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BD jeunesse

Sylvain et Sylvette Tome 14 : La grande épreuve

Les aventures de Sylvain et Sylvette, c'est tout un monde. D'abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur. Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d'une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l'indépendance et la débrouillardise. Et aujourd'hui, ils mènent une vie paisible à l'abri de leur chaumière. Enfin, "paisible", c'est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l'ours et le sanglier n'ont de cesse d'entrer chez eux afin de dérober leurs provisions... Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l'oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l'âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons... Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l'environnement. Quand il s'arrête de dessiner, il milite au sein d'une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l'expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d'une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme... à l'image du petit monde de Sylvain et Sylvette !

01/2003

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BD jeunesse

Sylvain et Sylvette Tome 36 : La mystérieuse invention

Les aventures de Sylvain et Sylvette, c'est tout un monde. D'abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur. Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d'une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l'indépendance et la débrouillardise. Et aujourd'hui, ils mènent une vie paisible à l'abri de leur chaumière. Enfin, "paisible", c'est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l'ours et le sanglier n'ont de cesse d'entrer chez eux afin de dérober leurs provisions... Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l'oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l'âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons... Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l'environnement. Quand il s'arrête de dessiner, il milite au sein d'une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l'expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d'une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme... à l'image du petit monde de Sylvain et Sylvette !

12/2002

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Littérature étrangère

Terres rares

Biarritz, son rocher, sa plage, ses tamaris, ses surfeurs, tout cela est bien connu, mais Biarritz destination peu regardante à l'heure d'accueillir des nouveaux riches russes, cela l'est moins. C'est dans cette ville, en tout cas, qu'un certain Bazz Oxelotl, écrivain en exil, double d'Axionov, au surmoi hypertrophique et juché parfois sur un âne portugais, commence son récit. Quelques vagues, et voilà que le roman se débride, s'imbrique et se désimbrique comme les célèbres poupées russes. On se trouve entraîné dans un rythme échevelé, du fin fond de l'Afrique avec ses richesses des terres rares jusqu'en Sibérie, et à Moscou évidemment, le Moscou des grandes purges de 1937 mais surtout la capitale de cette nouvelle Russie avec ses " oligarques " séduisants et arrivistes, sans scrupules et tout-puissants, bien qu'en butte au vieil appareil de contrôle. Apparatchiks nouvelle mouture, tenants de l'économie libérale aux dents longues, entrepreneurs audacieux, hommes de main en 4X4, avec lunettes noires et téléphones mobiles, surprenant président africain imprégné de magie et d'idéologie marxisante, amoureux fous, jeune surdoué, tels sont les personnages qui peuplent Terres rares. Au final, une farandole loufoque et jubilatoire, une fable boulgakovienne d'aujourd'hui, quelque chose comme un Hellzapoppin romanesque, peut-être. Et pour le lecteur, un petit tour dans les cuisines de la littérature, où un Vassili Axionov, en permanente et féroce autodérision, convoque, comme pour un adieu prémonitoire, tous les personnages de ses romans précédents. Un bonheur sans réserve donc, à servir aussi glacé qu'une vodka en savourant les zakouskis d'une langue jouissive, inventive et aussi déjantée que tout le reste.

01/2009

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BD jeunesse

Sylvain et Sylvette Tome 17 : Sauve qui peut

Les aventures de Sylvain et Sylvette, c'est tout un monde. D'abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur. Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d'une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l'indépendance et la débrouillardise. Et aujourd'hui, ils mènent une vie paisible à l'abri de leur chaumière. Enfin, "paisible", c'est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l'ours et le sanglier n'ont de cesse d'entrer chez eux afin de dérober leurs provisions... Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l'oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l'âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons... Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l'environnement. Quand il s'arrête de dessiner, il milite au sein d'une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l'expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d'une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme... à l'image du petit monde de Sylvain et Sylvette !

01/2020

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BD jeunesse

Sylvain et Sylvette Tome 38 : En piste les Compères !

Les aventures de Sylvain et Sylvette, c'est tout un monde. D'abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur. Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d'une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l'indépendance et la débrouillardise. Et aujourd'hui, ils mènent une vie paisible à l'abri de leur chaumière. Enfin, "paisible", c'est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l'ours et le sanglier n'ont de cesse d'entrer chez eux afin de dérober leurs provisions... Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l'oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l'âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons... Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l'environnement. Quand il s'arrête de dessiner, il milite au sein d'une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l'expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d'une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme... à l'image du petit monde de Sylvain et Sylvette !

12/2002

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Archéologie

Gallia N° 79-2, 2022

Les textiles dans les tombes gauloises à dépôt de crémation en vase métallique : usages pratiques, mises en scène et perspectives anthropologiques (seconde moitié du vie s. -ve s. av. J. -C.) Elsa Desplanques ... ... ... ... . 1 L'infanticide féminin en question chez les Gaulois du Midi : l'apport des analyses ADN sur les nouveaux-nés enterrés dans les habitats de l'âge du Fer Bernard Dedet, Henri Duday, Philippe Gruat et Mélanie Pruvost ... 27 Aux origines gauloises de Tours (Indre-et-Loire) : état des connaissances Sandrine Linger-Riquier avec la collaboration d'Emilie Trébuchet ... ... ... ... ... . 47 Le camp F de Lautagne à Valence (Drôme) : l'organisation interne et la vie quotidienne d'un camp militaire romain au milieu du ier s. av. J. -C. Magalie Kielb Zaaraoui, Loïc Buffat, Michel Reddé et Yahya Zaaraoui avec la collaboration de Christine Ronco, Jacques Léopold Brochier, Marie Gagnol, Michel Feugère, Anaïs Roumégous, Jérôme Ros, Christophe Vaschalde et Audrey Renaud ... ... ... ... ... . . 85 Le camp légionnaire romain de Mayence/Mogontiacum (Allemagne) : nouveaux résultats sur l'enceinte et la chronologie Daniel Burger-Völlmecke ... ... ... ... ... . . 115 Villa d'époque romaine et habitat médiéval à Mont-Saint-Jean (Sarthe) : bilan des recherches 2008-2020 Florian Sarreste, Paul-André Besombes, Phaedra Bouvet, Chloé Genies, Etienne Jaffrot, Florian Jedrusiak, Thomas Jubeau, Anthony Ledauphin, Annaïg Le Martret, Christophe Loiseau, Hugo Meunier, Aurore Noël, Sandrine Paradis-Grenouillet et Boris Robin ... ... ... ... . . 135 Pierre et carrières dans la Saintonge antique : identification, usages et diffusion Jacques Gaillard et Egle Conforto ... ... ... ... ... ... . . 171 Un ensemble funéraire de l'Antiquité tardive à dépôt atypique d'âne à Woippy (Moselle) Gaël Brkojewitsch et Olivier Putelat avec la collaboration d'Elise Maire, Sandrine Marquié et Amandine Remigy ... ... ... ... ... ... 189

