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CD K7 Littérature

Le Serpent vert

Publié dans la revue "Die Horen" (Les Heures) de Friedrich Schiller pour conclure le cycle des "Entretiens d'émigrés allemands", "Le Serpent vert" est un conte de fées philosophique, poétique, symbolique, allégorique et initiatique, d'une inspiration pleine de légèreté, de merveilleux et de fantaisie. Les personnages sont des feux follets, un couple de vieillards, un serpent couleur d'émeraude, un géant sans aucune force, une jeune fille dont le contact est mortel et un prince ensorcelé. Les deux jeunes gens ne peuvent se rencontrer à cause d'un maléfice et un fleuve infranchissable sépare leurs deux mondes. Mais les feux-follets parviennent à les libérer de leurs enchantements et le serpent se sacrifie pour créer un pont de pierreries entre les deux rives du fleuve. Le prince et la jeune fille sont alors conduits dans une grotte où ils rencontrent un roi d'or (la sagesse), un roi d'argent (l'apparence) et un roi de bronze (la puissance) qui les couronnent et leur redonnent la vie avec l'amour. Ce jeu romantique énigmatique se déroule dans une sorte de rêve, sur un rythme de danse. Le conte est suivi d'un commentaire du célèbre occultiste Oswald Wirth, également traducteur, qui en décrypte les symboles.

02/2023

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Policiers

Justice dans un paysage de rêve. Une enquête de l'inspecteur Cooper

«Epique et explosive !» Elle Le livre : Un capitaine de police blanc ayant été abattu dans une ville de la province sud-africaine au cours des années cinquante, l'inspecteur Cooper arrive de Johannesburg pour mener l'enquête. Il doit se frayer un chemin dans le labyrinthe des clivages raciaux et sociaux qui divisent la communauté. L'éminente et très respectable famille de la victime l'observe d'un oeil soupçonneux, et l'enquête est rapidement récupérée par la Security Branch. Cooper poursuit néanmoins ses recherches et, en découvrant la double vie du capitaine défunt, est entraîné dans une affaire qui révélera que la couleur de peau compte bien plus que la justice. L'auteur : Malla Nunn a grandi au Swaziland avant de s'installer à Perth avec ses parents dans les années soixante-dix. Elle est allée à l'université en Australie et aux Etats-Unis. Malla Nunn est aussi cinéaste et a trois films à son actif. Elle vit actuellement à Sydney avec son mari et leurs deux enfants. La première enquête de l'inspecteur Cooper, Justice dans un paysage de rêve, a été sélectionnée en 2010 pour l'Edgar Award et en 2011 pour le grand Prix des Lectrices du magazine Elle, qui a comparé l'univers de l'auteur à celui de Deon Meyer.

02/2011

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Sociologie

Communicating Hope and Resilience Across the Lifespan

From serious illness to natural disasters, humans turn to communication as a major source of strength to help us bounce back and to keep growing and thriving. Communicating Hope and Resilience Across the Lifespan addresses the various ways in which communication plays an important role in fostering hope and resilience. Adopting a lifespan approach and offering a new framework to expand our understanding of the concepts of "hope" and "resilience" from a communication perspective, contributors highlight the variety of "stressors" that people may encounter in their lives. They examine connections between the cognitive dimensions of hope such as self-worth, self-efficacy, and creative problem solving. They look at the variety of messages that can facilitate or inhibit experiencing hope in relationships, groups, and organizations. Other contributors look at how communication that can build strengths, enhance preparation, and model successful adaptation to change has the potential to lessen the negative impact of stress, demonstrating resilience. As an important counterpoint to recent work focusing on what goes wrong in interpersonal relationships, communication that has the potential to uplift and facilitate responses to stressful circumstances is emphasized throughout this volume. By offering a detailed examination of how to communicate hope and resilience, this book presents practical lessons for individuals, marriages, families, relationship experts, as well as a variety of other practitioners.

03/2015

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Sciences historiques

Les inventeurs du monde moderne

C'est l'époque où la duchesse de Berry invente les bains de mer, Charles Bourseul le téléphone, Aristide Boucicaut les grands magasins, où les premières lignes de chemin de fer relient la gare Saint-Lazare à Saint-Germain, celles du métro la Porte Maillot à Vincennes, où un jeune ingénieur esquisse la silhouette de la tour Eiffel, où le baron Haussmann métamorphose Paris, où l'avenue de l'Opéra s'illumine à l'électricité. L'époque où Alice Guy tourne le premier court-métrage de fiction, où Paul Durand-Ruel expose les impressionnistes, où la comtesse de Ségur publie ses récits pour enfants, où le couturier Worth habille la duchesse de Guermantes. Celle, aussi, du premier krach boursier, des méfaits du chômage, des grèves réprimées dans le sang et de la rédaction du Capital... Un siècle entier, le XIXe, où l'on crut, avant la catastrophe de 1914, que le progrès n'avait pas de limites, qu'il assurerait le bien-être des hommes, que le monde serait toujours meilleur. Un siècle d'effervescence et de magie, fondateur de notre modernité. A travers une série en trente épisodes retraçant le surgissement de ces avancées révolutionnaires, qui ont dessiné l'univers dans lequel nous vivons, sont mises en scène autant d'histoires vécues qui font écho à nos joies et à nos peurs d'aujourd'hui.

09/2019

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Sciences politiques

Au coeur du volcan. Carnets de l'Elysée, 2007-2012

Je me souviens avoir été submergé de bonheur quand, le 14 mai 2007, Emmanuelle Mignon et Claude Guéant, les deux plus proches collaborateurs de Nicolas Sarkozy, m'ont proposé un poste de conseiller au cabinet du président de la République fraîchement élu. J'allais enfin entrer au coeur du pouvoir - sans savoir que ce coeur-là était surtout celui d'un volcan !A l'Elysée, jusqu'à fin 2011, j'ai été en charge de deux dossiers sensibles, essentiels aux yeux du président : la sécurité et l'immigration. Pendant presque cinq ans, j'ai partagé la vie quotidienne de l'équipe du chef de l'Etat, et pris part, auprès de ce dernier, à l'élaboration et à la mise en oeuvre de sa politique. J'ai vécu dans les coulisses plusieurs événements qui ont marqué l'actualité, par exemple la tempête Xynthia, le discours de Grenoble, la réforme des retraites ou l'intervention de la France en Libye. J'ai été témoin d'épisodes demeurés jusque-là confidentiels, comme les visites du chef de l'Etat aux habitants des quartiers sensibles, mais aussi spectateur des réactions, coups de gueule et autres bons mots de figures politiques telles que François Fillon, Alain Juppé, Brice Hortefeux, Roselyne Bachelot, Eric Woerth... Ce furent cinq années intenses, riches en satisfactions comme en désillusions, un quinquennat où j'ai fréquenté, analysé et contemplé une scène politique que je ne pouvais pas une seule seconde imaginer.

