Heidi Lorenz-Martinet

Le scénariste Robert Kirkman, désormais mondialement célèbre pour The Walking Dead et la série AMC qui en est tirée, aura une autre vie après les zombies. Sa nouvelle série, Oblivion Song, prévue pour le mois de mars prochain, vient d'être présentée aux États-Unis. Pour cette histoire fantastique, Kirkman travaillera avec le dessinateur Lorenzo De Felici.

Les caméras de l'équipe du Petit Journal de Yann Barthès avaient décidé de s'inviter lors du passage de Hollande et de plusieurs personnalités politiques à l'exposition Monumenta de l'artiste Daniel Buren, au Grand Palais.

C'est l'éditeur de la grande série Martine qui nous en informe : Marcel Marlier, l'illustrateur de Martine, né le 18 novembre 1930, s'est éteint, le 18 janvier dernier.

Oh, certes l'humour n'est pas une chose aisée à partager mais après tout Martine a égayé l'enfance de suffisamment d'entre nous pour que nous lui rendions l'hommage posthume qu'elle mérite. Un site s'était ouvert, Martine logeek (nous rappelons à l'attention de nos amis peu connaisseurs, qu'un Geek désigne un passionné d'informatique et par extension de high tech etc.) pour rendre à César le string qui appartenait à Cléopâtre.

Martine, la célèbre petite fille née de l'imagination de Marcel Marlier et Gilbert Delahaye en 1954, fête cette année ses 70 ans. Avec ses 60 albums vendus à plus de 165 millions d'exemplaires dans le monde, elle est devenue une véritable icône de la littérature jeunesse, incarnant l'enfance et le bonheur pour des générations de lecteurs. Pour célébrer cet anniversaire, les éditions Casterman ont prévu une série d'événements à destination des lecteurs de Martine, dont une exposition à la galerie Gallimard.

Grâce au buzz international autour de la table « feel bad books » montée par Maldoror. books et Electron_livre au Furet du nord de Lille, il est peut-être temps de parler du plus feel bad book de tous les feel bad. Voici celui qui fera tourner les corbeaux au-dessus de vos têtes, bouffant chacun de vos cheveux blancs en guise de mise en bouche. Vous allez crever, c’est une certitude, mais sans avoir lu La grande vie de Jean-Pierre Martinet, ce serait pire que tout. Pas le temps ? 48 pages. Pas les sous ? 9 euros. OK c’est parti.

Il aura fallu un article récent  du Figaro pour que j’apprenne l’existence de l’œuvre de Jean-Pierre Martinet. Je lisais pourtant le Monde à l’époque où ses livres sont parus mais il ne me semble pas qu’il ait jamais été question de lui. Il était simplement un inconnu au bataillon littéraire dont les ouvrages ne se sont vendus qu’à quelques centaines d’exemplaires en leur temps, ce qui, sans doute, ajouta à son amertume.

Par Henry Jean-Coudy

L'album Martine à la ferme est sorti chez Casterman en 1954. C'était le début d'un long succès puisqu'un soixantième album est paru en 2010, Martine et le Prince mystérieux. La jeune héroïne a su séduire un large public, avec 110 millions d'exemplaires vendus en langue française, et pas moins de 40 millions en langues étrangères, rapporte l'Agence Belga.

Au premier regard, c’est un livre qui ressemble à s’y méprendre à un roman sentimental. Une impression qui émane sans doute de sa couverture aux tonalités hollywoodiennes et de son héroïne, Gloria, une belle adolescente éperdument amoureuse de son professeur de théâtre.

Le Jury du Prix de la Fondation Martine Aublet, présidé par Monsieur Xavier Darcos Chancelier de l’Institut de France, s'est finalemet réuni pour choisir son lauréat. Ce prix, décerné pour la 6e année, est doté d’un montant de 10.000 euros. 

Entre le XVIe et le XIXe siècle, Amérindiens et francophones ont cohabité dans le Nouveau-Monde, nouant des relations tantôt amicales, tantôt hostiles. Bien avant la conquête de l’Ouest, des hommes voyageaient en territoire indien pour collecter des peaux et des fourrures.

Sur décision de Fleur Pellerin, en accord avec le maire d'Albi, Stéphanie Guiraud-Chaumeil, et celui du Conseil régional de Midi-Pyrénées et du Conseil général du Tarn, la scène nationale d'Albi aura désormais une nouvelle directrice. La proposition de nommer Martine Legrand, a été unanimement accueillie le 12 mars dernier l'occasion d'une réunion dédiée.