04/2023

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Littérature française

Le grand Nord-Ouest

Fin des années 1930. Lorna del Rio quitte précipitamment les beaux quartiers d'Hollywood avec la petite Jessie et fonce vers le Grand Nord-Ouest du Yukon et de l'Alaska, sur les routes, par mer et jusque sur les anciennes pistes indiennes. Son périple croise les légendes de l'épopée de l'or et des trappeurs d'antan, avec pour seul guide une mystérieuse carte folle et ses munitions de première nécessité : son étole de vison, sa trousse à maquillage, son colt, une fortune volée dans le coffre d'Oswald Campbell, feu l'obèse papa de Jessie ; et surtout une sacoche pleine de vilains secrets. D'où vient-elle, que fuit-elle ? Que cherche l'intrépide pin-up, qui change de nom à tout bout de champ et ment comme elle respire ? L'histoire de cette avale, c'est Jessie qui, quinze ans plus tard, un soir d'avril 1954, la raconte à Bud Cooper, dans la banlieue d'Anchorage. Car qui d'autre que Bud tendrait l'oreille pour comprendre ce qu'a vécu Jessie, l'année de ses six ans, protégée par Kaska, l'Indienne gwich'in, puis réfugiée dans une autre tribu, et enfin exfiltrée par l'homme que le FBI a payé pour "délivrer" la fillette ? Roman de la mémoire et des dernières frontières, des légendes et des mythes amérindiens, Le Grand Nord-Ouest invite également en filigrane entre ses pages, où plane l'ombre de Jack London, toute une galaxie de figures de fiction où l'Alice de Lewis Carroll rencontrerait le Petit Chaperon Rouge, Peau d'Ane ou Ali Baba, mais aussi le Kid de Chaplin et Citizen Kane. Avec ce magistral nouveau roman, Anne-Marie Carat convie une fois de plus le lecteur à un éblouissant voyage.

08/2018

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Littérature française

Les Balesta

Pierrelousse : un gros bourg de Provence, de cette Provence secrète, qui est le domaine de Bosco. Mais un bourg d'il y a cent ans. Les trois classes de la population y vivent en bonne intelligence, chacune cantonnée sur un palier, au flanc de la colline où s'étage Pierrelousse. La famille des Balesta, établie à Pierrelousse depuis plusieurs générations, n'en a pas moins gardé certaines traditions et croyances étranges de ses ancêtres venus de plus rudes pays, de l'autre côté des Alpes. Ce sont là ses "secrets". L'un de ces secrets, dont ils craignent encore, sans oser le dire, la puissance assoupie, c'est le don qui leur a été imparti d'attirer sur ceux qui leur nuisent les coups du sort les plus imprévus et les plus cruels. Les Balesta seront donc, à divers moments de leur histoire, en proie à ce pathétique conflit : le désir naturel de venger une offense, et l'effroi même de ce désir qu'ils redoutent de voir exaucé, car ils sont bons et justes. Mais ils ne peuvent rien contre les ravages du "don". II en résulte des drames auxquels la population du pays, nonchalante, imaginative et sensible à l'extrême, assiste sans les comprendre, et dont elle s'émeut tout entière. Dans cette Pierrelousse ainsi recréée pour notre plaisir et notre émoi, voici que s'inscrivent, après Malicroix, Antonin, L'Ane Culotte et bien d'autres, tant de nouvelles figures de la mythologie dont Bosco nous enchante : l'aïeule Marceline qui incarne la force et le courage, la sage et noble Philomène, Méjemirande, subtil et secret, le docte et prudent chanoine Besance, la vieille servante Chichanque et le cordonnier Trigot, ces humbles comparses qui sont parfois les vrais instruments du destin...

01/1956

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Récits de voyage

Mes barricades mystérieuses. Sur le chemin de Stevenson

"Lorsqu'il entreprit son Voyage avec un âne dans les Cévennes, en septembre 1878, Robert-Louis Stevenson n'avait que vingt-huit ans et il cherchait à fuir le souvenir de Fanny Osbourne. Il est fort douteux que ce périple l'ait aidé de ce point de vue, ou alors d'une façon inattendue, puisqu'il la retrouva dès l'année suivante et l'épousa finalement. Par contre, il garda certainement de son aventure un autre souvenir, déterminant pour sa carrière d'écrivain et ses futures pérégrinations : celui de cette petite ânesse grise et un rien coquine qui l'accompagna courageusement pendant les treize jours d'un voyage qui ne furent pas de tout repos et qui, assurément, changèrent la vie de notre dandy. Quant à moi, je n'ai pas d'ambition littéraire, j'ai un âge nettement plus avancé que Robert-Louis à l'époque, et une besace pleine de souvenirs. J'ai voulu, comme d'autres, suivre les traces de l'écrivain à la faveur d'un changement de vie, désireux de faire le tri dans toutes les réminiscences et tous les fantasmes qui m'occupent, et découvrir de nouvelles pistes. Des milliers de pas pour avancer en chemin, approcher le discernement, dépasser les espoirs portés par chaque jour et entrevoir l'espérance qu'apportera le dernier. Stevenson dédicaça son livre à son ami Sydney Colvin, qui l'avait introduit dans le monde littéraire. Je dédie le mien au personnage d'Alain, présent dans ce récit. Ses réflexions ciselées sur le poids des souvenirs et sur le besoin impératif de se construire en leur tournant le dos pour lutter contre le temps m'ont aidé à apprivoiser les miens. Pour essayer, comme lui, non pas de m'évader mais d'aller plus loin - par moi seul." J.B. Marsaut.

08/2018

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Littérature française (poches)

Miss Harriet. [nouvelles

Miss Harriett, dont le prénom coiffe ce recueil de 1884, est une anglaise sèche, exaltée, amoureuse en secret d'un peintre, héroïne tragique sous la plume de Maupassant, tout comme la mère Sauvage, dont le fils a été envoyé au front, et qui se voit contrainte d'héberger dans sa chaumière quatre soldats prussiens. Après le Second Empire et l'écrasement de la Commune est née une petite bourgeoisie avare, qui limite ses rêves "au gueuleton et au jupon". Maupassant traduit le désespoir né de cette soudaine finitude du monde, où l'ambition se borne à l'espoir d'avancer d'un cran dans la hiérarchie bureaucratique, à l'impatience de l'ouverture d'un testament (L'Héritage), à l'attente du retour d'un parent fortuné (Mon oncle Jules). Un habitué de brasserie, meurtri à jamais par un souvenir d'enfance, vide chaque jour verre sur verre (Garçon, un bock ! ). Les parties de canotage remplacent les expéditions sur les mers lointaines, et l'amour, parfois seulement rêvé, se partage entre mariage et adultère (Regret). Des plaintes semblent monter des berges de la Seine dont une embarcation mystérieuse suit le cours (L'Ane) ; un bout de ficelle, ramassé innocemment dans la boue, mettra en émoi tout un village (La Ficelle). Une âme noire sommeille parfois chez le serviteur le plus fidèle (Denis) tandis qu'un prêtre, ayant porté un enfant au-dessus des fonts baptismaux, se voit saisi d'une étrange émotion (Le Baptême). Et, comme en un monde intermédiaire, les wagons de chemin de fer se muent en chars antiques, où pulsions érotiques et sentiments maternels se confondent (L'Idylle, Le Voyage), dans l'antre utérin d'un tunnel.

