Harper Lee

Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur d'Harper Lee, publié en 1960 et devenu un des classiques de la littérature américaine, puis du cinéma avec son adaptation en film par Robert Mulligan, avec Gregory Peck, en 1962, est devenu une bande dessinée, signée par Fred Fordham. Grasset en publie la version française ce 7 novembre, d'après la traduction d'Isabelle Stoïanov, relue et actualisée par Isabelle Hausser.

Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, et merci de ne pas trop le modifier non plus : les ayants droit de Harper Lee, représentés par son avocate Tonja Carter, jugent qu'une pièce de théâtre adaptée de l'œuvre de l'auteure décédée, signée par Aaron Sorkin, modifie trop largement le profil d'un des personnages principaux, l'avocat Atticus Finch. La justice a été saisie.

Depuis le 3 mai, l'affaire est devenue un véritable scandale littéraire. La romancière Harper Lee, auteure de To Kill a Mockingbird, prix Pulitzer 1961, figure en bonne place dans le panthéon de la littérature américaine. Son ouvrage, écoulé à plus de 30 millions d'exemplaires, est étudié dans les établissements scolaires et régulièrement réédité. En 2007, elle fut d'ailleurs récompensée de la médaille présidentielle de la liberté pour son apport aux lettres américaines par Bush Jr...

En Alabama, la publication du nouveau livre de Harper Lee ne finit pas de susciter les interrogations. Une enquête avait été diligentée pour définir si l'auteure était bien en mesure de prendre la décision de cette nouvelle parution, et qu'elle n'avait subi aucune influence. Ouverte début mars, l'enquête réunissait les opérateurs du State Departement of Human Resources Department et l'Alabama Securities Commission. 

S'il n'y avait pas une réelle tragédie en trame de fond, et de fortes sommes d'argent en jeu, la comédie que joue l'avocat d'Harper Lee prêterait à sourire. Mais étant devenu l'unique connexion entre la romancière et la presse, ce dernier, Andrew Nurnberg, commence à faire froncer les sourcils. 

Décidément, la romancière Harper Lee, à 87 ans, devrait souscrire à un abonnement spécifique pour les tribunaux. Après avoir réglé un différend qui l'opposait à son ancien agent, accusé d'avoir détourné de l'argent sur ses droits d'auteure, c'est un autre procès qui se profile. Mais toujours sur la question des droits d'auteur de son unique ouvrage, To Kill A Mockingbird.

Au Canada, le gouvernement Harper vient de profiter du fonds de soutien aux éditeurs, un programme d'aide à la production et la promotion du livre, pour revigorer l'économie régionale. Ainsi, la société d'édition Porcupine's Quill va bénéficier d'un financement pour continuer son activité, ainsi que l'a annoncé l'honorable Michael Chong, député de Wellington-Halton Hills, au nom de l'honorable James Moore, ministre du Patrimoine canadien et des Langues officielles. 

La maison d'édition américaine, Harper Collins, se lance dans la publication numérique. Dans le cadre de cette diversification de sa production, elle fait appel directement aux auteurs. L'éditeur donne deux semaines aux écrivains désireux de se voir publier dans la collection Voyager, afin qu'ils soumettent leurs manuscrits directement sur leur plateforme internet, rapporte Galleycat.

Harper Lee Estate, qui gère la succession de l'auteure du classique de la littérature américaine Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, Harper Lee, a été condamné à payer 2,5 millions $ (2,2 millions €). Il est reproché aux héritiers d'avoir voulu empêcher illégalement, en complicité avec un producteur, plusieurs adaptations du célèbre roman pour favoriser la version mise en scène par Aaron Sorkin pour Broadway, créée en 2018.

Go Set a Watchman, le deuxième roman d'Harper Lee, sera disponible le 14 juillet prochain. Écrit dans le milieu des années 1950, le manuscrit aurait finalement été découvert en 2011 et non pas à l'automne dernier, au côté de celui de To Kill a Mockingbird, qui s'est écoulé à plus de 40 millions d'exemplaires. Il  paraîtra en France chez Grasset, sous le nom Va et poste une sentinelle.

Quelques heures après l'annonce de la publication-surprise de Go Set a Watchman, premier roman de Harper Lee qui deviendra d'ici l'été le second publié, une théorie faisait son chemin. Le livre, indiquait le communiqué de presse, avait été retrouvé par Tonja Carter, avocate de l'auteure. Et quelques obsverateurs de s'interroger : Harper Lee voulait-elle réellement publier cet ouvrage ?

Dans les relations délicates entre industries culturelles et Internet, les fournisseurs d'accès ont souvent tenu le rôle de l'intermédiaire à taxer, histoire d'équilibrer les pertes économiques générées par le partage illégal des oeuvres. À présent, le groupe News Corp, inquiet du piratage qui brouille la diffusion de la série Game of Thrones, demande à Google d'intervenir à la racine du problème.

