TaleFlick plateforme données

Et une fois encore, les données personnelles des usagers de réseaux sociaux sont menacées. Utilisateurs de Facebook, LinkedIn ou Twitter, ils sont 48 millions à s’être fait siphonner les informations par Localblox, pointée comme responsable. Et bien entendu, sans leur consentement...

L'achat d'une application, opération bête comme chou avec un iPhone, a été la voie royale convoitée par l‘édition : créer des applications-livres qui pourraient offrir une nouvelle aventure dans la lecture. Mais manifestement, au Japon, si le secteur du livre numérique devait croître de 200 milliards de yens en trois ans, la protection des données personnelles serait menacée.

Le réseau social Goodreads a changé de fournisseur de données. De Amazon, il passera à Ingram, en plus de la Library Congress. Le motif ? Les conditions beaucoup trop contraignantes imposées par Amazon.

Quand on pense bibliothèque numérique aux États-Unis, 2 noms viennent à l'esprit : OverDrive, suivi par son concurrent principal 3M. Ce dernier, à l'aide de sa bibliothèque stockée dans le cloud, vient de convaincre la New York Public Library et d'autres établissements de tenter le prêt numérique, avec la bénédiction d'éditeurs de plus en plus nombreux. Et hérite également de la gestion des données...

Depuis plusieurs semaines, la mobilisation s'organise autour d'un projet de règlement européen sur les données personnelles, leur conservation et leur exploitation. Un récent rapport européen suscite l'ire des archivistes, car il pourrait condamner leur métier et la mémoire historique en cédant à la protection des données face à Facebook ou Google. Un procès d'intention que les archivistes, notamment, cherchent à éviter.

L'achat de livres numériques a radicalement changé la manière de se procurer des livres. Rien que cela, oui. Nous avions eu l'occasion d'évoquer le sujet : la disparition de l'achat de livre en liquide est une véritable perte de la confidentialité, contrairement aux ventes en ligne. Évidemment, se procurer en ligne des livres papier ne change rien à la situation, en regard du livre numérique... Mais il reste les librairies.

L'Electronic Privacy Information Center a décidé d’attribuer à Tim Cook le titre de « champion de la liberté ». A l’occasion du dîner qui a suivi cet événement, celui qui dirige Apple depuis 2011 s’est fait le protecteur des données personnelles des utilisateurs de services en ligne.

Dans la formation d’ingénieur au traitement des données massives, ou Big Data, la France n’est pas vraiment en retard et de nombreux talents, hélas, ont souvent tendance à quitter l’Hexagone pour aller mettre leurs compétences au service des start-up américaines.

À la Foire du Livre de Francfort, le mode de locomotion rapidement adopté s'avère être la course, tant les invités sont nombreux, et les coursives chargées. Au détour de l'une d'entre elles, nous avons pu nous entretenir avec Eraj Siddiqui et Erik Bank, respectivement président et directeur du développement commercial de Digimarc Guardian, société spécialisée dans la pose de watermark et la protection des contenus.

Depuis la dématérialisation du livre, une tout autre réalité s'est, elle, bel et bien matérialisée : l'examen des Big datas, ou données personnelles, permettant de quadriller le comportement des lecteurs. Et plus les offres de services innovent en matière de livre numérique, plus elles semblent se doter de capacités monstrueuses à identifier, ficher et classer/ranger/trier les utilisateurs. État des lieux, en binaire...

Google vient de proposer sa vision de la rémunération du contenu informationnel sur Internet : si le freemium existe déjà depuis un moment, et a été testé avec le succès et les déceptions que l'on sait, les Google Consumer Surveys pourraient bien générer du revenu sans ruiner le lecteur. Par quel miracle ? De courts sondages qui, une fois renseignés, débloquent l'accès au contenu.

Si, il y a cinq ans encore, le stockage en ligne avec possibilité de synchroniser ses données avec l'ensemble des appareils utilisés était encore balbutiant, cette possibilité semble commencer à devenir suffisamment populaire pour que tous les grands s'invitent à la table.

Dans l'État de l'Illinois, la loi BIPA, relative à la confidentialité des informations biométriques, a permis ce mardi 26 avril à deux investisseurs d'Amazon de poursuivre la direction de l'entreprise. L'objet de la plainte : des manquements sans précédent au contrôle et à la sécurité des données recueillies sur les employés et utilisateurs. 

Feedbooks améliore les meta-données de ses ebooks

Spécialisées dans la publication de titres scientifiques, techniques et médicaux, les éditions Lavoisier lancent une plateforme numérique. A partir de cette interface les utilisateurs pourront accéder à un fonds de 2000 livres numériques.

