Atwood-

Les débats autour des répercussions de l'affaire Weinstein et de la libération de la parole des femmes sur les réseaux sociaux sont loin d'être terminés. Margaret Atwood, auteure de La servante écarlate, publié en 1987, mais redevenu un succès d'édition récemment, a signé une tribune pour s'interroger sur l'appellation « Mauvaise féministe ». Sur les réseaux sociaux, Atwood a été qualifiée ainsi après avoir commenté une affaire de dénonciation calomnieuse.

Margaret Atwood a décidément la cote auprès des plateformes de streaming : après Hulu et The Handmaid's Tale, adapté du livre La Servante écarlate, c'est Netflix qui s'offre un récit de l'auteure. Alias Grace sera diffusée le 25 septembre 2017, et adapte le roman du même nom paru en 1996 et deux ans plus tard en France sous le titre Captive chez Robert Laffont, dans une traduction de Michèle Albaret-Maatsch.

L'une est auteure reconnue, a signé La Servante écarlate, récit dystopique d'une Amérique qui opprime les femmes, l'autre est actrice, ambassadrice de bonne volonté d'ONU Femmes : Margaret Atwood a été interviewée par Emma Watson pour le magazine Entertainment Weekly. L'occasion d'évoquer les inspirations de l'auteure, la société actuelle et le féminisme, entre autres.

Les bibliothèques de l'université d'État de l'Ohio annoncent la mise en ligne de centaines d'heures d'entretiens radiophoniques réalisés pour Book Beat, émission que produisait la station CBS Radio News. Diffusée entre 1982 et 1993, elle fut présentée par Don Swaim qui accueillait de nombreux écrivains, et non des moindres : Margaret Atwood, Toni Morrison, John Irving ou encore Ray Bradbury, entre autres.

Vendredi 25 octobre lors d’une cérémonie au château de Windsor, Margaret Atwood a reçu l’Ordre britannique des compagnons d’honneur par la reine Élisabeth II pour « services rendus à la littérature ».

C’était l’auteure de l’année 2017, ce fut l’ouvrage révélation, grâce à son adaptation en série : Margaret Atwood poursuit sur sa lancée, et annonce un sequel à La servante écarlate. The Handmaid’s Tale sera donc suivi par The Testaments, qui se déroulera 15 ans plus tard.

La fondation canadienne Writers’ Trust a tenu à honorer l’écrivaine ainsi que son époux en renommant leur prix du meilleur roman ou recueil de nouvelles de l’année. Il est aujourd’hui possible de remporter le prix Margaret Atwood et Graeme Gibson, doté de 60.000 $.

Margaret Atwood s’était déjà posé la question : « Suis-je une mauvaise féministe ? » en prenant une position contestée sur le mouvement #MeToo. Une autre tornade se déclenche, rappelant étrangement celle portée contre JK Rowling, suite à un commentaire de la romancière. Car cette fois, il serait question de propos transphobes.

Avec les milliers de followers qu'elle compte, Margaret Atwood a déjà démontré combien le réseau social pouvait avoir une grande incidence sur les comportements et habitudes des amateurs de livres.

Fan de Twitter, et grande utilisatrice, Margaret Atwood, la romancière canadienne, vient de mobiliser quelques-uns de ses 225.300 et quelques followers pour une noble cause. Mais l'enfer est pavé de bonnes intentions...

Le LA Times Festival of Books vient de se terminer. Margaret Atwood était présente lors de cette manifestation et elle en profité pour accorder une interview au journaliste David Ulin. En quelques minutes, elle évoque la dimension littéraire de la cité des Anges, mais aussi son rapport au numérique. 

À 70 ans, Margaret Atwood a de quoi en remonter aux jeunes auteurs épris de réseaux, de communication instantanée et de messageries internautiques...

Margaret Atwood boude le Festival du livre de Dubai

Margaret Atwood confirme sa présence au Festival de Dubaï

Publié en 1985 et traduit en français en 1987 par Sylviane Rué pour Robert Laffont, le roman La Servante écarlate de Margaret Atwood n'a rien perdu de sa superbe. La preuve, c'est qu'il revient en force dans l'actualité avec la série télévisée sur Hulu, mais aussi une adaptation en roman graphique. Et son propos semble plus pertinent que jamais...

