. Avec en filigrane, l'histoire des Italiens venus percer les tunnels.

03/2019

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Ecrits sur l'art

Figures de l'art N° 39/2021 : QueeRriser l'esthétique

En 1990, Judith Butler publie Gender Trouble. Ce livre auroral s'appuie avec brio sur la French Theory pour en fonder une autre : the Queer Theory. Celle-ci nous donne a comprendre que la vie est une tragi-comédie, dans laquelle tout-un-chacun peut changer le rôle auquel il se croyait assigné et assujetti par nature. On ne nait plus homme ou femme mais neutre ; epikeinos, "gender fluid" ou, pour le dire avec Rousseau, "propre à rien/tout " et doué de "perfectibilité". Traduit en plusieurs langues, Gender Trouble aura très vite une influence considérable sur les études littéraires et cinématographiques, qui vont rapidement faire un acting out tout particulièrement heuristique. Il n'en est toujours pas de même dans les études esthétiques et d'histoire de l'art. Tout se passe en effet comme si la geste phallogocentrique hystérique de Socrate, le père spirituel de la philosophie (de l'art), bannissant la beauté féminine des Panathénées de Phidias, qui aurait tellement émollié les athéniens qu'ils en auraient perdu la guerre du Péloponnèse, se répétait dans les deux grands livres majeurs de L'Esthétique : La Critique de la faculté de juger (Kant) et L'Esthétique (Hegel), qui confinent l'art (dépassé) de leur temps à un rôle de potiche empruntée ou fétichisée/momifiée. Comment en finir avec la "maledizione" du "démon de Socrate" qui pousse toujours aujourd'hui un grand nombre de grands penseurs, portant sur leur front une "mâle assurance", à répudier la beauté trop "féminine" d'un grand nombre d'oeuvres d'art en vogue ? Comment repenser les rapports, intimement sexués/genres que l'Esthétique entretient avec la beauté/le beau ? Comment réécrire son arbre généalogique, plus particulièrement ses liens de parenté - et de filiation - incestueux avec ses deux grandes soeurs : la philosophie et l'histoire de l'art ? Comment l'esthéticien peut-il parvenir à "queeRriser" sa "vieille" discipline ? Peut-être en ajoutant l'"R" cratylien incantatoire de Rrose Sélavy au néologisme audacieux de son parricide !

04/2021

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Chiens

Le flair du chien

Pour un chien, l'air frais n'existe pas. Chaque bouffée d'air est chargée d'informations. Le monde des chiens est un monde d'odeurs. Alexandra Horowitz, chercheuse dans le domaine de la cognition canine, nous emmène à la découverte de l'univers olfactif des chiens. Accompagnée de ses deux fidèles compagnons à quatre pattes, Finnegan et Upton, Horowitz remonte la piste des odeurs. Au travers de rencontres, d'expériences - parfois des plus incongrues - et d'observations, l'auteure entreprend un voyage, personnel et scientifique, permettant de comprendre les incroyables capacités olfactives des chiens et leurs fonctions. Des séances de flairages dans les rues de New York, aux descriptions anatomiques de l'appareil olfactif des chiens, le lecteur est entraîné par l'enthousiasme, l'humour, l'érudition et la curiosité de l'auteure ! Ce livre est aussi une invitation à renouer avec notre odorat humain, un sens trop délaissé et pourtant fascinant ! Critiques : " Fascinant. . . Horowitz combine l'expertise scientifique avec un style d'écriture facile et dynamique" - The New York Times Book Review " Je ne sais pas exactement si ce livre m'a donné envie d'acheter un chien ou de me transformer en chien, mais je sais que c'était magique " - Maria Konnikova " Horowitz est une journaliste d'investigation compétente qui emmène les lecteurs dans des mondes inconnus, partage ses expériences, pose des questions pointues et fait vivre ces mondes " - Kirkus Review " Pourquoi Alexandra Horowitz, professeure et adulte raisonnablement saine d'esprit, s'est-elle retrouvée à genoux sur un trottoir de New York, en train de renifler la clôture métallique cerclant un arbre à la recherche de traces d'urine de chien ? Elle essayait d'explorer le monde comme le font les chiens. . . Heureusement pour Horowitz et ses lecteurs, accepter d'avoir l'air un peu ridicule est un grand atout pour ceux qui possèdent des chiens et ceux qui écrivent sur eux " - Boston Globe

06/2022

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Arts divinatoires

Votre design humain. Découvrez qui vous êtes réellement

Vous vous demandez quel est votre objectif de vie ? Ce que vous êtes venu faire dans ce monde ? Comment travailler, vous divertir et entrer en relation avec les autres avec naturel et facilité ? Vous trouverez les réponses à vos questions dans Votre Design Humain ! Le Design Humain est une méthode révolutionnaire de connaissance de soi, comprenant la sagesse de l'astrologie occidentale, le système des chakras, le Yi King, l'arbre de vie de la Kabbale, ainsi que certaines facettes de la mécanique quantique, de la biochimie et de l'astronomie modernes. Cet outil particulièrement puissant révèle avec une grande précision les talents innés de chaque individu, l'objectif de vie qui lui est propre ainsi que sa nature véritable. Il fournit également des conseils pratiques pour vous orienter sur votre chemin de vie personnel avec authenticité, facilité et succès. QUEL EST VOTRE TYPE ENERGETIQUE ? - Etes-vous un manifesteur ? Vous initiez le changement en accueillant à bras ouverts votre nature audacieuse et indépendante. Vous êtes ici pour faire ce que vous voulez, quand vous le voulez et si vous le voulez ! - Etes-vous un générateur ? Arrêtez de chercher ce que vous " devriez " faire et cessez de penser à l'avenir. Vous êtes plus efficace lorsque vous faites abstraction du bruit ambiant pour vous concentrer sur le moment présent et vous fier à votre instinct. - Etes-vous un générateur manifesteur ? Vous êtes conçu pour avoir de multiples facettes et sortir des sentiers battus. Lorsque vous êtes réceptif à votre environnement, vous remarquez que vous attirez facilement ce qui vous est bénéfique, tel un aimant. - Etes-vous un projecteur ? Oubliez l'agitation et le travail répétitif. Vous êtes ici pour partager votre sagesse et vos idées, et non pour vous astreindre à une semaine de travail de 40 heures ! - Etes-vous un réflecteur ? Vous êtes le miroir de ceux qui vous entourent et expérimentez leurs centres d'intérêt, sentiments et qualités de façon illimitée. Vous êtes ici pour vous libérer du besoin de vous définir et pour chérir votre ouverture d'esprit.

