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Je vous écris de Téhéran

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Iran

Je vous écris de Téhéran

Sous la forme d'une lettre posthume à son grand-père, entremêlée de récits plus proches du reportage, Delphine Minoui raconte ses années iraniennes, de 1997 à 2009. Au fil de cette missive où passé et présent s'entrechoquent, la journaliste franco-iranienne porte un regard neuf et subtil sur son pays d'origine, à la fois rêvé et redouté, tiraillé entre ouverture et repli sur lui-même. Avec elle, on s'infiltre dans les soirées interdites de Téhéran, on pénètre dans l'intimité des mollahs et des miliciens bassidjis, on plonge dans le labyrinthe des services de sécurité, on suit les espoirs et les déceptions du peuple, aux côtés de sa grand-mère Mamani, son amie Niloufar ou la jeune étudiante Sepideh. La société iranienne dans laquelle se fond l'histoire personnelle de la reporter n'a jamais été décrite avec tant de beauté et d'émotion.

03/2015

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Iran

Nous femmes de Téhéran

L'Iran est un pays en transition, entre passé et présent, au carrefour de civilisations contiguës et indépendantes, entre Orient et Occident, modernité et tradition. Une République... islamique, qui devrait être une démocratie... religieuse... dans les faits une oligarchie d'ayatollahs et de pasdarans. Au coeur de l'Iran, Téhéran, sa capitale, avec ses différentes âmes, est une femme qui enchante ses interlocuteurs. Comme toutes les Shéhérazade, elle susurre les mots justes. Elle convainc. Elle vous enchantera vous aussi, si vous décidez de voyager. Et comme une mine de rubis, vous serez ouverts à l'influence des rayons du soleil. Farian Sabahi, journaliste et historienne spécialiste de l'Iran, enseigne à Genève et Turin. Parmi ses publications : "Il mio esilio", avec le prix Nobel Shirin Ebadi, "Storia dell'Iran", "Un'estate a Teheran", "The Literacy Corps in Pahlavi Iran", "Islam. L'identità inquieta dell'Europa et Storia dello Yemen". En français, elle a réalisé la lecture théâtralisée " L'Empire perse et ses femmes " au "Rendez-vous de l'Histoire" (Blois 2015).

01/2023

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Littérature française (poches)

Je vous écris tous les jours

" Je vous embrasse, ma chère bonne. Si vous pouvez, aimez-moi toujours, puisque c'est la seule chose que je souhaite en ce monde pour la tranquillité de mon âme. Je souhaite bien d'autres choses pour vous. Enfin tout tourne ou sur vous, ou de vous, ou pour vous, ou par vous. " (23 mars 1671). Pendant près d'un demi-siècle, marie de rabutin-chantal, marquise de Sévigné (1626-1696), a écrit des centaines de lettres à ses amis et à son entourage mais surtout à sa fille après son mariage avec m. de grignan en 1669. Publiée au XVIII siècle, cette correspondance privée sera unanimement célébrée et servira de modèle à des générations.

03/2009

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Littérature française

Je vous écris

Aimer un écrivain contemporain, c'est forcément d'un amour complet et indécis, assuré et imprévu, d'un vrai amour, quoi. Ecrire sur un contemporain, c'est s'exposer à un double démenti, de la part de l'oeuvre dans l'avenir, de la part de l'auteur dès le présent. Mais à quoi servent les écrivains s'ils ne font pas écrire ? Les "récits critiques" contenus dans ce volume, ces aventures dont des livres et leurs auteurs sont les héros (Hervé Guibert, Marie NDiaye, Christine Angot, Rachid O. , Mathieu Lindon), ne prétendent à aucune vérité autre que celle qu'atteint parfois la fiction. Ils racontent une oeuvre prise dans l'engrenage de la littérature, ils sont la voix de la lecture, d'une lecture évidemment, s'exprimant par écrit. Ils sont une autobibliographie, comme le dit le sujet du dernier texte. J'ai tâché de mettre par écrit ma façon de lire des auteurs qui me sont proches, d'exprimer mon affection pour eux et leur oeuvre. Contemporain sous-entendant vivant, on peut s'étonner de trouver ici un texte sur Hervé Guibert, mort fin 1991, mais il m'a été si longtemps si contemporain qu'il le demeure.

