Poches Littérature internation
Antonio José Bolivar Proaño est le seul à pouvoir chasser le félin tueur d'hommes. Il connaît la forêt amazonienne, il respecte les animaux qui la peuplent, il a vécu avec les Indiens Shuars et il accepte le duel avec le fauve. Mais Antonio José Bolivar a découvert sur le tard l'antidote au redoutable venin de la vieillesse : il sait lire, et il a une passion pour les romans qui parlent d'amour, le vrai, celui qui fait souffrir. Partagé entre la chasse et sa passion pour les romans, le vieux nous entraîne dans ce livre plein de charme dont le souvenir ne nous quitte plus.
Dossier : Le bestiaire merveilleux de Luis Sepúlveda, changé en audiolivres
05/2004
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Gallimard - Jeunesse
«Je prends depuis longtemps des notes, comme un ethnologue ou un collectionneur, sur les postures des enfants qui lisent. J’observe ce qu’ils font de leur corps quand ils basculent dans l’imaginaire. Je regarde les ruses des plus passionnés pour glisser de la lecture partout et tout le temps. En écrivant pour eux, en les rencontrant, je crois avoir trouvé le meilleur poste d’observation. Et mes carnets se remplissent d’enfants lisant les pieds en l’air, en boule sous les tables, planqués dans les espaces à bagages des trains. Peu à peu j’ai vu naître dans cette accumulation une célébration des jeunes lecteurs, de leur manière de résister à un monde où on ne cesse de dire qu’ils ne lisent plus, à ce monde où ils auraient en effet toutes les raisons de ne pas le faire… Et pourtant, ils lisent !
Benjamin Chaud s’est emparé de cette galerie, il a scrupuleusement fait exister chaque situation, avec sa main et son œil irrésistibles. Il donne vie à chacun de nos héros. Et derrière eux, on devine plus largement la résistance de tous les autres, grands et petits : le peuple des lecteurs.
Ceux qui appartiennent déjà à ce peuple se reconnaîtront à chaque page. On leur offrira le livre pour cela. Mais j’aimerais plus encore qu’il atteigne ceux qui sont moins familiers avec la lecture. Ils vagabonderont dans ces dizaines de portraits. Ils se demanderont quel secret, quel pouvoir magique colle tous les personnages à cette activité étrange. Et ce grand mystère, plus que tous les discours, sera une invitation à plonger dans les livres.»
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