06/1978

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Humour

Dictionnaire absurde. Absurdité raisonnée vaut bien raisonnement erroné

Partant de la définition officielle de chaque mot de ce petit dictionnaire, l'auteur en propose une interprétation satirique, poétique, absurde... humoristique. C'est son absurdité raisonnée. Cette vision humoristique se met parfois en concurrence avec les définitions académiques, rabat-joie, bien-pensantes... mais, selon l'auteur, gentiment dépassées. C'est le raisonnement erroné. Après une âpre lutte intellectuelle, une profonde introspection dans son cerveau reptilien, faisant appel à son moi... son surmoi... son ça... il en a conclu, au détriment de sa modestie légendaire, que sa propre vision humoristique valait bien la vision morne des empêcheurs de rire en rond. (elle vaut même peut-être mieux pour le moral des lecteurs) Des preuves s'il en fallait ? Ce dictionnaire absurde en est bourré. Ce dédain injuste du cheval aristocratique envers son cousin de province, l'âne... qui tient sa revanche. La bêtise à Cambrai qui enrichit plus que l'intelligence. Dénonciation de l'incompréhensible mépris envers le Cirque. La célèbre contrepèterie sur l'abbé Dubois. Cette "enfantophobie" égoïste qui fait dégringoler les courbes de natalité. La frustration qui a remplacé le rire en tant que "propre de l'homme" . Nos ancêtres qui ne seraient plus les Gaulois... mais alors qui ? Le H aspiré, stigmatisé, qui aspire à retrouver sa légitime place dans l'alphabet. Création de la méthode du BOUC pour conserver le contrôle de l'Intelligence Artificielle. Les maximes de bon sens populaire de mon ami. Les paradoxes sociétaux insolites. Et cerise sur le gâteau, les questions angoissantes existentielles que se pose chacun d'entre nous. Sauriez-vous répondre à celles-ci ? Un duel au pistolet peut-il être qualifié d'échange épistolaire ? Doit-on appeler les "paparazzis" femmes, les mamarazzis ? Comment faire entrer de l'eau plate dans une bouteille ronde ? Etc. Si vous avez les réponses, vous contribuerez à l'éducation de l'humanité.

09/2021

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Elevages domestiques

Les races d'animaux domestiques en France. Etude générale et inventaire

Les animaux domestiques nous paraissent familiers, et pourtant, on connaît mal l'immense diversité de races que chaque espèce englobe. Cette variété est le fruit de différences géographiques, puis d'un long travail de sélection et de croisements à travers l'histoire, visant à améliorer les aptitudes ou les qualités esthétiques des animaux. Ce livre englobe quasiment toutes les races d'animaux domestiques élevés en France, puisqu'il en retient près de 660, appartenant à une quinzaine d'espèces : bovins, ovins, caprins, Porc, Cheval, Ane, Poule, autres volailles (Oie, Canard, Dindon, Pintade, Caille, Pigeon), Lapin, Cochon d'Inde, Chien, Chat. Chaque espèce est traitée d'un point de vue général, puis une courte monographie décrit ensuite chacune des races de cette espèce présentes en France : les races françaises, quelle que soit leur importance numérique, et les races étrangères, reconnues officiellement ou non, à l'exception en principe de celles dont les effectifs sont confidentiels dans notre pays. Cet inventaire écrit par deux vétérinaires zootechniciens est un ouvrage de référence pour quiconque s'intéresse aux races d'animaux domestiques : non seulement étudiants et chercheurs en zootechnie et ethnozoologie, mais aussi tous les amateurs, amis des animaux de plus en plus nombreux, soucieux de contempler et de faire vivre la biodiversité animale domestique. Bernard DENIS est professeur honoraire de l'Ecole nationale vétérinaire de Nantes, membre de l'Académie d'Agriculture de France, président d'honneur de la société d'Ethnozootechnie. Docteur-vétérinaire, Jean-Pierre VAISSAIRE est ancien assistant de zootechnie à l'Ecole nationale vétérinaire d'Alfort et auteur du Memento de zootechnie (2018). Préface d'Etienne VERRIER, professeur à AgroParisTech, Membre de l'Académie d'Agriculture, président de la Société d'Ethnozootechnie.

11/2021

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Lecture 6-9 ans

Les aventures des détectives Max et Cricri

"- Y a-t-il du travail pour nous aujourd'hui ? S'enquiert-elle alors. - Oui Cricri, je viens d'apprendre la disparition de la vache de Monsieur Mévellec. - Qui est ce Monsieur Mévellec ? Questionne alors notre chatte détective. - Monsieur Mévellec est le fermier du bourg de Trégourez, celui qui a deux grosses vaches et un âne tout gris. La curiosité de Cricri est piquée au vif, elle veut en savoir plus". Max et Cricri, des amis de longue date, sont des détectives privés un peu spéciaux : Max est un chien qui aime porter des casquettes et Cricri, sa coéquipière, est une chatte des forêts norvégiennes dont la queue ressemble à celle d'un écureuil. N'écoutant que leur grand coeur, nos deux amis détectives volent au secours de ceux qui en ont besoin et devront résoudre des enquêtes mystérieuses qui, parfois, frôleront dangereusement le fantastique ! Ce livre raconte huit de leurs incroyables aventures, toutes illustrées en noir et blanc par la talentueuse illustratrice Sophie Lefloch. Après 27 chats ou la vie d'un rescapé (2018) et 27 chats et plus... l'aventure continue (2019) deux récits parus aux Editions Persée et narrant le bonheur de vivre entourée d'adorables félins, Juliette Hurez nous offre cette fois-ci des histoires écrites pour ses enfants. Imaginez-la, chaque soir, allant de chambre en chambre, s'allongeant auprès de l'un d'eux et racontant les aventures de personnages hors du commun ! Elle décide de s'enregistrer et de les immortaliser par écrit. Les aventures des détectives privés Max et Cricri ont ainsi été inventés pour son fils Benjamin alors âgé de sept ans. L'auteure, professeur de lettres retraitée, vit à Trégourez, un petit bourg du Finistère à la naissance des Montagnes Noires.

07/2020

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BD jeunesse

Sylvain et Sylvette Tome 11 : La clé perdue

Les aventures de Sylvain et Sylvette, c'est tout un monde. D'abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur. Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d'une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l'indépendance et la débrouillardise. Et aujourd'hui, ils mènent une vie paisible à l'abri de leur chaumière. Enfin, "paisible", c'est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l'ours et le sanglier n'ont de cesse d'entrer chez eux afin de dérober leurs provisions... Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l'oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l'âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons... Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l'environnement. Quand il s'arrête de dessiner, il milite au sein d'une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l'expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d'une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme. A l'image du petit monde de Sylvain et Sylvette, qu'il continue d'animer sans relâche depuis maintenant quarante-cinq ans...

05/2002

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Guides de France

Le canal de Nantes à Brest. Edition 2006-2007

Au printemps 1995, Ferdinand, petit âne tout chargé de bagages, longeait le canal qui joint le cœur de Nantes à la rade de Brest. Deux semaines de silence au cœur de la Bretagne mystérieuse, dans un paysage miraculeusement préservé, à l'ombre protectrice des chênes séculaires. A votre tour, suivez les traces de Ferdinand, partez marcher sur le : pas de milliers de tâcherons et de mariniers qui ont creusé cette voie d'eau. ou ont peiné sur ses rives. Vous allez marcher ou pédaler 360 km le long d'un ouvrage d'art construit par nos ancêtres dans les années 1820, et chaque lieue du chemin vous fera découvrir les trésors d'ingéniosité imaginés pour qu'un bateau puisse naviguer de Nantes à Brest et de Pontivy à Lorient sur le canal du Blavet... Voici le guide indispensable pour préparer votre randonnée dans les meilleures conditions. Cet ouvrage vous donne tous les renseignements nécessaires à la vie du randonneur à pied ou à bicyclette. Dans un fuseau de 5 kilomètres de part et d'autre du canal, nous avons répertorié les hôtels, campings, chambres d'hôtes, gîtes d'étapes, restaurants, pizzerias, cafés, boulangeries, épiceries, charcuteries, postes, jours de marchés, crêperies, fêtes communales et religieuses, etc... Prix et conditions sont précisés, afin que le randonneur sache exactement où il pose son sac, et qu'il ait le choix de ses hébergements en fonction de ses goûts et de l'épaisseur de sa bourse. Vous trouverez aussi une partie historique sur la construction du canal et une partie explicative sur le fonctionnement hydraulique d'un canal, ainsi que les principaux sites et monuments situés tout au long de la voie d'eau. Les plans sont à l'échelle 1/25.000 (1 cm = 250 m). Ami randonneur, bon voyage sur le Canal de Nantes à Brest !

