Recherche

exposition jane austen

Extraits

ActuaLitté

Design

Nous rêvons de silence

Adriano Olivetti (1901-1960) a développé l'oeuvre de son père et a su faire de la marque OLIVETTI une référence mondiale dans le domaine des machines à écrire. La réussite industrielle associée à l'esprit humanitaire distingue son action. Cet élan visionnaire a été inspiré par les idées de communauté et de fédéralisme, qui selon lui devraient être le fondement d'un nouvel ordre social, dans le respect de l'individu et de son rapport à la nature. Adriano Olivetti a créé une sorte de Bauhaus italien : "L'entreprise devient une icône mondiale du style à travers les machines à écrire Lettera 22 et 32. En 1952 une exposition au MOMA consacre l'Olivetti et constitue une date de baptême de l'Italian Style", comme le souligne Alberto Saibene dans son introduction. Pagine d'Arte invite le lecteur français à la découverte des écrits d'Adriano Olivetti parus en italien aux éditions Comunità de la Fondation Olivetti. L'ambition d'Adriano Olivetti (1901-1960) est celle de créer une activité industrielle moderne, dans le cadre d'une vision humaniste et du respect du travail de ses collaborateurs. Il est sensible aux relations sociales et en même temps attentif à la communication d'entreprise. Olivetti essaie de rénover l'esprit de la culture italienne en modernisant le monde du travail. Le fascisme brise son espoir d'un socialisme modéré et l'oblige, en tant que juif, à se réfugier en Suisse en 1944. Il accomplie un tour industriel aux Etats-Unis où il étudie le passage de la production de la phase mécanique vers le nouveau modèle de l'électronique. Homme de pensée et homme d'action, Adriano Olivetti a inventé une icône mondiale en créant sa mythique machine à écrire Lettera 22. Proche de Denis de Rougemont, il s'engage dans la défense d'un idéal mouvement fédéraliste pour l'Europe. Sa vision performante et humaniste du monde du travail en pleine évolution, est ici proposée pour la première fois en français. Adriano Olivetti était persuadé que les racines de l'être humain se trouvent dans la nature : il insiste sur la responsabilité de l'homme vers l'environnement et propose une société nouvelle à la mesure de l'homme.

04/2021

ActuaLitté

Poésie

flirt avec elle

Flirt avec elle est ce que j'ai pu faire en 2022, humblement tout ce que j'ai pu écrire, rivé à l'horreur de la guerre en Ukraine qui a laissé une marge de manoeuvre très étroite à mon écriture à ma vie. là je rentre de Lyon, où je suis allé voir l'exposition Poussin et l'amour au Musée des Beaux Arts. je savais que j'y reverrais L'inspiration du poète, non seulement la grande sublime version du Louvre à laquelle je me suis référé toute ma vie, vérifiant à chaque fois que ça existe bien et à quoi ça peut ressembler, l'inspiration du poète (qui n'est j'en suis persuadé pas différente de l'inspiration du romancier, il suffit de songer à celle de Pasternak écrivant Jivago). je prends, chaque fois que je me plante devant lui (mais ce pourrait bien être lui, le tableau, qui se plante devant moi), je prends une sacrée leçon. je savais aussi que je verrais à Lyon une version antérieure ou première pensée, celle du musée de Hanovre, craquante de sensualité et de provocation, et que, pour la première fois et certainement la dernière, je verrais ces deux peintures côte à côte. mais cette fois, dans le train du retour, un merveilleux tgv italien, Poussin et ses tableaux me traitaient sans ménagement, me disaient quelque chose comme, "toi, avec ton flirt avec elle, et ta soi-disant prétention de te mesurer à la guerre en Ukraine, on t'a à l'oeil, t'as intérêt à numéroter tes abattis". tout ce que j'ai trouvé à répondre à Poussin, c'est qu'il me semblait que je devais transcrire au jour le jour la façon dont j'enregistrais cette guerre et la proximité avec la mort qu'elle imposait, et aussi, et surtout, que je devais en profiter, si je puis dire, pour repousser les limites de mon écriture, la mener à la frontière du romanesque, écrire si possible comme je n'avais jamais écrit. Sûrement devais-je parler à haute voix, et avoir l'air très troublé puisqu'une hôtesse, dans le tgv lancé à 260, a jugé bon de me demander si tout allait bien.

06/2023

ActuaLitté

Littérature française

Ma soeur aux yeux d'Asie

Revenu pour quelques jours dans la petite ville de mon enfance Fontenay-le-Comte, en Vendée, une lectrice me dit : - J'ai connu autrefois une Odette Ragon que l'on appelait la Tonkinoise. Vous n'en parlez pas dans l'Accent de ma mère. Elle n'était pas de votre famille ? Odette m'était renvoyée brutalement et, en toute justice, en pleine figure, comme une gifle. Odette, la petite Cambodgienne que mon père, sous-off de la coloniale, avait ramenée d'Indochine et qui fut l'une des énigmes de mon enfance ; Odette, ma soeur aux yeux d'Asie. Dans l'instant, je revis la bourrellerie de cousin Gaston où nous nous étions retrouvés en juillet-août 1940, dans cette période floue entre l'armistice et l'occupation allemande institutionnalisée ; cet été 40 où nous nous sommes sentis si proches, si délicieusement fraternels ; et où nous avons découvert, dans une vieille cantine noire, les lettres que notre père envoya de 1909 à 1922 du Tonkin, de la Cochinchine, du Cambodge. Quelles découvertes ! Cette demi-soeur (mais était-elle la fille de mon père ou un enfant adopté comme on le disait dans la famille ? ) et cette Indo-Chine ressuscitée des Chinois à nattes, avec son goût trouble du péché, ses diableries, ses congaïs qui s'achètent, la morbide torpeur des petits postes dans la brousse encerclés par des pirates invisibles, ses deux premières batailles de Diên Biên Phu ; et ce racisme d'un sous-off de la coloniale, cet impérialisme tranquille, étalés sans complexe. Je revoyais nos dernières grandes vacances de l'été 40, avant l'interminable temps de guerre. Et notre affection trouble, à la limite d'un amour pudique... Aristide-le-Cochinchinois, la terrible tante Victorine, l'Exposition coloniale de 1931, les invraisemblables manuels militaires trouvés aussi dans la vieille cantine noire, la boutique du bourrelier... Je répondis sans trop réfléchir à tout ce que je devrais interroger : - Odette ? Mais oui, c'était ma soeur. Je n'en ai pas parlé parce que, pour elle aussi, je ferai un livre. Le voici.

