Au bonheur des dames

ce vendredi 27 octobre à 23h, dans l’émission Au bonheur des livres diffusée sur Public Sénat et présentée par Guillaume Durand, deux auteurs explorent les préoccupations contemporaines.

Deux romans parus chez Picquier suivent le parcours d’une jeune femme écrivain public. Confrontée à des demandes variées (ruptures, excuses, condoléances, etc), l’héroine doit trouver les mots justes pour chaque situation. En s’investissant dans chaque histoire, elle y parvient et allège du même coup les souffrances de ses clients. 

Le vendredi 10 mai à 23h, Guillaume Durand présentera une édition spéciale de son émission Au bonheur des livres, consacrée au cinéma grand format et à l'influence indéniable des acteurs et actrices sur cet art. Cette émission tombe à point nommé durant le mois de mai, époque du célèbre festival de Cannes.

Pour sa première à la présentation de l'émission "Au bonheur des livres", Guillaume Durand reçoit deux auteurs qui font l'actualité en cette rentrée littéraire : Agnès Desarthe, pour Le Château des Rentiers (Editions de l' Olivier) et Clément Ghys, pour Le Passant du Bowery (Editions Seuil)

Ces derniers jours, j’ai relu Zola, oui, comme on réécoute Mozart ou Duke Ellington. Le plaisir de lire, c’est la relecture, de même que le plaisir de la musique vient des morceaux qu’on aime réentendre. Le plaisir vient des retrouvailles, familiarité et répétition. Ce qui est courant en musique l’est moins en littérature : écouter Bach et Ravel, ça vous pose mais relire Racine et Gide, c’est passer pour ringard, être cuistre ou chercher le paradoxe. Je relis beaucoup pour mon plaisir. Parmi mes classiques, il y a Zola.

Hector est un collectionneur. Il collectionne tout, absolument tout, il me semble même avoir entendu parler de pattes de lapin. Un collectionneur compulsif à en faire pâlir d’envie Joseph Bonnier de Mosson dont le cabinet de curiosités laisse pourtant entrevoir une pathologie déjà sévère. 

Nos confrères du magazine Lire se sont penchés sur les livres dont la lecture est susceptible de rendre heureux. Interrogeant quelques amoureux de la lecture, ils ont collecté une série de titres à ne pas manquer.

La vie et la passion de Dodin-Bouffant, gourmet

Princesse SarahAu bonheur des damesÀ la recherche du temps perduRobin des BoisLes trois mousquetaires Cyrano de Bergerac

Le Bonheur et le malheur Laetitia PelisseManu Boisteau

« Les peuples heureux n'ont pas d'histoire, je souhaiterais que les historiens n'aient pas trop de choses à dire sur mon mandat. » Cet espoir exprimé par Georges Pompidou trouve son écho moins parmi les historiens que dans la mémoire collective de l'ère post-De Gaulle. A l'occasion de la sortie du Dictionnaire Pompidou le 21 mars 2024, un colloque intitulé « Une gouvernance pompidolienne » se tiendra le jeudi 14 mars prochain au Centre Pompidou.

On le sait, les ventes de livres de l'année n'ont pas été bonnes : et pour cause, ni Fifty Shades, ni Hunger Games pour doper les chiffres annuels, et des éditeurs en berne. Qu'à cela ne tienne, HarperCollins a prévu la relève : la maison vient de confirmer Endgame, un roman Young Adult qui suit de jeunes guerriers lancés dans un jeu dangereux... Et l'adaptation viendra dans la foulée.

Écrivain des années 1920, Pierre Billotey meurt à l’âge de 46 ans, en 1932, d’une crise d’urémie. Il enseignait au lycée Arago (place de la Nation, à Paris) et était secrétaire général de l’Association des écrivains combattants (grièvement blessé lors de la Première Guerre, Billotey avait reçu la Médaille militaire).
Sao Kéo ou le bonheur immobile fut publié chez Albin Michel en 1930, deux ans avant la mort de son auteur. Un an plus tôt, Billotey avait parcouru l’Indochine (voir son récit de voyage L’Indochine en zigzags), où le héros de Sao Kéo découvrit le Bonheur. Roman séduisant, bien de son temps, Sao Kéo a été réédité aux éditions Kailash il y a exactement vingt ans, attirant momentanément l’attention sur un auteur qui est depuis, et assez injustement, retourné dans l’oubli.

Les lycéens des voies générale et technologique avaient rendez-vous, ce mercredi 14 juin, avec les épreuves de philosophie, qui se déroulent désormais en dernier dans le calendrier des épreuves. Comme d'habitude, les candidats ont eu le choix entre dissertation et explication de texte.