03/2006

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Critique littéraire

La lumière de la nuit. Les grands mythes dans l'histoire du monde

Les auteurs de l'Antiquité parlent souvent de la lumière étincelante et très rapide qui illumine notre âme quand, dans un éclair de béatitude, nous avons l'impression de toucher du regard les choses divines. C'est précisément cette " lumière de la nuit ", projetée en nous par les grands mythes de l'humanité, qui fait l'objet de ce livre. Les tigres, les griffons, les cerfs, les loups, les taureaux, les poissons, les scorpions qui composent un énigmatique alphabet de symboles dans les ors flamboyants des Scythes ; la lumière étrange du dieu Apollon dont la splendeur excessive recèle toute la profondeur des ténèbres ; les visions initiatiques de L'Ane d'or d'Apulée ; les images grandioses, l'éblouissante obscurité des Epîtres de Paul ; le dieu d'Augustin dans les Confessions, à la fois familier, fulgurant et mystérieux - grâce à l'immense trésor d'images, de métaphores et de figures que nous a légué le monde antique, nous pouvons céder parfois à l'illusion merveilleuse d'entrevoir des vérités secrètes derrière le spectacle illusoire de la réalité. D'autres époques et d'autres civilisations ont également fait resplendir dans l'esprit des hommes la lumière énigmatique du mythe. Du Proche-Orient à l'Asie, de l'Europe à l'Amérique précolombienne, La lumière de la nuit nous immerge dans la richesse prodigieuse des fables et des récits mythiques. D'un œil amoureux Pietro Citati nous en décrit les joyaux et les splendeurs. Il nous conduit vers l'infinie polyvalence des significations du mythe, convaincu que " seuls les livres écrits avec la calligraphie insondable des cieux, seuls les livres dont personne ne peut entièrement percer le secret, continuent à enflammer nos pensées à travers les siècles ".

01/1999

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Apprentissage oral et apprenti

Les musiciens de la ville de Brême

Conçus par Philippe Boisseau, les Oralbums sont des supports efficaces et motivants pour aider l'enfant, tout au long des trois année de maternelle, à développer et à construire son langage oral. Les Oralbums sont des " albums pour apprendre à parler ". Contrairement aux oralisations classiques d'albums qui visent à habituer les enfants aux structures de l'écrit, les Oralbums proposent des " textes de l'oral ", tels que les conteurs en produisent. Plébiscités depuis de nombreuses années, les Oralbums présentent deux volets : côté élèves, ce sont de très grands albums sans texte qui reprennent des contes traditionnels, côté enseignants, ce sont des textes à dire, afin que l'enfant s'approprie les compétences de production orale. Ainsi, trois versions du récit sont proposées, adaptées à chaque niveau (petite, moyenne et grande section). La mise en oeuvre préconise une découverte collective puis individuelle de l'album, grâce notamment aux ressources audio à télécharger qui permettent à chacun de réécouter et de s'approprier l'histoire. Elle favorise les tentatives de restitutions du récit, avec le groupe classe puis individuellement. A terme, chaque enfant est invité à raconter tout seul l'histoire de l'album, ce qui constitue un entraînement efficace au récit oral en autonomie. La collection est conçue pour favoriser progressivement la construction de la syntaxe et l'enrichissement du vocabulaire : à ce titre, une liste des objectifs syntaxiques et le lexique rencontré figurent à la fin de chaque ouvrage. L'album proposé ici est Les musiciens de la ville de Brême, le célèbre conte des frères Grimm : Après avoir fidèlement servi les autres pendant toute leur vie, un âne, un chien, un chat et un coq connaissent le même malheur : leurs maîtres veulent maintenant se débarrasser d'eux. Chacun décide alors de prendre sa vie en main et de quitter son maître. Ils se rencontrent sur la route de Brême et forgent un projet pour devenir musiciens à la ville...

02/2022

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Vie de l'Eglise

Ces incroyables croyants

Dans Le roman inachevé du boeuf de la crèche (Médiaspaul), Jan de Bartaloumè avait demandé au boeuf et à l'âne de jeter un regard sur l'histoire du Christianisme afin d'en mieux connaître les racines et d'en comprendre l'actualité. Ces deux braves bêtes ont soufflé à l'éditeur de ce roman l'idée de remettre l'auteur à la tâche pour qu'il s'attèle à la question qui hante bien des consciences chrétiennes : "Pourquoi une Eglise si fortement et massivement implantée dans la culture française et européenne depuis des siècles s'est-elle si rapidement effritée au cours des trois dernières générations ? " Tout a été dit sur l'origine de cette mésalliance entre le Dieu des chrétiens et les cultures contemporaines depuis la sécularisation amorcée au siècle des lumières jusqu'aux perversions des pédocriminels, en passant par une mauvaise interprétation du Concile Vatican II. En général, les analyses se focalisent sur les croyants qui, à tort ou à raison, ont abandonné la "pratique" religieuse. Et si, osons le dire, cette crise profonde était provoquée par Dieu lui-même ? Un Dieu qui ne consent jamais à être réduit à une image ou un aspect de son mystère ! Un Dieu qui s'évade de toutes les définitions, de tous les mots pourtant nécessaires, de tous les habillages dont on veut l'affubler. Un Dieu qui fuit tous nos enfermements rassurants et qui nous oblige à le chercher toujours au-delà de nos représentations inaptes à saisir l'Au-delà-de-tout et à balbutier l'Indicible ? Ce livre se garde bien de donner une solution à la question posée par l'éditeur, car ce serait prétendre indiquer à l'Esprit de Dieu un itinéraire imposé à sa manifestation. Il se contente de déblayer les routes encombrées par nos idoles pour que les baptisés, retrouvant leur vocation intégrale et indispensable, ouvrent les chemins d'une Eglise régénérée.