02/1982

ActuaLitté

Thèmes photo

Gaston Paris. La photographie en spectacle

Cette première monographie et l'exposition qu'elle accompagne permettent de redécouvrir l'importance de ce photographe, profondément influencé par le surréalisme et le " fantastique social " de l'époque. Photographe talentueux, reporter assidu et le plus publié dans le magazine Vu, célèbre pour ses mises en pages et images avant-gardistes, Gaston Paris (1905-1964) reste étonnement l'un des oubliés de l'histoire de la photographie. Ses images figurent, dans toute la presse de l'époque, aux côtés de celles de Laure Albin-Guillot, Germaine Krull, ou encore André Kertész. Equipé de son Rolleiflex et politiquement engagé, il saisit, dès les années 1930, le Paris des noctambules, le monde du cirque et des cabarets, les luttes sociales : ses cadrages audacieux, ses vues en contre-plongée, ses noirs et blancs contrastés témoignent d'un regard acéré et moderniste. Parallèlement à cette production dédiée aux grands sujets louant la modernité, Gaston Paris livre de nombreux reportages étranges et personnels, aux inspirations surréalistes. Il excelle dans les mises en scènes étonnantes et devient l'un des collaborateurs attitré du magazine Détective de la fin des années 1930 aux années 1950 ; entre horreur et Grand Guignol, il reconstitue des drames peuplés de gangsters et de personnages mystérieux. Cet ouvrage offre aussi un éclairage sur la pratique naissante du photojournalisme, en particulier sur quelques-uns des grands sujets alors privilégiés (le monde de la nuit, la misère, les stars parmi lesquelles Piaf ou Cocteau, l'idée de progrès, etc.) et un témoignage exceptionnel de l'évolution de la société de l'entre-deux-guerres. Menée sous la direction scientifique de l'historien de la photographie Michel Frizot, cette monographie présente les multiples aspects d'un travail jusqu'ici méconnu et redécouvert par le Cabinet de la photographie du Centre Pompidou. Photographies, planches-contact thématiques consciencieu-sement réalisées par Gaston Paris, ainsi que des extraits de pages de magazines, avec lesquels il collaborait régulièrement, laissent entrevoir l'étendue de son vocabulaire esthétique et photographique. Cette exploration visuelle sera enrichie d'une introduction à l'oeuvre par Michel Frizot, d'un essai de Julie Jones sur la représentation de la femme dans le Paris des années 1930 et d'un texte de Delphine Desvaux, responsable du fonds Gaston Paris.

01/2022

ActuaLitté

Littérature française

La grenadiere. La comedie humaine

" La Grenadière est une petite habitation située sur la rive droite de la Loire, en aval et à un mille environ du pont de Tours. En cet endroit, la rivière, large comme un lac, est parsemée d'îles vertes et bordée par une roche sur laquelle sont assises plusieurs maisons de campagne, toutes bâties en pierre blanche, entourées de clos de vigne et de jardins où les plus beaux fruits du monde mûrissent à l'exposition du midi. Patiemment terrassés par plusieurs générations, les creux du rocher réfléchissent les rayons du soleil, et permettent de cultiver en pleine terre, à la faveur d'une température factice, les productions des plus chauds cli- mats. Dans une des moins profondes anfractuosités qui découpent cette colline s'élève la flèche aiguë de Saint-Cyr, petit village duquel dépendent toutes ces maisons éparses. Puis, un peu plus loin, la Choisille se jette dans la Loire par une grasse vallée qui interrompt ce long coteau. La Grenadière, sise à mi-côte du rocher, à une centaine de pas de l'église, est un de ces vieux logis âgés de deux ou trois cents ans qui se rencontrent en Touraine dans chaque jo- lie situation. Une cassure de roc a favorisé la construction d'une rampe qui arrive en pente douce sur la levée, nom donné dans le pays à la digue établie au bas de la côte pour maintenir la Loire dans son lit, et sur laquelle passe la grande route de Paris à Nantes. En haut de la rampe est une porte, où commence un petit chemin pierreux, ménagé entre deux terrasses, espèces de fortifications garnies de treilles et d'espaliers, destinées à empêcher l'éboulement des terres. Ce sentier pratiqué au pied de la terrasse supérieure, et presque caché par les arbres de celle qu'il couronne, mène à la maison par une pente rapide, en laissant voir la rivière dont l'étendue s'agrandit à chaque pas. Ce chemin creux est terminé par une seconde porte de style gothique, cintrée, chargée de quelques ornements simples mais en ruines, couvertes de giroflées sauvages, de lierres, de mousses et de pariétaires... . ".

02/2023

ActuaLitté

Beaux arts

Emile Guillaume (1867-1954). Le sculpteur de la 3e République

Sculpteur célèbre et reconnu, titulaire de nombreuses récompenses, souvent encensé par la critique, parfois éreinté par ses adversaires, Emile GUILLAUME participa avec passion à la vie artistique, intellectuelle et politique de la Troisième république. Au travers de son œuvre, il célébra ses artistes, ses poètes, ses grandes figures politiques et ses grands évènements. Il en partagea aussi les heures de gloire, les joies, les épreuves, les illusions et les désillusions jusqu’au naufrage final de 1940. C’est donc à une promenade dans le passé à laquelle vous convie l’auteur, à la rencontre d’évènements ou de personnages souvent oubliés, mais oh combien étonnants ! Au fil des pages, le lecteur verra toute une époque ressusciter. Il partira à la rencontre de Mlle Guilly d’HERMEMONT, créatrice de la Canne blanche, de François MERCIER, l’industriel philanthrope, ou du surprenant marquis de Chaumont-Quitry, héros de deux guerres. Il revivra la fin tragique du poète Catulle MENDES ou des marins du Pluviôse, la vie mouvementée de la statue de la Délivrance, le combat d’Emile GUILLAUME en faveur de la réconciliation européenne. Enfin, le lecteur suivra les pas du sculpteur en Tunisie, en Grande-Bretagne, en Hongrie, et au Brésil où il participa à la décoration du Palacio das Laranreijas à Rio de Janeiro considéré comme le Versailles brésilien. Elève de l’Ecole supérieure des Arts décoratifs puis des Beaux-Arts, Emile GUILLAUME participa à trente-six reprises au Salon des Artistes français dont il reçut la médaille d’Or en 1924. Grand prix de l’Exposition internationale des Arts décoratifs de Paris en 1925, il est considéré comme «le plus grand sculpteur français contemporain» par la presse anglo-saxonne qui lui consacra de nombreux articles. Entre 1890 et 1940, il réalisa plus d’une centaine d’œuvres dont les plus célèbres sont la statue de la Délivrance ainsi que les monuments d’hommage à son ami Aristide BRIAND. Partisan de la réconciliation des nations européennes après l’hécatombe de la Première guerre mondiale, Emile GUILLAUME fut aussi un grand humaniste et un féministe avant l’heure. Aujourd’hui, grâce à cette biographie, son œuvre retrouve toute sa modernité et son actualité.

10/2020

ActuaLitté

Monographies

Bissière. La part de l'Autre. Journal en images 1962-1964

Au cours des deux dernières années de sa vie, entre 1962 et 1964, Roger Bissière a peint ce qu'il appelait son "Journal en images" , composé de plus de 150 petits tableaux datés du jour de leur réalisation, et dédiés à la mémoire sa femme. Cette dernière avait d'abord été son modèle, puis le sujet de sa peinture. Dès le milieu des années quarante, elle participera en outre activement à la "fabrique" de l'oeuvre, en cousant et brodant des tentures faites de tissus appliqués. Quand elle meurt brutalement en octobre 1962, celle qui a été surnommée "Mousse" devient alors l'objet et la raison d'être de ce questionnement quotidien. La disparition de son épouse laisse en effet Bissière dévasté. Toutefois, il reprend vite le chemin de l'atelier. Et "comme un pommier fait des pommes" , le peintre crée, à l'aide de ses pinceaux et de quelques feutres, une imposante série de tableaux dans lesquels il livre jour après jour une chronique intime. Il ne cherche pas ici à recréer le monde mais à restituer, par les couleurs et les rythmes de son pinceau, la fraîcheur des bois, l'incandescence du feu, la légèreté d'une journée de printemps. Plongé dans la nature de ce pays qu'il affectionne, la campagne du Lot, il en redit la vie germinative et la perpétuelle renaissance. Ces images sont ainsi une projection de lui-même en quête d'une communion spirituelle avec celui qui contemple ses images, peignant "pour être moins seul en ce monde misérable" et pour tendre la main par-delà l'espace et le temps aux autres hommes. Cette publication, accompagnée de trois essais d'Isabelle Bissière, d'Alain Madeleine-Perdrillat et de Florian Rodari, est éditée à l'occasion de l'exposition présentée sous le même titre de septembre 2023 à janvier 2024 à la Chapelle des Pénitents du Musée Granet d'Aix-en-Provence, où la collection de Jean Planque - qui fut l'ami de l'artiste et son soutien auprès de la galerie Beyeler de Bâle - est déposée