01/2004

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Cinéma

Je vous écris

Quand Le Voile noir est sorti, quelqu'un m'a cité une phrase de Sartre que je trouve délicieuse : " Il ne m'était jamais venu à l'esprit qu'on écrivait pour être lu. " Moi, certes, l'idée m'en était venue puisque j'avais réfléchi au fait de faire lire, ou non, ce que j'avais écrit mais cela représentait pour moi une sorte de monologue adressé à des lecteurs indistincts. Je n'avais pas pensé du tout, du tout, que des gens, des personnes me répondraient, me parleraient aussi directement, m'offrant sentiment de partage, paroles d'apaisement, mise en garde aussi parfois sur la difficulté du chemin à parcourir encore. Des mots du cœur, de la belle écriture sincère... Il me fut même offert la vérité sur ce qui s'était passé le matin de la mort de mes parents. Quand j'y pense, c'est vraiment extraordinaire et je ne connais pas d'auteur dont la vision d'un événement capital dans sa vie ait été radicalement transformée grâce à ses lecteurs ! J'ai pensé : " Je ne peux tout de même pas garder ça pour moi seule... " Et voilà comment l'envie m'est venue de " rendre " à mon tour ce que vous m'avez donné - comme le dit si bien cette phrase que l'un de vous m'a offerte et dont je me nourris beaucoup depuis : " Tout ce qui n'est pas donné est perdu. " A. D.

04/1999

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Littérature française

Je vous écris de Salamanca

José avait neuf ans et demi quand, jeune migrant espagnol à Genève ne supportant pas d'avoir quitté sa grand-mère, Abuelita, il réagit impulsivement en donnant des coups de poing qui préoccupent le milieu scolaire et familial. En psychothérapie, José refuse de parler et préfère écrire à la psychologue à laquelle tous les mercredis il porte des pages émaillées d'hispanismes dans lesquelles il exprime ce qu'il ressent. Ce premier recueil de lettres, Hubert Auque l'a intitulé José (Joselito) ; il a obtenu en 1991, en Suisse, le Prix Georges Nicole et vient d'être réédité chez le même éditeur. Dix ans plus tard, José passe une année à Alba de Tormes près de Salamanca sa ville d'origine ; après son baccalauréat, il s'interroge sur son avenir : va-t-il étudier en Suisse ou rester en Espagne ? Pour l'instant, il entretient le potager délaissé depuis la mort d'Abuelita et vend ses légumes au marché de Salamanca. A quelques jours du printemps, il rédige cette longue lettre Je vous écris de Salamanca à l'adresse de son ex-psychothérapeute qu'il a perdue de vue, y notant les préoccupations d'un jeune homme qui entre dans sa vingtième année : affres et bienfaits de la migration, vertus de l'amitié, émerveillement face à la nature salmantine. José qui chérit l'air, l'eau, le soleil, principaux compagnons de son année de solitude, est attentif à l'écologie, la non-violence, l'amour naissant..., tout en reconnaissant le bénéfice de sa rencontre avec la lectrice il y a dix ans. Hubert Auque livre le portrait d'un jeune homme comme il en existe sans doute beaucoup mais qui, de par leur discrétion, n'attirent pas l'attention à notre époque où les valeurs ici exprimées son rarement reconnues.

06/2005

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Autres littératures asiatiques

Je vous écris de Kaboul...

Traquée depuis le retour des talibans au pouvoir, Khatera est contrainte à la clandestinité avec sa famille. Célibataire, éduquée, féministe, consultante pour l'ancien gouvernement de son pays : cela suffit à faire d'elle une cible. Comment survivre, sans se soumettre, malgré les menaces, la peur ? Continuer de se battre pour les femmes, abandonnées par les Occidentaux, quand on risque à chaque instant d'être dénoncée ? Défendre cette liberté pour laquelle elle est prête à mourir ? Un témoignage unique, rendu plus intense encore par le lien qui se noue au fil du récit entre une indomptable résistante afghane et une jeune journaliste française que rien ne prédestinait à s'impliquer dans cette guerre lointaine. Une grande et belle histoire d'amitié et de courage. Khatera Amine a vingt-huit ans. Elle est conseillère politique et militante pour les droits des femmes en Afghanistan. Maurine Bajac a vingt-sept ans. Elle est journaliste sur TF1/LCI.