08/2014

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Romans d'espionnage

Les fantômes de Lockerbie

Une voiture sortit du parking situé sur la gauche de l'hôtel et vint s'arrêter devant, juste en face de la porte tournante où Malko était coincé. Une Alfa-Roméo blanche. Malko vit sa glace avant s'abaisser pour laisser passer le canon d'une Kalachnikov. Il était piégé comme un rat. Robert F. Worth du "The New York Times' : " J'ai demandé à de Villiers ce qu'il en était de son prochain roman et ses yeux se sont illuminés. " Je reviens sur une vieille histoire ", dit-il. " Lockerbie ". Le livre est fondé sur l'hypothèse que c'était l'Iran et non la Libye qui était responsable du fameux attentat contre l'avion de ligne en 1988. Les Iraniens se sont beaucoup démenés pour convaincre Muammar al-Kadhafi d'endosser la responsabilité de l'attaque, perpétrée pour se venger du fait qu'un avion de ligne iranien avait été abattu par des missiles américains six mois plus tôt, raconte de Villiers. Il s'agit là d'une théorie du complot de longue date encore non avérée, mais lorsque je suis rentré aux Etats-Unis, j'ai appris que de Villiers n'avait peut-être pas tout à fait tort. J'ai parlé à un ancien agent de la CIA, qui m'a dit que " les meilleures sources de renseignement " sur l'attentat de Lockerbie indiqueraient l'implication de l'Iran.

06/2023

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Alchimie

L'Alchimie des francs-maçons - Histoire d'un tradition transmutée

L'alchimie fait partie des centres d'intérêt majeurs pour le franc-maçon contemporain : elle sert, dans la représentation qu'il s'en fait, de " porte basse " ou d'entrée dans le monde des Mystères, propres à alimenter sa quête initiatique et à lui permettre l'appropriation de l'histoire et du symbolisme maçonniques. La connaissance des métaphores que l'alchimie déploie est devenue indispensable à la démarche maçonnique dès les trois premiers grades " bleus ". Il est donc utile de se demander quand, pourquoi et comment une partie du corpus alchimique intéresse et infuse, en partant des hauts grades, la maçonnerie " bleue ". L'auteur s'appuie sur l'histoire des représentations pour éclairer ici la manière si particulière avec laquelle les maçons s'approprient l'alchimie. Ce livre est un outil : il examine comment les maçons, à partir des lectures d'Oswald Wirth, à la fin du XIXe siècle, récupèrent tardivement les motifs alchimiques pour développer certains symboles essentiels des grades bleus comme VITRIOL, les thèmes des épreuves des initiations et de la légende d'Hiram. Ce travail s'appuie sur des textes de référence et une riche iconographie accompagnée de légendes nourries et de commentaires précis. Le franc-maçon ou le lecteur curieux pourra ainsi croiser les deux domaines de la franc-maçonnerie et de l'alchimie et saisir leur mise en regard afin, de l'Art Royal mais aussi " du Grand Art, comprendre le Mystère ". Prix au Salon du Livre maçonnique de Paris

03/2022

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Policiers

Savemore

Dans la famille de Matthew Worth, on en est à la quatrième génération de flics. Les trois précédentes se sont illustrées, son frère est mort en héros, mais Matthew, lui, passe plutôt pour un minable. Plaqué par son épouse et affecté à la surveillance de nuit d’un miteux supermarché SaveMore pour avoir frappé un collègue (et non sans s’être aussitôt fait casser la gueule), Matthew prend progressivement conscience malgré sa lenteur d’esprit que son existence a quelque chose d’insatisfaisant, pour ne pas dire « d’humiliant ». Alors de temps en temps, il se prend à rêver que, devant la jolie caissière Gwen, il parvient enfin à briller. Et justement, voilà qu’une occasion se présente. Sauf que bien sûr, on ne devient pas un superflic rien qu’en claquant des doigts…« Savemore est une découverte extraordinaire. À la fois tendu, bien ficelé et d’une dureté implacable, ce livre est l’oeuvre d’un écrivain qui connaît le genre comme sa poche. Une lecture magnifique. »Michael Connelly« Un cauchemar terrifiant vu de l’intérieur – tellement absurde qu’il en devient drôle quand on a la chance de n’être que spectateur. »The New York Times Book Review« Quiconque serait assez stupide pour dire que l’époque de la fiction ‘pulp’ s’est terminée il y a des années devrait s’emparer de l’un des joyaux noirs de Doolittle. »Booklist

05/2010

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Actualité et médias

Journal d'une curée de campagne

Début juillet 2010, Nicolas Sarkozy se retrouve empêtré dans la tourmente du feuilleton Woerth Bettencourt, un témoin évoquant même la possibilité d'un financement illégal de sa campagne présidentielle de 2007. Mortifié, il va, ce soir-là, calmer sa colère en couchant ses états d'âme sur le papier. Un geste qui va vite devenir un rituel quasi quotidien. Mais le Président est loin d'imaginer le flot d'événements qui vont marquer ces douze derniers mois, dans le désordre : la sortie de route de DSK, les vacances de MAM en Tunisie et le "printemps arabe", la catastrophe de Fukushima, la sécession de Borloo, les débuts au cinéma de Carla, l'élimination de Ben Laden, le discours de Grenoble et la chasse aux Roms, les provocations de Chirac, la guerre en Libye, les prémisses de l'affrontement Aubry-Hollande pour les primaires du PS, sans oublier bien sûr l'annonce d'un heureux événement... Grâce à certaines complicités, j'ai pu prendre connaissance de ce journal " top secret " dans lequel le Président évoque sans détour et sans retenue, l'humour le disputant à la méchanceté, ses adversaires politiques riais aussi ses ministres et "amis" de la majorité, les journalistes de tous bords... ses déceptions et ses satisfactions, ses (rares) emportements et ses (rarissimes) autocritiques. Au terme de douze mois si riches en rebondissements, c'est un document pour l'Histoire que vous tenez entre les mains...!

08/2011

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Décoration

Le bouquin de la mode

Le premier homme qui songea à se couvrir inventa le vêtement ; celui qui changea de vêtement inventa la mode. Puis vint celui qui décida de mettre son nom sur sa création : il inventa la haute couture. Le grand couturier était né : Worth, le premier, au XIXe siècle puis Doucet, Poiret, Mme Grès, Chanel, Saint Laurent, Rykiel, Lacroix, Gaultier... Autour d'eux, et pour donner corps à leurs fulgurances, s'organise le monde secret des maisons de couture avec leur hiérarchie et leur savoir-faire. Au fil des décennies, suivant les aléas de l'histoire ou les innovations technologiques, les métamorphoses se succèdent les formes changent (avant de revenir), comme la silhouette des femmes dont la beauté est inlassablement célébrée. C'est cet univers à la fois exigeant et frivole que raconte Le Bouquin de la mode. Conçu par Olivier Saillard et une équipe de spécialistes, ce volume comprend aussi une anthologie de textes dont les plus anciens datent du XIVe siècle et les plus audacieux du XXIe. Depuis toujours, les écrivains témoignent de la mode de leur temps ; certains efforcés de la "systématiser", d'autres l'ont moquée ou magnifiée. Elle est partout, se cache souvent dans le détail des accessoires, dans un sac qui prolonge le bras des filles, dans un bijou, un parfum, un maquillage. Parfois, la Mode prend la parole, et entame de savoure dialogues avec la Vertu ou avec la Mort. Elle s'interroge alors sur ceux qui la font et ceux qui la suivent, elle, la reine du monde moderne