09/2021

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Littérature française

Le vieux tapis de George Sand

Et si l'une des oeuvres les plus connues du monde de l'art n'était finalement que le fruit d'une plaisanterie organisée par George Sand ? Moyen Age. Elle pense à sa prochaine tapisserie. Elle sait déjà ce qu'elle proposera aux gens du château, l'idée lui est venue en traversant une clairière. Un paysage plein de vie, fourmillant de détails. Une figure féminine, au centre. Et puis son cheval, aussi (mais peut-être est-ce un âne...). Voilà ce qu'elle laissera à la postérité ; cette oeuvre, probablement un autoportrait, appelée Le Portrait au cheval. XIXe siècle. Au château de Boussac, George Sand découvre de vieilles tapisseries qui semblent abandonnées. Parmi elles, l'autoportrait. L'écrivaine décide de les conserver, et donc de les cacher. L'idée est simple : elle compte sceller les oeuvres originales, et les recouvrir par d'autres, monumentales, en allant bien plus loin dans le ridicule et le mystère. Pour cela, elle fait appel à ses amis (Théophile Gautier, Eugène Delacroix et Frédéric Chopin) et, ensemble, ils organisent ce canular improbable. De nos jours. Clara travaille au musée de Cluny. En observant de plus près La Dame à la licorne, elle détecte des anachronismes qui lui font penser qu'une blague se joue sous ses yeux. Cette tapisserie n'a pas pu être tissée au Moyen Age, elle en est certaine ! A la recherche d'informations, elle parcourt rapidement la notice qui accompagne cette oeuvre mondialement connue. Sans comprendre, elle remarque plusieurs fois le nom de George Sand. Se pourrait-il que l'autrice soit liée à ce chef-d'oeuvre ? Mais alors, quelle serait l'origine réelle de cette tapisserie ? Et si, pour éclaircir ce mystère, il fallait remonter 150 ans en arrière... ? Dans cette triple narration parfaitement maîtrisée, Arnaud Donez nous plonge dans une enquête au coeur d'époques passionnantes - médiévale, romantique et contemporaine - sur les traces d'une tapisserie énigmatique, portée par trois héroïnes d'hier et d'aujourd'hui.

04/2022

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Esotérisme

Le Grand livre de la nature ou l'Apocalypse philosophique et hermétique

Je devais faire de mon mieux, sans prétendre soulever entièrement le voile de mystère et d'obscurité dont l'auteur s'est enveloppé comme à plaisir. De semblables écrits ne s'adressaient qu'à un cercle limité d'initiés spéciaux, adeptes d'un mysticisme très particulier, ne se rattachant que fort indirectement à la tradition générale et universelle de la pure initiation. Ces secrets ne devaient être révélés que progressivement, au fur et à mesure que l'investigateur des vérités occultes gravissait une échelle de douze degrés. Dans son Ane d'Or, Apulée nous renseigne comme suit sur ce premier degré des Mystères d'Isis. C'est son héros, Lucius, qui parle : "Le prêtre écarte tous les profanes, et, couvert comme j'étais d'une robe de lin écru, il me prend par la main pour me conduire dans le sanctuaire même du temple. Peut-être, lecteur curieux, me demanderez-vous avec quelque anxiété ce qui fut fait ensuite. Je le dirais, si cela pouvait se dire ; vous l'apprendriez, s'il vous était permis de l'entendre. Mais le crime serait égal et pour les oreilles et pour la langue qui se rendraient coupables d'une aussi téméraire indiscrétion. Cependant, eu égard au désir pieux qui peut-être vous tient en suspens, je ne vous ferai pas subir une longue attente. Ecoutez donc et croyez, car je dis vrai. J'approchai des limites du trépas, je foulais du pied le sol de Proserpine, et j'en revins porté à travers tous les éléments. Au milieu de la nuit, je vis le soleil briller de son éblouissant éclat ; je m'approchai des dieux de l'enfer, des dieux du ciel ; je les vis donc face à face, je les adorai de près. Voilà tout ce que je puis vous dire, et quoique vos oreilles aient entendu ces paroles, vous êtes condamnés à ne pas les comprendre". Oswald Wirth.

02/2024

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Beaux arts

Chronopoétique. Edition bilingue français-anglais

Né en Sologne en 1962, Olivier Leroi a suivi une formation de forestier à Meymac en Corrèze puis débuté très tôt un parcours artistique autonome avant d’intégrer, une quinzaine d’années plus tard, l’Institut des hautes études en arts plastiques, dirigé par Pontus Hulten. Eclairé par cette nouvelle expérience, il a travaillé le dessin, la sculpture et la vidéo dont le fil rouge est la relation au milieu. L’oeuvre, fondée sur l’économie du geste et sur une observation affinée qui se joue des échelles, s’apparente à une opération de dévoilement de la réalité dans ses dimensions sensibles et cognitives. Au cours de ses voyages, Olivier Leroi réalise des «oeuvres vécues» avec les habitants des lieux traversés et en témoigne par des photographies et des performances filmées : Première neige au pays dogon (Mali), El Zorro blanco (Mexique), La brigade de Chambord ou encore Bruno, l’âne et les papillons. Cet ouvrage a donc été conçu comme un voyage, on pourrait dire un «forage» dans une oeuvre qui se développe depuis une trentaine d’années. Born in Sologne in 1962, Olivier Leroi trained as a forest ranger in Meymac ire Corrèze then began his own artistic research before joining the Institut des hautes études en arts plastiques, under Pontus Hulten, fifteen years later. Enlightened by this new experience, he developed his artistry in drawing, sculpture and video, the common theme of which has always been our relationship to our environment. Founded on economy in application and a refined sense of observation that plays with scale, his work unveils the sensitive, cognitive and emotional dimensions of reality. During his travels, Olivier Leroi has created lived works with the inhabitants of the various places file has visited, and has recorded them in photography and filmed performances : Première neige au pays dogon (First snow in Dogon lands) (Mali). El Zorro blanco (White Zorro) (Mexico). La brigade de Chambord (The Chambord brigade) (Chambord, France), Un drapeau pour l’antarctique, base Dumont d’Urville (A flag for Antarctica, Dumont d’Urville base) (South Pole) Bruno, lune et les papillons (Bruno, thé donkey and the butterflies) (southern France). This work has been de vised as a journey or exploration of his work over the past thirty years.

10/2015

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Littérature française

Princesse Vieille Reine

Le Nom sur le bout de la langue a été créé par Marie Vialle le jeudi 12 mai 2005, à Paris, au théâtre de la Bastille. Sonate de trois contes. Triomphe du Temps a été créé par Lam Truong et Marie Vialle le vendredi 29 septembre 2006, à Lyon, au théâtre des Subsistances. Sonate de quatre contes. Princesse Vieille Reine sera créé par Marie Vialle le jeudi 3 septembre 2015, à Paris, au théâtre du Rond Point. Sonate de cinq contes. * Princesse, vieille reine, tel est le destin des femmes. Cinq contes. Cinq merveilleuses robes : une longue tunique franque, une robe de soie de Chine longue et souple, un kimono japonais tout raide, un manteau de fourrure immense, une robe à crinoline Napoléon III. Plus le souvenir de la fourrure d'un chat et celui d'une robe en serge noir d'enfant. Robes sans pareilles, ostentatoires, un peu trop volumineuses, modifiant le corps à chaque fois complètement, dont on sait quel il est, puisqu'on l'a vu, en chemise, tout mince, avant qu'il revête ces soies, ces toiles, ces cotons et ces peaux, se farde, se contemple, se coiffe devant un grand miroir absent. Mais les âmes changent avec les étoffes, les époques, le temps qu'il fait, les rôles qu'on joue, les fonctions que l'on occupe, les masques que l'on porte, les âges, les situations, les liens, les désirs. C'est tout ce qui reste de Peau d'âne. Un vieux sac, bien réel, au fond de la scène, bien visible même s'il est sombre. Il est plus grand qu'un corps humain. On pourrait d'ailleurs loger un corps humain à l'intérieur de cette grosse outre faite dans une sorte de cuir marron foncé, ou noir, derrière lequel il est possible de se dissimuler, de vivre, de se changer, de déposer ses masques, de suspendre ses robes, de délacer ses chaussures. Une table plus ou moins réelle, côté cour, où travailler, manger, lire. Le cadre d'un grand miroir vide, complètement imaginaire, côté jardin. Le bord de scène est une rive abrupte, le bord d'un gouffre dangereux, au-delà duquel sont assemblés des animaux hostiles.