04/2023

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Littérature française

Je vous écris de Caen

Je vous écris de Caen, en Normandie, présente une succession de tranches de vie inscrites dans l'histoire, avec aussi bien les "occupations" du territoire par les Anglais (de 1417 à 1450) que par les Allemands (de 1940 à 1944). Par l'intermédiaire des historiens, écrivains, romanciers, imprimeurs, mémorialistes, reporters, essayistes, chercheurs, chroniqueurs, peintres, graffeurs, musiciens, facteurs d'orgue, chanteurs, artistes, architectes, journalistes, animateurs, habitants, militaires, témoins connus ou anonymes, descriptions et témoignages (parfois jusqu'à l'intime) se succèdent pour constituer un bel agenda-livre montrant la richesse si diverse de la cité.

11/2021

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Littérature française

Nous vous aimons tous

A l'issue du banquet d'anniversaire des vieux parents, le toast porté par le père va réveiller en chacun des enfants des souvenirs, des ressentiments, des espoirs. Depuis longtemps, les aînés et les plus jeunes ne savent plus se parler. Dans l'obscurité d'une soirée d'orage, la famille se trouve rassemblée pour un huis clos imprévu. Vont-ils enfin inventer ce qu'ils se croyaient incapables de vivre ? Hasards opportuns, émotion et humour seront les chemins d'une renaissance inespérée.

07/2014

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Littérature française (poches)

Je vous écris comme je vous aime

Gabrielle, Emilie. Deux femmes que tout sépare. Elles se rencontrent. S'éblouissent. Doivent se quitter. Mais de ce moment éphémère s'est noué un lien insensé qui les pousse à échanger des lettres à n'en plus finir pour abolir l'espace, le temps, l'oubli et la douleur du manque. C'est l'écriture d'une passion nourrie de la passion de l'écriture.

03/2018

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Guides étrangers

Portraits de Téhéran

Vivre ma ville, ce sont des livres pour voyager autrement, pour découvrir une destination racontée par les habitants. Des personnages de leur ville, qui donnent les clés, les conseils, les bonnes adresses, l'expérience de ceux qui vivent sur place, là où les autres guides se contentent d'auteurs professionnels de passage. Chaque portrait est un roman. Chaque portrait a un enjeu : comprendre le choix de cette ville-là. Chaque portrait permet aussi au lecteur de s'identifier, et donc de choisir ses destinations en fonction du personnage qui résonne le plus en lui. Dans les Portraits de Téhéran, Sara Saidi, journaliste correspondante à Téhéran, nous fait découvrir des personnages étonnants : artistes, entrepreneurs, femmes engagées, intellectuels, ils font Téhéran aujourd'hui. La capitale d'un pays incroyable qui s'ouvre aux voyageurs. Mais qui continue d'interroger sur ses valeurs et son rapport au monde. C'est l'âme de ses habitants, et leurs espoirs, que le livre permet de découvrir. Un récit fascinant, qui donne les clés de l'Iran à ceux qui souhaitent découvrir le pays autrement.

08/2018

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Religion

Je vous écris de la Terre sainte

David Neuhaus connaît intimement la Terre sainte. Arrivé à Jérusalem à 15 ans, il a pris la nationalité israélienne. Converti au christianisme, devenu jésuite, il a tissé des liens avec toutes les communautés, tous les responsables religieux et les habitants de toutes classes sociales. Dans cet ouvrage, il propose des écrits organisés autour de trois grands thèmes : la Terre sainte aujourd'hui, les relations juifs et chrétiens et La Bible et la Terre sainte. Il défend l'idée qu'en Terre sainte, si les chrétiens sont peu nombreux, impuissants et pauvres, ils n'en sont que plus libres de vivre l'Evangile. Quant aux chrétiens d'Occident, il les enjoint à utiliser un langage qui décrirait la réalité selon une nouvelle perspective : la Terre sainte est le lieu où Dieu a placé les juifs, les chrétiens et les musulmans, non pour combattre, mais pour se reconnaître comme frères et soeurs. Un texte très fort, très beau, très clair aussi, qui s'appuie sur de solides arguments théologiques et un langage plein de douceur.