11/2023

ActuaLitté

Photographie

Des oiseaux

Photographe et vidéaste australienne, Leila Jeffreys est née en Papouasie-Nouvelle-Guinée d'une mère indienne et d'un père anglo-australien. Elle a passé une grande partie de son enfance à voyager et a grandi entouré d'animaux sauvages. En 2008, elle commence à réaliser des portraits photographiques d'oiseaux en travaillant aux côtés d'ornithologues dans des réserves naturelles. Sujets particulièrement difficiles à saisir en raison de leur grande mobilité et de leur furtive attention, les oiseaux requièrent un art de l'attente que Leila a développé depuis des années passées dans les forêts et jungles tropicales. " J'ai toujours remarqué que beaucoup d'oiseaux avaient des expressions particulières. Pour les capter, il m'a fallu trouver comment les photographier de manière à faire surgir leur caractère propre, souligne-t-elle. Ma façon préférée de les photographier est d'installer un studio de portrait dans un endroit qui leur est familier. Je leur parle pendant que je travaille afin qu'ils interagissent avec moi. " Les temps de pose sont extrêmement longs de même que le travail en post-prod - nécessaire pour séparer ces merveilleuses créatures de leur environnement naturel. Cacatoès noirs, perruches sauvages, hiboux fauves, pigeons roses ou pinsons jaunes, tous semblent parés de leurs plus beaux atours. Tour à tour, gracieux, espiègle, farouche, fier, timide, poseur : chaque oiseau photographié laisse transparaître sa personnalité. Galerie de portraits à la fois fantaisistes et hyperréalistes, les images de Leila Jeffreys invitent à la rencontre d'espèces exotiques ou plus connues qui toutes semblent vouloir dialoguer avec le regardeur. Les somptueuses couleurs des plumes, du rose poudré au jaune citron, du vert émeraude au bleu cyan, confèrent à ces graciles personnages un chic pop et élégant.

06/2020

ActuaLitté

Musique, danse

Moi

Elton John : un nom, une légende vivante. De ses débuts à sa gloire planétaire, sa carrière est à l'image de sa vie : extraordinaire. Aujourd'hui, pour la première fois, il se raconte et nous fait vivre son incroyable aventure, avec ses moments les plus fous et les plus déchirants. Né dans la banlieue londonienne de Pinner, le petit Reginald Dwight se rêve très tôt un destin de pop-star. Il se réalise lors de son tout premier concert aux Etats-Unis sous les yeux d'un public stupéfait par sa combinaison jaune canari, son T-shirt étoilé et ses bottes aux ailes dorées. Elton John est né, et le monde de la musique ne sera plus jamais le même. Des premiers refus essuyés avec son parolier Bernie Taupin à son ascension fulgurante dans les charts ; de ses amitiés avec John Lennon, Freddie Mercury et George Michael à sa rencontre avec la reine d'Angleterre qui l'anoblit ; de ses tentatives de suicide à son addiction à la drogue, tenue secrète, et dont il mettra plus de dix ans à se libérer, ces pages retracent le parcours hors du commun d'une des dernières rock stars du siècle. Elton John est aussi un homme engagé : dans ce livre, il parle très ouvertement de sa désintoxication et de la création de la fondation contre le SIDA qui porte son nom. Il évoque sa rencontre du grand amour en la personne de David Furmish, ses vacances avec Versace et l'enterrement de Lady Diana. Et il revient sur l'instant précis où il a voulu devenir père, au risque de bouleverser à nouveau sa vie. Passionnant, débordant d'humour et profondément émouvant, Moi vous embarque dans un voyage en tête à tête avec une légende vivante.

10/2019

ActuaLitté

BD tout public

Pathetik N° 1 : Smilin'Joe & Captain Bulb choient dans l'espace intericonique !

Ils sont de retour ! Le duo infernal James et la Tête X, déjà responsables d'un odieux Les mauvaises humeurs de James et la Tête X qui brocardait en son temps -et c'était il y a peu- avec une nonchalance de dandy toutes les saintes institutions de la bande dessinée, les voilà qui nous reviennent donc, le regard torve et la glotte chatouilleuse, avec une forme de marathonien s'apprêtant à gravir le Baxter building pour le plus grand désespoir de la profession. En effet, mettant en scène les aventures d'un candide candidat à la profession d'auteur de bande dessinée, dûment accompagné de son fidèle guide spirituel et moral, les deux tristes sires en remettent une couche, et des plus vitriolées, sur les aléas de l'ascension aux sommets du neuvième art. Smilin' Joe, l'heureux prétendant et Captain Bulb, le scrupuleux témoin, vivront ainsi les étapes successives d'une comédie très réelle, peuplée de séances de dédicaces, d'interviews, de nouveaux médias et de produits dérivés, oscillant sans cesse entre le statut de rat de laboratoire et celui de pigeon, ce qui finalement n'est pas dépaysant pour de la bande dessinée animalière (ou presque). En partie pré-publié dans la revue Jade, les aventures de Smilin' Joe et Captain Bulb réutilisent opportunément les ingrédients ayant fait le succès des Mauvaises Humeurs : la forme et le contenu d'un bon vieux comics, de la page de jeux au courrier des lecteurs en passant par la trading-card. Tout n'est que faux et apparences, ricanements de hauts de pages et couvertures flashies car qui aime bien châtie dans les détails et les détails, justement, sont dans les petites lignes en bas des contrats de ce vibrant hommage aux trésors cachés de la bande dessinée. Comment y résister ?

04/2010

ActuaLitté

Histoire internationale

Le siècle de la Chine. Comment Pékin refait le monde à son image

De dictature perfide, la Chine est devenue la planche de salut de l'économie mondiale. Une spectaculaire expansion aujourd'hui renforcée par les turbulences économiques liées aux récentes crises bancaires. Fascinés par l'ampleur du phénomène, les journalistes Juan Pablo Cardenal et Heriberto Araújo ont décidé de faire le tour des pratiques économiques, géostratégiques et sociales de cette Chine conquérante. En allant là où l'ampleur du géant est la plus nette : dans le monde en développement. Du commerce ambulant du textile en Égypte à la pénétration des marchés en Russie orientale, de l'exploitation du pétrole en Asie centrale aux relations ambiguës avec l'Iran, de l'implantation en RDC au cas effrayant de la Birmanie, où, avec la complicité des généraux, le jade est extrait jour et nuit dans des conditions inhumaines, de l'exploitation du fer au Pérou à celle du pétrole au Soudan ou des hydrocarbures au Turkménistan, des conditions de vie et de travail des expatriés chinois à la "pax sino-cynique", l'enquête de terrain, entamée à la fin de l'été 2009 pour plus de deux ans, s'appuie sur quelque 500 témoignages, recueillis par les auteurs dans vingt-cinq contrées du monde en développement, parfois au péril de leur vie. Au-delà du constat, les auteurs s'attachent à comprendre les mécanismes de cette nouvelle forme d'impérialisme silencieux, qui mise sur la puissance économique plutôt que militaire : ils décortiquent le fonctionnement des banques de développement ; sondent l'esprit entrepreneur et le sens du sacrifice des ressortissants chinois, l'expression de leur patriotisme et d'une solidarité nationale à toute épreuve ; ils décryptent la stratégie "infrastructures (barrage au Soudan, stade national au Costa Rica…) contre matières premières", et s'interrogent : si la Chine doit être le prochain maître du monde, comment en faire un monde à visage humain ?