08/2015

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Education sexuelle

Parler sexe. Comment informer nos ados

"Quand une meuf ne veut pas, est-ce qu'un copain peut la tenir pour qu'on puisse se la faire ? " . "Pourquoi les garçons ne regardent que nos fesses alors que nous les filles on tombe amoureuses ? " . "Est-ce qu'avaler du sperme fait grossir ? " . "Je n'aime faire l'amour qu'avec un âne, est-ce normal ? " . Florilège des questions, déroutantes, inquiétantes, drôles parfois, auxquelles répond le professeur de gynécologie Israël Nisand lors de ses interventions en classe de troisième et de seconde. "Sortir de sa zone de confort, se confronter aux gamins" , c'est l'idée qu'il a eue au début des années 1990. A l'époque, chef de service dans un hôpital de la région parisienne, il reçoit chaque semaine des jeunes filles de 14 ou 15 ans venues pour se faire avorter. Ces patientes en déshérence ignorent tout de la contraception, de l'IVG et de la sexualité en général. En face de l'hôpital, un collège. Le médecin s'y rend. Proviseur et professeurs, désemparés, acceptent volontiers sa proposition, informer les élèves : masturbation, jouissance, avortement, homo et bi sexualité, violence, inceste, domination masculine, IST, genres, désir et amour aussi, tout est abordé en une heure et demi. Succès immédiat, voilà le gynéco demandé partout en France où il fait à chaque fois le même constat : nos ados sont ignorants et tous, sans exception, sont formatés par la pornographie. Depuis, le nombre d'avortements chez les mineures a baissé mais reste le plus élevé d'Europe (15 000 chaque année chez les moins de 18 ans, 90 000 chez les moins de 24 ans). Et les plaintes pour violences sexuelles ont largement augmenté. Aujourd'hui, Israël Nisand se bat pour que l'on parle de sexe dans toutes les écoles, ce sujet crucial, intime et universel, mis à mal par la désinformation, le machisme et l'intégrisme religieux. Dans ce livre, celui qui se présente comme un homme de science, athée, féministe et de gauche, mêle au déroulé de son "cours à la sexualité" , récits et anecdotes d'une carrière brillante au service de tous et toutes.

02/2024

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BD tout public

Parades Nuptiales. Edition bilingue français-espagnol

RESUME Léon est gardien d'un Musée des Sciences Naturelles et décide un jour de partir à la conquête de l'amour. Après des années passées au milieu des animaux, et ne sachant pas s'y prendre auprès de ces dames, il puise naturellement son inspiration auprès des techniques animales qu'il connaît par coeur. L'effet produit par ses parades nuptiales n'est pas concluant, suscitant tour à tour l'effroi, la dérision et la colère, Léon Lanimal devra user de tout son répertoir afin de parvenir, ou non, à ses fins. A la fin de l'ouvrage, histoire de se coucher un peu moins bête, un petit précis scientifique éclaire le lecteur. Ses textes simples résument les différentes parades nuptiales des animaux dont Léon s'inspire. L'AUTEUR Aurélie Pollet est née en 1983 et après une jeunesse radieuse en Belgique au pays de la pluie et de la bière, elle revient à Paris et entre aux Arts déco pour entamer sa formation artistique. Freelance depuis trois ans, c'est une touche à tout qui aime passer du coq à l'âne. Elle jongle entre la BD et le dessin animé, entre les vers solitaires et les pommes de terre, les cannibales et les bètes infernales, les poux et les marabous... Elle a réalisé entre autres des bandes dessinées pour Diantre ! Edition, et de nombreux films d'animation pour l'émission karambolage sur arte. Elle travaille en ce moment sur plein de projets divers et variés... MOT DE L'AUTEUR Fascinée par la diversité et l'originalité de certaines parades nuptiales animales, j'ai eu envie d'en faire l'inventaire à travers l'histoire d'un individu maladroit incarnant le caractère périlleux et vain des entreprises amoureuses. L'idée était de créer, par le décalage entre les moeurs des animaux et les us et coutumes des humains en matière de séduction, un univers aussi absurde qu'instructif. BIBLIOGRAPHIE Beurk ! Un ténia chez Diantre ! Edition Beurk ! Un pou chez Diantre ! Edition Beurk ! Une araignée chez Diantre ! Edition Disparues, dans le recueil de BD M. A. L, chez Les Editions du Pied de Biche Bandes dessinées Ma vie à Jules Fé dans le magazine Phosphore, Bayard presse Bande dessinée Un passage de Robinson Crusoé dans le magazine hollandais Hollands Diep Signatures prévues Librairie Le pied de biche (www. lepieddebiche. com)

07/2012

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Tourisme France

Haute-Loire Chemins d'écrivains

Haute-Loire Chemins d'écrivains réunit plus d'une centaine d'auteurs ayant un point commun avec la Haute-Loire. Textes longs, simples citations, évocation d'un roman, Les cerfs-volants de Romain Gary, d'une recherche scientifique, celle d'Alphonse Aulagnier, ou d'une tragédie, la bataille du mont Mouchet. La présentation se veut démonstrative et quelquefois impertinente. Les écrits sont vrais ou imagés, les auteurs racontent des histoires sans pour autant être des historiens. Les poètes abordent Les chouans du Velay sans faire d'histoire. Des historiens enlégendent, d'autres se montrent scientifiques, tel Faujas de Saint-Fons. Mais il y a le souffle. La Haute-Loire est partagée entre Velay, Brivadois, Gévaudan et Vivarais. Les écrits, accompagnés de photos, suivent le fleuve emblématique, la Loire suscitant l'émotion d'André Siegfried. Ils décrivent le Velay oriental d'essence granitique, le Plateau Vivarais-Lignon, les volcans, Chapteuil et le Mézenc, le Pradellain vers les pays du Gévaudan avant d'aborder le deuxième fleuve, plus majestueusement sauvage, l'Allier, de Langeac à Brioude. Passer du coq à l'âne, c'est à la façon d'Arthur Young, débouler de Paulhaguet à La Chaise-Dieu, Craponne et l'Arzon avec le retour vers les sucs de l'Yssingelais, pour terminer avec Paul Fort dans le bassin du Puy-en-Velay. Ce département est fait d'histoires depuis la Gaule et César, en passant par les effroyables guerres de Religion, les auteurs s'en inspirent. Elle sont inscrites dans les villes et villages, les châteaux en ruine ou en majesté, les églises, pyramides de montagne d'un pays très croyant. L'histoire c'est aussi la Révolution des Jacobins et l'Empire avec Barrès. Des personnages surgissent, Philibert Besson, Mandrin, La Fayette, celui de Joseph Delteil. On retrouve Jules Vallès avec le forgeron Jean Malézieux, Jean Lacouture, Jules Romains, Pierre Emmanuel, Claude et Jacques Lanzmann, Albert Camus, mais aussi Simone Weil, Pierre Monatte, le syndicaliste... La Haute-Loire des écrivains c'est celle des femmes et des hommes, des vies. Georges Chanon a choisi des textes sur les gens, l'économie du pays, la façon de travailler la terre et d'en survivre, les métiers et la dentelle, l'industrie, la langue d'oc, et la danse et la ripaille, Gabriel Bayssat, et les auteurs content et mythifient à n'en plus finir.