02/2017

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Histoire de France

Je vous écris du bois de Hêtres

Roland Vagues, est né en 1900 et mort en 1951. Il faisait partie des survivants des camps de la mort. Du 18 septembre 1943 au 11 avril 1945, il vécut l'enfer sur terre, l'humiliation, la déshumanisation. Les séquelles physiques et morales subies durant ces 571 jours de tonsure auront finalement raison de sa santé. Son histoire est celle d'un anonyme qui prit conscience de son sort, de son état et qui voulut qu'elle serve de témoignage car, comme tous les déportés, la volonté de raconter était restée souvent forte. Rares sont les sources écrites ou visuelles directement liées d l'enfermement dans les camps. Ce carnet de déportation est une "relique" familiale que son petit-fils Serge Vaguez a souhaité mettre au service de tous. Les témoins de cette folie meurtrière des nazis sont de moins en moins nombreux, la mémoire des camps doit pourtant leur survivre.

10/2013

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Récits de voyage

Je vous écris de Saint-Jean-de-Luz

La collection Je vous écris de... réunit des textes descriptifs depuis le Moyen Age, et parfois l'Antiquité, concernant une ville ou une région donnée. Ce sont rarement des textes de géographes, bien plus souvent des textes de voyageurs. On obtient ainsi le portrait sensible d'une ville considérée dans sa profondeur historique et au travers de ses mutations. Le volume consacré à Saint-Jean-de-Luz débute pendant la Renaissance, lors du retour de captivité de François Ier. Puis viennent les descriptions rédigées en 1660, à l'occasion du mariage de Louis XIV. Peu à peu on sent la ville entrer en décadence à mesure qu'elle se fait envahir par les eaux, jusqu'à son renouveau lié à la construction des digues et à la mode des bains de mer. Il ressort de ce portrait une mise en évidence d'un destin d'océan sont aussi évoquées les villes de Bidart, Guéthary, Ciboure, Socoa, Urrugne, Béobie, Hendaye, Ascain

11/2013

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Poches Littérature internation

"Je vous écris d'Italie"

L'été 1949, un jeune homme à l'enthousiasme stendhalien, Jacques Sauvage, historien de son état, retourne dans l'Italie qu'il a brièvement traversée avec sa section de tirailleurs en 1945. De tous ses souvenirs encore frais, le plus lancinant et le plus émerveillé est celui d'une halte à Varela, bourgade fortifiée dans une vallée perdue au coeur de l'Ombrie. En historien il s'intéresse au passé de Varela, fondée au XVIe siècle par un condottiere ; en ancien combattant il aimerait tirer au clair un des mystères de sa brève campagne d'Italie ; en homme il désire revoir celle qui l'a hébergé pendant son séjour, la Contessina Beatrice de Varela, dernière du nom, au beau et noble visage. A peine arrivé, il est brusquement plongé dans la vie cachée de Varela et de sa vallée, dont les moeurs n'ont pas bougé en trois siècles. La clé de l'énigme est une fête païenne à laquelle tous les habitants se préparent en secret.

03/1986

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Romans, témoignages & Co

Simone Veil, je vous écris

A l'annonce de la mort de Simone Veil, Mona voit des larmes rouler sur les joues de sa grand-mère. Elle décide alors d'en savoir plus sur cette célèbre femme politique. Mona va suivre Simone sous le soleil de Nice jusqu'à l'ombre des camps de concentration... Peut-être percera-t-elle le secret de sa grand-mère ?

09/2022

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Critique littéraire

Je vous écris : Escrevo-lhe

Voici un nouveau recueil d'articles sur l'épistolaire dans le monde luso-brésilien. Pour le Portugal, les études portent sur l'émouvante lettre au roi Emmanuel où l'on trouve le premier dessin de la Croix du Sud ; les savantes épîtres en vers d'un intellectuel de la Renaissance ; les multiples missives qu'adresse de sa prison Francisco Manuel de Melo à ses correspondants ; l'épître didactique de Pedro Galego, franciscain féru d'équitation ; les manuels de lettres d'amour du début du XXe siècle ; la correspondance intime d'Antonio Sardinha ; celle de Fernando Namora, médecin et romancier, peu avant sa mort ; l'utilisation de la lettre par un poète contemporain ou le romancier José Saramago. Pour le Brésil, les travaux concernent deux romans épistolaires peu connus, l'un de Lucio de Mendonça, l'autre de João do Rio ; ainsi que les correspondances de deux écrivains, Lima Barreto, témoin de son temps, et Pedro Nava, dont les lettres confirment et précisent les mémoires. On se rend compte que le thème, loin d'être dépassé, est dune richesse inépuisable, tant il est vrai que de tout temps et sous toutes les latitudes, la lettre a été et demeure un moyen de communication privilégié.

06/2002

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Europe centrale et orientale

Je vous écris d'Auschwitz.

