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Monographies

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01/2022

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Techniques artistiques

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01/2022

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Tourisme étranger

Constantinople. De Byzance à Istanbul

La colonie grecque de Byzance, devenue Constantinople sous l'Empire byzantin et Istanbul sous les Ottomans, abrita seize siècles durant les fastes de deux grands empires couvrant l'Est méditerranéen, des Balkans à l'Afrique du Nord. Cet ouvrage présente l'aventure de cette civilisation dans sa continuité, sur un même site et tout au long des siècles. Le livre s'ouvre sur la ville byzantine et la fondation d'une nouvelle capitale, celle de l'Empire romain devenu chrétien, Constantinople, dotée de magnifiques monuments, dont la célèbre Sainte-Sophie. Vient ensuite l'effondrement du monde antique, suivi de l'éclosion de la Constantinople médiévale avec son infinité d'églises et de monastères ornés de somptueuses mosaïques, ainsi que de précieux manuscrits enluminés et d'icônes aujourd'hui dispersés dans les plus grands musées du monde. Puis, l'art de Byzance finissant, apparaissent les prémices de la Renaissance à travers les mosaïques de l'Église de Saint-Sauveur in Khora.L'auteur s'attache ensuite à révéler les richesses de Bursa et Edirne, premières capitales ottomanes où les arts arabe, persan et turc opèrent leur synthèse avant de s'épanouir dans Constantinople, conquise en 1453 et rebaptisée Istanbul. Enfin, est étudiée l'Istanbul ottomane qui doit se soumettre à une nouvelle géographie du pouvoir. Le palais de Topkapi est alors bâti face au Bosphore. Vient ensuite l'époque de la grandeur, celle, au XVIe siècle, de Soliman le Magnifique, quand la ville se dote de mosquées impériales rivalisant avec Sainte-Sophie. Arts décoratifs, tissus, céramiques, calligraphies et enluminures s'épanouissent alors. Malgré la décadence qui suivra, le baroque et même l'éclectisme ottoman du XIXe siècle conserveront le merveilleux d'un art oriental qui s'étale sur les rives du Bosphore.

09/2014

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Mouvements artistiques

Shodô, L'art paisible de la calligraphie zen japonaise. Etudier la sagesse du zen à travers la peinture à l'encre traditionnelle

Ce livre extraordinaire réunit l'art japonais traditionnel de shod ? et la sagesse de la philosophie zen. En tant que maître de thé versé en shod ? et autres arts traditionnels du Japon, Shozo Sato nous offre d'abord un bref historique de la calligraphie japonaise et de son étroite relation avec l'enseignement du bouddhisme zen à travers les âges. Il nous initie ensuite aux fournitures et techniques de base requises. Il utilise les paroles en une seule phrase du bouddhisme zen connues sous le nom de zengo qui peuvent sembler paradoxales mais qui contiennent d'énigmatiques pépites d'une sagesse ancienne et sont un sujet idéal pour la calligraphie. L'ouvrage présente de nombreux oeuvres de shodô, des explications sur le sens des zengo et des instructions méthodiques pour calligraphier ces zengo, en un ou plusieurs caractères, selon différents styles. Ce livre extraordinaire réunit l'art japonais traditionnel de shod ? et la sagesse de la philosophie zen. En tant que maître de thé versé en shod ? et autres arts traditionnels du Japon, Shozo Sato nous offre d'abord un bref historique de la calligraphie japonaise et de son étroite relation avec l'enseignement du bouddhisme zen à travers les âges. Il nous initie ensuite aux fournitures et techniques de base requises. Il utilise les paroles en une seule phrase du bouddhisme zen connues sous le nom de zengo qui peuvent sembler paradoxales mais qui contiennent d'énigmatiques pépites d'une sagesse ancienne et sont un sujet idéal pour la calligraphie. L'ouvrage présente de nombreux oeuvres de shodô, des explications sur le sens des zengo et des instructions méthodiques pour calligraphier ces zengo, en un ou plusieurs caractères, selon différents styles.

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Photographie

Living Colors

Living Colors est tout simplement un dispositif qu'a imaginé la photographe française Isabelle Arthuis pour classer et présenter ses images du monde par couleur et le résultat est à la fois captivant et magnifique. Née en 1969 au Mans et formée à l'Ecole des Beaux-Arts de Rennes, Isabelle Arthuis se partage entre la France et la Belgique. Elle poursuit un travail sur l'image, à la fois comme un moyen de saisir le monde et d'y participer activement. En relation avec l'espace, ses oeuvres, comme des traces du réel, relèvent d'un incessant mouvement. Les expériences de ses voyages, de ses séjours et de ses rencontres l'amènent à explorer différents modes de production et de présentation des images. Ses photographies en noir et blanc ou en couleur, d'un format allant de celui d'une carte postale à la taille d'une affiche publicitaire, trouvent leurs sources formelles principalement dans le cinéma et la peinture, l'image se construit en relation avec les contextes et en résonance avec les histoires dont ils relèvent. Depuis dix ans, elle a bénéficié de nombreuses expositions à l'étranger : en Belgique (Bruxelles, Liège) mais aussi au Brésil (Rio de Janeiro), en Suisse (Fribourg), en Autriche (Vienne, Salzbourg), au Luxembourg, en Allemagne (Francfort), en Grèce, Monte Negro, Pologne. A côté de cette activité internationale importante, Isabelle Arthuis n'en est pas moins présente sur la scène artistique française que ce soit dans les collections publiques (FRAC Bretagne, MAMVP, Musée des Beaux-arts de Brest), les fracs et centres d'art. De nombreux critiques d'art et commissaires d'expositions défendent son travail : Denys Zacharopoulos, Hans-Ulrich Obrist et Laurence Bossé ("Traversées", MAMVP, 2001), Eric Corne ("Voir en peinture", le Plateau, 2003), Jean-Marc Huitorel, Judicaël Lavrador, François Aubart, Bernard Marcellis, Cécile Bourne, Bruno di Rosa, etc.

