Libre partage

Extrait Mais pourquoi des poètes ?

Sur le site web dédié à l'édition The Domino Project, son fondateur l'entrepreneur et auteur Seth Godin a publié un article décrivant ce qu'il appelle « l'effet best-seller ». Lui-même a publié quelque 18 livres, qui ont été traduitsdans plus de 35 langues, et chacun d'entre-eux a rencontré un véritable succès commercial. Existerait-il une recette du best-seller ?

On a déjà observé le phénomène : après la consécration de 12 years a slave qui a remporté 7 statuettes lors de la 86ème cérémonie des oscars, c'est au tour du livre qui a inspiré le film de passer sous le feu des projecteurs. Dans la nuit de dimanche à lundi les mémoires de Salomon Northup sont passées de la 326 ème place dans les ventes sur Amazon à la 19 ème.

Depuis de nombreuses années déjà l’association Lire et faire lire, portée le romancier Alexandre Jardin, et Pascal Guénée, ancien Président du Relais civique, s’attache à développer le plaisir de la lecture chez les enfants. Le principe est assez simple : il s’agit de faire intervenir, dans le cadre d’une solidarité intergénérationnelle, des retraités dans les écoles primaires.

Traducteur russe écrivant en français et lecteur universel, André Markowicz est parti arpenter la poésie chinoise Tang du VIIIe siècle. Il ramène de son voyage des Ombres de Chine qui sont autant de lumières sur l’art de traduire. Dimanche 4 octobre, il sera au festival Vo-Vf, le monde en livres à Gif-sur-Yvette, et partagera le récit de cette traversée.​

Certains parleront d'économie du partage, d'autres d'« Uberisation » : Booksquare, application actuellement en développement, s'appuie sur la géolocalisation pour faciliter le prêt de livres entre particuliers. Un concept déjà connu, que Booksquare entend personnaliser et humaniser, en mettant en avant le rendez-vous entre les lecteurs et, pourquoi pas, le reste du monde du livre.

C'est ce qui s'appelle ménager la chèvre et le chou. Dernier né des expériences sociales autour de l'encre numérique, The Book Elf prévoit le partage d'ebooks. D'abord des titres tombés dans le domaine public, facilement échangeable en l'absence de droit sur la propriété intellectuelle. Mais après s'être fait la main, le farfadet numérique prévoit une tout autre paire de manches : la mise en place – graduelle - d'un partage de livres sous droits.

Alors que le candidat du MoDem a envoyé une lettre aux finalistes de l'élection présidentielle afin de les interroger sur des points précis et pouvoir ainsi se déterminer lors du second tour, François Hollande a annoncé avoir déjà répondu à François Bayrou.

Rapporteur pour l’Assemblée nationale de la loi Création, le député de la 7e circonscription de Paris, était présent au Forum de Tokyo. Il avait d’ailleurs porté un amendement en septembre dernier, pour enfin ouvrir la loi aux auteurs de l’écrit, totalement oubliés dans un texte consacré aux champs artistiques.  

Président de l’EMECA, pour European Major Exhibition Centres Association, Claude Membrez est depuis 2004 directeur général de Palexpo, le Palais des congrès et centre d’exposition situé au Grand-Saconnex, en Suisse. Pour augmenter leur attractivité, les manifestations doivent se réinventer. Et, dans le même temps, garantir aux exposants une qualité de services. Des impératifs que porte, notamment, le Salon du livre de Genève.

Depuis des décennies, le Centre en politique est considéré comme un courant girouette, indécis, ambigu, opportuniste, mou ou au mieux une variable d’ajustement de la Droite. Sa place dans la vie publique est cantonnée au second rang, dépendante de petits arrangements électoraux qui brouillent son message et le décrédibilisent aux yeux des Français. Sur le plan militant, le Centre est un cimetière de bonnes volontés déçues et de talents méprisés.

L’histoire finira bien, comme il se doit : cette Parisienne qui avait eu l’idée de partager un livre avec ses concitoyens écopait d’une amende. Une verbalisation de 68 € pour du book crossing, l’histoire était totalement stupide. Heureusement, la mairie de Paris a décidé de réagir.

Pour cette quatrième édition, la Nuit de la lecture se déroulera le troisième week-end de janvier 2020. Partout en France et en Outre-Mer, divers lieux participant à la valorisation de la lecture, ou plus largement, à la diffusion de la culture, seront mis à l’honneur au cours de cette manifestation. Ainsi musées, librairies, bibliothèques, centres culturels, mais aussi établissements scolaires, hôpitaux et centres pénitentiaires accueilleront le public et proposeront diverses animations au sein de leur structure. 