11/2023

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Beaux arts

Villa Cavrois. Avec 1 CD audio [BRAILLE

Sixième titre de cette collection unique, destinée aux déficients visuels, mais aussi à leurs proches et leurs accompagnants, ce volume propose de découvrir du bout des doigts la Villa Cavrois, chef-d'oeuvre du mouvement moderne, de l'architecte Robert Mallet-Stevens. Sixième titre de cette collection unique, destinée aux déficients visuels, mais aussi à leurs proches et leurs accompagnants, ce volume propose de découvrir du bout des doigts la Villa Cavrois, chef-d'oeuvre du mouvement moderne, de l'architecte Robert Mallet-Stevens. Après cinq titres consacrés à l'architecture ancienne, celui-ci propose de " lire avec les doigts " une icône de l'art moderne : la villa Cavrois construite en 1932 par l'architecte Robert Mallet-Stevens. Restaurée ces dernières années, elle est l'un des fleurons du Centre des monuments nationaux. C'est aussi l'occasion, pour les concepteurs de la collection, d'innover en proposant une lecture tactile de nouveaux matériaux : brique, marbres, bois rares et précieux, céramiques, parquets, inox et acier brossé, sans oublier les végétaux du parc. Ce livre prend une dimension de véritable objet d'art, encore inédit dans la collection. Un coffret de grande qualité sert d'écrin aux planches tactiles gaufrées, emblématiques de la collection. Outil d'aide à la visite mais aussi ouvrage d'art, ce " Sensitinéraires " marque une étape nouvelle de cette collection, soutenue depuis son origine par de nombreuses entreprises et fondations soucieuses d'améliorer l'insertion des personnes déficientes visuelles et leur accès à tous les pans de la vie quotidienne, notamment les arts et la culture. La collection "Sensitinéraires" La collection propose aux déficients visuels une découverte sensible et singulière des monuments nationaux à partir de supports tactiles et auditifs. Livres d'art à part entière, faisant appel aux meilleurs spécialistes, ils visent à restituer, au profit de ceux qui ne peuvent les appréhender par la vue, les volumes, les formes architecturales et les décors des édifices dans leurs justes proportions et leur dimension esthétique. Maîtres d'oeuvre de la collection, Christian Bessigneul, graveur, et Laurent Nogues, gaufreur et maître d'art, ont reçu la récompense " Talents d'exception " du Prix Liliane Bettencourt pour l'intelligence de la main pour leur volume consacré à la tenture de l'Apocalypse d'Angers.

01/2019

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Poésie

Pressoir

Seize années séparent la publication d'Essart (Unes, 2021) de celle de Pressoir. Seize ans marqués pour Gabriela Mistral par des déchirements collectifs - la seconde guerre mondiale - et intimes - le suicide de son fils adoptif Miguel à l'âge de 17 ans. C'est pourquoi Pressoir, paru en 1954, dernier livre que publiera Mistral avant sa mort trois ans plus tard, est à ce point marqué par la séparation et l'arrivée, la construction et la défaite. Sentiment renforcé par les errances successives dues à sa fonction de consul. Si la capacité de transfigurer le monde, d'imprégner la terre de sacré et de mythologies qui soulevait les poèmes d'Essart semble avoir disparu de ce livre plus solitaire, c'est que la métamorphose est ici plus secrète, plus animale. L'immense bestiaire a disparu, il ne reste que la biche et le coyote. Les vallées et les fleuves sont loin, il ne reste que les murs de la maison. Livre intérieur, livre de portes, de fenêtres et d'escaliers, livre de fer et de ciment : "nous avons remplacé l'univers par un mur et une conversation" , dit Mistral qui cherche les êtres aimés dans le noir d'une vie qui s'en va. La langue et l'espace se sont resserrés, les vers raccourcis, les poèmes acérés, leur souffle se fait plus bref. Le monde est nu et écorché, plein d'arbres brûlés, "maintenant je vais apprendre le pays de l'âpreté" dit-elle en glissant d'un poème à l'autre, entre deux buées, semblant s'enfoncer toujours plus loin vers l'autre rive, la rive inconnue de la disparition et des retrouvailles rêvées. Mistral convoque toute la force du deuil, du souvenir et de l'amour, convoque au fil de poèmes bouleversants les visages chers, les dernières promesses de pitaya et de menthe, de pain et de sel. Et même si les "fruits sont sans lumière" , même si "la lumière est malade" et que les regards perdus sont "de pure absence et d'exil" , la poète chilienne fait là sa dernière ronde avant minuit, son ultime vagabondage dans sa terre désolée - "rase patrie, rase poussière" - ¬elle puise dans son coeur esseulé et dans le sentiment d'abandon qui l'envahit la beauté d'un dernier chant. La parole est difficile, préservée au creux de la main comme une flamme légère, fragile dans la nuit du givre. Le resserrement de la langue n'est pas un tarissement de l'inspiration, des puissances exceptionnelles qui traversaient ses précédents livres, mais "un rêve qui chemine" , une réduction du poème à son seul espace possible dans un monde qui se referme. Réduction à l'essentiel d'une parole rare dont Gabriela Mistral, danseuse qui danse "la danse de la perte" , préserve et transporte la lumière pour transmettre son dernier message terrestre avant la nuit.

09/2023

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Environnement

La Forêt est l'avenir de l'homme. Une écopsychologie forestière pour repenser la société et notre lien avec le vivant

