Tout cela avait débuté avec une analyse bien provocatrice, fournie par la SACD, pour qui la création originale à la télévision était menacée. En effet, l’audiovisuel public était gentiment pointé, pour avoir privilégié les adaptations. « Une telle politique pénalise la rémunération des auteurs, puisqu’une part du droit d’auteur revient à l’auteur de l’œuvre originale », notait la SACD.