A partir d'archives inédites, ce livre dévoile un pan méconnu de l'histoire de la Shoah - la Brief-Aktion -, tout en honorant la mémoire des victimes.

05/2022

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Littérature arabe

Je vous écris de Gaza sous les bombes. Journal octobre/décembre 2023

Hossam Al-Madhoun, vit depuis toujours à Gaza. Comédien, metteur en scène, directeur et fondateur du Theater for Everybody, il est également membre de l'équipe de soutien psychologique du Centre de Développement Ma'an. Depuis le début de la guerre, il écrit sa vie au jour le jour dans son pays dévasté. Il écrit l'indicible. Il met des mots sur l'horreur, sur l'impuissance, sur la mise à mort délibérée de tout un peuple, sur la lâcheté de l'Occident qui regarde ailleurs. Il hurle aux quatre vents, et ses textes sont relayés par ses amis de partout. En publiant son journal, les Editions du Cerisier se veulent être – modestement – un maillon de plus dans cette chaîne humaine qui veut faire basculer l'immobilisme partagé par les pouvoirs complices et les medias aux ordres. Cette publication s'arrête fin décembre 2023, parce qu'il fallait bien se donner un terme. Mais Hossam Al-Madhoun poursuit son écriture : "J'écris parce que je suis vivant. J'écris parce que ça me fait sentir que je suis vivant. J'écrirai jusqu'à ce que mes yeux se ferment pour la dernière fois... Je continuerai d'écrire."

02/2024

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Littérature française

Le gardien de Téhéran

PrixdelaMaisonPresse23 — L'histoire du gardien du musée de Téhéran, un homme seul face à la menace des religieux fanatiques qui a réussi à sauver 300 chefs d'oeuvre d'art moderne, le trésor de l'Impératrice des arts. Printemps 1979, Téhéran. Alors que la Révolution islamique met les rues de la capitale iranienne à feu et à sang, les Mollahs brûlent tout ce qui représente le modèle occidental vanté par Mohammad Reza Pahlavi, le Chah déchu, désormais en exil. Seul dans les sous-sols du musée d'Art moderne de Téhéran, son gardien Cyrus Farzadi tremble pour ses toiles. Au milieu du chaos, il raconte la splendeur et la décadence de son pays à travers le destin incroyable de son musée, le préféré de Farah Diba, l'Impératrice des arts. Près de 300 tableaux de maîtres avaient permis aux Iraniens de découvrir les chefs d'oeuvre impressionnistes de Monet, Gauguin, Toulouse-Lautrec, le pop art d'Andy Warhol et de Roy Lichtenstein, le cubisme de Picasso ou encore l'art abstrait de Jackson Pollock. Mais que deviendront ces joyaux que les religieux jugent anti islamiques ? Face à l'obscurantisme, Cyrus endosse, à 25 ans à peine, les habits un peu grands de gardien d'un trésor à protéger contre l'ignorance et la morale islamique.

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Littérature française

Le gardien de Téhéran

L'histoire du gardien du musée de Téhéran, un homme seul face à la menace des religieux fanatiques qui a réussi à sauver 300 chefs d'oeuvre d'art moderne, le trésor de l'Impératrice des arts. Printemps 1979, Téhéran. Alors que la Révolution islamique met les rues de la capitale iranienne à feu et à sang, les Mollahs brûlent tout ce qui représente le modèle occidental vanté par Mohammad Reza Pahlavi, le Chah déchu, désormais en exil. Seul dans les sous-sols du musée d'Art moderne de Téhéran, son gardien Cyrus Farzadi tremble pour ses toiles. Au milieu du chaos, il raconte la splendeur et la décadence de son pays à travers le destin incroyable de son musée, le préféré de Farah Diba, l'Impératrice des arts. Près de 300 tableaux de maîtres avaient permis aux Iraniens de découvrir les chefs d'oeuvre impressionnistes de Monet, Gauguin, Toulouse-Lautrec, le pop art d'Andy Warhol et de Roy Lichtenstein, le cubisme de Picasso ou encore l'art abstrait de Jackson Pollock. Mais que deviendront ces joyaux que les religieux jugent anti islamiques ? Face à l'obscurantisme, Cyrus endosse, à 25 ans à peine, les habits un peu grands de gardien d'un trésor à protéger contre l'ignorance et la morale islamique.

