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Fermer ou ne pas fermer ses librairies de brique et de mortier en situation de crise ? Telle était la question que se posait sérieusement la chaîne Barnes & Noble,

Barnes & Noble était présent au salon de Francfort pour dévoiler sa nouvelle filiale, constituée avec l'aide du géant de l'informatique Microsoft. Dans le hall 6 du salon des expositions de la ville allemande, les visiteurs pouvaient découvrir sur le stand Nook and Nook Development la nouvelle entité créée par Barnes & Noble : Nook Media.

Les dirigeants de Barnes & Noble ne coucheront sûrement pas sur la paille demain soir. Même si le trésorier gagne désormais plus que PDG de la chaine, qui a vu son salaire chuter de 90 % cette année.

Depuis plusieurs mois, Barnes & Noble, la chaîne de librairies américaines, annonçait les préparatifs pour séparer ses activités. D’un côté, il y aurait la dimension scolaire, avec la création de B & N Education Inc., et de l’autre tout le reste. Eh bien, ce 3 août, la fission est effective.

Leonard Riggio, actionnaire de premier plan des librairies Barnes & Noble, vient d’acquérir un million d’actions, ce 11 septembre. Achetées au prix moyen de 12,59 $, le calcul définissant la douloureuse est assez simple à effectuer. Désormais, ce dernier dispose de 8,594 millions de parts pour une valeur estimée à 108,204 millions $. 

Suite au dépôt de plainte d'un investisseur devant la Cour suprême du comté de New York, accusant la chaîne de librairies d'information financière de mauvaise qualité, Barnes & Noble tombe sous le coup d'une enquête de la Securities and Exchange Commission. L'avocat new-yorkais David Shaev, lui-même actionnaire de l'entreprise de commerce au détail, a nommé plusieurs responsables de la firme en tant que défendeurs au cours du procès.

Le dernier grand revendeur de livres outre-Atlantique, chaîne de librairie Barnes & Noble, a dû réagir rapidement, après que le Wall Street Journal a fait état d'une délicate information. Fermer ou ne pas fermer des librairies, et surtout, accélérer le mouvement de fermeture, sont autant de questions qui agitent actuellement la société. 

Malgré des tentatives pour concurrencer Amazon et Google, le libraire américain Barnes & Noble a annoncé des résultats moins encourageants que prévu. Son cours en Bourse s'en est ressenti, avec une baisse de 10%. William Lynch, le patron de la firme, estime que les résultats vont repartir dans le bon sens avec les fêtes de fin d'année. Cette période est toujours marquée par une forte hausse des ventes, à l'instar du Black Friday Weekend où B&N a vu ses ventes doubler.

Le libraire étatsunien Barnes & Noble devrait dévoiler un nouveau lecteur ebook, sous peu. Sous très peu... L'information tient dans la paume de la main, pour mieux conserver un certain mystère...

Doit-on envisager le rachat de Barnes & Noble par son rival et second, Borders Group ? En tout cas, cela donnerait un essor dans le monde numérique à l'autre chaîne de librairies, en dépit de ses propres difficultés financières.

iRex rejoint Barnes & Noble et Plastic Logic

La bataille d’avocats fait rage, encore et toujours entre les librairies Barnes & Noble et leur ancien PDG, Demos Parneros. Licencié dans des conditions douteuses – abusives estime-t-il –, il lutte pour obtenir des indemnités, et en l’occurrence, le remboursement de ses frais juridiques. 

Le libraire américain Barnes & Nobles affiche une légère baisse des ventes  de 0,6% au second semestre.  Son chiffre d'affaire reste stable a 1,9 milliards de dollars.

Le géant de l'édition (de logiciel) contre le deuxième libraire des États-Unis, ça vous avait un relent de David contre Goliath pas banal. Pourtant, se retrouver pris dans une affaire de violation de brevet, avec pour plaignant Microsoft, ça en calmerait plus d'un. 

La gamme de services Nook, dédiée à la lecture numérique, sera disponible à l'ensemble de la clientèle des trois chaînes de détaillants. L'annonce par communiqué de presse intervient dans la foulée de celle concernant son association avec John Lewis (

Une semaine après la mise en vente massive sur eBay des tablettes Nook de seconde main à prix réduits ( notre actualitté ), Barnes & Noble revoit à la baisse le prix de vente de ses tablettes neuves. La stratégie du distributeur américain répond ainsi à la concurrence qui menace de cantonner les produits B&N à un second rôle sur le marché. 

La société américaine Barnes & Noble s'est vue contrainte de retirer 500 000 de ses stocks options en bourse, près de la moitié des stocks de subventions investis en bourse par la société il y a maintenant un an.

La semaine dernière, Barnes & Nobles a opéré de très importantes remises sur sa gamme de Nook, dont la plus importante abaissant de £79 à £29 le prix de son Nook Simple Touch. L'effet n'a pas tardé à se faire ressentir auprès des grands revendeurs britanniques. Le modèle avec rétroéclairage est proposé, quant à lui, à £69 contre £109 précédemment. Au point que sur son site, le constructeur et libraire affichait la mention « en rupture de stock ».