01/2012

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Beaux arts

DAVID DELLEPIANE. Peintre, Affichiste, Illustrateur

D'origine génoise, David Dellepiane (1866-1932) émigre en France en 1875 avec sa famille pour s'installer à Marseille, dans la vieille ville, foyer de l'immigration italienne. Son milieu familial d'artisans d'art l'encourage très tôt à suivre l'enseignement de l'école des Beaux-Arts où il est vite reconnu comme portraitiste et paysagiste. Il enrichit sa formation à Paris en fréquentant l'atelier de Jules Chéret et côtoie les avant-gardes avec son contemporain Mucha. Dellepiane se familiarise ainsi avec les procédés de la lithographie, s'intéresse au japonisme, à l'Art nouveau et se laisse séduire par le pointillisme, trois courants artistiques majeurs qu'il intègre dans son esthétique. De 1896 à 1927, Dellepiane poursuit une brillante carrière illustrateur en maniant toutes les techniques des arts graphiques. Outre la célèbre affiche du 25e centenaire de la ville de Marseille et celles des expositions coloniales de 1906 et 1922, il a répondu à de nombreuses commandes des compagnies maritimes et industrielles et entretenu une collaboration avec de nombreux écrivains et éditeurs. Cette notoriété lui permet dans le même temps de décliner son œuvre de peintre en décors intérieurs, portraits, marines et paysages parfois de veine orientaliste. La guerre de 1914 marque un tournant décisif quand David découvre le potentiel pictural du santon d'argile crue, utilisé comme modèle et objet de création. Cette quête n'entraînera aucunement l'abandon des thèmes qui lui sont chers puisqu'il poursuivra l'ensemble de ses recherches jusqu'au terme d'un itinéraire artistique riche, varié et fécond. Cette première monographie regroupant son œuvre peint et imprimé vise à rétablir l'image d'un artiste trop longtemps réduit à sa seule production d'affichiste et d'imagier des santons, alors qu'il traversa tous les courants picturaux à l'origine du Modernisme.

11/1999

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Design

Antidesign

Les années 80 vibrionnent d'énergie. Dans leur tourbillon, une génération de créateurs a émergé, porteuse d'arts de vivre différents de ceux du passé : Mark Brazier-Jones, Franck Evennou, Elizabeth Garouste, Marco de Gueltzl, Hubert Le Gall, Thierry Peltrault, Laurence Picot, Andrea Salvetti ou encore Claude de Wulf. Afin de donner chair à cette époque en France, cet ouvrage a recueilli la parole d'un témoin de ses acteurs, Elisabeth Delacarte dont la galerie Avant-Scène est l'une des seules à avoir perduré jusqu'à aujourd'hui. Depuis bientôt 40 ans, elle défend des artistes singuliers devenus incontournables en leur domaine. De la France à l'Angleterre, l'Italie ou la Russie, les portraits fouillés qui leur sont dédiés évoquent l'ambiance et les actualités qui les accompagnent. Chacun incarne l'importance de l'artisanat d'art, et tous empruntent des chemins particuliers afin d'exprimer à leurs façons des émotions universelles. Les grands sujets d'aujourd'hui se déclinent au long de leurs parcours. On y découvre l'upcycling avant l'heure avec le fougueux Marco de Gueltzl et les débuts du libertin punk Mark Brazier-Jones, le besoin vital de nature dans les oeuvres de Frank Evennou ou du sculpteur cuisinier Andrea Salvetti, le romantisme prôné par Laurence Picot, la poésie joyeuse d'Elizabeth Garouste, la fantaisie teintée d'humour d'Hubert Le Gall. Ils ont en commun d'avoir changé de vie pour se consacrer au mobilier d'art. C'est aussi le cas d'Elisabeth Delacarte. Son point de vue personnel éclaire de l'intérieur les mutations des arts décoratifs à la fin du XXe siècle. Mettant en scène les productions de chaque artiste, des chantiers de décoration rythment le livre et laissent place à la contemplation.

12/2022

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Sociologie

La musique au point de vue sociologique. Un texte pionnier de la sociol

Camille Bellaigue est un critique musical et musicographe français né à Paris le 24 mai 1858 et mort dans la même ville le 3 octobre 1930. Alors que la sociologie est en train de s'institutionnaliser comme discipline en France dans la période de l'entre-deux-guerres, Bellaigue, en fin connaisseur de la vie musicale parisienne, nous livre un texte programmatique sur les rapports entre la sociologie et la musique, considérée selon lui comme "le plus sociologique des arts". Ce court essai basé surtout sur sa subjectivité de critique musical, peut toutefois être vu comme annonçant l'arrivée des les années trente de travaux plus denses qui contribueront a former plus tard, dans le giron universitaire, la sociologie de l'art et de la culture. Extrait : "La musique est le plus sociologique des arts. Elle l'est d'abord parce que le son est l'agent social par excellence. "Les instincts sympathiques et sociaux sont au fond de toutes les jouissances de l'oreille. Pour l'être vivant, le plus grand charme du son, c'est qu'il est essentiellement expressif. Il lui fait partager les joies et surtout les souffrances des autres êtres vivants... La douleur qui s'exprime par la voix nous émeut en général plus moralement que celle qui s'exprime par les traits du visage ou par les gestes". De cette valeur sociale du son, la nature et l'art rendent également témoignage. Plus que le mouvement et plus que la lumière, le son révèle l'existence et l'exprime... Qu'est-ce qu'il y a de sociologique ou de social dans la nature de la musique, son histoire et ses effets ? Voilà l'objet de ce livre. . ".