Une approche innovante et interdisciplinaire de la forêt, qui mêle écopsychologie, contemplation immersive et questions sociétales, économiques et politiques brûlantes. Au-delà de la gestion forestière, l'auteur repense notre lien à la nature, à nous-mêmes, et offre des perspectives pour un futur commun plus juste. Un référentiel pour le citoyen et la société civile. Voici plus de trente ans que le photographe et écrivain-conférencier Bernard Boisson arpente et étudie les forêts, et qu'il appelle à les sauver en changeant de modèle. Notre relation à la forêt est un cas d'école pour repenser le futur de notre société, en lien avec la nature. Car de la maturation sensible des rapports humains/nature dépendra notre avenir sur cette planète. En effet, le mal-être d'un grand nombre ne relève plus seulement d'un itinéraire de vie personnel, mais d'un dérèglement global du rapport société/nature, individu/collectif. L'opinion publique ne comprend plus la contradiction schizophrénique entre, d'un côté, une presse ayant porté au pinacle la sylvothérapie, l'écologie forestière et l'intelligence des arbres, et de l'autre une intensification des coupes rases, un machinisme sylvicole effrayant, une gestion utilitariste, voire financiarisée, des forêts, etc. Cet ouvrage analyse nos contradictions et formule des propositions antidotes. Choisissant une approche innovante, cet ouvrage se veut un référentiel sur toutes ces questions à l'intention des individus, des acteurs locaux et nationaux. Il peut permettre de faire avancer la question de la fonction sociale de la forêt et la rencontre des pouvoirs publics et de la société civile sur les enjeux forestiers. Car l'ignorance de notre société se heurte à l'ignorance des élus avec, au mieux entre les deux, des professionnels en porte-à-faux, embarrassés autant que résignés par rapport aux intérêts aveugles qui les recouvrent. Au-delà des experts, nous manquons de " penseurs " capables de synthétiser et fédérer par leurs propositions tous les enjeux (sociaux, économiques, politiques, écologiques...) qui entourent la question forestière. Bernard Boisson explore ainsi de manière pédagogique l'écopsychologie et toutes les approches émergentes comme les sylvothérapies, les écothérapies, la permaforêt, la forêt nourricière, l'agroforesterie, les expériences de déconditionnement psychologique dans des forêts quasi-primitives, le rapport modifié au Temps... L'écopsychologie y est pensée comme un champ interdisciplinaire de conscience, modèle qu'il faudrait développer dans les sciences humaines et dans notre approche des questions sociétales. Par exemple, l'auteur montre comment une approche de type écopsychologie peut être assimilée par le monde professionnel. Partir de l'immersion sensible dans les forêts primitives pour repenser la gestion forestière constitue une expérience initiatique et une référence inspiratrice pour surmonter notre coupure avec la nature, et envisager différemment le devenir de notre société, de notre économie, de notre modèle politique. Cet ouvrage interpelle nos consciences et nos intelligences, à une fin d'époque de plus en plus critique et cruciale, à bout de souffle.

10/2021

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Photographie

Nos feux nous appartiennent

Nos feux nous appartiennent réunit différentes séries qui se font écho depuis 2006. Ce montage explore le thème du clan, et dans son prolongement, l'idée d'appartenance, par les récits qui le façonnent, les imaginaires lointains auxquels les légendes familiales nous renvoient.Que signifie alors sortir du clan — dans le même mouvement se réconcilier, afin d'approcher un troisième lieu ? Le clan, mot d'origine gaélique, évoque la famille. Il est également en relation avec la plante, et nous parle ainsi de rameau, de racine, de ramifications, fragments qui reviennent de manière obsessionnelle. Je viens d'une famille de jardiniers, paysagistes, pépiniéristes, horticulteurs, fleuristes. Depuis cinq générations, les hommes de ce clan organisent l'espace, cherchent à le maintenir, à le discipliner. Ils taillent les arbres, charrient les déchets, les brûlent, surveillent les feux, transportent les racines à l'arrière des remorques, ratissent les feuilles de cours pleines de graviers, plantent des haies vives, livrent des fleurs, habillent les enterrements, les baptêmes, les anniversaires, les mariages, participent à tous les rituels qui donnent forme à une vie. L'odeur de l'eau des fleurs est une chose qui saisit la famille. un parfum qui nous sidère. c'est un écho de fleurs fanées, de mousses vertes, de tiges coupées au sécateur, de sève entière qui se répand. Le feu, pivot de cette construction — élément catalyseur à forte charge symbolique, doit être entendu ici comme figure de ralliement. Les paysages d'Arménie sont de grands déserts calcinés de chaleur. des points de vue militaires dépeuplés de l'événement guerrier. des lieux de tirs et de guet. des endroits d'où l'on fait feu. il y a le visage de mon frère recouvert de suie. La main d'un vigneron blessée, carbonisée par le frottement de la matière sur sa peau, réceptacle du dehors; le déroulement d'un brasier de sa naissance à son extinction, les serres familiales envahies par une végétation luxuriante originaire de l'hémisphère sud, sèche, brûlée sur des hectares évoquant la fuite des boat people depuis le Vietnam. Quelque chose nous happe — une fulgurance jaillit sur nos visages, une ombre recouvre nos peaux. La chaleur nous retient au bord du cercle. Le feu nous enveloppe de son odeur âcre, forte, charnelle, définitive. Le brasier est un aimant, lumineux, brillant, aux facettes qui se tordent dans le brouillard autour. on se tient en silence, hypnotisés par la hauteur des flammes. au- delà des joies, des drames, du temps qui passe, des récits antiques, des mots qui s'arrachent eux-mêmes à la vie. tout se déroule dans l'immédiateté de l'élément. Nous savons qu'il n'est plus nécessaire d'appeler, de vouloir habiter l'absence de paroles, de crier dans l'obscurité. Nous imaginons la beauté de ce qui est indicible, l'étrangeté de l'innommable, les espaces ouverts de ce qui est impensable, les lointains tragiques de ce qui échappe, fuit, circulent à travers nous.