01/2013

ActuaLitté

Beaux arts

Première ligne

Première ligne (Rudy Ricciotti) L'imaginaire de la ligne : "Première ligne" , comme au front sur les champs de bataille. "Première(s) ligne(s)" à l'instar d'une esquisse, une ébauche, la conception d'un projet, le début d'une histoire. Une posture, un imaginaire... il y a les deux chez Rudy Ricciotti pour qui l'architecture est une ligne d'écriture. Une ligne conductrice qui peut être ascendante, descendante, adjacente, sécante, droite, courbée, médiane ou brisée, telles les lignes creuses en typographie. Une ligne comme un récit : la Méditerranée, bien sûr, mais c'est valable aussi pour celle bleu-gris des Vosges, ou encore une autre que l'on a baptisée "Maginot" avant que ne soit instauré cette ligne qui signifia la démarcation entre la France libre et la France occupée... une ligne de mire, de tir, ligne de défense, de survie ou ligne de flottaison. La ligne d'horizon forcement, des crêtes aux faîtes ; la ligne qui partage les eaux et la terre ; la ligne de perspective, maritime, aérienne, ou ferroviaire comme "l'azur" . La ligne verticale, transcendantale, rigoureuse et laborieuse, mystique, apostolique et romaine. La ligne qui ondule et varie, qui peut être claire ou sombre, et - au regard de la loi - blanche, jaune ou rouge. C'est selon l'humeur, l'engagement, l'époque. Il y a encore la ligne érotique, la ligne de hanches d'une silhouette inconnue croisée dans la rue, la ligne de chance, de courtoisie ou de conduite, et fatalement la ligne de vie. La ligne de départ, et celle d'arrivée. La première et la dernière ligne. Et enfin la ligne infinie, ces deux lignes droites parallèles qui, pense-t-on, ne se croisent jamais. "Mais personne n'a été jusqu'au bout pour le vérifier" .

05/2019

ActuaLitté

Animaux, nature

Algues des côtes bretonnes

Qui connait le nom de la toute première algue que l'on rencontre tout en haut de l'estran, près des lichens ? Qui sait faire la différence entre un fucus et une laminaire ? La dulse et le pioka ? Qui imagine que la dictyote est une algue brune alors que sa couleur approche le jaune-vert ? Et que la voleuse d'huîtres est une algue et non une personne soupçonnée de larcins dans les parcs ostréicoles ? Pas grand monde, tant l'univers des algues nous est étranger et largement méconnu, même si, petit à petit, elles s'immiscent dans notre alimentation, nos crèmes solaires, nos compléments alimentaires ou les croquettes de nos chats. Cet ouvrage va vous donner envie de mieux connaître ces végétaux fascinants déjà présents sur notre planète il y a 3,7 milliards d'années, d'aller à leur rencontre sur le terrain et de vous familiariser, peu à peu, avec cette flore abondamment présente sous nos pieds, tout au long des 2700 kilomètres de côtes du littoral breton. De grands noms de la gastronomie bretonne nous font l'honneur de partager avec nous une de leurs recettes, comme une invitation à introduire les algues dans nos assiettes, une invitation au voyage. Et, ce végétal sera peut-être l'aliment de demain, tant ses qualités nutritives sont grandes ? Après s'être penché sur l'importance prise depuis longtemps par les algues en Bretagne, cet ouvrage nous dévoile, dans un langage qu'il veut accessible à tous, 50 espèces communes des côtes bretonnes facilement reconnaissables : 22 brunes, 24 rouges et 4 vertes. Alors, laissez-vous donc conduire par Jean-Pierre Nicolas et Loïc Tréhin dans le monde fabuleux des algues bretonnes !

06/2018

ActuaLitté

XIXe siècle

Adélaïde et moi. La Nouvelle-Orléans 1850-2011, une fresque romancée

Deux lointaines parentes, Françoise D. et sa trisaïeule Adélaïde Mallard, se retrouvent et échangent leurs émotions, 150 ans après, unies dans le même engouement pour La Nouvelle-Orléans et son monde raffiné des créoles du Quartier Français. L'existence mouvementée et souvent tragique d'une jeune femme, Adélaïde Mallard, entre guerre de Sécession de 1861 et conflit franco-allemand de 1870. Partie de Sèvres, à 22 ans, elle rejoint son oncle, Prudent Mallard, le célèbre et controversé ébéniste-importateur de Royal Street à La Nouvelle-Orléans. Une Louisiane esclavagiste des grandes plantations de coton et de canne à sucre et sa flamboyante et prospère capitale qui vivent les dernières années de leur âge d'or. Fresque, mi-romancée, mi-documentaire, mais aussi témoignage, dans lesquels tous les personnages ont bien existé, qui se déroule à l'époque des grands mouvements migratoires des populations européennes vers le Nouveau Monde et son eldorado. Avec l'épopée des beaux-frères d'Adélaïde Mallard partis à la conquête des terres du Texas et pionniers fondateurs de Castroville près de San Antonio. Puis vient le temps des épreuves avec les deux épidémies de fièvre jaune et ses milliers de morts dans la ville et son occupation par les soldats du Nord. Narration d'une situation vécue par l'héroïne, douloureusement semblable à celle que connaît aujourd'hui une Amérique fracturée, en proie aux mêmes démons de la violence, du racisme, de l'intolérance et du rejet de l'étranger. Et dont on ne peut qu'être frappé par la troublante similitude. Désillusion et retour d'Adélaïde Mallard-Delaroche avec sa famille, en 1869, dans un Paris haussmannien révolutionnaire, aux portes de la guerre. Un Happy End inattendu, en 2011, scelle les retrouvailles des deux familles américaine et française, descendantes de Pierre Nicolas Mallard.