03/2023

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Revues

Bataille Leiris Einstein. Le moment documents (avril 1929-avril 1931)

Pour Georges Bataille, Michel Leiris et Carl Einstein, le "moment" de la revue Documents représente un véritable tournant. C'est le plus grand moment dans leur vie d'écrivain. Pilotée par le trio Bataille Leiris Einstein, la revue Documents surgit à Paris en avril 1929, tel un surgeon inavoué du surréalisme. Deux années durant paraîtront quinze livraisons de ce magazine illustré affichant comme objets : "Doctrines" "Archéologie" , "Beaux-Arts" , "Ethnographie" et "Variétés" . La revue se veut le recueil actuel et actualisé des documents les plus caractéristiques et les plus authentiques, en somme l'Encyclopédie du XXe siècle. Ce formidable projet se démarque des revues concurrentes comme La Révolution surréaliste de Breton, Cahiers d'art de Zervos, Variétés de Van Hecke ou Bifur de Ribemont-Dessaignes. Les trois principaux animateurs de la revue Documents, financée par Georges Wildenstein, directeur de La Gazette des Beaux-Arts, sont Georges Bataille qui vient de publier Histoire de l'oeil sous le manteau, le poète Michel Leiris qui s'est éloigné du groupe surréaliste, et leur aîné l'Allemand Carl Einstein qui a publié en 1913 Bébuquin ou les dilettantes du miracle (un récit qui annonce Dada) et en 1915 un ouvrage pionnier sur l'art africain. La revue Documents se veut un fait documentaire total, se rêve même une revue de variétés de music-hall. Loin de juxtaposer des documents provenant de disciplines cloisonnées, loin de s'en tenir à l'habituelle subordination de l'image au texte, la revue du trio Bataille-Leiris-Einstein accorde à la photo, au dessin, à l'image ou à la reproduction, le privilège d'être la matière la plus originelle ou le résidu le plus original des manifestations humaines. La revue la plus déshabillée du monde nous parle et nous aguiche dans l'enchaînement et le fou rire de ses matériaux et de ses travaux documentaires.

03/2022

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Autres

Multitudes N° 87, été 2022

L'art engagé est devenu une posture. Pourtant, loin d'être désuète, la catégorie d'art engagé est de plus en plus mobilisée par les slameurs, les rappeurs, les écrivains ou encore les danseurs au Congo, au Niger, en Palestine entre autres exemples. Tandis que la parole politique souffre d'une crise de légitimité, l'art devient espace de fabrication de la citoyenneté, à bas bruit. Nouvel espace de rénovation démocratique, l'art engagé peut être une posture maniée par les artistes de manière stratégique mais dont les effets pragmatiques en termes de réception sont bien réels.

06/2022

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Beaux arts

De pièces en pièces. Chroniques sur des oeuvres nomades

Ce livre est une expédition au rude pays de l'art contemporain. Il a été conçu dans la tradition très libre et hybride du carnet de voyage. Il est entièrement constitué de dessins en couleurs, les textes, qui se mêlent aux dessins, sont écrits à main levée. C'est une approche du milieu de l'art contemporain par les coulisses. On y découvre par exemple les diverses étapes qui permettent la réalisation d'une exposition. On y retrouve évoquées les diverses ambitions de l'art actuel, et notamment la plus stimulante : faire entrer la vie et l'art dans le même jeu.

04/2007

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Muséologie

La magie du musée

Ce livre est un entretien entre Alejandro Jodorowsky et Philippe de Montebello sur l'expérience vécue de l'art dans le musée. Dans cet échange instructif et passionné entre ces deux fi gures éminentes, l'entretien aborde tout d'abord le rôle du musée, de ses origines à aujourd'hui à travers son histoire, et évoque aussi les enjeux du marché de l'art, ainsi que la question de la place de l'art contemporain dans le musée. Le débat central devient ensuite celui de la question de l'art dans le musée. En quoi consiste l'expérience de l'oeuvre ? Et comment peut-on la rendre perceptible dans l'espace du musée ? Si pour l'artiste qu'est Alejandro Jodorowsky l'art doit guérir l'humanité, Philippe de Montebello, dans son rôle de conservateur et d'amateur d'art, évoque l'expérience de l'oeuvre comme l'expérience du regard à travers le temps passé à la contempler. Et si la magie du musée consistait en cet optimisme qui y pénètre, et où l'on trouve le dépassement de soi ?

09/2021

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Histoire de l'art

Henri Focillon en son temps. La liberté des formes

Henri Focillon (1881-1943) est l'un des plus grands historiens de l'art français. Bien que son oeuvre et son engagement politique aient marqué l'histoire culturelle du XXe siècle, aucune monographie ne lui avait jusqu'ici été consacrée. En replaçant sa vie et son oeuvre dans le contexte intellectuel de l'entre-deux-guerres, le présent ouvrage vient combler une lacune majeure. S'appuyant sur de nouvelles sources documentaires, largement méconnues et pour partie inédites, Annamaria Ducci propose une relecture critique de l'ensemble des écrits de Focillon. Son ouvrage le plus célèbre - Vie des formes - tout comme ses travaux sur l'art du Moyen Age occidental, sur la gravure et la peinture moderne, ou encore sur le bouddhisme et l'art japonais, permettent de mesurer l'étendue des renvois culturels impliquant aussi bien le formalisme viennois, la science de l'art allemande, ou encore la critique d'art parisienne "fin de siècle" , pour finalement aboutir à cette "phénoménologie de l'art" qui caractérise en propre la démarche d'Henri Focillon.