10/2019

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Actualité et médias

La justice sous Sarkozy

Les affaires politico-financières, le rôle des magistrats et l'intervention des politiques font depuis des années la une de la presse. Malgré leur accumulation, elles suscitent un intérêt constant. Le monde judiciaire lui-même, tribunaux, magistrats, procédures passionnent un public de plus en plus large - en témoignent les documentaires et les séries télé, à foison. Procès Chirac, procès Clearstream 2, réforme de la Justice, suppression des juges d'instruction, suites des affaires Woerth et Bettencourt, Karachi, etc, et, sur une autre planète judiciare, l'affaire DSK : le calendrier des mois à venir confirme que le propos du livre restera longtemps d'actualité. Voici donc une première histoire des rapports entre politique et justice. Et de la justice telle que la voudrait le pouvoir actuel - un Sarkozy dans le rôle du shérif : le droit c'est moi. S'il existe des livres sur les affaires ou sur les juges, la mise en perspective de l'interventionnisme des dirigeants politiques est encore inédite. Le livre, en 10 histoires pour illustrer l'évolution de la Justice sous Sarkozy : punir, peines planchers et comparutions immédiates ; surveiller, désengorgement des prisons et tout sécuritaire ; contourner, juges indépendants, ennemis du pouvoir ; contrôler, procureurs, "préfets judiciaires" soumis au pouvoir ; majorer, punition des mineurs : plus fort et plus tôt ; assouplir, délinquance financière, où le laxisme n'est plus une faute ; légiférer, l'incroyable amoncellement des décrets et des lois ; accuser, les magistrats, responsables désignés. Quand les coupables deviennent ceux qui jugent ; protéger, une justice pour tous... mais avec de notables exceptions ; nommer, le pouvoir dans l'organisation judiciaire.

01/2012

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Policiers

Le sang et la poussière. Une enquête de l'ispecteur Cooper

L'Afrique du Sud, les années cinquante. Un voyage périlleux au coeur des ténébres... Le livre : Durban, Afrique du Sud, 1953. Alors que l'inspecteur Emmanuel Cooper gagne sa vie en surveillant les docks de manière clandestine, le meurtre brutal d'un jeune garçon le force à sortir de l'ombre. Lorsque deux assassinats semblables font de lui le suspect numéro un, il est obligé de se cacher de la police et de mener officieusement sa propre enquête. Il plonge alors dans le milieu de la pègre de Durban - un univers trouble, où se côtoient gangsters, prostituées et maquereaux- pour comprendre le véritable enjeu politique de l'affaire. Sous la pression des nouvelles lois ségrégationnistes, il doit coûte que coûte trouver le meurtrier avant que la police ne l'inculpe, et rendre enfin justice au garçon couché dans le sang et la poussière. L'auteur : Malla Nunn a grandi au Swaziland avant de s'installer à Perth avec ses parents dans les années soixante-dix. Elle est allée à l'université en Australie et aux Etats-Unis. Malla Nunn est aussi cinéaste et a trois films à son actif. Elle vit actuellement à Sydney avec son mari et leurs deux enfants. La première enquête de l'inspecteur Cooper, Justice dans un paysage de rêve, a été sélectionnée en 2010 pour l'Edgar Award et le grand Prix des Lectrices du magazine Elle, qui a comparé l'univers de l'auteur à celui de Deon Meyer. Le Sang et la Poussière, la deuxième enquête de l'inspecteur Cooper, a été publié dans six pays.

02/2012

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Actualité et médias

Les cercles vertueux. Tome 2, Pour que la France survive

J'ai pu faire parvenir une synthèse de ce projet (27 pages) à nos politiciens. En retour ils m'ont répondu, voici quelques extraits : Eric Woerth : Nous avons beaucoup de sujets de recoupements mais il est vrai que vous allez plus loin que tous les candidats. Votre texte est intéressant car il pousse à la réflexion. Bruno Le Maire : J'ai lu avec beaucoup d'attention le document que vous m'avez fait parvenir et je salue le travail fourni. Votre projet de programme appelle au Renouveau économique et démocratique, à la baisse des dépenses publiques et au remboursement de la dette. Même si nous avons parfois des positions différentes (sur votre proposition d'un Etat-caution pour les loyers, un remboursement des soins à 100 % pour tous...) Richard Ferrand : J'ai étudié les propositions de réformes que vous m'avez communiquées et je ne manquerai pas de les verser aux débats dans l'élaboration du projet du mouvement En Marche. François Fillon : J'ai pris personnellement connaissance de votre courrier et des suggestions qu'il contient... Je me suis permis de transmettre vos idées à mes collaborateurs afin qu'ils les intègrent pleinement à notre projet... Votre démarche pour les " cercles vertueux " témoigne de votre engagement en faveur du redressement de notre pays. L'auteur de ce projet se détermine avec humour comme étant un " ultra-libéral d'extrême gauche ". Il propose un programme " ultra-social " qui satisfera : patrons, investisseurs et " gilets jaunes ". Les " créateurs de misères " (jaloux, usurpateurs dogmatiques et profiteurs) n'y trouveront pas leur compte.

05/2019

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Littérature française

Azerty blues

Moi, j'aurais bien appelé ce bouquin "Les chroniques de Maître Feydri" mais l'homme reste aussi modeste que le rock qu'il a décidé de défendre au péril de sa plume. Au point que, lorsque le diable en personne lui est apparu à la croisée des chemins afin de lui proposer un "deal" entre l'aventure de la presse spécialisée et la stabilité d'une vie plus rangée, Alain a bien réfléchi, a poliment décliné (pour les beaux yeux d'un autre ange de lumière) et s'est tracé une troisième voie : celle de l'amateur éclairé au sens premier du terme. D'ailleurs, Lucifer, beau joueur, ne lui en a guère voulu puisqu'il y aura gagné au change un des plus ardents défenseurs de sa musique, que dis-je, un véritable héraut louangeant sans fin tous ces hommes et toutes ces femmes qui l'ont façonnée, détruite, réinventée un million de fois au moins et qui continuent de le faire, souvent dans le mépris d'un fourbi médiatique trop occupé à se contempler le nombril pour s'intéresser à ce qui sort un tant soit peu de sa zone de confort. Alors ne vous y trompez pas, le livre que vous tenez entre les mains est avant tout une histoire d'amour, celle d'un quidam pour une forme d'expression artistique brute et pour ce peuple de l'ombre qui la crée, des berges du Mississippi aux garages de Minneapolis, en passant par Perth ou Santander... Ou, pourquoi pas, Périgueux ? (Jacques-Olivier Leroy)