11/2010

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Autres langues

Du loup et de la biche. Edition bilingue français-occitan

A peine arrivé en Limousin, Luc de Goustine est de plain pied avec la culture du pays. Tout simplement car il a d'apanage - dins sa biaça dirait-on ici, des trois éléments de la pensée traditionnelle : le symbole, le mythe et le rituel qui le perpétue en le réactualisant, le goût et l'intelligence. Ce texte en est la preuve éclatante qui explique sa parfaite réussite. L'auteur en dit qu'il l'a marié à ce pays. Et comme on se doute que, pour lui, le mariage, certes contrat, est avant tout sacrement, on voit jusqu'où ça nous mène... Cette histoire, née d'un couteau trouvé dans l'ancienne forge acquise et investie, qui pourrait n'être qu'un fait divers (c'en est un), il va, de par tous les registres qu'il a à sa disposition, la porter à incandescence, à l'exemplarité de la légende, fût-elle présente la sortir de l'Histoire, la soustraire à ce qui au pire eût pu être de l'ordre de la sociologie, au mieux de l'ordre de l'ethnographie et, Dieu en soit loué, ne se soucier jamais de cette psychologie qui est une des plaies de la littérature française. Ne lui manque que la langue du pays, dont il est curieux non pas usager ; il va falloir se forger un français apte à rendre tout ça. Du texte, quelques ingrédients, comme ça, pour mettre l'eau à la bouche. Le forgeron (métier à la fois au centre de la communauté et en ses marges les plus incertaines), l'âne, le petit chien blanc, lo leberon, les croix de paille, la bête à sept têtes, le sacrifice des cheveux, lo baptejadis, lo brutladis... J'oubliais ! le loup, la biche. Je n'ai rien dit. Ca pourrait s'appeler La fable de la biche et du loup, non pas fable à la façon d'Esope ou du bon La Fontaine. Ca pourrait s'appeler Du loup à la biche, comme en un cheminement d'initiation, de révélation, de rédemption. J'en ai assez dit. Quant à la version occitane qu'en donne Joan-Peire Lacomba et qui nous le fait éditer, elle était là, à portée, comme évidente, tellement chez elle avec un tel sujet, une telle écriture. Soit dit sans lui en retirer le mérite, car il fallait qu'il nous en offrît la même qualité. Que ceux qui le peuvent comparent...

12/2015

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Théâtre

Il ne faut jurer de rien ; On ne saurait penser à tout

Sur un théâtre ancien, faisons des pièces ludiques. Tel pourrait être le mot d’ordre d’Alfred de Musset quand il s’adonne au proverbe, genre dont Il ne faut jurer de rien et On ne saurait penser à tout sont d’incontestables réussites. Impertinentes et drôles, ces pièces bousculent les formes théâtrales empesées et le sérieux des convenances. L’esprit fuse, les surprises succèdent aux quiproquos, les incongruités aux cocasseries. L’alacrité du ton, le sens du rythme et la verve de l’échange dépoussièrent les situations déjà vues et dégourdissent les dialogues. Avec Il ne faut jurer de rien (1836) et On ne saurait penser à tout (1849), voici venu le temps de la jubilation théâtrale Les deux pièces revendiquent un certain héritage intellectuel, assument une nostalgie littéraire, le génie de Musset transmuant un théâtre de société en une oeuvre dramatique originale et nouvelle. Il ne faut jurer de rien et On ne saurait penser à tout confirment la préférence pour la « fantaisie à la française », comédies où se croisent l’humour et l’esprit, deux qualités que Musset attribue au génie dramatique qu’il admire le plus, Molière. Dans nos deux pièces, cinq personnages se croisent (si l’on excepte les utilités). L’intrigue est en général assez mince. Dans Il ne faut jurer de rien et On ne saurait penser à tout, un mariage doit se conclure, mais, à la ligne droite des consentements mutuels, les jeunes héros préfèrent les courbes romanesques et les épreuves du coeur. On le voit, la mythologie personnelle de l’auteur et une pointe de marivaudage enrichissent le genre des proverbes. La part ludique des deux pièces n’exclut pas une lecture « sérieuse » des moeurs du couple « moderne ». C’est même ce qui singularise la poétique de Musset et le situe entre Molière et Oscar Wilde. Entre vérité du coeur et amusement de l’esprit, Musset travaille à la frontière d’un genre. Les deux pièces de Musset qui se caractérisent par leur sens du rythme, de la formule et de l’à-propos confèrent au présent de l’action densité et humour. Le sens du dialogue, constamment animé par une brillante énergie, imite la conversation mondaine pour mieux s’en démarquer. Jeux de mots et coq-à-l’âne démontrent la puissance de déflagration du langage. Constamment les incongruités interfèrent avec les propos sérieux ou simplement anodins. Les dialogues deviennent un peu fous. Bien des obstacles séparent les amoureux d’Il ne faut jurer de rien et d’On ne saurait penser à tout. Franchies une à une, grâce à « la transparence vagabonde », ces épreuves redonnent un sens à l’amour. Certes, personne n’est tout à fait dupe, et Musset le premier qui refusera d’épouser Aimée d’Alton, mais il est bon de croire au bonheur et de tourner la page à l’heure des confessions intimes.

04/2011

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France

Expériences et micro-aventures en France

L'aventure est au coin de la rue, et accessible à tous. Nul besoin de prendre l'avion et de traverser les frontières pour vivre une expérience intense et inoubliable. Et nul besoin d'être un sportif de haut-niveau ! Ce livre va vous ouvrir de nouveaux horizons et vous reconnecter à la nature ! Nos auteurs ont sélectionné plus de 100 aventures et expériences à réaliser sur une courte durée et près de chez soi. Randonner et bivouaquer dans un paysage à couper le souffle, descendre une rivière en kayak sur deux jours, passer la nuit sur une île déserte, faire une rando vélo-fromage, traverser les Cévennes avec un âne, s'immerger dans les majestueuses forêts des Vosges, passer la nuit dans un igloo comme un vrai trappeur, se lancer dans une odyssée en chien de traineau... La France est un formidable terrain de jeu, et l'un des rares pays à offrir autant de diversités dans ses paysages : montagnes, forêts, lacs, torrents, rivières, océans. Cet ouvrage propose de nombreuses idées pour découvrir ces sites de manière active et agréable. Retourner à l'essentiel et s'émerveiller avec des activités simples comme la randonnée, le vélo ou le kayak, mais aussi plus originales comme des initiations au ski de randonnée ou à la spéléologie. Ces aventures variées et exaltantes sont à la portée de tous, et la plupart réalisables en famille. Visiter le mont-saint-Michel c'est bien, mais traverser sa baie à pied au petit matin entre brume et écume, est une expérience infiniment plus intense et inoubliable. Ce livre est une invitation à voyager autrement, selon son rythme et ses envies, mais de manière un peu plus pimentée. Vous ne vivrez plus vos week-ends et vos vacances de la même façon. Afin d'avoir le moins d'impact environnemental possible, nous vous indiquons les gares les plus proches pour accéder aux expériences proposées. Nous vous donnons également les conseils élémentaires et les bonnes pratiques à adopter pour s'inscrire dans la démarche la plus éco-responsable et zéro carbonne possible. Plusieurs index thématiques, ainsi qu'une carte de France avec toutes nos expériences positionnées vous permettront d'y accéder facilement en fonction de la zone recherchée ou de la thématique choisie. En bref, dans cet ouvrage : - Plus de 100 expériences et micro-aventures dans toute la France (plus de 50 activités différentes : rando, vélo, ski, kayak, spéléo, observation faune...) - Un descriptif précis de chaque expérience - Des pages thématiques pour aller plus loin (top 5 des plus belles randos à faire en Auvergne, dans les Pyrénées, les constellations...). - De belles illustrations - Des pages de conseils et d'informations pratiques sur la réglementation des zones naturelles, le bon comportement à adopter, la réglementation du bivouac... - Nous indiquons lorsqu'un accompagnateur guide est indispensable, ou lorsque l'aventure peur être réalisée en autonomie. Avec le Routard, réveillez l'aventurier qui sommeille en vous !