11/2016

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Pléiades

Oeuvres complètes. Edition bilingue français-latin

Si, comme le résume Valéry, la poésie consiste à obtenir du langage plus de sens et plus de beauté, l'oeuvre de Virgile s'offre pour illustrer magnifiquement cette double exigence. Mais si une Muse plus inspirée demande encore davantage au poète - un langage qui transporte ou, selon l'image de Baudelaire, une lumière qui brille et qui guide -, alors la voix de Virgile, faisant écho à celle d'Homère, annonçant Dante et Hugo, fait entendre les accents du "Prophète de Rome" sur une musique incomparable, et c'est de cet immense poète que Claudel a pu dire qu'il était "le plus grand génie que la terre ait jamais porté". L'oeuvre canonique de Virgile, comme on sait, se compose de trois titres : "Cecini pascua, rura, duces", dit l'épitaphe attribuée au poète. "J'ai chanté les pâturages, les campagnes, les héros." Le premier terme renvoie aux Bucoliques, le deuxième aux Géorgiques, le troisième à l'Enéide. Cette formule condense un édifice sans autre exemple dans la littérature antique. Socrate insistait sur le fait que chaque poète n'est bon que dans un genre, et cette loi communément admise, avec quelques nuances, s'applique aussi aux Latins, sauf à Virgile. Chacun de ces poèmes, en effet, est le joyau d'un genre spécifique qui s'inscrit dans une aire indépendante. Virgile ne s'est pas contenté d'étinceler dans le domaine de la poésie bucolique, il a voulu régner sur la poésie didactique, puis sur l'épopée. Ces réalisations révèlent la volonté extrêmement audacieuse d'occuper le plus d'espace possible dans le champ poétique que la tradition avait ouvert avant lui, comme s'il démentait pour lui-même un principe qu'il énonce dans les Bucoliques, "non omnia possumus omnes" : "bons à tout, nous ne le sommes pas tous". Chaque oeuvre est autonome, et pourtant le poète multiplie les liens qui les attachent entre elles, obtenant que cette extraordinaire diversité forme néanmoins un ensemble incontestable. Quant au jugement de qualité, même si l'Enéide, par son ampleur, occupe une position dominante, elle n'est pas un plus grand chef-d'oeuvre que les Géorgiques ; et les Bucoliques, étant parfaites, ne peuvent, en un sens, être dépassées. Sur l'enluminure de Simone Martini où l'on voit Virgile dans la pose du berger Tityre, trois arbres d'égale dimension figurent cette profonde équivalence. Cette édition propose le texte latin et une traduction, nouvelle pour les Bucoliques et pour l'Enéide, révisée pour les Géorgiques, de ces trois grandes oeuvres. S'y ajoutent des pièces dites "attribuées" : virgiliennes à défaut d'être de Virgile, elles appartiennent à ce que l'on appelle l'Appendix vergiliana. Il importe peu, au fond, que la descente aux enfers de l'héroïque Moustique dans la petite épopée qui porte son nom (en latin, Culex) annonce ou pastiche le célébrissime livre VI de l'Enéide. On ne prête qu'aux riches, et la constitution, sans doute dans

06/2015

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Moyen-Orient

Oman

Désert de dunes, mer turquoise, forts, ruines d'anciennes cités sur la route de l'encens, oasis et Wadi (la merveille naturelle du pays, des oasis nichés dans des canyons profonds) ... Oman est un pays attachant et éblouissant. De Mascate à Sour, de Sour à Salalah, du littoral vers les massifs montagneux du Hajjar, sans oublier la péninsule de Musandam face au détroit d'Ormuz, c'est une découverte exhaustive du pays que nous proposons. Ce tout nouveau guide a été écrit par Cyril Piaia, Français établi depuis plus de 11 ans en Oman et qui est un passionné de son pays d'adoption qu'il connait comme sa poche et Hervé Kerros, auteur de plusieurs guides Evasion, grand voyageur et grand randonneur. Vous y trouverez toutes les infos détaillées pour organiser votre circuit, vos randonnées vos activités et découvrir le pays dans toute son authenticité. - Les meilleurs circuits de 1 à 2 semaines pour découvrir tous les sites incontournables. - Toutes les infos pour organiser au mieux votre séjour : location de voiture avec chauffeur, budget, étapes, hébergement, activités ... - Hôtels haut de gamme ou hébergement en tentes, restaurants, les souqs les plus authentiques : nos meilleures adresses pour séjourner et pour goûter les spécialités locales... - Les balades secrètes, coups de coeur et randonnées pour découvrir les paysages les plus spectaculaires d'Oman (désert des Wahiba, grand canyon du Jebel Sham) ou pour s'immerger dans la culture locale : bivouac dans le désert, observation de la ponte des tortues, tout savoir sur l'arbre à encens - la richesse séculaire du pays -, assister à une représentation à l'opéra de Mascate, le seul opéra de la péninsule arabique ... - Et bien sûr, toutes les activités pour profiter de votre voyage : les meilleurs spots pour observer la faune ou faire de la plongée, les prestataires pour découvrir le pays en toute sérénité, les randonnées à ne pas manquer que vous soyez marcheur occasionnel ou aguerri. - Les enfants adoreront : les baignades dans les spectaculaires wadis, les camps dans le désert, le shopping dans les souqs. Un guide pratique, illustré, complet avec des cartes détaillées. Préparez votre voyage en Oman sur www. guide-evasion. fr

12/2022

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Référence

Henry Moore - Reclining Figure: Arch Leg 1969-70. Photographié par/Photographed by Laura Benedetti Klein

Laura Benedetti Klein a découvert 'Reclining Figure : Arch Leg (LH610)' sur le chemin qui la menait à son travail. Elle traversait la Promenade de l'Observatoire à Genève, pour échapper au trafic et chercher l'ombre bienfaisante d'un hêtre pourpre centenaire. Elle aperçut ensuite cette sculpture monumentale d'Henry Moore près de l'arbre. Le feuillage se reflétait sur le bronze luisant. A cette période, en 2003, elle avait acheté un appareil moyen format analogique pour apprendre à photographier de manière lente et précise. La sculpture lui a semblé être le sujet idéal ... car elle ne bougeait pas ! elle n'avait ainsi aucune pression à trouver "l'instant décisif" si cher à Henri Cartier-Bresson. Elle se sentait inspirée par la méthode dite "Straight Photography" , celle de la photographie pure, une technique appréciée des photographes américains Alfred Stieglitz et Edward Weston. La photographie pure exige une composition rigoureuse qui transcrit la réalité. Toute modification ou intervention sur le négatif est évitée. Elle a photographié cette sculpture monumentale de 2005 à 2013, en tournant autour d'elle, encore et encore, de manière presque obsessionnelle, capturant et mémorisant ses formes sous toutes les lumières du jour, en toutes saisons et durant certaines nuits. Elle possédait une trentaine de bonnes photographies quand elle a décidé de les montrer à Luca Notari, éditeur qui lui a suggéré de les montrer au galeriste et éditeur Patrick Cramer, qui a une galerie contemporaine à Genève et une collection unique de gravures de Henry Moore, parmi d'autres très grands artistes d'art moderne, telle que Miro, Picasso et Chagall. Dans les années septante, son père, Gérald Cramer, avait été l'intermédiaire de la vente de 'Reclining Figure : Arch Leg' au Musée d'art et d'histoire à Genève. Le collectionneur a regardé attentivement les photos et lui dit franchement que le livre, ainsi, serait un peu "plat" . Il lui a par contre suggéré de photographier toutes les éditions de la sculpture, s'agissant d'un multiple. Textes en français + traductions anglaises et autres, selon le pays où chaque multiple de la statue a été photographié.