En janvier dernier, le ton avait grimpé dans les aigus entre la chaîne de librairies Barnes & Noble et l'éditeur Simon & Schuster. Estimant n'être pas assez soutenu par la maison d'édition, le libraire estimait qu'il faudrait probablement prendre des sanctions. Et d'assurer qu'en regard des parts de marché gagnées durant la période de Noël, il était impératif de soutenir les éditeurs... qui soutenaient la chaîne de librairie.

Selon des personnes proches du dossier, la chaîne de grandes surfaces Wal-Mart a étudié le rachat des librairies du groupe Barnes & Noble. Mais manifestement, le rapprochement n'avait pas réussi à se faire. Sauf qu'en regard des difficultés que Wal-Mart connaît avec Amazon, la question pourrait tout à fait revenir à l'ordre du jour.

Le juge fédéral du bureau de New York vient de rejeter un litige opposant le libraire Barnes & Noble à la société de télécommunications Alcatel-Lucent. Un différend qui concernait la violation d'un brevet revendiqué par Alcatel, et dont B&N aurait fait usage dans la technologie employée pour la connectivité de leur appareil de lecture. 

Avec ses 52 titres relancés, l'éditeur américain de comics, DC, a fait fort. Et pour la première fois depuis un bon moment, il s'est placé en septembre en tête des ventes de comics sur un mois.

Le juge Martin Glenn qui suit la faillite de Borders a autorisé la revente des fichiers clients de la boîte en faillite à son ancien concurrent Barnes & Noble. Il a attendu le feu vert des autorités de régulation fédérales avant de ce faire. 48 millions de clients sont concernés, pour 13,9 M $ (10,2 M €).

En juin dernier, Barnes & Noble annonçait la scission programmée de Nook Digital Media, sa division numérique, déficitaire, qui incluait alors ses activités d'édition universitaire. Finalement, la chaîne a annoncé ce jeudi conserver tablettes et ebooks en son giron, mais séparer plutôt ses librairies universitaires, activité rentable en forte croissance, de son activité de commerce traditionnel. Celles-ci seront donc intégrées à une nouvelle société indépendante et cotée en Bourse, baptisée Barnes & Noble Education.

Des revenus en baisse et des profits revus à la hausse pour Barnes & Noble. La chaîne de librairies américaine, qui a perdu près d'un milliard de dollars en trois ans, dévoilait ce mercredi son bilan financier concernant son troisième trimestre fiscal 2013. La firme affiche une marge brute d'exploitation (EBITDA) de 173 millions de dollars, qui aura triplé d'une année sur l'autre, profitant notamment de l'allégement des dépenses sur le segment Nook.

La comptabilité de la chaîne de librairies barnes & Noble se trouve désormais sous le coup d'une enquête de la US Securities and Exchange Commission, tandis qu'en bourse, le cours de son action subit une baisse en conséquence. Seraient notamment remises en question des méthodes ayant conduit aux résultats publiés par la firme le 29 juillet 2013, ainsi qu'une question de répartition de certaines dépenses.

Quelques semaines après la démission le 8 juillet du directeur général de Barnes & Noble 2010-2013, William Lynch, à l'heure du bilan, on ferait état d'un mandat turbulent. Le principal intéressé a notamment oeuvré sur le premier e-reader de la gamme Nook, en 2009, non sans succès dépassant les attentes de la firme. Ce qui lui avait valu promotion à son poste de responsable de direction. Mais qu'en a-t-il été ensuite de la poussée numérique de l'enseigne ?

Caleb Mason, le fondateur de la toute jeune maison Publerati, a fait part cette semaine dans son blog de son analyse de l'incidence que pourraient avoir les résultats du dernier trimestre de Barnes & Noble, sur le reste de l'industrie de l'édition et notamment sur le Big Six. Selon ses prédictions, d'éventuels chiffres revus à la baisse pour le plus gros libraire des États-Unis risqueraient de changer le paysage de l'industrie du livre.

L'association avec Barnes & Noble de Microsoft prête à sourire. Le géant de Redmond, plus connu sous le nom de Microsoft, n'est pas tout à fait un premier venu dans le domaine du livre numérique. Historiquement, il a même joué un rôle qu'il ne faut pas négliger dans les tentatives de créer son propre format de livre numérique, le LIT. Mais il ne faut pas non plus oublier que Microsoft et B&N sont encore... en procès, pour violation de brevets.

En marge, ou presque, des questions juridiques posées par l'accusation du Ministère de la Justice, concernant une entente sur le prix de vente des livres numériques, impliquant Apple et cinq groupes d'édition, ce sont les places financières qui s'agitent. Et les actions des uns et des autres font un brin de yoyo...