09/2018

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Romance et érotique LGBT

Cal

Je n'avais pas l'intention de me cacher sur le yacht, je le jure. Ma première erreur a été de rentrer chez moi avec l'abruti du bar, mais pour ma défense, Prescott m'a dit qu'il possédait le Worthington - quatre-vingt-dix pieds de perfection moderne et élégante - et que si je parvenais à obtenir le poste de second, j'aurais une excuse pour rester à bord et continuer à fuir ma famille et mon avenir. Comment pouvais-je savoir qu'il était le beau-frère infidèle et vénal du propriétaire, ou que je finirais dans un placard lorsque le bateau quitterait le port ? Lorsque le véritable propriétaire me trouve et m'offre un autre travail - être son faux petit ami lors d'une croisière dans les îles Vierges britanniques pour pousser Prescott à révéler son infidélité -, c'est là que je commets ma deuxième erreur : j'accepte. Il s'avère que Jonathan Worthington n'est pas seulement un milliardaire, il est drôle, généreux et un peu maniaque du contrôle. Il est aussi un silver fox magnifique et élégant de deux mètres de haut, et soudain, ce n'est pas seulement son yacht que je convoite. Worth pense que je suis bien trop jeune et volage pour quelque chose de plus sérieux que de passer la semaine dans son lit... mais si vous croyez que nous ne tomberons pas amoureux avant la fin de la croisière, j'ai un yacht dans les Caraïbes à vous vendre

04/2024

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Sciences politiques

Le sexe du capitalisme. "Masculinité" et "féminité" comme piliers du patriarcat producteur de marchandise

Avec son théorème de la "valeur-dissociation" , Roswitha Scholz propose une critique féministe du patriarcat capitaliste au-delà du progressisme politique, du marxisme traditionnel et de tous les développements postmodernes. Elle effectue une critique radicale de la modernité comprise comme patriarcat producteur de marchandises, ce qui la conduit à refuser de se laisser enfermer aussi bien dans la croyance en un progrès immanent de la modernité, que dans les "contradictions secondaires" , l'essentialisme naturalisant ou le différentialisme post-structuraliste. Les essais rassemblés dans ce volume mènent une discussion critique de divers courants et auteures féministes - de Judith Butler, Nancy Fraser et Maria Mies à Silvia Federici - afin d'analyser l'essence de la modernité comme totalité sociale brisée, où les deux pôles de la "valeur" et de la "dissociation" reproduisent le rapport patriarcal du masculin et du féminin jusque dans la barbarisation postmoderne et l'effondrement du patriarcat producteur de marchandises. Ce dernier, déjà entamé, n'aura aucune portée émancipatrice. Roswitha Scholz est, aux côtés de Robert Kurz et des membres de la revue Exit ! , l'une des principales théoriciennes en Allemagne du courant de la critique de la valeur-dissociation (Wert-Abspaltungskritik). Elle s'attache à théoriser le lien entre capitalisme et patriarcat moderne ainsi que les métamorphoses de ce patriarcat, et à dépasser les féminismes de l'égalité et de la différence, comme les féminismes intersectionnels, déconstructionnistes, matérialistes, écoféministes ou de la "lutte des classes" .

11/2019

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Esotérisme

Esotérisme et occultisme en franc-maçonnerie

Ce n'est pas parce que certaines choses sont invisibles qu'elles n'existent pas ! Depuis son origine, l'homme s'est persuadé d'une Nature cachottière qui garde jalousement des secrets. Ainsi, à côté des sciences formelles, sont nées au fil du temps, les sciences dites précisément "parallèles", du magisme à l'alchimie, des religions à mystères à l'astrologie, de l'Hermétisme à la Kabbale. Et avec elles, s'est imposé un vocabulaire générique, dont émergent deux grandes disciplines, souvent confondues : l'occultisme et l'ésotérisme. L'une cantonnée au psychisme, et l'autre, visant le spirituel, ont inspiré le présent livre Jean-Jacques Gabut, lequel s'affirme ici, à la fois comme historien et sociologue de ces "sciences du caché". Pour nous en décrire et expliquer fonctionnement et tribulations. Son mérite est de nous offrir simultanément un voyage en méditerranée avec une incursion en Inde et même un détour par l'Irlande. Afin d'en approcher les mythologies et divinités, de Dionysos le grec, à Lug l'Irlandais, en passant par Shiva l'hindou. Qui dit occultisme et ésotérisme dit Art Royal. L'auteur traverse sa période occultiste avec les figures qui l'ont animée, Eliphas levi, Papus, Guénon, entre autres. Pour entrer dans son époque ésotérique avec notamment Oswald Wirth et Jean-Pierre Bayard. Un ultime cadeau nous est fait grâce à la magie de Noël. Apparaissent dans le scintillement festif, Melchior, Gaspar et Balthazar les rois mages, Jésus et Saint-Nicolas, pour conclure cette étude lumineuse, remarquablement documentée. Avec l'occultisme et l'ésotérisme, Jean-Jacques Gabut avait deux mots à nous dire ! Pour en développer le sens et montrer la portée.

05/2018

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Sciences historiques

La Leibstandarte. Ardennes 1944-1945

La 1. SS-Panzerdivision Leibstandarte Adolf Hitler forme l'avant-garde de la 6. Panzerarmee de Sepp Dietrich sur le flanc nord de l'offensive allemande dans les Ardennes. Elle est divisée en Kampfgruppen, avec à sa tête le Kampfgruppe Peiper, dont les éléments blindés incluent le s. SS-Panzerabteilung 501, équipé de Königstiger. L'attaque est lancée le 16 décembre 1944 par un temps neigeux et glacial et, dès le début, le Kampfgruppe est en retard sur son planning. Il capture un dépôt de carburant à Büllingen, mais la défense américaine force Peiper à s'engager sur la Rollbahn D dont le tracé sinueux est difficile à négocier et, bientôt, le Kampfgruppe est étiré sur plus de 25 kilomètres, avec ses chars lourds qui perdent du terrain parce que, véhicule après véhicule, les Tiger II tombent en panne. S'avançant via Stavelot et Trois-Ponts, les éléments de tête du Kampfgruppe atteignent Stoumont avant que le manque de carburant - les Américains ont repris Stavelot et fermé la route de l'approvisionnement pour les Allemands (qui disposent de carburant en quantité à l'arrière) - et l'action des troupes américaines arrêtent Peiper à La Gleize. Six jours plus tard, à la veille de Noël, sans espoir et sans essence, Peiper et ses hommes abandonnent leurs véhicules et se replient vers leurs lignes : seulement 770 y parviennent. Ils laissent derrière eux 135 blindés, dont le Königstiger placé aujourd'hui devant le musée de La Gleize. Ils laissent aussi derrière eux les corps de prisonniers américains - à Malmedy, Ligneuville et Wereth - et de civils, dont le massacre conduira à des procès après-guerre.