10/2021

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Esthétique

L'ère d'Andy Warhol

Ce livre est doublement important : il permet de mieux connaître Andy Warhol, mais aussi de réfléchir sur les rapports entre art et soft power. Il offre un véritable travail d'historien de l'art sur Warhol et le pop art et déconstruit les images que la publicité du marché de l'art et du soft power états-unien a produites pour faire vendre et connaître Warhol, mais surtout pour imposer le produit Warhol au détriment des artistes européens. En effet, ce soft power était une manière douce d'imposer la domination américaine sur le monde, et sur l'Europe en particulier, et de développer l'économie et le commerce états-uniens. Le pop art et la marque "Andy Warhol" ont développé la fonction idéologique et donc pratico-sociale de l'art afin que le nouvel empire écrase comme on dit en informatique les vieux pays d'un vieux continent et les transforme en lieux de la vacance, du tourisme muséal et de la dépense financière pour classes moyennes et plus. Ce livre est un livre de contre-histoire.

02/2023

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Romans historiques

Le Greco et le grand inquisiteur

Précurseur de l'art moderne, Domenikos Theotokopoulos (1541-1614), plus connu sous le nom d'El Greco, a ébloui le monde par son génie. Avec son art incomparable, il a transcendé les dimensions de la peinture en créant des oeuvres d'art imbibées de spiritualité dans l'Espagne du XVIe siècle, déchirée alors par les passions religieuses et notamment celles de la plus impitoyable : l'Inquisition. Il a vécu avec intensité sa vie artistique, luttant contre les forces des ténèbres, recherchant la lumière et l'extase. Au sommet de son art, le Greco croise le chemin du Grand Inquisiteur et sa haine implacable. S'ensuit un combat entre l'art et l'obscurantisme, l'art et l'intégrisme religieux. Un passionnant combat, où se mêlent de sombres intrigues et de vils intérêts politiques, dont ni le Grand Inquisiteur, ni le Greco ne sortiront indemnes. Lecture passionnante... Le livre est très prenant, très vivant aussi, et la plongée dans l'époque est assez saisissante, comme une machine à remonter le temps. Patrice LECONTE.

10/2019

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Essais biographiques

Cy Twombly et la critique américaine

Avec cette étude Richard Leeman, tente d'éclairer les malentendus successifs qui accompagnèrent la réception de l'oeuvre de Cy Twombly aux Etats-Unis, tant auprès de la critique que du public et des institutions. Auteur de l'unique monographie existante consacré à Cy Twombly, Richard Leeman, nous livre un passionnant essai : Cy Twombly et la critique américaine. Une histoire. 1951-1995. Aussi étonnant que cela puisse paraître, après la première exposition de l'artiste en 1951, celui-ci dû attendre 1994, afin que le MoMA lui consacre sa première rétrospective. Avec cette étude Richard Leeman, tente d'éclairer les malentendus successifs qui accompagnèrent la réception de l'oeuvre de Cy Twombly aux Etats-Unis, tant auprès de la critique que du public et des institutions. Richard Leeman est professeur d'histoire de l'art contemporain à l'université Bordeaux Montaigne. Il a publié Cy Twombly : peindre, dessiner, écrire (Le Regard, 2004) et dirigé plusieurs ouvrages (Le Demi-siècle de Pierre Restany, Ed. des Cendres ; INHA, 2009 ; Michel Ragon, critique d'art et d'architecture [avec Hélène Jannière], Presses universitaires de Rennes, 2013). Ses recherches actuelles portent sur le discours et les représentations historiques du XXe siècle (Le Critique, l'art et l'histoire : de Michel Ragon à Jean Clair, Presses universitaires de Rennes, 2010), sur des questions théoriques relatives à l'interprétation, ainsi que sur l'art actuel. Il anime depuis 2013 le " Séminaire sur l'art d'aujourd'hui ", lieu de rencontres et de recherches sur l'art contemporain. Benjamin H. D. Buchloh nait à Dusseldorf en 1945. Historien d'art allemand, il est spécialisé dans l'art européen et américain de l'après-guerre. Il est professeur d'art moderne à l'université Columbia et à Harvard.