06/2022

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Phytothérapie

Des plantes contre les infections : sinus, bronches, voies urinaires, peau, etc. Se soigner sans recours systématique aux antibiotiques

Les antibiotiques ont été très utiles, et le sont encore, pour le traitement de grandes maladies comme la tuberculose, la diphtérie et de nombreuses autres infections bactériennes. Mais, ils ont aussi été prescrits pour lutter contre des pathologies banales ou même des infections d'origine virale. Les bactéries ont dès lors développé des résistances et les antibiotiques n'arrivent plus guère à les détruire : le spectre d'une bactérie super-résistante crée de l'inquiétude ! Quelques plantes médicinales arrivent à vaincre diverses infections, mais ne peuvent pas se substituer aux antibiotiques pour le traitement de pathologies graves comme par exemple la pneumonie bactérienne. Parmi les infections respiratoires qui représentent environ 65% de l'ensemble des infections, il faut citer la bronchite qui est surtout d'origine virale. Les antibiotiques souvent administrés ne servent à rien alors qu'il existe des médicaments à base de plantes efficaces. C'est le cas des extraits du géranium du Cap, dont l'action antivirale est établie. Des médicaments à base de diverses associations de plantes, comme par exemple thym et lierre ou primevère et lierre peuvent aussi venir à bout des bronchites ou sinusites. Contre les infections urinaires (19% de l'ensemble des infections), le recours aux antibiotiques est la thérapie de choix. Mais ce sont souvent les bactéries responsables de ces infections qui développent des résistances. Un extrait de fleurs de capucine et de racines de raifort ne provoque pas de résistance et peut dans certains cas se substituer à un antibiotique classique. Le jus de canneberge (cranberry) et le mannose (un sucre naturel non assimilable) peuvent prévenir ou traiter les cystites. Pour les autres infections, on peut aussi faire appel aux plantes médicinales. A titre d'exemples, on peut citer l'huile essentielle de l'arbre à thé contre les infections gynécologiques et dermatologiques. Beaucoup d'autres plantes seront encore citées avec la manière de les employer, les doses à utiliser et les effets secondaires ou interactions médicamenteuses possibles. Les plantes médicinales ne remplacent pas les antibiotiques, mais leur utilisation judicieuse peut contribuer à baisser leur surconsommation

04/2021

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Histoire internationale

L'homme de cèdre. Les trois vies de Samir Geagea

Le cèdre est un arbre connu pour fournir un bois ligneux, rigide, et peu sensible aux intempéries. C'est aussi le symbole national du Liban. Libanais, Samir Geagea l'est par la naissance, par la tête et par les tripes. Jeune combattant, puis chef de guerre redouté pendant la guerre civile qui a ravagé le Liban de 1975 à 1982, il défend alors avec âpreté, à la tête des Forces Libanaises, le "réduit chrétien" menacé de liquidation et s'oppose à toute forme de vassalisation de son pays, que ce soit par la Syrie, les Palestiniens ou les Israéliens. Accusé de plusieurs meurtres à la fin des hostilités, menacé, vilipendé, il refuse de fuir son pays malgré les mises en garde. Arrêté et condamné à mort par un tribunal à la solde de l'occupant syrien pour ces crimes qu'il n'a pas commis, il croupit onze ans dans une geôle de 6m2 au troisième sous-sol du ministère de l'intérieur à Beyrouth. Onze années passées à lire, à réfléchir, à prier et à effectuer un travail en profondeur sur lui-même. C'est un homme métamorphosé qui sort de prison en 2004 : le guerrier s'est transformé en homme politique, le chef de bande à la réputation sulfureuse en intellectuel. Seul rescapé de la vague d'assassinats qui a emporté en trente ans tous les partisans de la souveraineté libanaise, de Bachir Gemayel à Rafiq Hariri, il incarne mieux que quiconque l'idée d'indépendance nationale, car c'est un principe sur lequel il est aujourd'hui le seul, parmi les responsables politiques libanais, à n'avoir jamais transigé. Depuis son nid d'aigle du Mont Liban où il vit reclus par crainte - encore ! Des tentatives d'assassinat, Samir Geagea prêche désormais l'unité et le dialogue entre les communautés dans le cadre de l'"Alliance du 14 mars". C'est néanmoins avec angoisse qu'il voit la guerre civile en Syrie ranimer les haines confessionnelles qui ont failli, une fois déjà, aboutir au suicide de la nation libanaise. Le guerrier, le réprouvé, le sage : Samir Geagea aura vécu trois vies - en attendant peut-être, enfin ! Une quatrième : celle d'homme d'Etat ?

10/2014

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Développement durable-Ecologie

Aux origines de l'environnement

Le Petit Prince nous avait prévenus : « On ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour nos yeux. » Dans son acception la plus large, l’environnement représente en effet tout ce qui nous entoure. Les éléments et les paysages, les animaux, les micro-organismes et nos alter ego. Tous devenus invisibles à force d’être là ; invisibles, et pourtant essentiels à notre existence.Depuis un siècle, la perception individuelle et collective de notre environnement est passée d’une approche locale à une vision planétaire, confirmée par les clichés de la Terre que nous envoient les satellites. Ainsi l’environnement est-il aujourd’hui perçu à la fois comme un droit (mais aussi un devoir vis-à-vis des générations futures), un territoire à ménager, voire à restaurer, un capital-nature à faire fructifier sans le ruiner.Voilà pourquoi il faut sans doute parler non pas de l’environnement mais des environnements. C’est l’approche de ce livre, qui se penche par exemple sur les interactions qui existent entre les gènes et leurs multiples niveaux d’environnement, entre les différentes espèces qui constituent la microfaune du sol ou encore entre les virus, les bactéries et les hommes. Sont sollicités ici non seulement des systématiciens – pour débusquer l’arbre dans la forêt du vivant –, mais aussi des écologues, des biologistes évolutionnistes et des anthropologues, des philosophes et des géochimistes, des généticiens et des économistes, qui, tous, aident à comprendre la trame complexe de ce « tissu planétaire ».Un environnement dont l’être humain n’est évidemment pas absent. La sédentarisation d’Homo sapiens, sa croissance démographique et son incroyable expansion ont, pour partie, contribué à fragiliser ce tissu qui l’entoure. Or « ce n’est pas l’homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil », rappelait Sitting Bull dans sa Lettre au président des États-Unis en 1886, ajoutant : « Tout ce qu’il fait à la trame, il le fait à lui-même. » Dans la lignée des précédents ouvrages de la collection, Aux origines de l’environnement a pour ambition de relier, voire de renouer, un à un, tous ces fils.