La plateforme izneo a choisi l'ouverture du Salon du Livre de Paris pour présenter sa nouvelle offre : la mise en place d'un abonnement permettant un accès illimité à ses différents contenus. Avec un prix d'abonnement fixé à 9,90 € par mois, « l'Abo BD illimité » permet à l'abonné de lire autant de bandes dessinées qu'il le souhaite au sein du catalogue Abonnement.

Selon le directeur général de Circulo de Lectores, sa nouvelle plateforme de contenus numériques Booquo ne ressemble à aucune autre. En intégrant le modèle du réseau social à celui d'une plateforme comme Spotify (pour le livre), Circulo de Lectores espère bien intéresser ses abonnés.

Pour se faire une place sur la Toile face aux géants que sont Amazon ou, en France, la Fnac, les libraires indépendants avaient eu la riche idée de constituer une plateforme les référençant : 1001libraires.com. Mais, depuis, de l'eau a coulé sous les ponts. Et cette structure a bien du mal à trouver sa place, comme l'analysent nos confrères de Télérama dans le numéro de cette semaine, malgré l'intégration récente de la vente de livres numériques.

Alors que le marché du livre numérique peine à décoller en Australie, les éditeurs indépendants kiwis ont décidé de s'allier pour monter leur propre plateforme de distribution d'ebooks. La formule est intéressante, mais reste à voir si les éditeurs australiens sauront aussi bien que leurs comparses anglo-saxons prendre la vague numérique.

Exclusif ActuaLitté : S'agit-il du premier désaveu de la plateforme par éditeur ? Izneo, qui venait de se tourner vers les professionnels (notre actualitté) essuie en tout cas un net revers avec le départ des éditions Delcourt. Qui emporte avec elles les éditions Soleil, sur lesquelles la maison BD a récemment mis la main. 

Début octobre certains utilisateurs de la plateforme commerciale Kobo, parmi les plus observateurs, ont constaté d'étranges divergences dans la tarification des titres numériques. Pour un même livre, et rien qu'en se loguant et déconnectant son compte client, ils se retrouvaient alors face à deux, voir trois prix différents. Des théories diverses et variées quant aux raisons de ces écarts de prix injustifiés se sont diffusées sur le web, avant que Kobo ne s'explique officiellement cette semaine. C'est en fin de compte un bug qui est en cause.

En octobre 2011, la plateforme de ventes de livres en ligne Bookish venait de nommer un nouveau PDG, Caroline Marks, à la tête du réseau regroupant Hachette Book Group, Penguin Group (USA) et Simon & Schuster (voir notre actualitté). Un an après, Caroline Marks quitte la société.

Après les éditeurs Kana et Sakka, au tour de l'autre maison spécialisée dans le manga, Kazé, de signer un accord de diffusion et de distribution de son catalogue numérique avec la plateforme Iznéo. Les aficionados de romans graphiques à la japonaise pourront bientôt avoir accès à des séries numériques parmi lesquelles : Toriko, Beelzebub, Blue Exorcist, Beyblade, Ikigami, Dengeki Daisy, Happy Marriage, Ken le survivant, Chopperman, ou encore Rock Lee.

La société Liberty Media pourrait être intéressée par la plateforme Nook, appartenant au libraire Barnes & Noble, selon différentes sources proches du dossier. « Ils considèrent que le Nook peut prendre l'avantage sur le Kindle », explique cette même source.

Pour l'édition 2012 du Salon du livre, une nouvelle plateforme professionnelle sera mise en place : BibliDoc. Celle-ci est destinée à mettre en relation « les 4 000 responsables des bibliothèques et centres de documentation qui se déplacent chaque année Porte de Versailles ».

Le ministère de l’Education nationale s’engage dans une grande campagne qui s’adresse aux jeunes qui ont quitté le système scolaire prématurément. Il s’agit de « donner à chaque jeune la possibilité de construire son avenir professionnel, y compris pour les jeunes qui ont interrompu leur parcours en cours de route ».

Denis Thébaud, PDG et fondateur du groupe de distribution Innelec Multimédias, annonce clairement la couleur : Allbrary repose sur un principe connu, celui de bibliothèque, pour devenir une plateforme globale de contenus numériques. L'outil, qui entrera en phase bêta le mois prochain, ouvrira officiellement au mois de mars. 

Grosse journée pour Aurélie Filippetti, ce 19 novembre, avec le lancement de la plateforme France TV Éducation, résultant d'un partenariat avec le ministère de l'Éducation nationale et France Televisions. Bruno Patino, directeur général délégué et Rémy Pflimlin, PDG, étaient présents avec Vincent Peillon pour cette inauguration d'envergure. Détails et projet d'une nouvelle approche de la WebTV. 

L'éditeur Scholastic Inc. mettra à disposition des internautes une version bêta de son application gratuite Storia mardi prochain. Celle-ci permet de télécharger des livres pour enfants, ainsi que des livres multimédias.