09/2022

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Histoire de la peinture

Quand les Impressionnistes s'exposaient

En 1874, un groupe de peintres dissidents expose ses oeuvres en marge des circuits officiels. Un critique invente par dérision le mot "? impressionnisme ? ". Cet événement est considéré, à juste titre, comme l'une des étapes initiatrices de l'art moderne. Avec ces expositions, l'écosystème de l'art contemporain se met alors en place ? : recherche du scandale, intervention monopolistique d'un marchand, union opportuniste des plasticiens et des écrivains d'avant-garde. Cinquante-huit artistes ont participé aux huit expositions qui ont eu lieu entre 1874 et 1886. Parmi les plus connus des impressionnistes, seul Pissarro est présent à la totalité des expositions. Monet n'apparaît qu'à cinq, Renoir et Sisley à la moitié seulement. Manet, Whistler, Van Gogh ou Lautrec, dont les noms sont souvent associés à ce mouvement, n'ont jamais exposé avec les impressionnistes, contrairement à Forain, Seurat, Gauguin ou au symboliste Redon. L'accent est systématiquement mis sur la rupture picturale que constituent ces expositions. Pourtant, ces expositions présentent un large échantillon de techniques et de supports ? : estampes, sculptures, projets de céramiques, éventails, dessins... Dans tous ces domaines, les impressionnistes expérimentent et se montrent novateurs. Quelques décennies avant le triomphe de l'Art nouveau, ils gomment les frontières entre beaux-arts et arts décoratifs. Degas sculpteur ouvre la voie à l'hyperréalisme. Les impressionnistes remettent aussi en question l'organisation du marché de l'art, cherchant à se promouvoir et à vendre directement leurs oeuvres. Ils lancent des campagnes de communication agressives, dont les méthodes "? de Barnum ? " étaient jusqu'alors réservées aux spectacles populaires ? : mâts publicitaires, drapeaux, affiches voyantes... Dans les salles d'exposition, tout est soigneusement organisé, du tissu qui couvre les murs, aux encadrements, sans oublier les banquettes et l'éclairage. Durand-Ruel, qui s'imposera comme le marchand des impressionnistes, développe, lui aussi, et non sans mal, une stratégie commerciale inédite. Pariant sur l'avenir, il tente de se réserver l'exclusivité de la production de ces artistes. Il part à la conquête d'un marché nord-américain ouvert à de nouvelles formes d'art. Lorsque Durand-Ruel meurt, en 1922, l'impressionnisme est mondialement consacré. Ces expositions se déroulent alors que la grande déflation frappe le marché de l'art. Les acheteurs devenant rares, les peintres officiels cherchent à éliminer toute concurrence. Ils bénéficient de l'appui d'une presse en pleine expansion. Tous les arguments sont bons pour discréditer les impressionnistes ? : escrocs, aliénés mentaux, secte... Les rebelles bénéficient du soutien de quelques plumes ? : Zola, Huysmans, Laforgue, Mallarmé, Fénéon... Mais ces voix n'ont alors que peu ou pas de prestige. Lorsque Zola connaît enfin le succès, il publie L'Ouvre, qui est ressenti par les impressionnistes à la manière d'une trahison. Plus que les attaques de la presse, ce sont l'opportunisme de certains membres et les rivalités internes qui minent le groupe. Le scandale a contribué à faire connaître les impressionnistes. De jeunes artistes de formation académique s'approprient leurs recettes. Profitant de cette évolution, Renoir, puis Sisley et Monet rejoignent le très officiel Salon. Au fil des expositions, deux tendances s'opposent chez les insurgés ? : volonté de cohérence esthétique d'une part, ouverture à de nouvelles formes d'expression, d'autre part. Caillebotte, qui cherche à muséifier l'impressionnisme, incarne la première tendance. Degas et Pissarro, au contraire, invitent de jeunes artistes dont les expressions et les aspirations sont parfois différentes de celles des impressionnistes. Hétérogène, mais riche d'avenir, l'ultime exposition de 1886 ouvre la voie aux formes nouvelles d'expression (néo-impressionnisme, symbolisme) qui, jusqu'au début du vingtième siècle, se succéderont avec une extrême rapidité. Cet ouvrage s'appuie sur une documentation de première importance et met en avant propos et témoignages de "? premières mains ? " qui révèlent pour la première fois la stratégie des artistes. Les échos avec notre époque contemporaine sont multiples et pour le moins surprenants... Aucune étude de ce type sur l'impressionnisme n'avait été réalisé, et ce livre constitue un apport de grande importance pour l'histoire de l'art et de sa médiation à l'aube du modernisme.

04/2024

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Critique littéraire

Sur le pont d'Avignon

" Que vaut-il mieux, le peuple privé d'art, dont l'idée effrayait tant Vilar, ou bien l'art sans peuple, autiste et heureux de l'être ? "

10/2005

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Informatique

Laravel. Coffret en 2 volume, Développez des applications dynamiques en PHP 7

Ces deux livres offrent au lecteur un maximum d'informations sur le langage PHP et le framework Laravel pour développer des applications dynamiques. 1042 pages par nos experts. Des éléments complémentaires sont en téléchargement sur le site www.editions-eni.fr. Un livre de la collection Ressources Informatiques PHP 7 - Développez un site web dynamique et interactif (2e édition) Ce livre sur PHP 7 (en version 7.2 au moment de l'écriture) s'adresse aux concepteurs et développeurs qui souhaitent utiliser PHP pour développer un site web dynamique et interactif. Après une présentation des principes de base du langage, l'auteur se focalise sur les besoins spécifiques du développement de sites dynamiques et interactifs et s'attache à apporter des réponses précises et complètes aux problématiques habituelles (gestion des formulaires, accès aux bases de données, gestion des sessions, envoi de courriers électroniques...). Pour toutes les fonctionnalités détaillées, de nombreux exemples de code sont présentés et commentés. Ce livre didactique, à la fois complet et synthétique, vous permet d'aller droit au but ; c'est l'ouvrage idéal pour se lancer sur PHP. Des éléments complémentaires sont en téléchargement sur le site www.editions-eni.fr. Un livre de la collection Expert IT Laravel - Un framework efficace pour développer vos applications PHP Ce livre s'adresse aux développeuses et développeurs qui souhaitent découvrir Laravel et acquérir des bases solides pour être autonomes dans le développement d'applications avec ce framework. Pour l'apprécier, il est conseillé d'avoir un minimum de connaissances sur les concepts de base du langage PHP ou d'un autre langage orienté objet. L'auteur commence par détailler la préparation de l'environnement de développement. Ensuite, les éléments clés du développement avec Laravel sont étudiés et agrémentés d'exemples : la création de routes, l'utilisation des vues, le mapping objet-relationnel avec l'ORM Eloquent, la mise en place de contrôleurs, le filtrage avec les middlewares ou encore le traitement des données d'un formulaire. Vous apprendrez également à mettre en place un système d'authentification et à gérer les autorisations, à utiliser les sessions et les files d'attentes et à planifier l'envoi d'email. Pour finir, l'auteur traite la mise en place de tests automatisés, l'intégration de composants ou le recours à des fonctions assistantes avant de conclure par le déploiement en production de l'application développée. A l'issue de la lecture de ce livre, le lecteur sera en mesure de développer des applications PHP robustes et fiables avec Laravel.