01/2018

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Histoire de France

Georges Valois, de l'anarcho-syndicalisme au fascisme

Ce livre n'est pas l'histoire du Faisceau, le premier parti fasciste français, créé par Georges Valois en 1925, mais celle du cheminement intellectuel de son fondateur : comment un homme élevé dans la plus stricte tradition républicaine, acquis très jeune aux idées anarchistes et convaincu de l'innocence de Dreyfus, a-t-il pu évoluer vers l'antisémitisme, le monarchisme et le fascisme ? A dix-sept ans – "l'âge, dira-t-il, où les fils de bourgeois ne voyagent qu'avec leur maman" –, Valois s'est embarqué pour Singapour. Revenu en France dix-huit mois plus tard, il est entré dans les cercles anarchistes où il a côtoyé les pionniers du syndicalisme révolutionnaire et fait la connaissance de leur théoricien, Georges Sorel. A vingt-trois ans, il est parti en Russie comme précepteur dans une famille de vieille aristocratie, dont l'ouverture d'esprit a ébranlé ses convictions. L'observation des communautés juives de Russie, la lecture de Nietzsche, la fréquentation de Sorel et la découverte de Maurras vont le métamorphoser. Rallié à l'Action française, il tente de promouvoir la monarchie auprès des syndicalistes révolutionnaires révulsés par la "république fusilleuse" de Clemenceau. En 1909 il publie une enquête sur La monarchie et la classe ouvrière et, en décembre 1911, il s'associe à Edouard Berth, ami de Sorel, pour lancer le Cercle Proudhon, tandis que Sorel lui-même, qui avait été le principal disciple de Marx en France, crée un hebdomadaire, l'Indépendance, pour dénoncer les méfaits de la démocratie. Le Faisceau sera l'aboutissement – fragile et éphémère – de cette évolution, avant que Valois ne renoue avec ses idées de jeunesse. Mort en déportation le 18 février 1945, il échappe à toutes les grilles de lecture manichéennes dont notre époque est friande.

12/2017

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Monographies

Corpus Painting Hiroshi Sugito

Avec " Corpus Painting ", Semiose éditions consacre une nouvelle collection éditoriale entièrement dédiée à la peinture. En 48 pages, relié façon beau livre, chacun des opus se concentre sur un ensemble précis de tableaux, complété d'un texte en français et en anglais. Une invitation à plonger dans la peinture, à comprendre les ressorts d'une série, à contempler une suite d'images, avec la même dévotion et passion que l'on porte aux retables ou aux icônes peintes. Peintre du silence, Hiroshi Sugito agence dans ses toiles des décors dépouillés propices aux chimères et fantaisies. Malgré des motifs discernables, il flotte une atmosphère parée de mystère, qui distille autant de complexes énigmes à dénouer. Pour obtenir cette transparence voilée, Sugito use d'une technique de couches alternées d'acrylique et de pigments secs, dans une palette aux tons délicats. Il compose ses tableaux en s'appuyant sur des formes géométriques structurantes, des principes de symétrie et des perspectives biaisées, qui stylisent encore ses sujets et les nimbent de théâtralité. ?? Hiroshi Sugito est né à Nagoya en 1970. Elève de Yoshitomo Nara, il est affilié au mouvement Tokyo-Pop (comme Murakami entre autres). Ses oeuvres ont été très régulièrement exposées au Japon et à l'étranger depuis les années 1990 (Modern Art Museum of Fort Worth, Texas, 2006, Miyagi Museum of Art, Miyagi, 2015, Musée Bernard Buffet, Shizuoka, 2015, Tokyo Metropolitan Art Museum, 2017, musée d'art contemporain Hara, Tokyo, 2009, The National Museum of Art, Osaka, 2010, Museum Haus Konstruktiv, Zurich, Suisse, 2014, musée d'art contemporain de Cracovie et Kunstmuseum Moritzburg en Allemagne, 2015. Ses oeuvres font partie de nombreuses collections internationales, notamment celles du SFMOMA, des collections Saatchi à Londres, Goetz à Munich et du musée d'art de la préfecture d'Aichi.

12/2022

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Actualité et médias

Tous les coups sont permis. De Mitterrand à Sarkozy, la violence en politique

La politique est un sport de combat. Violent. Sanglant. Et la Ve République a inventé la joute ultime : la conquête du sceptre élyséen au suffrage universel, une épreuve sanctionnée par un jury composé de 40 millions d’électeurs. La conquête du pouvoir demande un effort de tous les instants, c’est un chemin de croix qui nécessite d’être capable d’humilier l’adversaire, de l’écraser, de le piétiner, sans un regret, sans un remords. Sans un regard pour celui que l’on laisse à terre. Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn, Marine Le Pen, et tous les autres : jusqu’où sont-ils prêts à aller au moment de se lancer dans la guerre de la présidentielle de 2012 ? Quels sacrifices sont-ils susceptibles d’endurer ? Quelles violences sont-ils capables d’infliger pour parvenir au sommet ? L’élixir du pouvoir semble justifier toutes les audaces, tous les excès, tous les crimes. Et c’est d’abord le concurrent issu de ses rangs, de son camp qu’il faut être prêt à poignarder pour arriver : Giscard contre Chirac, Mitterrand contre Rocard, Fabius contre Jospin, Chirac contre Balladur, Sarkozy contre Villepin. Quelques « amateurs », quelques « naïfs », quelques personnalités médiatiques issues de la société dite « civile » se sont risqués dans l’arène, de Bernard Tapie à Nicolas Hulot. Mais au final, la politique est bien une affaire de professionnels. Une idée reçue veut que ce soit l’amour de l’autre, l’envie de servir le bien public qui suscite les vocations. C’est faux. Cette enquête, fourmillant de révélations et d’anecdotes inédites, se propose de décrypter l’histoire de la violence politique. D’Éric Woerth à Michel Noir, d’Alain Carignon à Didier Schuller, de Michel Rocard à Laurent Fabius, on y trouvera les reliques de ces victimes tombées au champ d’horreur de la politique pour affaires, scandales en tous genres, ou simplement… défaites électorales.