09/2023

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Littérature française (poches)

Le voile noir. Suivi de Je vous écris...

Du drame de son enfance, Anny Duperey a donné un récit plein de détresse et d'honnêteté : Le Voile noir. Bouleversés et reconnaissants, de nombreux lecteurs lui ont envoyé des lettres empreintes d'émotion. La comédienne a souhaité rendre hommage à ces témoignages dans un livre-réponse : Je vous écris... Deux odes à la vie, une seule et même générosité, qui nous rappellent combien l'écriture est un acte de partage.

11/2017

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Littérature française

Cris écrits

Rêves en caramboles, vérités secouées, pensées fantasques, éclats de songes, sursauts rieurs, tristes galipettes parsèment mes jours, les piquent, les picorent, jaillissent. Pas de notes ou contre-notes pour les jeter en cage ou les épingler comme je ne sais quel papillon rare sur un liège mortuaire. Ils dansent et se mêlent libres dans la pièce la plus claire de ma mémoire d'où ils sortent parfois pour prendre l'air. Je vous offre tous ceux qui ont voulu s'amuser à se montrer un instant sur les pages d'un livre, murmures, petits cris, gémissements éphémères, grimaces de nuages, rires adolescents... Ils ne vous encombreront pas longtemps mais vous indiqueront peut-être, sans le vouloir, des issues de secours. J.M. R.

05/2018

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Littérature française

Je vous ai écrit

Ce livre se termine à la saison des feuilles mortes que, chante-t-on, on ramasse à la pelle. Et c'est un peu ce qu'Alain Piot a fait Là, reprenant des textes écrits au hasard de la vie, de L'actualité, dans divers blogs, parfois piratés, dont le dernier se nomme Blogazette pour cheveux blancs. Vingt années de feuilles éparses, vingt années approximativement de retraite active dans une association de femmes handicapées, "Citoyennes avant tout", comme dit leur slogan fédérateur énoncé par leur fondatrice, Maudy Piot, qui nous a quittés le jour de Noël 2017. Ce sont des photographies de moments de la vie et des selfies d'humeurs - souvent mauvaises - face à ces images du quotidien. Oui, notre monde n'est pas "beau" mais il s'y passe aussi des choses merveilleuses que nous avons peine à saisir tant l'image est fugitive. L'auteur de ces textes voudrait laisser un message d'espoir à ses enfants et petit-fils, à ses amis, à ceux qui le connaissent et ceux qui ne le connaissent pas ; sans attendre la fin du monde qui sera, il en est sûr, postérieures à notre propre fin.

12/2019

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Actualité politique France

Je vous écris du front de la Somme

"Je vous écris du front de la Somme, qui vient de craquer... " Durant sa campagne, une porte après l'autre, François Ruffin a entendu cette petite musique sur " les assistés ", " les cas soc' ", eux qui " touchent des aides ", pendant que " nous, on n'a droit à rien ". Au bistro, son voisin de bière le déplorait : Je vous aime bien, mais je ne peux pas voter à gauche : je suis pour le travail ! " Alors, dans ces terres ouvrières, que dire, que faire ? Mêlant analyses et témoignages, le député-reporter se bagarre, bien sûr, contre " les vrais assistés ", ceux d'en haut, qu'on ne voit pas. Mais surtout, il en appelle à reprendre la valeur (du) travail, plaide pour une " République du faire-ensemble " : plutôt qu un " vivre-ensemble " passif et poussif, " faire-ensemble ", c'est relever le nez vers un horizon. C'est viser une même direction. C'est se dépasser dans l'action. C'est faire face à ce défi tragique, le choc climatique. Bref, " faire-ensemble " notre part d'histoire, plutôt que d'en rester à l'écart.

08/2023

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Littérature étrangère

Les jacarandas de Téhéran

L'action, qui se déroule de 1983 à 2011, suit l'itinéraire d'un groupe d'hommes, de femmes et d'enfants liés par le sang ou réunis par les flux de l'Histoire. Ce sont eux, les enfants du jacaranda : Neda, née dans la prison d'Evin à Téhéran, arrachée à sa mère après quelques mois ; Omid qui, à trois ans, a vu l'arrestation de ses parents, activistes politiques ; Sheida qui apprend, vingt ans après les purges violentes dans les prisons iraniennes, que son père y a été exécuté. Portrait émouvant de trois générations marquées à vie par des années de répression et de lutte et pourtant unies par un même rêve de liberté et de justice, le livre de Sahar Delijani est d'un réalisme saisissant. Inspiré de l'histoire de sa propre famille, ce roman évoque pourtant des sujets universels. Son écriture, d'une puissance narrative rare, parvient à captiver le lecteur de bout en bout.