06/2019

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Linguistique

Langue

Dans cet essai, il s'agit de comprendre pourquoi la prévalence de la langue est avant tout un outil du pouvoir afin de discréditer toute forme d'émancipation langagière et donc politique. En France, la " langue française " a été construite par une élite à partir du XVIIe siècle afin de devenir à la fois un objet de culte national et un instrument de domination sociale. Ainsi homogénéisée, fixée, sacralisée, la notion de langue a totalement évincé une autre manière d'envisager le langage et les pratiques langagières, définissables à travers le terme de parole. Au nom de sa domination, " la langue " a entraîné des hiérarchisations visant à dévaloriser des formes non institutionnalisées ou non écrites auxquelles on a collé des étiquettes telles que patois, dialectes, pidgins, mélanges, petit-nègre, etc. Bien entendu, ces hiérarchies ont été exportées pendant la colonisation afin d'imposer la langue supposée " civilisée " du colon face aux langues africaines uniquement appréhendées à l'aune de cette vision politique du langage : sans écriture, sans complexité, sans flexion, les langues africaines n'étaient pas considérées comme de vraies langues. Pourtant " kan " en bambara, ou " làkk ", en wolof, ne désigne pas plus la " langue " que " le parler " ou toute autre manière de communiquer dont dispose un ensemble de personnes afin de vivre, de philosopher ou de créer, à un moment donné dans un espace donné... C'est à une tout autre façon de penser le langage que nous portent les pratiques langagières. Observer la vie du langage en société à partir de la notion de " parole " change la manière même d'appréhender la société et l'histoire. A travers les particularités liées aux interactions, aux dialogues, aux échanges que suppose ce terme, nous souhaitons inverser la perspective : parler est avant tout un outil d'émancipation, et c'est ce qui dérange actuellement les tenants de ce que certains nomment la " novlangue ". En cheminant à travers l'éclosion d'une parole libre en 1968 ou plus récemment en 2019-2020 avec les Gilets Jaunes, jusqu'à l'invention d'une parole libre notamment avec l'exemple du nouchi de Côte-d'Ivoire, ce livre se veut un retour à la parole comme force vive des rapports humains face aux rapports de pouvoir qu'instaure " la " langue. Enfin, un dernier détour par l'examen de l'imposition d'un discours managérial à dominante autoritaire nous permettra de comprendre pourquoi la prévalence de la langue est avant tout un outil du pouvoir afin de discréditer toute forme d'émancipation langagière et donc politique.

05/2021

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Sociologie

Communications N° 92 : Performance. Le corps exposé

NUMERO DIRIGE PAR CHRISTIAN BIET ET SYLVIE ROQUES La " forme performance ", dans sa définition initiale, peut être conçue comme " art action " qui se joue des frontières et des normes. Sa singularité tient tant à sa " non-répétitivité " qu'à la mise en avant du corps comme élément spectaculaire et déterminant. Cette forme artistique dont l'origine est l'objet de discussions contradictoires naît dans un contexte particulier : celui de la contestation globale de la société occidentale dans l'après Seconde Guerre mondiale. Initialement c'est l'éphémère qui la caractérise au même titre que tous les arts vivants. De nos jours les repères ont bougé. Le contenu d'une telle manifestation s'est diversifié et Il s'impose toujours davantage dans l'univers culturel. Sa pratique est conçue tout spécialement aux Etats-Unis comme étant en rupture avec la tradition du texte. Elle s'est aussi imposée en art autonome. Elle a permis aux artistes comme aux critiques d'art de considérer le spectacle comme un jeu éphémère des espaces, du temps et des corps dans un lieu partagé avec des spectateurs. Le geste y prime sur le mot, l'acte sur le commentaire. Cette manifestation artistique déborde alors son acception d'origine pour exprimer un acte réalisé dans toute son acception physique, effectué dans le cadre d'un lieu spécifiquement conçu pour être observé. C'est une acception large du phénomène qui est prise en considération dans ce numéro. Il y est " montré " dans ses manifestations les plus concrètes. Il y est aussi analysé selon les ressources des sciences humaines. A l'instar de Richard Schechner, qui distingue being (l'existence d'un corps et d'une chose en elle-même) et doing (l'activité de cette chose et de ce corps qui existent), la performance est conçue alors comme " showing doing " révélant son processus interne se déroulant sous nos yeux. Sont prises en compte non seulement les oeuvres artistiques ou les rituels mais aussi toutes les actions quotidiennes comme les actions sportives ou religieuses ainsi que des contextes ou situations particulières. Cet élargissement extrême et actuel du phénomène " performance " ou du performatif est largement décrit dans ces textes, autant qu'il est soumis à échanges et débats. La parole des performers, dont les plus reconnus, vient par ailleurs ajouter les éclairages complémentaires et concrets, indispensables à la compréhension du phénomène. L'ensemble comporte ainsi nombre de réflexions permettant de comprendre l'évolution de ces pratiques, leurs enjeux, leur situation actuelle. Les exemples s'y multiplient autant que les critiques, les évaluations, les débats. Ce qui fait de ce numéro un bilan sur la performance dans notre culture, dont n'existe pas d'équivalent. Présentation Bruno Péquignot De la performance dans les arts 9 Christian Biet Pour une extension du domaine de la performance (XVIIe-XXIe siècle) 21 Sophie Houdard La possession de Loudun (1632-1637) 37 Rafael Mandressi Le corps des savants 51 Itzhak Goldberg Installations-Happenings, liaisons dangereuses ? 67 Bernard Müller Le terrain : un théâtre anthropologique 75 Sylvie Roques, Georges Vigarello La fascination de la peau 85 David Le Breton Body Art : la blessure comme oeuvre chez Gina Pane 99 Antonio A. Casilli Le Web des troubles alimentaires. Un nouvel art de jeûner ? 111 Richard Schechner Les " points de contact " entre anthropologie et performance 125 Richard Sherwin Présences et simulacres sur scène et au tribunal 147 Isabelle Barbéris Jerk, de Gisèle Vienne et Jonathan Capdevielle 159 Julie Perrin Le nu féminin en mouvement 173 Joseph Danan Ecriture dramatique et performance 183 Guy Spielmann L'" événement-spectacle " 193 Josette Féral De la performance à la performativité 205 ORLAN Les préjugés ébranlés par l'Art-Action 219 Eric Duyckaerts Les " conférences-performances " 231 Yann Marussich Voyage(s) dans l'immobilité 239 Vincent Barras Parole performée 253 Jan Fabre S'entraîner à disparaître 263 Jean-Marie Pradier La performance ou la renaissance de l'action 277