01/2021

ActuaLitté

Littérature française

CONTES Tome 1

Liée d'amitié avec Charles de Saint-Evremond et avec plusieurs conteuses du siècle comme Julie de Murat et Marie-Jeanne L'Héritier, cette contemporaine de Madame de La Fayettecommence alors à publier, dès 1690, ses premiers récits, dans le goût de son temps, et qui s'intitulent les Mémoires sur la cour d'Espagne, l'Histoire d'Hippolyte, comte de Douglas ou laRelation du voyage d'Espagne (1691), les Mémoires des aventures de la cour de France (1692), les Mémoires secrets de plusieurs grands princes de la cour (1696). Ces productions littéraires estimées sont suivies des contes qui ont assuré sa notoriété. L'Ile de la félicité est le premier conte de fées à être publié en France. Après le succès des Contes de ma mère l'Oye de Charles Perrault en 1697, Marie-Catherine d'Aulnoy fait paraître les 4 volumes de Les contes des fées, suivis des Contes nouveaux ou les Fées à la mode, respectivement parus en 1697 et 1698 et qui lui valent la célébrité. Comptant parmi les plus authentiques chefs-d'oeuvre de la littérature féerique, ses contes l'Oiseau bleu, la Belle au cheveux d'or, Gracieuse et Percinet, le Prince lutin, la Biche au bois, la Chatte blanche, le Rameau d'or, Finette Cendron, le Nain jaune, la Grenouille bienfaisante, reflètent l'évolution d'un genre emprunté aux traditions populaires en un genre littéraire destiné au lectorat adulte de la société galante. Construits comme des aventures romanesques, où se découvre aisément l'influence de la pastorale, du théâtre et du roman contemporains, ses contes mêlent allègrement excès de préciosité, naturel désinvolte, réalisme et cruauté. Le vécu de Marie-Catherine d'Aulnoy se manifeste également dans son écriture lorsqu'elle se sert de l'allégorie pour dénoncer sans ambages l'épreuve du mariage forcé qu'elle a eu à subir.

01/2023

ActuaLitté

Littérature française

CONTES Tome 2

Liée d'amitié avec Charles de Saint-Evremond et avec plusieurs conteuses du siècle comme Julie de Murat et Marie-Jeanne L'Héritier, cette contemporaine de Madame de La Fayettecommence alors à publier, dès 1690, ses premiers récits, dans le goût de son temps, et qui s'intitulent les Mémoires sur la cour d'Espagne, l'Histoire d'Hippolyte, comte de Douglas ou laRelation du voyage d'Espagne (1691), les Mémoires des aventures de la cour de France (1692), les Mémoires secrets de plusieurs grands princes de la cour (1696). Ces productions littéraires estimées sont suivies des contes qui ont assuré sa notoriété. L'Ile de la félicité est le premier conte de fées à être publié en France. Après le succès des Contes de ma mère l'Oye de Charles Perrault en 1697, Marie-Catherine d'Aulnoy fait paraître les 4 volumes de Les contes des fées, suivis des Contes nouveaux ou les Fées à la mode, respectivement parus en 1697 et 1698 et qui lui valent la célébrité. Comptant parmi les plus authentiques chefs-d'oeuvre de la littérature féerique, ses contes l'Oiseau bleu, la Belle au cheveux d'or, Gracieuse et Percinet, le Prince lutin, la Biche au bois, la Chatte blanche, le Rameau d'or, Finette Cendron, le Nain jaune, la Grenouille bienfaisante, reflètent l'évolution d'un genre emprunté aux traditions populaires en un genre littéraire destiné au lectorat adulte de la société galante. Construits comme des aventures romanesques, où se découvre aisément l'influence de la pastorale, du théâtre et du roman contemporains, ses contes mêlent allègrement excès de préciosité, naturel désinvolte, réalisme et cruauté. Le vécu de Marie-Catherine d'Aulnoy se manifeste également dans son écriture lorsqu'elle se sert de l'allégorie pour dénoncer sans ambages l'épreuve du mariage forcé qu'elle a eu à subir.

01/2023

ActuaLitté

Littérature étrangère

Corée des villes, Corée des champs

La boulangerie de New-York (Nouvelle de KIM Yeon-su). J'ai toujours le Nouveau Journal de Gimcheon du 26 mai 1994. On y lit, au début d'un article : "Kim Yeon-su, un natif de Gimcheon âgé de 24 ans, a fait paraître, il y a déjà quelque temps, un poème et une nouvelle dont on a appris l'existence un peu tard." Pour le journaliste que j'ai été, une telle introduction a de quoi éveiller la curiosité du lecteur. Elle sous-entend tout un passé mystérieux. Par la suite, l'article ne précise pas pourquoi ces premiers écrits n'ont été connus qu'"un peu tard", mais en fait, c'est tout bonnement que la nouvelle en avait été communiquée "un peu tard" par papa. Il avait surligné cette phrase au marqueur jaune fluo : "Kim Yeon-su, de la boulangerie-pâtisserie de New York située à côté du poste de police de la gare,..." De temps en temps, il m'envoyait des articles de journaux dont il avait ainsi mis en évidence certains passages et qu'il glissait dans une enveloppe à courrier. C'est en ouvrant l'une d'elles que j'ai découvert une coupure du Chosun Ilbo. Je n'y avais jamais répondu à une interview ou écrit un article. Celui-ci parlait de Yu Miri, la lauréate du prix littéraire Akutagawa. Papa avait surligné son nom en rouge, ainsi que le titre de l'article du critique Hong Sajung : "Une écriture née de l'errance et du désespoir". Dans sa lettre, papa disait : "J'ai confiance en toi. Sois plein d'assurance, ne te décourage pas et suis ta voie. Et puis, de toute façon, c'est comme ça, la vie, non ?". Entre les mots "c'est" et "comme ça", il avait ajouté "bien" dans un crochet qu'il avait tracé au-dessus.

11/2015

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Leur séparation

" Ce samedi matin de janvier, ma mère m'attend à la sortie de l'école. Comme les autres jours, nous remontons la rue des Boulangers mais, au lieu de nous arrêter au carrefour, nous prenons à gauche dans la rue Monge. Je me retourne et aperçois un camion de déménagement garé en bas de notre immeuble. Ma mère serre ma main dans la sienne. Je n'ai pas envie de parler, je pense au camion, aux cartons, au salon qui demain sera à moitié vide. Je pense à mon père. Désormais, j'irai chez lui tous les mercredis soir et un week-end sur deux. Ma mère s'est organisée pour que je passe l'après-midi et la nuit chez une amie. Avant de partir, elle me dit Profite bien de ta journée, amuse-toi, essaye de penser à autre chose. Je hoche la tête mais je sais que jamais plus je ne penserai à autre chose. " En 1989, Sophie Lemp fête ses dix ans, quand ses parents divorcent. Trente ans plus tard, c'est avec le regard d'une petite fille devenue adulte qu'elle revit cette séparation. Pourquoi cette blessure, commune à tant d'enfants, est-elle si difficile à cicatriser ? --------- " Une fêlure d'enfance, toute de pudeur, de justesse et de sensibilité." Philippe Delerm " Une écriture toute en émotion." Sabine, Le petit carré jaune " Avec une écriture d'une extrême subtilité, l'auteur tente de recoudre ce qui a été déchiré." Merlieux Lenchanteur " J'ai été touchée par ce récit pudique, intime, délicat et très sensible qui dévoile une blessure d'enfance." Les livres de Joëlle " Bouleversant et universel. Coup de coeur. " Bénédicte, Entre les lignes " La plume sensible de Sophie Lemp fait mouche. " Valérie, Les Chroniques de MLV