La reine de la littérature canadienne Margaret Atwood a fait le déplacement jusqu'à la Foire du Livre de Francfort, ce samedi matin, pour une conférence de presse à guichets fermés. L'auteure de La servante écarlate, nommée parmi les favoris du Prix Nobel et dont les dystopies sont particulièrement lues dans le monde dans le contexte géopolitique actuel, venait recevoir le Friedenspreis des Deutschen Buchhandels, un Prix de la Paix décerné par l'industrie du livre allemande.

Triste événement sur la tournée promotionnelle de The Testaments, le livre de Margaret Atwood : l'écrivain Graeme Gibson, écrivain et compagnon de l'auteure de La Servante écarlate, est décédé à l'âge de 85 ans, à Londres. Président du PEN Canada, organisation qui lutte pour la liberté d'expression, cofondateur de deux organisations d'auteurs canadiennes, Gibson était également poète et romancier.

L’un des romans les plus attendus de la rentrée, ici comme ailleurs, vient de sortir à la barbe et au nez des libraires américains. Margaret Atwood, qui publie Les Testaments (trad. Michèle Albaret-Maatsch), suite de La servante écarlate, ne devait être disponible que ce 10 septembre. Mais certains clients d'Amazon n’ont pas senti passer l’embargo de Penguin Random House.

AVANT-PARUTION – « Chers lecteurs : pour ce livre, j’ai puisé mon inspiration dans toutes les questions que vous m’avez posées à travers les années sur Gilead et ses rouages internes. Enfin, presque toutes ! Mon autre source d’inspiration, c’est le monde dans lequel nous vivons », raconte Margaret Atwood. Car pour la rentrée, la romancière fait paraître en France Les Testaments, livre événement…

Qui ne le savait pas altermondialiste, le sacro-saint romancier Slamn Rushdie ? En décidant d'ajouter sa voix à celles de centaines d'autres écrivains, c'est un autre souffle qui est apporté au mouvement Occupy Wall Street.

Margaret Atwood, romancière canadienne, lauréate d'un prix Booker avait en projet, depuis une quinzaine d'années, de monter un opéra, qui raconterait l'histoire de l'auteure, actrice et poétesse Pauline Johnson. C'est en 1999 que le projet a commencé à germer, mais jusqu'à lors, impossible de lui donner vie. Grâce à l'Opéra de la ville de Vancouver, ce sera chose faite en 2014.

Le projet Fanado (ex Idolvine) a fait surface sur Indiegogo pour une campagne de crowdfunding à grande échelle : 85.000 $ sont nécessaires au développement d'une application mobile visant à réunir lecteurs et auteurs. Pour parvenir à fédérer le plus de supporters possible, Margaret Atwood a mis toutes ses forces créatives dans la bataille pour faire la promotion de Fanado.

BookBanUSA — La version unique et ininflammable de La Servante écarlate de Margaret Atwood a été vendue aux enchères par Sotheby's, ce 7 juin. Estimé entre 50.000 et 100.000 $, le livre a finalement été emporté pour 130.000 $, une somme intégralement versée au PEN America pour sa lutte contre la censure, aux États-Unis et ailleurs.

Aux États-Unis, la révocation du droit à l'avortement, désormais laissé à la libre appréciation de chaque État, représente une conséquence néfaste de la présidence de Donald Trump, plusieurs mois après son départ de la Maison-Blanche. Comme d'autres citoyens, les auteurs se mobilisent pour maintenir ce droit et garantir la possibilité d'avorter aux femmes le désirant.

L'écrivaine Margaret Atwood tape un boeuf avec The Sadies

Margaret Atwood chantera pour une comédie musicale sur le hockey

Margaret Atwood : Twitter reste un outil, pas de l'écriture

Margaret Atwood sur Twitter, en quête de son identité volée

Mai 68, vu de Prague, par Auster, Atwood et Klima

Le prix Prince des Asturies de littérature à Margaret Atwood