Impossible, impensable, improbable que vous ayez passé votre enfance sans avoir rencontré Martine, la petite fille entourée d'animaux dont les aventures à la plage, à la montagne ou dans le marais poitevin (encore à écrire) ont émerveillé toute une génération. Voire plusieurs.

Ah, Martine, modèle de l’enfance idéalisée à la soixantaine d’albums : amorcée en 1954, cette série chez Casterman débuta avec Gilbert Delahaye, avant de connaître une nouvelle époque avec Jean-Louis Marlier. L’édition crie-t-elle famine qu’elle aille sonner aux galeries Lafayette leur voisine ? Voici qu’un nouvel épisode des aventures de la petite fille fait débat… Et pour cause, il prend place aux Galeries Lafayette, avec un but promotionnel clairement affiché.

Ah, cette chère Martine... l'héroïne de Casterman avait subi les affronts d'un joyeux farfelu bien décidé à lui en faire voir des vertes et des pas mures, et surtout à offrir aux internautes les joies de mille et une facéties, en créant un cover generator, ou en français générateur de couvertures, où toutes les audaces étaient permises.

Mais ce dernier suite aux protestations de l'éditeur avait décidé de retirer son service de la toile, après que tout le monde s'est rué dessus pour créer les choses les plus incongrues.

C'est un récit qui chemine dans des temporalités différentes, les années trente, au moment ou Matteo l'Italien arrive en France

Créé en 2012 en partenariat avec le musée du quai Branly - Jacques Chirac, le Prix Martine Aublet est attribué à un ouvrage publié en France qui a apporté une contribution significative à la compréhension des cultures et civilisations non-occidentales. 

Fondé en 2012 en collaboration avec le musée du quai Branly - Jacques Chirac, le Prix Martine Aublet récompense un ouvrage paru en France qui contribue de manière notable à la compréhension des cultures et civilisations non occidentales.

Ce mercredi 17 février, François Busnel racontera de grandes et de « petites » histoires avec ses invités, réunis sur le plateau de La Grande Librairie. Parmi eux, Éric-Emmanuel Schmitt, qui viendra évoquer son récit de l'humanité, qui devrait courir sur huit tomes...

La lauréate du 24ème prix Goncourt des lycéens, Carole Martinez, avec son roman Du domaine des murmures, a été félicitée par le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel. Ce dernier a tenu « à saluer le choix de cette œuvre profonde, où la poésie rejoint l'histoire dans un magnifique hymne à la langue », précise le ministère dans son communiqué.

Fort de sa première salve diffusée ce matin dans Libération, le ministre de la Culture s'est également offert un passage sur Europe 1 pour remettre les idées de Martine Aubry en place.

Le prix du livre « Sciences pour tous » des collégiens et des lycéens, soutenu par le Syndicat national de l’édition, a été remis le 7 juin à l’Académie des sciences. Simon Hureau a reçu le prix dans la catégorie Collège pour son ouvrage L’Oasis (Éditions Dargaud). Martine Regert a reçu le prix dans la catégorie Lycée, pour l’ouvrage qu’elle a dirigé, Abeilles. Une histoire intime avec l’humanité (Editions du Cherche-Midi/Editions du CNRS).

L'arrivée de mon père en France, de Martine Storti

Martine Cadieu écrivaine et critique de musique est décédée lundi

Ce mardi 18 juillet, Alexandre Bompard prend la direction du groupe Carrefour, quittant la Fnac et une rémunération qui s'élevait à 13,9 millions € en 2016. Pour le remplacer, c'est un binôme qui dirigera le groupe Fnac Darty : Enrique Martinez, directeur général France et Europe du Nord, et Jacques Veyrat, administrateur du groupe, prennent les rênes.

Le Prix des postiers écrivains a été remis à Daniel Martinez pour son livre Le Temps des yeux publié aux éditions Lavoir Saint Martin, le 28 janvier dernier. La remise du prix s’est déroulée lors de la cérémonie des vœux du Groupe La Poste, en présence de Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances.

BONNES FEUILLES – Sur fond de piano jazz, l’histoire poignante d’un trio familial brisé. Un roman d’une grande délicatesse. Patrick Martinez sait avec justesse, pudeur et subtilité dépeindre la complexité des sentiments humains, la détresse d’un regard humilié, la souffrance des êtres au bord d’eux-mêmes et de l’abîme, chacun avec ses questions, ses remords, ses rêves aussi.