09/2017

ActuaLitté

Littérature étrangère

La guerre dans le sang

Vingt ans après la conquête du Mexique, Hernan Cortès, écarté du pouvoir, a été remplacé par un vice-roi. Les "conquistadores" ont épousé des Indiennes et ces unions ont porté leurs premiers fruits. Mais les métis sont tiraillés entre leur double origine, la guerre est dans leur sang : il faut choisir d'être Indiens ou Espagnols. Tel est le drame de Rodrigo, fils d'un compagnon de Cortès et d'une princesse indienne, petite-nièce de Montezuma. Affecté d'un violent complexe d'Oedipe, c'est le sang de sa mère que choisit Rodrigo. Il participe à la "résistance" indienne contre le conquérant, fréquente les réunions du culte des dieux aztèques, épouse secrètement une Indienne et va jusqu'à sacrifier une victime sur l'autel du dieu barbare avec le couteau d'obsidienne. Passé aux insurgés au cours d'une révolte, il finit par tuer son propre père. A ce drame principal se mêlent d'autres intrigues tout aussi riches de signification : le mariage d'un Juif avec une fille du grand Cortès ; le drame de la soeur de Rodrigo, qui, elle, ressemble à son père ; le supplice de l'oncle des deux métis, qui meurt brûlé vif pour être retourné au culte des ancêtres. C'est une fresque magistrale, aux couleurs violentes, que l'auteur a brossée, en s'appuyant sur une information historique considérable. Nous voyons vivre, s'aimer, s'affronter, se haïr et se tuer deux races qui n'ont pas réussi, en mêlant leur sang, à unir leurs coeurs et leurs croyances. Ceux qui ont aimé Coeur de jade retrouveront dans ce nouvel ouvrage la maîtrise de Salvador de Madariaga, qui sait faire revivre les premières années de la domination espagnole et nous introduire au coeur des difficultés politiques et humaines qu'elle a tout de suite connues.

06/1958

ActuaLitté

Policiers

Le Bouddha Bigouden

Mais quel mystère cache donc cette statuette de Bouddha qui met sens dessous dessus le pays Bigouden ? Qui est ce bandit, ce malfaisant dacoït indien qui utilise les moyens les plus perfides pour s'en approprier ? Gwenn Rosmadec, ancien grand reporter reconverti à l'écriture de mémoires d'inconnus à Sainte Marine, en Bretagne, chargé de sa recherche, n'en finit pas d'essuyer les plâtres de cette mission bien particulière. Tout commence un soir d'automne, lorsque Lenaïg de Kerdonkuff, fille du vicomte Goulven, franchit le seuil de son penty. Lorsqu'elle lui demande de recueillir la vie de son père en Inde, une histoire d'autant moins banale, que le vicomte gérait d'une main de fer le palais du Maharajah de Mysore, Gwenn accepte le travail avec empressement. Mais la demande de Lanaïg n'est pas sans arrière pensées et l'histoire de son père lui importe peu. Elle espère surtout que Gwenn découvrira où le vicomte a caché une statuette d'un Bouddha en jade, qu'il aurait emporté avec lui au terme de sa mission. Une statuette qu'elle sait d'une valeur inestimable. Elle n'est pas la seule dans cette quête : un malfrat indien de la pire espèce est lui aussi, à sa recherche. Et il use des moyens les plus fourbes et violents pour s’en approprier. Les conséquences sont d'une telle gravité, que le consulat général d'Inde à Quimper finit par se mêler de cette sombre affaire. Mais lorsque Sarun, la fille indienne adoptive du vicomte fait de même, jouant un jeu pour le moins invraisemblable, Gwenn commence à se demander s'il a eu raison d'accepter d'écrire ces mémoires.

08/2011

ActuaLitté

Littérature française

Les souffles de Moussans

L'Histoire recouvre toujours de son ombre les histoires plus obscures de tous ceux qui ont vécu, souffert, aimé. L'oubli ne pourra pas les gommer. Le Cahier Jaune, sauvé d'un "déménagement pas comme les autres", fait remonter à la mémoire la vie de ces souffleurs de verre, rythmée par la Réveillée et le temps des Fours Morts. En 1871, lors de la Commune, Paris est à feu et à sang, ravagé par la guerre civile, la violence et la faim. Des échos terribles parviennent aux Verreries de Moussans qui vivent d'autres drames : la naissance d'un enfant de trop, la révolte d'une épouse meurtrie, l'abnégation d'une aïeule, et l'initiation progressive d'une petite fille à l'esprit de sacrifice... Tandis qu'un vent de liberté venu de la capitale pousse les femmes à prendre conscience d'elles-mêmes et à se battre, l'action féministe prend corps. Autant qu'un passé lointain ce roman révèle le présent ; il semble jaillir de soi dans le flot des souvenirs. L'écriture ouvre des perspectives. Elle dit le déchirement des passions... Amoureuse, révolutionnaire, spirituelle... Les pensées s'affrontent : nihilistes et terroristes, mystiques. Mais, au-delà d'une dérive manichéenne, la constance de la nature… Elle se déploie souverainement en faisant éclater la beauté de ses palettes de couleurs. Terre promise ou Paradis perdu ? Discrétion, débordements et sentiments forts habitent les personnages : Marie et Gaspard, Brune et Julie, Marion et Aliocha...et ceux, historiques, de deux anarchistes russes, Bakounine et Netchaïev. Y a-t-il un fil rouge qui les relie ? A travers une fresque lumineuse de miroirs sans fin Les Souffles de Moussans esquissent des réponses et ne cessent de soulever des problèmes actuels brûlants.

05/2018

ActuaLitté

Ouvrages généraux

Genghis Khan

Avec Attila et Tamerlan, Gengis Khan fait partie de ces conquérants qui ont le plus durablement marqué l'histoire des territoires eurasiatiques. Les récits des chroniqueurs occidentaux, des annalistes chinois ou persans ont popularisé leurs figures. Comme le dit l'historien, "leur arrivée, leurs mobiles, leur disparition semblent inexplicables, si bien que l'histoire positive n'est pas loin de faire sien le jugement des anciens auteurs qui voyaient en eux les fléaux de Dieu envoyés pour le châtiment des vieilles civilisations". Pour les scribes persans du XIIIe siècle qui ont les premiers raconté son histoire, Gengis Khan était "le conquérant du monde", une figure déjà légendaire déployant son emprise sur toute la surface de la terre. A son actif, de mémorables victoires, contre le royaume des Xixia à Keyimen (1209), contre les Djurtchet à Fuzhou (1211), à Xinjiang (1212) et à Yizhou (1213), et contre les Khorezmiens dans l'Indus (1221). Une vie de conquête, pour bâtir l'Empire mongol, le plus grand de l'Histoire, s'étendant de la mer Caspienne à la mer Jaune. Cette histoire n'est pas seulement une histoire de conquête. Si elle dresse le tableau d'une impressionnante géopolitique impériale, elle est aussi un portrait vivant et érudit du conquérant implacable ; René Grousset revient sa psychologie, ses tours de pensée, les aspects plus personnels de son existence, sa famille, ses conseillers proches. René Grousset (1885-1952), ancien membre de l'Académie française, était un historien spécialiste de l'Asie. Il fut professeur à l'Ecole des langues orientales, à l'Ecole libre de Sciences politiques ainsi qu'à l'Ecole du Louvre. Plusieurs de ses ouvrages sont devenus des classiques : L'empire du Levant (rééd. Payot 1992), Bilan de l'Histoire (rééd. Desclée de Brouwer, 2016), L'épopée des croisades (rééd. Perrin / Tempus, 2017).