10/2011

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Histoire internationale

Aktion T4. Le secret d'Etat des nazis : l'extermination des handicapés physiques et mentaux

De 1939 à 1943, le IIIe Reich mena une vaste entreprise de mise à mort des malades mentaux et handicapés physiques allemands. Considérés par Hitler et son entourage comme des poids morts dans l’économie de guerre, ces patients furent décrits auprès de l’opinion publique comme des êtres dont la vie ne vaut pas d’être vécue. Dans l’Allemagne d’avant-guerre, c’est l’entourage de Hitler (lui-même ne prit pas de décision officielle à ce sujet) qui élabora le programme dit d’« euthanasie » ou T4 (ainsi nommé d’après l’adresse de l’administration : Tiergartenstraße 4, à Berlin). Dans une semi-clandestinité, une lourde machine d’extermination se mit ensuite en place, pilotée depuis Berlin par une administration sophistiquée, entièrement à la solde de la Chancellerie du Führer, qui opérait sous couvert de sociétés écrans. Médecins, infirmiers, membres de la SS participèrent à cette opération, sous le contrôle du Kriminalinspektor Christian Wirth, et sous l’égide d’hommes émanant de l’entourage proche de Hitler (Philipp Bouhler, Viktor Brack, Martin Bormann…). Arrachés à leurs asiles, les malades furent bientôt conduits par cars entiers dans des centres réquisitionnés et spécialement aménagés en Allemagne et en Autriche (Grafeneck, Hartheim, Brandeburg, Hadamar…), où ils furent gazés puis incinérés dans les premiers fours crématoires de masse. Plus de 100 000 personnes furent ainsi assassinées. L’« euthanasie » des malades mentaux et des handicapés allemands préfigure ainsi l’extermination systématique des Juifs dans les camps de la mort, mise en œuvre à partir de 1942. Michael Tregenza apporte ici une remarquable contribution à la connaissance du programme T4, fondée sur le dépouillement approfondi de sources allemandes, autrichiennes et polonaises, notamment sur les témoignages et les interrogatoires menés lors des procès des années 1940 à 1960. Avec un luxe de détails, il décrit l’élaboration de l’entreprise d’euthanasie, ses sources intellectuelles, sa réalisation, son fonctionnement et surtout ses hommes, responsables et exécutants (dont beaucoup travailleront ensuite dans les centres de mise à mort de l’Aktion Reinhard).

03/2011

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Thrillers

Hazard et Somerset Tome 2 : Transposition

Coincés dans un manoir par une tempête de neige, Hazard et Somers vont devoir affronter leurs sentiments... mais aussi un meurtrier implacable, bien décidé à exterminer les occupants des lieux. Emery Hazard et son partenaire, John-Henry Somerset, ont résolu leur première enquête ensemble. Les meurtres brutaux qui ébranlaient la ville tranquille de Wahredua ont pris fin. Toutefois, la vie de Hazard n'a fait que se compliquer depuis qu'il essaie de s'adapter à son nouveau logement. Vivre avec Somers, qui l'attire depuis le lycée, fait du terme "compliqué" l'euphémisme de l'année. La difficulté empire encore lorsque, en dépit de tout ce que lui dicte sa raison, Hazard se retrouve piégé par la météo dans un vieux manoir avec Somers... et obligé de partager un lit. En toute amitié, bien sûr. Et juste quand les choses atteignent des sommets en termes de complications, le lendemain matin arrive avec une tempête qui ne fait que croître. Coupés du monde, Hazard et Somers doivent faire face à un assassin déterminé et intelligent, dissimulé parmi les invités du manoir. Sans renforts, ils ne peuvent compter que sur leurs talents, et sur eux-mêmes, pour survivre. Et tandis que la neige continue à tomber, le meurtrier continue à sévir, et résoudre les mystères devient alors un problème secondaire. #MM #Mystère #Enquête #PersosTrans #HuisClos "Gregory Ashe sait tout simplement comment manier les mots. J'adore son écriture, non seulement pour les sentiments qu'il suscite en moi, mais aussi pour ses descriptions". - Ariana (Goodreads) "Cette histoire explore ce qui se passe lorsque nos héros sont coupés du monde extérieur et doivent travailler sans assistance tout en luttant contre leurs propres démons et contre la météo. Passionnant". - Erth (Goodreads) "Il y a un soupçon de mystère à la Agatha Christie dans celui-ci. Une autre lecture passionnante". - JR (Goodreads)

12/2022

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Critique littéraire

C'était Jacques Doucet

Secret, masqué par son extrême élégance, Jacques Doucet reste une énigme au centre de la Belle Epoque dont il est le couturier (il est le seul à rivaliser avec Worth, son presque voisin de la rue de la Paix) et le confident. Grâce à la fortune que lui assure sa clientèle d'actrices et de femmes, venues des deux côtés de l'Atlantique admirer le raffinement de ses collections (il habille Sarah Bernhardt, Réjane, la Belle Otéro...), cet homme constitue de fabuleuses bibliothèques qu'il offre aux savants. Après avoir réuni des objets d'art du XVIIIe siècle, peintures, dessins, sculptures, ou encore des chefs-d'œuvre d'ébénisterie, il vend cette première collection en 1912 afin d'acquérir, entre autres, des toiles de Cézanne, de Van Gogh, de Picasso ou de Matisse. Son mobilier évolue également - il s'assied dans des fauteuils de Jacob, puis d'Iribe, enfin de Legrain, tandis qu'il s'entoure de conseillers littéraires tels qu'André Suarès et André Breton. Il s'intéresse ainsi aux manuscrits de Stendhal, Verlaine, Rimbaud, puis à ceux d'auteurs contemporains (Apollinaire, Proust, Gide, Claudel, Mauriac...). Il pensionne Reverdy, Max Jacob, Aragon, Desnos en échange de lettres, manuscrits et enquêtes. Les bibliothèques d'art et d'archéologie, puis de littérature française, qu'il forme avant de les offrir à l'Université de Paris, sont des ressources documentaires exceptionnelles, constituant un ensemble considérable de livres, de manuscrits, mais aussi d'estampes, de photographies, de dessins. Il crée la première cinémathèque. Il rajeunit ses visées là où les autres, vieillissant, récapitulent. Il se recommence sans cesse. Cette vertu scandalise. On mesure sa singularité dans la réprobation de ses contemporains. Proche de tout ce qui compte dans les années 1880-1930, sa présence se devine, discrète, efficace, déconcertante. On reste confondu de cette sûreté instinctive, chez un homme sans culture, qui a été notamment un des initiateurs du style Art déco, 1925. François Chapon a mené une enquête difficile sur les pas de ce mécène exceptionnel. Il nous introduit, à sa suite, au cœur d'une des périodes les plus brillantes de notre civilisation.