Dix ans après le succès phénoménal de La Liste de mes envies – 1,5 million d’exemplaires, best-seller international traduit en trente-cinq langues, adapté au cinéma et au théâtre – Grégoire Delacourt réussit, avec La Liste 2 mes envies, son pari : le retour de Jocelyne, la mercière d’Arras, encore plus surprenante, plus drôle et plus touchante. 

Offrez-lui une réelle tranche de bonheur

Dans son infinie sagesse, le ministère de l'Éducation nationale vient de dévoiler aux futurs bacheliers les dates de leur examen final, à un petit mois des fêtes de Noël. Appréciable et toujours courtoise, la petite note indiquant les dates du bac s'impose à toutes les filiales.  

En faisant des recherches sur le duc Leone Caetani de Sermonetta, Marella Caracciolo Chia, journaliste et écrivain, tombe par hasard sur un échange épistolaire entre la duchesse Vittoria Colonna Caetani et le peintre futuriste Umberto Boccioni. Ces lettres révèlent une relation adultère établie entre ces derniers ; liaison qu'elle a choisi de reconstituer au sein d'Un bonheur inattendu, en resituant le contexte historique et familial de cet amour interdit, mêlé à une écriture romancée. 

En publiant, en 2012, La Liste de mes envies (Lattès, 185 pages, 16 €), l'écrivain et publicitaire Grégoire Delacourt voulait nous faire croire que, dans la vie simple et morose d'une petite mercière vivant à Arras, assise sur ses rêves de jeunesse, la somme de 18.547.301 € ne changerait rien à la donne de départ. Voire le gain ne ferait qu'empirer encore sa situation. Une histoire à laquelle a bien du mal à croire la blogueuse Deedee.

Le président du Centre national du livre (CNL) Vincent Monadé souhaiterait une action forte en faveur de la lecture, rapportent nos confrères de La Croix qui sont allés à sa rencontre à l'occasion du Salon du Livre de Paris.

Sumana Sinha : « L'autre nom du bonheur est français »

Prix Nelly Lieutier en 1921, édité par Plon en 1922, traduit en 25 langues, adapté en comédie puis au cinéma à quatre reprises entre 1929 et 1979, Ces Dames aux chapeaux verts connaît un vif succès en France et Outre – Atlantique. D’abord intitulé Quatre vieux cœurs, c’est le premier roman de Germaine Acremant qui en publiera une trentaine. Aucun ne connaîtra la même audience.

Anniversaire ActuaLitté : crouler sous les livres, un bonheur

La ville de Pau inaugurera du 21 au 23 novembre une nouvelle manifestation, voulue par le maire, François Bayrou, Les idées mènent le monde. Cette première édition se déroulera au Palais Beaumont, donnant l'occasion de rencontres avec des écrivains, philosophes, journalistes, pour échanger autour du bonheur, la thématique de cette année. 

Depuis de nombreuses années, Pau accueille un salon du livre durant le mois de novembre. Mais avec l'arrivée de François Bayrou à la mairie, c'est une petite révolution qui vient de s'opérer. Rebaptisé « Les idées mènent le monde », ce salon littéraire a immédiatement rencontré son public pour la première édition de cette nouvelle formule.

« On ne sort pas de la lecture d’un livre de Cabanis – n’importe lequel – sans éprouver le désir de découvrir les précédents ou les suivants, de remonter jusqu’à la source ». Voilà ce qu’Angelo Rinaldi déclare dans son discours de réception à l’Académie, en 2000, lorsqu’il prend place dans le 20e fauteuil occupé jusqu’alors par Cabanis ; et force est d’admettre qu’il a absolument raison. Pendant ces — courtes — vacances, j’ai lu à la suite trois romans de Cabanis, et mon envie de lire les autres est toujours aussi forte...

Books R Us, c’est un peu le nouveau paradis pour les enfants aux Émirats arabes unis. C’est à Abu Dhabi que ce magasin de livres d’occasion a ouvert ses portes. Il est très rapidement devenu un lieu incontournable pour les enfants grâce à des prix défiant toute concurrence – et une politique d’échange très équitable.

En un week-end d'exploitation, l'adaptation de la série de romans Hunger Games, de Suzanne Collins, comptabilise déjà 155 millions $ de recettes, soit deux fois son budget (78 millions $). Chez Lionsgate, on doit se frotter les mains et souffler un bon coup en pensant à la déconfiture de Disney avec John Carter. Bref, Hunger Games est bien parti pour finir la course en tête, en dernier survivant.