09/2010

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Cinéma

Espace négatif

««Dieu merci, je suis athée», aimait à dire Bunuel dans l'une de ces boutades malicieuses dont il avait le secret, qui sert de titre à un tableau de Manny Farber en 1981. Peut-être faut-il nous en souvenir à notre tour pour pouvoir suivre ce dernier (aussi original comme peintre que comme critique), ainsi que sa compagne Patricia Patterson (elle a coécrit une partie de ce livre), sur la voie inattendue de la mobilisation aventureuse du cinéma et de ses auteurs, qui l'a mené de la découverte, dans les années cinquante, des «films souterrains» de Hawks, Fuller ou Siegel, alors méprisés par l'ensemble de la critique américaine, à la défense pas toujours évidente là-bas, dans les années soixante-dix, de ceux de Godard, Fassbinder ou Chantal Akerman. Mais peut-être faut-il surtout, plutôt que de rappeler une fois de plus ses combats longtemps solitaires en faveur des séries B et de leur style bas de casse (à l'encontre des prétentions arty d'un certain cinéma hollywoodien et européen), revenir aujourd'hui avec lui à ce qui, ici et là, n'a toujours pas été enseveli sous les oripeaux du Grand Art. En substituant ainsi à la transcendance «éléphant blanc» de l'auteur l'immanence «termite» de la politique, à la fixation sur le nom propre de l'un la ligne de fuite anonyme de l'autre, à l'avenir majoritaire du tout-à-l'auteur le devenir minoritaire des films eux-mêmes, aux filiations internes du cinéma les alliances externes avec le réel, aux héritages critiques de la cinéphilie les contagions cliniques des alliages artistiques, et aux invariants religieusement entretenus de la politique des auteurs les variations chaotiques de ses ritournelles funky, Manny Farber, le critique termite, a su faire flèche de tout bois pour s'en prendre au bois même de l'arbre de la cinéphilie, à ses racines les plus profondes autant qu'à ses branches les plus apparentes. Plus encore qu'un terrier, on l'aura deviné, la galerie termite est un rhizome en creux, en négatif, qui prolifère tel un bienheureux chiendent à l'orée, dans les interstices et sous la surface du bâti cinématographique.» Patrice Rollet.

03/2004

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Poésie

Fin du monde

Aragon publie en 1922 dans la revue Littérature sa traduction du poème le plus célèbre de Hoddis, Fin du monde. Poème prophétique dont la parution a consacré son auteur de 22 ans comme chef de file de la poésie berlinoise. André Breton salue lui aussi le jeune écrivain : "Nous sommes ici à l'extrême pointe de la poésie allemande, la voix de Van Hoddis nous parvient de la plus haute et la plus fine branche de l'arbre foudroyé". En quelques textes parus entre 1910 et 1914, Jakob van Hoddis (pseudonyme de Hans Davidsohn) est devenu le symbole de l'expressionnisme, aux côtés de ses amis Georg Heym, Hugo Bail et Alfred Lichtenstein. Mouvement essentiel, sans lequel le dadaïsme et le surréalisme seraient incompréhensibles. Il faut revenir au Berlin du Nouveau Club, du Cabaret Néopathétique, des revues Der Sturm et Die Aktion et au geste novateur que représenta, dans un Reich militariste et matérialiste, la publication des textes de Hoddis avant la catastrophe. Hoddis ne tombera pas sur les champs de bataille. Mais la maladie mentale le gardera prisonnier pendant près de trente ans. Comme Hôlderlin chez le menuisier Zimmer, Hoddis partagera à Tübingen la vie de l'aubergiste Julius Dieterle. Diagnostiqué schizophrène en 1927, il ne quittera plus les institutions psychiatriques. En janvier 1933, Hitler accède à la chancellerie. Contrainte par sa situation matérielle, la mère du poète part pour la Palestine et le confie à un établissement de soins israélite, près de Coblence. En juillet 1939, Hitler décide d'incorporer les malades mentaux adultes au programme d'élimination déjà mis en oeuvre pour les enfants handicapés. Près de 250 000 malades mentaux et handicapés seront assassinés. Le 30 avril 1942, l'ensemble des malades et personnels de l'hôpital de Bendorf-Sayn sont déportés et gazés, semble-t-il, au camp de Sobibor. Ainsi Hoddis aura vu le désastre s'accomplir jusqu'au bout : l'hécatombe de la Grande Guerre, la déportation de masse des juifs, la persécution de "l'art dégénéré", l'extermination des êtres "qui ne valent pas de vivre". Quatre fois coupable : poète, pacifiste, juif, schizophrène.

09/2013

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Littérature française

La marchande de simples

Ce roman, terminé le 2 novembre 2018, s'appuie sur un contexte historique réel de l'histoire de la Martinique parfaitement bien décrit et maîtrisé par Monsieur Armand Nicolas, professeur d'histoire. A cet égard, je dois lui rendre un hommage parce que son ouvrage m'a été très utile tout au long de mon roman du point de vue de certains faits et repères historiques. Aussi, dois-je lui adresser mes vifs remerciements, pleins de gratitude. Je dois avouer avoir consacré six ans à l'élaboration de ce roman qui est avant tout un roman d'amour. Mais, c'est également un témoignage de mémoire " longtemps avant l'antan " que je souhaite laisser à mes enfants et petits-enfants. En effet, l'héroïne principale n'est autre que la femme qui a fondé la filiation des Jeanne-Rose, nom mystérieusement matronymique ; un mystère que j'ai pu élucider en élaborant notre arbre généalogique, avec l'aide de mon père et de mon petit frère. Et c'est ainsi que l'idée d'écrire l'histoire de la Dame Jeanne-Rose est née. Au-delà du côté familial, l'objectif de ce livre est de faire découvrir comment une esclave affranchie, mère de cinq enfants, sans famille et sans amis, va réussir à nourrir sa " marmaille ", à se faire respecter dans une société raciste, ségrégationniste... Une société coloniale machiste où la condition de la femme était bafouée, niée et méprisée. Trouver sa place dans un monde esclavagiste que rien ne semble pouvoir atteindre, n'est pas chose aisée. Et pourtant, elle y arrive grâce à sa pugnacité, sa détermination et sa résilience... Elle croit que son travail de tisanière, de guérisseuse peut lui servir de laisser-passer dans le monde opulent des colons blancs. Autour d'elle, une galerie de personnages, à la fois romanesques et authentiques, se montrent représentatifs de la société coloniale martiniquaise en proie à la cruelle division (un peu systématique) des abolitionnistes et des esclavagistes. Pour autant, n'est-ce pas en dépassant ce genre de dichotomie que l'on arrive à faire son chemin ?