05/2013

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Histoire de France

Les transferts culturels dans les mondes normands médiévaux (VIIIe-XIIe siècle). Objets, acteurs et passeurs, Textes en français et anglais

The objects of cultural transfers are innumerable. Their study is particularly important to understanding the medieval Norman worlds and their multiple interconnections with the Scandinavian world, the British Isles, Eastern Europe, and the Mediterranean. While examining the processes of transmission, reception, adaptation, adoption, or rejection, this book highlights how these dynamics influenced cultures between the eighth and twelfth centuries. Various examples of both material (embroidery ; clothing accessories ; iron artefacts ; coins ; manuscripts ; funeral monuments ; sculptures, etc.) and immaterial objects (craftsmanship ; literary models ; language ; religious and burial practices ; ideology of power ; oath-taking, etc.) are studied, including some emblematic ‘monuments' of the Norman worlds (the Bayeux Tapestry ; the mosaics on the floor of Otranto Cathedral). Particular attention is given to presenting these objects in a context in which their reinterpretation in different socio-cultural environments could be better understood. The book also questions the role and the significance of the actors of cultural transfers (aristocratic elites ; churchmen ; merchants ; craftsmen ; authors ; copyists ; etc.), considering their status or their function, as well as their aptitude to carry transfers. It sheds light on relations and networks that have been thus far relatively unknown, and on the circulation of models that consists of a multitude of objects and productions. Finally, it contributes to the exploration of the contacts between different populations and the construction of their interactions.

01/2022

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Ouvrages généraux

Représentations et symbolique de la guerre et de la paix dans le monde arabe. Textes en français et en arabe

Les recherches publiées dans ce livre portent sur les représentations et les symboliques de la guerre et de la paix dans le monde arabe de l'époque médiévale à nos jours. Les recherches publiées dans ce livre portent sur les représentations et les symboliques de la guerre et de la paix dans le monde arabe sur la longue durée. Les auteurs sont spécialistes de différentes disciplines (sociologie, anthropologie, histoire, études linguistiques et littéraires) et portent une attention particulière à la langue de leurs corpus, depuis des textes fondateurs, Coran ou hadiths, en passant par les sources classiques de l'historien (les textes des auteurs du patrimoine classique arabe), jusqu'aux productions qui nous sont contemporaines, des textes militants aux oeuvres de fiction, tous témoignant des représentations que l'on tente d'interpréter ici. -- The studies published in this book focus on representations and symbolics of war and peace in the Arab world over the long term. The authors are specialists in various disciplines (sociology, anthropology, history, linguistic and literary studies), and pay particular attention to the language of their corpus, from the founding texts, Koran or hadiths, through the historian's classical sources (texts by authors of the classical Arab heritage), up to contemporary productions, from militant texts to works of fiction, all testifying to the representations we are trying to interpret here.

03/2024

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Guides pratiques

Fast Talk Japanese 2ed -anglais

Although you can get by in Japan without speaking the language, knowing just a few essential phrases can help you make friends, enjoy service with a smile, and discover richer, more rewarding travel experiences. Fast Talk Japanese is the concise language guide that is guaranteed to get you talking with confidence. Score a table in Tokyo's famous fish market, join the power-ballad belters at a late-night karaoke bar, or sip on sake with newly found friends in a centuries-old Kyoto brewery. Essential phrases to meet all your travel needs How to get local recommendations Easy-to-use pronunciation guides Expert tips to boost your confidence

09/2023

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Ethnologie

Les structures élémentaires de la parenté

In Les Structures Elémentaires de la Parenté, the early opus magnum of French Structuralism, Lévi-Strauss tries to explain the systems of kinship and-marriage in their enormous diversity and their frequently bizarre institutions, by means of a single principle: the exchange. Exchange is perceived to be the manifestation of fundamental structural constants of the human mind which may also be discerned in other subsystems of culture, most obviously in language. This book represents the first great result of the author's life-long research, dedicated to exploring this relationship, which also led him into the fields of the classification-systems of language and of mythology.