01/2023

ActuaLitté

Couple, famille

Et si on se parlait ? Le petit livre pour aider les enfants à parler de tout, sans tabou ! (3-6 ans)

Coucou ! Nous nous appelons Thomas, Noémie, Jade et Sam... Nous avons à peu près ton âge et nous aimerions partager avec toi des petites expériences de vie. Cela te permettra d'en parler avec les adultes qui s'occupent de toi, d'exprimer tes émotions, de raconter à ton tour ce que tu vis à l'école ou à la maison... " Quand j'ai joué mon spectacle Les Chatouilles, j'ai rencontré beaucoup de personnes qui s'interrogeaient sur la manière de parler à leurs enfants de la violence, mais sans savoir comment faire. Cela m'a donné l'envie de créer, avec Mathieu Tucker, un ouvrage ludique et joyeux qui ouvre le dialogue entre les petits et les grands. " L'autrice : Andréa Bescond Danseuse, comédienne, scénariste et réalisatrice, Andréa Bescond mène une carrière artistique aussi brillante qu'éclectique. Après avoir collaboré avec les meilleurs chorégraphes et dansé sur de nombreuses scènes, elle fait ses premiers pas au théâtre en 2009 avec Les 39 marches. En 2014, elle écrit Les Chatouilles ou la danse de la colère, mise en scène par Eric Métayer. La pièce reçoit plusieurs prix prestigieux dont le Molière 2016 du " Seul/e en scène " . Cette pièce, qui raconte les violences sexuelles qu'elle a subies enfant, est adaptée au cinéma par elle et Eric Métayer en 2018 (César de la meilleure adaptation 2019). Depuis qu'elle est sortie du silence lié à ce traumatisme, Andréa se bat pour faire entendre la voix des plus fragiles et lutter contre les violences faites aux enfants. " Et si on se parlait ? " est le premier livre qu'elle leur adresse directement. L'illustrateur : Mathieu Tucker Illustrateur, graphiste et directeur artistique, Mathieu Tucker est diplômé de l'école des Arts décoratifs de Paris.

09/2020

ActuaLitté

Histoire et Philosophiesophie

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le blob sans jamais oser le demander

Un jour aux Etats-Unis une dame trouve dans son jardin une énorme masse jaune de la texture d'une éponge. Les policiers sont appelés et, paniqués, lui tirent dessus, sans aucun effet, les pompiers le brûlent mais, le lendemain, la chose a doublé de taille. C'est un blob. Evidemment, cela a donné lieu à un film d'épouvante : " Beware of the Blob " avec Steve Mac Queen. A-delà de l'anecdote, le blob semble immortel. Coupé en morceaux, il cicatrise en deux minutes. Ses seuls ennemis sont la lumière et la sécheresse. Mais il peut " hiberner", en attendant des jours meilleurs. Le blob – ou physarum polycephalum – n'a pas de neurones, mais est capable d'apprendre et de résoudre des problèmes complexes comme les labyrinthes. Il est même doté d'une personnalité. En effet, Les souches se comportent différemment selon leur pays d'origine : L'Américain est plutôt agressif, l'Australien plus pacifique, le Japonais a une tendance à la procrastination...Il est dépourvu de membres mais il bouge, certes lentement. En conditions de laboratoire, il se nourrit de flocons d'avoine et de flans. Bien que dépourvu de cerveau et d'estomac, il parvient à maintenir un apport optimal de nutriments essentiels à sa survie et à sa croissance. C'est un hasard qui l'a mis sur le chemin d'Audrey Dussutour spécialiste des fourmis. Depuis la jeune chercheuse toulousaine s'y consacre. Le blob révèle d'étonnantes capacités et les scientifiques vont de découvertes en découvertes. Chacune d'elle ouvre une fenêtre sur notre propre espèce : mystère de nos origines, solutions pour améliorer notre longévité, pistes pour le traitement du cancer, nouvelle façon d'appréhender l'apprentissage...Nous n'avons pas fini d'entendre parler du blob !

04/2017

ActuaLitté

Policier-Espionnage

LA MÉTHODE GEMINI

Mike Dioguardi, apprenti boucher de Brooklyn, profite du fait qu'il porte le même nom que le mafieux John Dioguardi pour se faire passer pour un membre de sa famille et entrer dans le monde des "affaires". Devenu cadre supérieur d'une banque, ce nouveau poste lui permet de blanchir de l'argent et de se dédier au trafic de drogue, à la vente de voitures volées et au meurtre commandité. L'efficacité de Mike et sa bande de truands, qui travaillent à leur compte, attire l'attention de Don Tonino, un important membre de la mafia sicilienne qui décide de le parrainer. Mike Dioguardi va alors être admis au sein de la "Onorata Societa" malgré son origine calabraise et va se confronter à un monde bien plus violent et dangereux. Il gagnera une certaine notoriété en raison de la méthode d'élimination de ses ennemis appelée "Méthode Gemini" du nom du bar à l'arrière duquel il tuait et dépeçait ses victimes. Mais sa chute sera tout aussi rapide que son ascension dans le milieu du crime new-yorkais. Inspiré de la vraie vie du gangster italo-américain et tueur de sang froid Roy DeMeo, l'auteur espagnol Magius nous plonge au coeur de la mafia new yorkaise des années 70 avec un récit de genre et des dialogues dans le pur style du film Les Affranchis de Scorcese. Avec une utilisation des couleurs primaires jaune-bleu-rouge qui évoquent le pop art et un dessin ligne claire à la sauce pulp, il invente une esthétique rétro et électrique qui colle parfaitement à l'ambiance de l'époque. Corruption, assassinats, hémoglobine, drogue, prostitution... Tous les ingrédients sont réunis dans ce surprenant et singulier album LA METHODE GEMINI qui deviendra assurément LA référence en matière de BD de gangsters !

09/2023

ActuaLitté

Réalistes, contemporains

Le temps des jonquilles

Jeanne, parisienne depuis sept ans, retourne dans sa famille à Mohrange pour réaliser un reportage sur le mouvement des Gilets jaunes, sur les ronds-points. Elle a honte de son milieu, de sa classe sociale, elle qui a changé son prénom, Jennifer, en arrivant à la capitale. Son retour va-t-elle la réconcilier avec elle-même ? Après Lip, des gens ordinaires, Laurent Galandon nous plonge au coeur du mouvement des Gilets jaunes pour parler des gens ordinaires, comprendre leurs colères, leurs espoirs, au-delà des clichés. Jeanne est dessinatrice indépendante. Les commandes se font rare. Ce jour-là, elle a rendez-vous avec le rédacteur en chef d'une revue parisienne branchée, à qui elle avait envoyé un aperçu de son travail. La chance va-t-elle enfin tourner ? Bingo ! La revue lui commande un reportage dessiné sur... les Gilets jaunes, en province. Les Gilets jaunes ? "Ces ploucs et ces fachos" ? Jeanne ne voit pas ce qu'elle pourrait bien raconter sur ces "gens". Elle accepte cependant, c'est peut-être une chance pour elle : un reportage dans Nouveaux regards, c'est une sacrée carte de visite ! Elle part donc pour... Morhange, et non pas Nancy, où ses amis pensent que vit sa famille. Sa mère n'est pas médecin, comme ils le croient, mais auxiliaire de vie. Et Jeanne ne s'appelle pas Jeanne mais Jennifer. Elle ment à ses amis parisiens, et surtout elle se ment. Elle a honte de sa mère qu'elle n'a pas vue depuis bien longtemps. Elle a honte de son milieu social. Les fins de mois de sa mère sont difficiles. Elle est épuisée. Elle est en colère. Elle est Gilet jaune... Pour Jeanne-Jennifer, c'est une découverte à laquelle elle ne s'attendait pas...