04/2019

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Romance sexy

Bellevue Bullies Tome 3 : Hors de contrôle

Les choses sont hors de contrôle pour les garçons Sinclair ! Avec deux d'entre eux déjà dans la NHL, Jace Sinclair est prêt à suivre les patins ENORMES de ses frères dans le dernier roman des Bellevue Bullies... Ici, Jace Sinclair, et je suis incroyable. Il n'y a pas d'autre façon de me décrire. Je suis le meilleur buteur des Bellevue Bullies, je suis le capitaine, et les gens m'aiment : ma famille, mes coéquipiers, mon entraîneur et la NHL. C'est ma dernière année à l'université et j'ai déjà un pied dans la sélection. Le hockey me tient chaud même quand il gèle. Il est toujours là quand il n'y a rien d'autre. Et il me pousse à donner le meilleur de moi-même. C'est mon seul et unique amour. Jusqu'à ce que je la voie contre un arbre avec une guitare. Avery. La dernière chose que je voulais était de rencontrer quelqu'un. Mon coeur est sur le banc à cause de ce qui s'est passé avec mes parents, et je ne veux pas de ça pour moi. Je ne veux pas être blessé par qui que ce soit. Je ne peux pas leur donner ce pouvoir. Mais mon coeur la veut, et je ne peux pas le contrôler autour d'elle. J'ai toujours été en retrait. Personne n'a jamais eu de temps pour moi et c'est ainsi, j'ai appris à faire face. Je viens d'une famille où le hockey est la vie, la dernière chose que je veux, c'est qu'un joueur de hockey costaud me remarque. Je n'ai pas le temps pour ça, mais Jace Sinclair n'est pas du genre à se laisser faire. Je ne voulais pas rencontrer quelqu'un. Je ne voulais pas d'une relation. J'ai des démons. J'ai des problèmes. Vivant dans l'ombre, personne ne l'a jamais su jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Mais Jace veut savoir. Il me veut. Et ça m'effraie au plus haut point.

03/2023

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Histoire littéraire

La fabrique des Rougon-Macquart. Volume VIII, 1 ; L'Argent ; Le Docteur Pascal. Volume VIII, 2 ; La débâcle

Ce volume présente les dossiers de L'Argent (1891) et du Docteur Pascal (1893), celui de La Débâcle (1892), le plus long de la fresque (1244), constituera à lui seul, le dernier volume de La Fabrique des Rougon-Macquart. Zola n'avait pas prévu d'écrire un roman sur la Bourse, monde qui lui était inconnu. Mais l'énorme scandale de la faillite de l'Union générale, qui ruina des milliers de petits et de gros épargnants, le poussa à écrire une oeuvre centrée sur l'homme d'affaires Saccard. Celui-ci crée, avec l'appui des milieux catholiques, une banque, l'Union générale, lutte contre la banque juive de Gundermann, s'emploie, aidé par l'ingénieur Hamelin, à mettre en valeur le Proche-Orient, mais fait une retentissante faillite, qui le conduit à l'exil. La question de l'argent, force de mal et de bien, "levier qui soulève le monde. Il n'y a que l'amour et l'argent" (Ebauche), amène Zola à poser la question juive et à s'intéresser au socialisme. Le Docteur Pascal, vaste résumé et commentaire de la fresque, la clôt sur le plan familial et scientifique. Double et porte-parole de son créateur, le docteur Pascal, biologiste réputé, a passé sa vie à étudier sa famille et son hérédité. Il en a dressé l'arbre généalogique. Sa méthode est celle du romancier : "Tout dire, pour tout connaître et tout guérir." L'oeuvre est aussi le récit des amours du docteur vieillissant avec sa jeune nièce, Clotilde, hymne de l'auteur à son amante Jeanne Rozerot : "A ma bien-aimée Jeanne, à ma Clotilde, qui m'a donné le royal festin de sa jeunesse et qui m'a rendu mes trente ans, en me faisant le cadeau de ma Denise et de mon Jacques, mes chers enfants pour qui j'ai écrit ce livre", etc. Le savant meurt, mais la vie triomphe : Clotilde donne naissance à un garçon ; le récit se termine sur une vision d'espoir, l'image de la jeune femme allaitant son fils, nouveau messie.

11/2022

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Développement personnel

Marcher et renaître. Expériences de marcheurs, sur des milliers de kilomètres, en référence de leur corps confronté au Vivant

Marcher... sur des milliers de kilomètres, mais pour quelle nécessité/quel mystère, sinon de trouver une solution au "souci de soi", ou comment être vivant en ses chairs ? Rude problème. L'homme n'est-il pas d'abord un mort ? Et pour disparaître avec le sourire il lui faudrait conquérir son être-pas : un sujet a créer entre zoologie et politique. C'est ce que peut gagner un pérégrinant au long cours à travers plaines/forêts, villages/fleuves et montagnes ; il y abandonne ses illusions moïques pour joindre la terre qu'il imprime de son pas en reconnaissance de Nature, Ils oit gît le Vivant. Il devient humble ; il prend respect aussi bien de l'arbre que de l'insecte, car il apprend de ses noms. Marcher est devenir vinant ! S'autoconquérir d'un corps alter ; il suffit de l'écouter, d'en comprendre la parole : comment il parle/comment il pense ? Il dit tout le corps marchant en solitude, jusqu'à l'incroyable ! Exemple, MR, une femme : "Mon corps est un temple." Il suffit de lui prêter attention, de voir le dehors en contrepoint. Tout y est déjà écrit, reste à le lire. — "Cette terre qui naissait, c'était moi. Une égalité parfaire." Le marcheur assiste à l'effondrement de son individualité logocentriste, "introduisant l'autre dans le je", qu'il accepte ou refuse ! GL : " Si on a besoin d'aide, on demande. Tout est cadeau ! Ca permet d'entrer en la joie. " Marcher est se sauver ! Jetant à la poubelle ses vieilles peaux : propriété/ pouvoir/violence, afin de joindre le Vivant écologue. Un vertige pour la raison, soit de faire je, lequel n'est pas moi ! Distancié á jamais de son verbe. Et pour la logique ? A la limite d'une incompréhension, le marcheur y affrontant une kinesthésie pour qu'il puisse faire forme psychophysique : une forme parmi d'autres formes au sein du Vivant. Je est le secret de la marche, d'en réussir entre réel (fundamén) et réalité (reproesentaneus) l'équation non métaphysique mais matérielle d'être une corporéité en loi devant elle-même.