04/2014

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Littérature anglo-saxonne

La Librairie de Téhéran

Dors-tu, ô toi qui m'aimes depuis si longtemps ? Téhéran, 1953. Pour leur fille, les parents de Roya veulent le meilleur : ils l'inscrivent dans le meilleur lycée de la capitale, espérant bien faire d'elle la future Marie Curie de ce monde. Une savante, une intellectuelle, une femme capable de changer le cours de l'histoire. Après ses cours, la jeune fille fréquente régulièrement la librairie de M. Fakhri, où elle trouve de quoi étancher sa soif de poésie persane et de littérature étrangère. C'est là qu'elle va faire connaissance de Bahman, jeune activiste politique, bien décidé à changer le monde. La librairie de M. Fakhri devient dès lors un lieu de rencontre et de résistance. Dans cette période politiquement mouvementée, au milieu des recueils de Hafez, Rûmî et Khayyam, naît une inoubliable histoire d'amour.

11/2022

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Littérature étrangère

La librairie de Téhéran

Les amoureux ne se rencontrent jamais par hasard, Chacun abrite l'autre dans son coeur depuis le début. Téhéran, 1953. Les parents de Roya veulent le meilleur pour leur fille : ils l'inscrivent dans un prestigieux lycée de la capitale, espérant bien faire d'elle une savante, une intellectuelle, une femme capable de changer le cours de l'histoire. La jeune fille fréquente régulièrement la librairie de M. Fakhri, où elle trouve de quoi étancher sa soif de poésie et de littérature. C'est là qu'elle va faire connaissance de Bahman, jeune activiste politique, bien décidé à changer le monde. La librairie devient dès lors un lieu de rendez-vous clandestins et de résistance. Dans cette période politiquement mouvementée, parmi les recueils des plus grands poètes persans, naît une inoubliable histoire d'amour. " Les histoires de Marjan Kamali, imprégnées des arômes de la cuisine iranienne, sont de celles qui achèvent de nous convaincre que l'amour peut durer pour toujours. " Library Journal " Un merveilleux conte qui ressuscite avec brio ce monde perdu qu'on appelait autrefois notre chez-nous. " Jasmin Darznik " Une poignante histoire d'amour. " Publishers Weekly

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Littérature étrangère

Bons baisers de Téhéran

Les Soleyman, famille juive chassée de Téhéran, pensent avoir enfin trouvé le répit en s'exilant à Los Angeles. Mais un démon de leur passé, connu sous le nom du Fils de Raphael, va venir les perturber. Enfant illégitime, son existence même est une ombre qui plane au-dessus de leur clan, et son arrivée en Californie fait frémir toute la communauté juive iranienne. Des années plus tard, le Fils de Raphael, devenu un important businessman, est retrouvé assassiné dans sa voiture. Son épouse délaissée, un Soleyman en quête de vengeance, des investisseurs escroqués, ou peut-être même son comptable et confident de toujours ? La liste des suspects n'en finit pas de s'allonger... Entre saga familiale et roman policier, culture persane et culture juive, drame et humour, Bons baisers de Téhéran explore la force des liens du sang et les cicatrices de l'exil.

03/2015

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Littérature française

Je vous écris d'Irlande. Abécédaire

Dans cet abécédaire, Bernard Berrou s'attache à nous faire partager sa passion de l'Irlande. Entre carnets de route, rappels historiques et portraits étonnants, ces textes sont avant tout nourris par ses vagabondages et ses rencontres. Des îles d'Aran au Connemara, de Baltimore à Knock, de Cape Clear au Lough Ree, il s'efforce d'explorer la poésie de l'Irlande à travers les tourbières, les ruines, la pluie, les petites routes, les pubs, etc. Puis il évoque te souvenir de ceux qui l'accompagnent, des écrivains, des peintres, des figures héroïques qu'il salue au passage. Lorsqu'il nous parle des Irlandais, c'est pour célébrer leur sens de l'amitié, leur humour et leur génie verbal. Je vous écris d'Irlande est une véritable déclaration d'amour à un pays de forte identité, marqué par les blessures de l'histoire, en marge de l'Europe.

10/2012