10/2006

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Littérature française

L'assassinat du Dieu Argent

Le Président : "Mais je ne vous parle pas de la loi ! Ce que vous allez faire est immoral ! D'abord, comment ces 100 personnes vont-elles survivre sur votre île ?" Ikariane Slidovyne : "Ah, ça ? Sauf votre respect, Monsieur le Président, si vous nourrissez la moindre inquiétude au sujet des conditions matérielles d'existence sur cette île, je pense que vous vous égarez. Vous semblez oublier que les personnes dont nous parlons sont des winners, des High Net Worth Individuals, des self-made-women et des self-made-men, elles appartiennent à l'élite du genre humain, elles se sont construites toutes seules, et à partir de rien. A ce propos, il s'agit là d'une heureuse coïncidence, sur cette île déserte, à part des ressources naturelles, il n'y a vraiment pas grand-chose. Si l'on se réfère à leurs revenus et à leurs patrimoines, on peut affirmer sans l'ombre d'une contestation possible que chacun de ces individus ultra-méritants est infiniment plus productif que 50 000 losers réunis. Oh, pardon ! Restons polis : chacun de ces individus ultra-méritant est infiniment plus productif que 50 000 salariés ordinaires réunis. Autrement dit, Monsieur le Président, n'en doutez pas une seule seconde, en moins de 72 heures passées sur cette île, ces êtres d'exception auront évidemment bâti, et de leurs propres mains, toutes les infrastructures nécessaires pour fonctionner. Citons, entre autres choses, des logements avec l'eau courante, l'électricité, le gaz, le chauffage pour la nuit, la climatisation pour le jour, une grande surface et une galerie marchande régulièrement approvisionnées, un hôpital totalement opérationnel, sans négliger, naturellement, quelques boutiques de luxe : ce n'est pas parce qu'on se trouve sur une île déserte qu'il faut renoncer à se faire plaisir ! Par ailleurs, Monsieur le Président, n'oubliez pas, je vous prie, que tous ces événements seront filmés et diffusés à la télévision, ainsi que sur Internet. Aussi, chaque spectateur pourra, de ses propres yeux, admirer les prodiges que les grands de ce monde sont capables". d'accomplir lorsqu'ils déploient leur énergie, leur talent, leur imagination, leur dynamisme, leur force de travail, leur créativité.

01/2017

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Romans policiers

Une enquête de Veronica Speedwell, T1 : Un étrange prélude

Londres, 1887. Maintenant que sa vieille tante est enterrée, Veronica Speedwell est libre de reprendre ses voyages pour une noble cause : la recherche scientifique, et, occasionnellement, un peu de batifolage amoureux. Aussi habituée à chasser les papillons qu'à éconduire ses admirateurs, Veronica a l'intention de s'embarquer dans l'aventure d'une vie ! Mais le destin en décide autrement... Veronica doit bientôt se libérer d'une tentative d'enlèvement, avec l'aide inattendue d'un énigmatique baron allemand. Il la confie à l'un de ses amis, un naturaliste reclus et irascible nommé Stoker. Lorsque le baron est assassiné sans avoir pu révéler ce qu'il savait du complot contre elle, Veronica, poursuivie par un assaillant insaisissable, est contrainte de former une alliance avec Stoker pour découvrir la vérité. " Un duo de choc, une toile de fond historique originale et une intrigue dont les mystères se dévoilent habilement, tel est le style inimitable de Deanna Raybourn. Cette nouvelle série commence en fanfare ! " Library Journal " Un roman brillant ! La narration pleine d'esprit de l'intrépide Veronica et la tension qui existe entre elle et l'excentrique Stoker rendent la lecture très plaisante. Et ce n'est que le début ! " Publishers Weekly " Les excentricités de l'Angleterre victorienne reçoivent un traitement passionnant dans ce roman extrêmement divertissant à la narration énergique. " South Florida Sun-Sentinel " Un régal ! Deanna Raybourn fait partie de ces rares écrivains capables de rendre l'Histoire immédiate et passionnante sans perdre en authenticité. " Rhys Bowen, autrice de Son Espionne Royale mène l'enquête " J'adore ce livre ! La charismatique Veronica Speedwell triomphe de l'adversité et du danger grâce à son esprit vif, son charme et son extraordinaire détermination. Une belle trouvaille ! " Robyn Carr, autrice des Chroniques de Virgin River " Veronica Speedwell fait assurément partie des incontournables du genre policier. " Alan Bradley, auteur de Flavia de Luce " Deanna Raybourn, conteuse hors pair à la voix unique, crée des personnages inoubliables dans un monde riche en détails. " Nora Roberts " Une héroïne intelligente qui a du cran et de l'avance sur son temps. " Fort Worth Star-Telegram

04/2022

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Développement durable-Ecologie

GLIM FOR ECOLOGISTS. Disk included

Learning GLIM will almost certainly change the way you do statistics. The flexibility and generality of the GLIM language encourage a different approach to statistical analysis, which stresses parameter estimation and model criticism rather than hypothesis testing. The GLIM package can handle most of the models that ecologists are likely to fit to their data, including log-linear models of count data using Poisson errors, logistic regression of proportion data using binomial errors, and a wide variety of models for the analysis of survival data. It also allows an extremely general approach to more familiar procedures such as analysis of variance, multiple regression and the analysis of contingency tables. The book provides a practical approach to learning the rationale and methods of linear modelling, starting from absolute basics and progressing in simple steps to cover the critical analysis of experimental and observational data. Minimal background in mathematics or statistical theory is assumed, and the book is aimed at all ecologists front students to experienced researchers. Statistical modelling in GLIM is introduced through an extensive series of ecological examples, where graphical display, model criticism, model simplification, plots of residuals and tests of assumptions about error specification are explained in full. The reader is encouraged to work through examples while sitting at a computer, and all of the necessary data, along with numerous exercises and fully worked answers, are provided on a disk supplied at the back of the book. GLIM for Ecologists is not a statistical recipe book; it informs and educates on the proper use of statistics in ecology, on experimental design and on how to get the most out of your data. Learning GLIM Will certainly bc worth the effort. It's not a question of finding out how to do the same old tests in yet another new statistics package. On the contrary, it involves mastering a powerful set of tools that were originally developed for professional statisticians, but which are now accessible to ecologists through the simple step-by-step approach adopted in this book. The Methods in Ecology Series The aim of this series is to provide ecologists with concise and authoritative books that will guide them in choosing and applying an appropriate methodology to their problem. New technologies are a feature of the series.

01/1993

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Littérature étrangère

S

S, treizième roman de John Updike - du nom de l'héroïne Sara, ou Sare, mais aussi S comme Serpent, sexe, sensualité, comme sagesse (orientale) et science (occulte), et enfin comme sanscrit -, se déroule sur fond de yoga dans un ashram transplanté d'Inde en Arizona et régenté par un pseudo-gourou, l'Arhat. Loin de l'habituel microcosme d'une petite ville de Nouvelle-Angleterre et malgré leurs masques, les personnages sont dénués d'exotisme et marqués par les valeurs et travers d'une époque et d'une société qui, comme toujours, suscitent l'ironie et la causticité de l'auteur. «A quoi bon vivre, demande un des personnages, si l'on ne peut faire peau neuve ?» Changer de rôle, de vie, de milieu, telle est l'aspiration de Sara P Worth, moderne Hester Prynne dont la généalogie est un discret hommage à Nathaniel Hawthorne. En rupture de ban conjugal et social, fascinée par l'aura médiatique de l'Arhat, Sara se fait «sannyasin» pour, rebaptisée Kundalini et sous la férule spirituelle et charnelle du Maître, dompter son ego et parvenir à «moksha», le salut par le rejet de toutes illusions. Accablée d'humiliations, Sara/Kundalini secoue son joug et quitte l'ashram pour vivre son nirvana au soleil des Caraïbes, en marge de ses amours mortes et de ses illusions évanouies. Ce roman, composé de lettres et de bandes pour la plupart dues à Sara, se double d'une comédie d'illusions et de désillusions, acide et doucement amère, contée par la bouche d'une femme à la fois trahie et traîtresse, dans la lignée des héroïnes de Couples, Epouse-moi et Les sorcières d'Eastwick. Une fois encore, Updike se montre tiraillé entre l'ange et la bête, la religiosité et la chair. En quête de sa vérité, Sara/Kundalini, comme ses aînées, cherche à tâtons sa voie au «crépuscule de la vieille morale», parmi les méandres de la philosophie orientale et de l'érotisme. Pétillant d'esprit, fertile en inventions, conçu comme une farce mais emporté par un crescendo poétique, S marque une nouvelle étape dans l'entreprise de «dépoussiérage» du roman moderne que poursuit l'auteur. Une oeuvre à lire d'une traite, non comme un nouveau pamphlet féministe ou sexiste, ni comme une satire des sectes, mais comme une variation baroque et désopilante sur le thème favori de John Updike : le droit de l'individu à l'épanouissement de son moi.