06/2019

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Histoire des religions

Dieu & Fils. Archéologie d'une croyance

Peu importe qu'on soit croyant ou non : si on se prénomme Jean-Pierre ou Sarah, qu'on a congé à Pâques, qu'on passe parfois par Saint-Sulpice ou Sainte-Geneviève ou qu'on a une croix sur son passeport, on baigne dans la tradition judéo-chrétienne. Ramifiées en de multiples courants, les religions juive, chrétienne et musulmane marquent les débats de société : créationnisme, contraception, avortement, euthanasie, homosexualité, blasphème, pudeur, voile, antisémitisme, islamophobie... Elles dessinent aussi la géopolitique, du sionisme aux Talibans en passant par le djihad ou l'emprise des mouvements chrétiens aux Etats-Unis. Ainsi les croyances de quelques tribus du Proche-Orient antique, régénérées au Ier siècle de notre ère puis diffusées dans l'empire romain, renouvelées au VIIe siècle en Arabie, exercent au XXIe siècle encore une très forte influence sur le quotidien et la marche du monde. Comment ces croyances sont-elles nées, comment se sont-elles répandues ? Pourquoi, parmi tant de divinités vénérées sur la planète, les cultes conjugués d'un modeste dieu local nommé Yahvé puis d'un Israélite crucifié se sont-ils peu à peu imposés en Occident ? Le catalogue Dieu & Fils aborde ces questions en remontant aux sources. En partenariat avec le Musée Bible+Orient de l'Université de Fribourg et grâce aux prêts de nombreux autres musées, elle réunit quantité de témoins archéologiques, datés entre 1200 avant notre ère et 800 après. Aborder ce passé n'est pas chose facile, car sa perception est déformée par des siècles de tradition consacrant la parole biblique en vérité. La recherche historique, elle, appréhende la Bible autrement : un recueil antique parmi d'autres, qui compile des mythes et des récits disparates, souvent modifiés, à la gloire de Yahvé et d'Israël puis au service du credo chrétien. Un ensemble de textes à vocation religieuse, par nature très éloignés d'un ouvrage historique. En optant résolument pour un récit aussi objectif que possible, fondé sur l'étude critique des écrits et des vestiges, l'ouvrage retrace une histoire passionnante : celle de croyances auxquelles les circonstances ont donné une immense importance. Que vous ayez la foi ou pas, le fruit de l'arbre de la connaissance n'est plus défendu : venez donc y goûter !

10/2022

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Littérature française

La comédie humaine. Honorine

" Si les Français ont autant de répugnance que les Anglais ont de propension pour les voyages, peut-être les Français et les Anglais ont-ils raison de part et d'autre. On trouve partout quelque chose de meilleur que l'Angleterre, tan- dis qu'il est excessivement difficile de retrouver loin de la France les charmes de la France. Les autres pays offrent d'admirables paysages, ils présentent souvent un comfort supérieur à celui de la France, qui fait les plus lents progrès en ce genre. Ils déploient quelquefois une magnificence, une grandeur, un luxe étourdissants ; ils ne manquent ni de grâce ni de façons nobles, mais la vie de tête, l'activité d'idées, le talent de conversation et cet atticisme si familiers à Paris ; mais cette soudaine entente de ce qu'on pense et de ce qu'on ne dit pas, ce génie du sous-entendu, la moitié de la langue française, ne se rencontrent nulle part. Aussi le Français, dont la raillerie est déjà si peu comprise, se dessèche-t-il bientôt à l'étranger, comme un arbre déplanté. L'émigration est un contre-sens chez la nation française. Beaucoup de Français, de ceux dont il est ici question, avouent avoir revu les douaniers du pays natal avec plaisir, ce qui peut sembler l'hyperbole la plus osée du patriotisme. Ce petit préambule a pour but de rappeler à ceux des Français qui ont voyagé le plaisir excessif qu'ils ont éprouvé quand, parfois, ils ont retrouvé toute la patrie, une oasis dans le salon de quelque diplomate ; plaisir que comprendront difficilement ceux qui n'ont jamais quitté l'asphalte du boulevard des Italiens, et pour qui la ligne des quais, rive gauche, n'est déjà plus Paris. Retrouver Paris ! savez-vous ce que c'est, ô Parisiens ? C'est retrouver, non pas la cuisine du Rocher de Cancale, comme Borel la soigne pour les gourmets qui savent l'apprécier, car elle ne se fait que rue Montorgueil, mais un service qui la rappelle ! C'est retrouver les vins de France qui sont à l'état mythologique hors de France, et rares comme la femme dont il sera question ici ! . . ".

02/2023

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Thèmes photo

Natures

Entre l'homme et la nature se tissent des liens indicibles, mystérieux, puissants. Le paysage, plan large ou plan serré, en présente d'innombrables traces, que la photographie révèle. Elle nous aide à déchiffrer le palimpseste du visible, à déceler dans le fouillis de la forêt de symboles chantée par Baudelaire un sens, une harmonie, une écriture. Le livre se présente comme une succession d'univers (la rivière, le marais, l'arbre, la terre, la mer, la montagne) dont l'exploration sollicite non seulement le regard, mais la mémoire la plus intime de chacun. Les photographies de Jean-Luc Chapin se construisent dans la contemplation des lumières d'hiver, des berges qui s'étirent sous le ciel plombé, des flaques lumineuses dans des crépuscules de suie, des plages de vase où des oiseaux ont laissé leurs empreintes, des marnes incertaines dans les lueurs de fin - ou de début - du monde : l'aube des formes. Elles cherchent les premiers tremblements de la vie, le contact avec la matière. L'anecdote n'y a pas sa place. Dans chaque partie alternent les visions larges et les détails dont sont faits les vastes paysages : végétaux, animaux, traces dans la terre molle, écorces, reflets... La marque du vivant recherchée dans l'inerte, la photographie faisant apparaître les indices de son émergence. La marque nette d'une patte d'oiseau peut être lue comme un idéogramme, de même que les graffiti gravés voici deux siècles dans l'écorce des hêtres, déformés par le temps, dessine sous nos yeux une écriture nouvelle. Les photographies sont en noir et blanc, travaillées en argentique. Les pages s'ouvrent sur le secret de correspondances imprévues. Le livre propose un récit, indique des passages d'une photo à l'autre, d'une page à l'autre, d'un chapitre à l'autre : le langage du monde. Les textes de Jean-Marie Laclavetine accompagnent cette méditation en images, sans les commenter mais en proposant un rythme, une musique, suivant l'itinéraire rêveur jalonné par les photographies - la "voix native" dont parle Muriel Barbery dans sa préface, où elle compare natures aux rouleaux de la Chine ancienne qui illustrent " la profonde solidarité de la nature et des signes".

11/2017