Cela fait un certain temps que l'on entend parler de livres numériques enrichis. La technologie existe pour les créer et les machines (les tablettes notamment) sont parfaitement adaptées à ces nouveaux contenus. Pourtant, les choses ne semblent pas aller bien vite, alors que l'eeB (enhanced eBook) est un bon moyen de convertir les réfractaires au numérique à la lecture sur tablette ou smartphone. 

Harper Collins a annoncé son intention de rebaptiser sa branche américaine Eos Books, Harper Voyager, dans le but de créer une cohésion avec les branches australienne et britannique nommées Voyager.

Le groupe HarperCollins, désormais seul détenteur des droits pour le format poche de To Kill a Mockingbird, a décidé d'abaisser le prix de ouvrage, afin de permettre aux écoles de l'acheter. Cette décision intervient après l'évincement du groupe Hachette, demande qui avait été soumise à la justice par les ayant-droits de la romancière Harper Lee, décédée le 20 février dernier. La décision de justice avait contraint Hachette Book Group à retirer sa version poche et offrait une exclusivité sur le marché au groupe HarperCollins. 

La lauréate du Prix Pulitzer 1961 pour Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, Harper Lee, est morte à l'âge de 89 ans, a révélé le journal local AL. L'auteure est morte dans sa maison, à Monroeville, sa ville natale de l'Alabama où elle était retournée s'installer en 2007, alors que sa sœur Alice était malade. Elle reste connu pour Ne tirez pas et son personnage culte d'Atticus Finch, mais a vraisemblablement signé d'autres livres.

À l'annonce d'un nouveau livre signé de Harper Lee, quelque cinquante ans après la publication de To Kill A Mockingbirg, l'agent Andrew Nurnberg, qui représente l'auteur, joue la star. Pour découvrir, Go Set A Watchman, sorte de sequel à l'histoire originelle, il faudra prendre un avion et venir le lire en direct à Londres. 

Depuis plusieurs mois, les relations entre Harper Lee et son ancien agent littéraire, Samuel Pinkus, défraient la chronique. Ce dernier est accusé d'avoir détourné des sommes perçues sur la vente de l'unique livre, To Kill A Mockingbird. Et ce, sans que la romancière n'en ait vu la couleur. C'est que, âgée de 87 ans, Harper Lee est une femme diminuée, qu'il semblait facile d'abuser. 

Outre-Atlantique, les activités politiques du PEN sont désormais sous le coup d'une vérification amorcée par l'Agence du revenu du Canada (ARC). L'organisme caritatif posé en défenseur de la libre expression, ayant parfois critiqué ouvertement le gouvernement Harper, a vu deux agents se présenter en ses bureaux de Toronto ce lundi dans le but de consulter des documents internes. Prévenu depuis deux ou trois mois, le PEN collabore pleinement avec l'Agence, comme l'a expliqué le président du groupe d'écrivains, Philip Slayton.

Le projet Akira pourrait bientôt être rebaptisé Akira-rlésienne : à force d'être annoncé, repoussé, annulé, retardé, suspendu, repris, et on en passe et on en oublie, plus personne n'y croit. Du moins, Dante Harper semble s'être laissé convaincre que le projet était toujours sur le plan de travail. 

Voici une histoire pas banale pour le monde de l'édition. Un ancien condamné à mort attaque en justice Harper Collins. Le motif : le livre qu'il a écrit sur son calvaire (on s'est rendu compte qu'il était innocent 21 ans après l'avoir mis derrière les barreaux) n'est jamais sorti. Or des exemplaires sont dans la nature. Une information révélée par le

L'Union des écrivains du Québec unie contre Stephen Harper

Cinquante-cinq ans après le succès de son premier titre, Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, la sortie du deuxième roman de Harper Lee Go Set a Watchman (Va et poste une sentinelle), prévue pour demain, ne cesse de susciter l’étonnement. Le premier chapitre de l’ouvrage a en effet été mis en ligne quelques jours auparavant. On y découvre un des personnages principaux, Atticus Finch, beaucoup plus sombre que dans le premier opus. 

La guerre pour les droits de publication numérique des anciens ouvrages continue : Harper Collins avait attaqué la maison d'édition numérique Open Road Media il y a quelques semaines pour avoir publié Julie of the Wolves (voir notre actualitté). Open Road Media vient de marquer un point en obtenant le soutien de Jean Craighead George, l'auteure de l'ouvrage en question.

C’est une constante dans la famille Beckham : à chaque naissance, le prénom de l’heureux événement laisse coi, sans voix, un peu abasourdi. La petite dernière n’échappe pas à la règle, mais sa naissance a également des retombées... en librairie.

Stephen Harper ne saurait être un inconnu pour ceux qui suivent nos colonnes régulièrement. Et depuis

Karine Tuil se laisse happer par les mots pour écrire

Même si les titres n'ont pas grand-chose à voir, Du silence et des ombres est bien l'adaptation cinéma du classique d'Harper Lee, To Kill a Mockingbird, ou Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur. Un film culte de Robert Mulligan sorti en 1962, avec Gregory Peck, Mary Badham, Phillip Alford.

Ben Harper : 'Quand tu n'as plus de corne aux doigts, faut repartir'