04/1991

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Acteurs

Jean-Claude Van Damme et ses doubles - De Jean-Claude Van Varenberg à JCVD

Un ouvrage indispensable pour les fans de Jean-Claude Van Damme et les amateurs du cinéma d'action. Icône du film d'arts martiaux suite au triomphe de Bloodsport, Jean Claude Van Damme est la représentation même du rêve américain : grâce à son courage et son travail acharné, il est passé du statut d'immigré sans papiers à celui de star de cinéma. Toutefois, la carrière de l'acteur belge a connu de véritables turbulences, le chaos (dépendance à la drogue, dérapages médiatiques...) succédant au triomphe. Un vrai grand écart entre gloire et déchéance. JCVD a néanmoins toujours su rebondir en se réinventant à l'écran à travers des réalisateurs talentueux ou des projets originaux. Dans cet ouvrage enrichi de photographies de tournage inédites et de nombreux entretiens exclusifs récents (notamment les réalisateurs Sheldon Lettich (Full Contact), Peter Hyams (Timecop) et Peter McDonald (Légionnaire), les acteurs Dennis Chan (Kickboxer), Damian Chapa (Street Fighter) et Paulo Tocha (Bloodsport), les scénaristes Chuck Pfarrer (Chasse à l'homme), Lawrence Riggins (Replicant) et Christopher Cosby (Bloodsport) ou encore les producteurs Dimitri Logothetis (Kickboxer Vengeance) et Mike Leeder (La Vengeance sous la peau), l'auteur analyse la carrière de Jean-Claude Van Damme et sa dualité quasi permanente (personnalité bipolaire, doubles rôles au cinéma...). LES POINTS FORTS - Le premier ouvrage qui analyse l'intégralité de la filmographie de l'acteur/artiste martial Jean-Claude Van Damme pour en dégager tout l'intérêt thématique et esthétique. - Suite à un gros travail de recherche très argumenté, l'auteur explore le célèbre parcours du Belge à Hollywood, du succès jusqu'aux polémiques. - Une préface signée Sheldon Lettich, ami et fidèle collaborateur de JCVD depuis les années 1980 (il a signé le scénario de Bloodsport et a réalisé Full Contact et Double Impact, deux films culte de l'acteur belge). - De multiples photographies inédites ou rares provenant des collections personnelles de Sheldon Lettich et David Worth (directeur de la photographie de Bloodsport et réalisateur de Kickboxer). - Des interviews inédites et récentes de nombreux collaborateurs de JCVD (réalisateurs, chorégraphes des combats, cascadeurs, scénariste, directeur de la photographie...) qui proposent différents points de vue sur leur travail avec la star de Timecop. - Un livre qui permet aussi de faire un bilan sur l'évolution du cinéma d'action américain, des années 1980 jusqu'à aujourd'hui, à travers la carrière de JCVD à Hollywood. - Un ouvrage de 290 pages indispensable pour les fans de l'acteur et les amateurs du cinéma d'action. - Un livre dédié à ceux qui ont grandi avec les films de JCVD et qui ont beaucoup souffert en essayant de faire le " grand écart facial "...

11/2022

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Art textile

Hélène Henry. Les tissus de la modernité, Edition bilingue français-anglais

Née en 1891, passionnée par la peinture et la musique, Hélène Henry n'a jamais suivi aucune formation spécifique lorsqu'elle arrive à Paris, à 25 ans. Elle commence par acheter un petit métier à main, s'installe dans un atelier et crée des écharpes qu'elle vend à des couturiers comme Worth ou Nicole Groult. Elle apprend seule à se servir de son métier à tisser et en 1923, elle montre des essais à Francis Jourdain, dont les poteries l'inspirent. Il expose ses créations dans sa boutique et la présente à Pierre Chareau et au cercle de leurs amis "modernes" (Paul Poiret, Pierre Legrain, Jacques-Emile Ruhlmann). La même année, elle s'installe dans un atelier plus grand. H. Henry dessine et peint : bandes, rayures, damiers, motifs géométriques ou dégradés subtils d'une seule teinte. Elle expérimente de nouvelles techniques pour juxtaposer ou opposer des matières ou des points de tissage, en invente de nouveaux. Par le jeu des reliefs et des masses, ses créations semblent être réalisées en trois dimensions. Elle est la première en France à utiliser des fibres artificielles, rayonne ou viscose-fibrane, qu'elle croise avec des fils de coton et de laine. En 1925, elle participe à l'ambassade française du pavillon de la Société des artistes décorateurs (SAD), qui lance le style Arts déco lors de l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de Paris, où ses tissus sont exposés dans le bureau-bibliothèque de P. Chareau et dans la salle de repos. Elle quitte la SAD en 1929 pour participer à la fondation de l'Union des artistes modernes (UAM), aux côtés de Mallet-Stevens, Herbst, Jourdain, Templier, Charlotte Perriand, Sonia Delaunay et d'Eileen Gray, entre autres. Elle reçoit des commandes pour la Villa Noailles de Mallet Stevens, à Hyères (1924) ; le palais du maharajah d'Indore (1930) ; le palais de la Société des nations, à Genève ; le paquebot Normandie ; l'Exposition internationale des arts et techniques de Paris en 1937. Après la guerre, elle participe, avec ses anciens amis de l'UAM, aux expositions de la section "Formes utiles" du Salon des arts ménagers où elle décline ses écossais, ses bandes et ses constructions rigoureuses. Mais ses créations, réalisées à la main, en exclusivité pour un client précis, ne trouvent plus preneur : ses remarquables pièces uniques ne peuvent lutter avec les tissus industriels qui arrivent sur le marché européen. Elle supervise cependant le tissage de ses modèles jusqu'à sa mort, en 1965. 20 ans plus tard, son talent est redécouvert grâce à des galeristes spécialisés et à des expositions comme Les Années UAM, au musée des Arts décoratifs de Paris, fin 1988-début 1989, ou Pierre Chareau, au Centre Pompidou à Paris, (1993-1994).

08/2021