01/2002

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Histoire de l'art

Alfredo Müller et le japonisme

Alfredo Müller, jeune peintre aux origines toscanes, se rend a Paris en 1888 et y découvre la vogue japoniste. Vingt ans plus tôt, le pays du Soleil levant s'est ouvert aux échanges avec l'Occident. Sans qu'il n'y ait trace d'une adhésion formelle au mouvement, l'examen de son histoire et de son oeuvre dévoile de multiples connexions avec l'art de l'estampe japonaise et son admiration pour les choix esthétiques des maitres et la philosophie qui les détermine. Quand il est de retour à Paris en 1895, son statut a changé. Emigré économique, il travaille comme graveur et lithographe pour les grands marchands parisiens. Pierrefort est l'un d'eux, il lui commande l'affiche publicitaire annonçant la venue de la seule actrice de Kabuki autorisée au Japon, attendue à Paris en juin 1900 à l'occasion de l'Exposition Universelle : Sada Yacco. Quelles que soient les qualités du lithographe, le choix de Pierrefort interroge. L'enquéte conclut que sa prédilection pour le monde de la scène a joué en sa faveur. Amoureux de la Commedia dell'Arte de son enfance, passionné par le théâtre d'avant-garde de son ami Lugné-Poe, anglophone et lecteur de la presse américaine, Alfredo Müller s'est intéressé à la troupe japonaise de Kawakami Otojiro et de son épouse Sada Yacco dès sa tournée new-yorkaise, avant Londres, avant Paris, Cette mise en perspective induit un éclairage inattendu de la série des Arlequinades qu'il peint ultérieurement en Toscane.

04/2021

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Encyclopédies de poche

Musée du quai Branly. Là où dialoguent les cultures

Le 23 juin 2006, le musée du quai Branly, à Paris, ouvrait ses portes au public. Très largement relayée par les médias, l’inauguration a constitué un événement majeur sur la scène culturelle nationale et internationale: les arts d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et des Amériques, longtemps considérés comme des curiosités exotiques ou de seuls spécimens ethnographiques, entraient définitivement dans le patrimoine universel des formes, et trouvaient d’emblée l’adhésion enthousiaste du public. C’est toute l’aventure de la création de cette institution entièrement dédiée aux arts des civilisations non occidentales que retrace cet ouvrage, du projet voulu par Jacques Chirac, tout juste élu président de la République, à la mise en place d’une programmation novatrice. En passant par l’amitié de Chirac avec Jacques Kerchache, marchand d'art primitif et auteur du fameux manifeste « Pour que les chefs-d’oeuvre du monde entier naissent libres et égaux », les polémiques qui ont entouré la gestation du projet, l’inauguration en avril 2000 du pavillon des Sessions au Louvre, préfiguration du musée lui-même, l’originalité du bâtiment signé Jean Nouvel et de son « amphithéâtre de verdure » conçu par Gilles Clément. Et bien sûr toute la réflexion menée par l’institution, qui se veut avant tout le lieu d’un dialogue entre les cultures. Le musée du quai Branly, c’est : un site exceptionnel sur les rives de la Seine, au pied de la tour Eiffel…à quelques minutes des Grand et Petit Palais, du Palais de Tokyo et du musée d’Art moderne de la Ville de Paris; un établissement culturel novateur, à la fois musée, centre d’enseignement et de recherche et espace à vivre pour les publics; 300 000 objets, issus en majorité du musée de l’Homme de Paris et du musée national des Arts d’Afrique et d’Océanie, et d’une politique ambitieuse d’acquisitions menée dès 1997; un plateau des collections présentant plus de 3500 objets des quatre continents ; un exceptionnel fonds photographique. Le musée du quai Branly, c’est 1 million de visiteurs l’année qui a suivi son ouverture et, quatre ans plus tard, la première place du podium dans le classement 2010 des musées français !

06/2011

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BD tout public

Niki de Saint Phalle. Le jardin des secrets

Niki de Saint Phalle savait que l'Art peut sauver le monde, parce que l'Art l'a sauvé. De la folie. De la violence. D'elle-même.

10/2014

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Beaux arts

Les musées sont des mondes. J.M.G. Le Clézio, Exposition au Musée du Louvre du 5 novembre 2011 au 6 février 2012

Reflet de la cartographie littéraire de Le Clézio, l'exposition "Le musée monde" propose une rencontre inédite entre des oeuvres de cultures différentes. De même que pour Malraux, pour Le Clézio, il n'y a pas de "hiérarchie en art". Ainsi, partant de ce postulat, l'exposition réunit un ensemble d'oeuvres aussi diverses que des peintures historiques, des gravures révolutionnaires, des tableaux haïtiens, des nattes du Vanuatu, des objets vaudous, des ex-voto mexicains, des oeuvres à caractère ethnographique venant de différentes civilisations et des oeuvres contemporaines, transcendant ainsi les frontières temporelles et géographiques, pour présenter sur le même plan art et artisanat, art ancien et art vivant, art populaire et art savant. Ce "pas de côté" par rapport au périmètre traditionnel du musée, proposé par l'écrivain, puise ses origines dans l'histoire des collections du Louvre. L'occasion est ainsi donnée d'évoquer le premier Musée ethnographique et celui des Amériques, qui faisaient partie du musée de la Marine, et dont les collections appartiennent désormais au musée du quai Branly. Dirigé par Marie-Laure Bernadac, le catalogue de l'exposition présente un essai inédit de J. M. G. Le Clézio, grand invité du Louvre en novembre 2011 sur le thème : "Les musées sont des mondes" , et se fait l'écho de cette narration insolite, à travers les contributions de spécialistes et d'historiens de l'art.

11/2011

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Cinéma

Eisenstein et le constructivisme russe

En 1929, Eisenstein aurait dû prononcer une conférence lors de la grande exposition de cinéma et photo des avant-gardes internationales, à Stuttgart. Il y développe sa conception de l'art et du cinéma. Cet ouvrage propose une édition critique de ce texte fondamental : dans sa version initiale allemande et dans une traduction française inédite. Les variantes des différentes éditions et les notes additionnelles en russe sont également présentées. Dans sa deuxième partie l'ouvrage donne une définition du constructivisme au-delà du point de vue esthétique, en dessinant précisément le contexte culturel et politique de cette période. Sont enfin analysés les liens qu'Eisenstein a entretenu avec ce mouvement constructiviste - né dans les arts plastiques, étendu au théâtre et à la photographie, et enfin au cinéma.

11/2019