09/2023

ActuaLitté

Cuisine familiale

Esprit Cantine Vagabonde

Après le succès de la Cuisine du quotidien pour étudiantes et étudiants (Tana), réédition enrichie d'un index des ingrédients et de conseils pour une cuisine saine et rassasiante adaptée aux petits budgets. Derrière cette Cantine vagabonde se cache une petite cuisine soignée, pleine de poésie et de joie, qui puise de-ci de-là dans les différentes cultures et leurs multiples ingrédients, un voyage intérieur où l'on n'est pas à l'abri d'une heureuse surprise en ouvrant son champ des possibles. Lila Djeddi, cuisinière humaniste, propose de changer notre regard sur la cuisine de tous les jours, pour donner plus que tout du sens à ce geste essentiel, pour y mettre de l'engagement citoyen, de la réflexion, aussi, pour trouver les petites astuces d'organisation qui allègent notre charge mentale, pour être dans le partage, la beauté et la gourmandise, et ce plusieurs fois par jour. Remercier par un contrat solidaire un producteur qui nous nourrit, acheter en vrac, troquer, se grouper, faire parfois avec seulement quelques restes, s'organiser quand on aime paresser, accepter la contrainte, qui pousse à expérimenter et à créer, boycotter quand il le faut, éveiller les sens et se remplir le coeur... autant d'idées réjouissantes qu'elle nous livre dans son manifeste du gai manger pour se régaler d'une cuisine délicate. Et de son carnet de recettes, elle tire une douceur de vivre qui rend heureux. Poires rôties au cumin, crème coco-cardamome, crunchy noisette, guacamole fruité à la pomme, tortillas de navets primeur, petits pois et coulis de tomates à l'estragon, salade de pastèque et de courgette jaune, oignon rose, menthe, roquette, céleri-branche et cacahuète grillée... : petit à petit, tout prend du sens, tout sonne juste.

09/2023

ActuaLitté

Esthétique

Wamulu

Ce volume est le deuxième de la série Gay'wu. Arts et savoirs aborigènes qui a pour objectif de présenter des travaux monographiques portant sur des artistes aborigènes contemporains. Wamulu - titre qui évoque une fleur jaune du désert qui pousse abondamment dans la région d'Alice Springs et qui sert de matériau de base pour les peintures ou les mosaïques au sol - réunit l'oeuvre d'art collaborative du collectif composé de Ted Egan Tjangala, Dinny Nolan Tjampitjinpa, Johnny Possum Tjapaltjarri et Albie Morris Tjampitjinpa. Il s'agit d'un projet artistique exceptionnel qui a pris forme dans le désert d'Australie centrale entre 2002 et 2005. Il visait à rendre permanentes des peintures au sol qui sont impermanentes par essence ou éphémères par nature. Les peintures au sol sont une forme ancienne d'art remontant très probablement à plusieurs milliers d'années, et sont à l'origine réalisées à des fins cérémonielles et détruites une fois le rituel ou la cérémonie terminés. Jamais auparavant des oeuvres d'art durables n'avaient été créées à l'aide des mêmes matériaux et techniques que les peintures au sol traditionnelles. Les thèmes de ces oeuvres correspondent aux principaux Rêves des régions désertiques, tels que le Feu, l'Eau et l'Emeu. Le processus de production implique une interaction coordonnée entre le propriétaire (kirda) de l'histoire du Rêve et le "policier" ou responsable (kurdungurlu) qui l'assiste. Ces peintures contemporaines sont le résultat d'une performance ou d'un événement communautaire. Le chant est fondamental et fait partie intégrante du processus qui se déroule à l'instant présent. Les tableaux sont chantés en même temps qu'ils sont composés avec la matière, soulignant la continuité du lien avec la création ancestrale.

06/2022

ActuaLitté

Littérature française

Cacophonie

Sur les rives du continent clair-obscur, dans une ville ocre aux matins bleus, une grande maison jaune. Le ressac de la mer, les rumeurs de la rue adjacente et les chants d'oiseaux pourraient en faire un paradis. C'est d'ailleurs ainsi que la voyait Sali, veuve de l'ancien propriétaire, qui vit là depuis sept ans, lorsque ses multiples fugues hors du continent ne la font pas dériver ailleurs. Amère désillusion cependant : alors qu'elle imaginait y trouver un enracinement possible, un lieu, enfin, d'appartenance, la femme vieillissante est progressivement rejetée par sa belle-famille. Dans cette maison où elle pensait se reconstruire, son être entier commence à s'émietter. Prisonnière d'un espace immense, d'une rue qui semble l'observer, d'un flot d'images télévisées et de pensées qui l'assaillent, Sali suffoque et ne sait plus que faire. Partir ? Mourir ? Se résigner ? Non, il ne faudrait jamais se résigner dans un monde où, malgré le règne des apparences, la folie du sang et la médiocrité si bien partagée, des hommes et des femmes tentent, à leur manière, de survivre. Récit aux allures de monologue intérieur, Cacophonie plonge le lecteur au coeur de la détresse et des pensées d'une femme en butte à la solitude mais aussi aux prisons qu'elle se construit. Y reviennent, lancinantes, la douleur de l'abandon maternel et la difficulté de la quête de soi. Un texte âpre mais lucide et nécessaire sur le monde contemporain, l'Afrique et la construction de soi. Un texte dont les pages vibrent de la violence du cri longtemps contenu mais qui, cependant, n'abandonne pas l'espoir qu'a chacun de trouver, un jour, sa place dans le monde, le "canari où se reposer"

07/2014

ActuaLitté

Comédie romantique et humorist

Coup de foudre à Manhattan Tome 1 : Nuit blanche à Manhattan

Série "Coup de foudre à Manhattan" TOME 1 Un nouveau projet, une nouvelle vie, et le ciel de Manhattan pour seule limite. Même si l'entreprise d'événementiel qu'elle vient de lancer avec ses deux meilleures amies est encore au point mort, Paige veut y croire. Mieux, elle a un plan : ne plus jamais laisser la peur de l'échec la paralyser, manger sainement et se tenir aussi loin que possible de Jake Romano - mieux connu sous le nom de "Celui qui lui brisa le coeur" . A partir d'aujourd'hui, Paige ne pense plus au passé, seulement à l'avenir. Sauf que, dès sa première commande, son passé et son avenir se télescopent violemment. A propos de l'auteur Auteur fréquemment citée par USA Today, la Londonienne Sarah Morgan a conquis ses nombreux fans grâce à ses histoires finement tissées d'humour et d'émotion intemporelle. Elle a vendu plus de 18 millions de livres à travers le monde. Enfant, Sarah rêvait de devenir écrivain, et bien qu'elle ait pris des détours avant d'y parvenir, elle vit à présent son rêve. "On a l'impression de regarder une série tv. C'est fun, léger, bourré d'optimisme, un peu sexy, très girly... Bref, la lecture idéale pour se détendre". Blog A livre ouvert "De l'amour et bien plus encore avec pour toile de fond, New York et sa vivacité légendaire". Blog The reading List of Ninie "Sarah Morgan nous fait entrer par la grande porte dans une belle comédie romantique. Lorsque j'ai lu ce roman, c'étaient à la place des mots, des images qui défilaient comme si j'étais devant un téléfilm ! Sa plume fluide nous transporte dans ces lieux pourvus d'étoiles et de lumières". Blog Les étoiles des bibliothèques

10/2021