Exclusif : Avec malgré tout une année de retard sur ses concurrents, Google Play se décide à ouvrir un nouveau service de partage en famille. Partage en Famille sera introduit, selon nos informations, dans les prochains jours, voire semaines. Une fonctionnalité qui autorisera le Responsable de famille à partager ses achats avec les membres de sa famille.

Située au cœur du vieux Carouge, Nouvelles pages est une librairie indépendante axée sur la littérature francophone et étrangère, la littérature suisse, la poésie, le voyage, le polar, les essais parlant de l’actualité, la bande dessinée, la littérature pour la jeunesse, en passant par un choix ciblé de beaux livres.

AVANT-PARUTION – Édouard Dumortier, fondateur de la start-up nantaise AlloVoisins, revient à travers son premier ouvrage Le futur de l’économie collaborative, sur les limites de notre modèle économique traditionnel. Il évoque aussi l’accélération de l’économie collaborative à l’heure de la crise sanitaire et économique. 

Edumoov, plateforme numérique d’aide aux enseignants du premier degré, prolonge l’accès gratuit à son application 

Google avait été très clair au moment de dévoiler son nouvel algorithme : les règles allaient changer, pour le plus grand bien des ayants-droits... Ou presque : l'auteur d'un manuel sur le codage à partir du langage informatique Python s'est vu privé de publicités, et donc de revenus Google AdSense pour avoir tenté de partager gratuitement son livre via Pirate Bay et Demonoid, deux sites souvent utilisés pour des partages illégaux.

La formule de Marc Andreessen a fait des ravages : « Pourquoi les logiciels ont mangé le monde ? » Concise, fulgurante, cette conclusion observait tout simplement le mouvement en cours. Les start-ups montées sur internet dévorent littéralement la toile, et notre quotidien. Dévorent, ou facilitent, c’est selon, mais explorent la Share Economy, l’économie du partage. Sauf que, qui partage quoi ? 

La société BitTorrent continue de développer des applications innovantes pour faciliter le partage de fichiers entre des particuliers ou des professionnels. Dernière nouveauté en date, une application dénommée Shoot.

Savez-vous planter des choux, à la mode du Wisconsin ? On ne les plante ni avec les pieds, pas même avec le front ou le nez, non, dans l'État américain on se sert désormais des bibliothèques publiques. Tandis que se popularise l'habitude de « consommer-local », le nouveau service de prêt consiste à fournir le lectorat, en graines prêtes à semer. L'emprunteur rapporte quant à lui les semences qu'aura ultérieurement produites sa plantation. Pratique.

Les pirates d'hier sont devenus les consommateurs d'aujourd'hui, bien que les générations se suivent, que les outils s'améliorent et que l'on trouvera toujours sur le net de quoi satisfaire sa soif de produits culturels. Le monde du livre est le dernier à devoir affronter cette question, et pour le moment, en France comme ailleurs, les réactions sont hésitantes. Or, à mesure que se diffuse le livre numérique, le partage de fichiers s'accélère. Certes, pour les nouveautés des maisons, cette pratique peut poser problème. Toutefois, le monde du livre ne se limite pas à elles : entre marketing et piratage, se joue la question de la diffusion. Le commercer de demain repoussera-t-il les limites pour jouer avec la contrefaçon ?

Le débat sentait gentiment la naphtaline, et ne se retrouvait plus que dans les pages Culture du Figaro. Après, c'est Jean d'Ormesson qui le dit : « Le Figaro, pour la littérature, c'est désastreux. » Pourtant, profitant de la Foire du livre de Londres, la question est revenue : les éditeurs vont-ils mourir ?

Le site Cyberlibris donne accès à des bibliothèques numériques. Créée en partie par Éric Briys en 2001, la société fête ses dix ans de livre numérique.

John Grisham partage la souffrance de Dan Brown

Intéressante réaction qui vient d'être publiée dans

Les Presses Universitaires de Lyon (PUL) lancent une nouvelle collection pluridisciplinaire intitulée "Lignes de partage", qui s'adresse principalement aux étudiants. Cette collection captivera tout aussi bien les esprits passionnés de sociologie et de littérature. Deux premiers ouvrages ouvrent le bal.

Les propositions du ministère ne font pas l'unanimité

Depuis 11 ans maintenant, les librairies Payot organisent une opération Partager Lire, dont le point d’orgue se déroule durant le Salon du livre de Genève. L’idée est simple : récolter des ouvrages, qui seront envoyés par la suite dans un pays partenaire. Après six années de collaboration avec la Tunisie, c’est cette année au Sénégal que les livres seront envoyés.