04/2022

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Littérature française

Grumeau & Hubris

Grumeau / Hubris (Alain Rivière & Post face François de Coninck, Roland Hélié, Jean-Yves Jouannais) Profil d'une oeuvre : "Ce coin est atroce... " . On dit souvent que la première phrase d'un roman est importante. Mais pas plus, en fait, que la dernière. "Ce coin est atroce... " . Ainsi débute "Grumeau" d'Alain Rivière. Une attaque à la hussarde avec un jugement définitif, lapidaire. Et puis après avoir déroulé quelques milliers de phrases, quelques centaines de pages, on tient normalement un roman. Oui, mais voilà, au vingt-et-unième folio du livre, tombe une ultime réplique : "D'accord Grumeau, ça, je vois très bien". Point final. On pourrait alors penser à certaines nouvelles énigmatiques de Carver, ou bien à l'évocation d'une atmosphère, d'une situation, dans la veine de Sam Shepard. On pourrait, mais tel n'est pas le cas de "Grumeau" . Il s'agit bel et bien d'une histoire sans fin, d'un roman inachevé, à l'instar des projets littéraires esquissés dans "Hubris" , inachevé comme cet autoportrait d'Alain Rivière figurant en couverture, où l'auteur investit le profil de l'ancêtre Atget photographié par Berenice Abbott. On y perçoit une sorte de fatigue, pas vraiment du découragement, peut-être une forme de désillusion, celle qui renvoie aux promesses non tenues, aux projets avortés... un ego ravalé. Et pourtant "un homme de profil est à moitié sauvé. " Peintre - écrivain - cinéaste - photographe, Alain Rivière revendique cette part de négativité, mais il s'en sert, comme dans un bras de fer, pour la renverser, laisser entrevoir une ouverture, une justification beaucoup plus positive que l'impossibilité du "Je préférerais ne pas / I would prefer not to" . "Les mots ne viennent pas facilement. " Il s'agit donc de forcer le destin, de travailler comme une âme damnée, ou un âne bâté (s'agissant des auteurs de la série Hubris), de revenir sur ses brouillons, ses esquisses... de ne pas lésiner sur les biffures, les ratures. Gommer, estomper, épurer, essayer de trouver le mot juste pour que le texte produise - au delà des métaphores - réellement des images. Il y a probablement une part d'orgueil, mais aussi de déraison ou de dérision, dans cette démarche ; une façon de ne pas se prendre au sérieux, sans céder sur le métier. Facétieux et rigoureux. Une part de lucidité également : "Je savais qu'on se trompe rarement quand on perçoit la fin d'une histoire. C'est même, souvent, qu'elle est déjà finie depuis longtemps. " Ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre, comme dans ses clichés, Alain Rivière est une sorte de Buster Keaton, de clown blanc, une ombre croisée depuis quelques années, dans un petit village de la Riviera française ; une présence discrète figurant à la terrasse d'un bar sur le quai du port - "happy smoker" et amateur de Ricard à la tombée du soir. C'est un "sorbelien1" , qui au fil de nos rencontre hivernales, s'est laissé convaincre de faire de ses ébauches polymorphes, un corpus, un livre à son image : déconcertant.

09/2018

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Critique littéraire

Oeuvres morales. Tome 4, Traités 17-19, Conduites méritoires des femmes ; Etiologies romaines ; Etiologies grecques ; Paralleles mineurs, Edition bilingue français-grec ancien

Etiologies Romaines : exemples de questions traitées (113 en tout) 1. Pourquoi imposent-ils à la mariée un contact avec du feu et de l'eau ? 2. Pourquoi dans les mariages allument-ils, ni plus ni moins, cinq flambeaux auxquels ils donnent le nom de cierges ? 3. Pourquoi, bien qu'il y ait à Rome beaucoup de temples d'Artémis, est-ce seulement dans celui qui se situe dans le passage appelé Patricius que les hommes n'entrent pas ? 4. Pourquoi, alors qu'aux autres sanctuaires d'Artémis sont clouées comme il convient des cornes de biches, ce sont, à celui du mont Aventin, des cornes de vaches ? 5. Pourquoi ce dont on a faussement annoncé la mort en terre étrangère, au lieu, dans le cas précis d'un retour, de les recevoir à la porte, monte-t-on sur les tuiles du toit pour les faire descendre à l'intérieur ? 6. Pourquoi les femmes donnent-elles à leurs parents des baisers sur la bouche ? 7. Pourquoi est-il défendu pour un mari d'accepter un don de son épouse et pour une épouse de son mari ? 8. Pourquoi est-il défendu aux Romains d'accepter d'un gendre et d'un beau-père un don ? 9. Pourquoi, à leur retour, que ce soit des champs ou de l'étranger, dès lors qu'ils ont une épouse chez eux, se font-ils précéder par quelqu'un pour lui faire voir qu'ils sont là ? 10. Pourquoi, lorsqu'ils se prosternent devant les dieux, se couvrent-ils la tête, tandis que, lorsqu'ils rencontrent des hommes dignes de considération, ils se découvrent si précisément ils se trouvent avoir leur toge sur la tête ? 11. Pourquoi sacrifient-ils à Chronos sans se couvrir la tête ? 12. Pourquoi considèrent-ils Chronos comme le père de la vérité ? 13. Pourquoi sacrifient-ils aussi au dieu qu'ils appellent Honor la tête découverte ? On peut interpréter Honor au sens de réputation ou d'honneur 14. Pourquoi est-ce la tête complètement couverte que les fils portent en terre leurs parents, tandis que les filles le font à tête nue et les cheveux dénoués ? 15. Pourquoi, alors qu'ils considèrent comme un dieu Terminus pour lequel ils célèbrent les Terminalia, ne lui sacrifient-ils aucun animal ? Etiologies Grecques : exemples de questions traitées (59 en tout) 1. Qui sont les pieds poudreux et les directeurs d'Epidaure ? 2. Qui est celle, à Cymé, qui monte un âne ? 3. Qui est Soles, Celle qui allume le feu ? 4. Qui sont, à Cnide, les hommes de la mémoire et qui est le collecteur ? 5. Qui sont les bons en Arcadie et à Lacédémone ?6. Qui est le trieur d'orge à Opunte ? 7. Quels sont les nuages cargos ?8. Qui est pour les Béotiens l'occupant proximal ?9. Qui est le consacrant à Delphes et pourquoi appellent-ils Bysios un de leurs mois ?10. Qu'est-ce que le rescapé du petit bétail ? 11. Qui sont les repoussés à coups de fronde ? 12. Qui était la Charila de Delphes ? 13. Qu'est-ce que la viande de clochard chez les A ? niames ? 14. Qui sont, à Ithaque, les Cliada ? et qu'est-ce que le consommable ? 15. Qu'est-ce que la chienne ligneuse chez les Locriens ?

07/2002