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Le secteur de la librairie connait aussi un phénomène de concentration : outre-Manche, la chaine de librairies britannique Waterstones, propriété du fonds d'investissement américain Elliott Advisors, est devenue propriétaire de Blackwell's. La vingtaine de boutiques et les employés changent de patron...

Waterstones a pris une sage décision. Suite à la plainte d'une jeune femme ayant travaillé chez PoundLand et déposé une plainte auprès du Département du travail et des pensions (DWP), l'enseigne a décidé de ne plus participer au Work Program (Plan pour le Travail, plus communément appelé outre-Manche le plan « Retournez bosser ») mis en place par David Cameron.

Ce sont les cadres de la chaîne de librairies Waterstone qui viennent d'endurer la mauvaise nouvelle : 66 postes de gestionnaires ont été supprimés la semaine passée, dans le cadre d'une restructuration en cours dans l'entreprise. 

James Daunt fut nommé pour opérer une grande modification dans la structure de la chaîne de librairies Waterstone, avec un classement spécifique, qui se détacherait de la situation géographique. C'était une quarantaine de groupes qui était prévue, en octobre 2011, distinguée selon leur taille et le statut socio-économique de leurs clients. Avec une perte de 37,3 millions £ sur ses derniers résultats financiers, la firme a annoncé la mise en place de son programme. 

La semaine dernière, un touriste américain s'est retrouvé enfermé trois heures durant dans la librairie Waterstones de Trafalgar Square, à Londres. L'infortuné David Willis, pris au piège alors qu'il se promenait encore entre les rayons à la fermeture, avait alors été contraint de lancer son SOS via Twitter, provoquantle buzz sur la toile. L'homme a finalement été libéré, mais certains se seront inquiétés du temps de réaction des libraires. Dans la foulée, l'enseigne s'excuse avec une initiative originale : inviter dix clients à passer la nuit en boutique.

La chaîne de librairies britanniques Waterstones annonce par la voix de son directeur général James Daunt que c'est la fin du tunnel. « Nous nous dirigeons vers le seuil de rentabilité pour l'année fiscale actuelle. Si nous avons un Noël décent, c'est là que nous parviendrons. » Une grande nouvelle, alors que la librairie en ligne a déjà marqué une étape importante en réduisant ses pertes de 23 millions £ l'année passée.

La chaîne britannique de librairies Waterstones a été vendue au fonds d'investissement américain Elliott Advisors, qui a acquis une participation majoritaire dans la société pour un montant non dévoilé. La transaction sera complétée en mai prochain, et l'avenir de Waterstones, qui compte aujourd'hui 283 boutiques, restera entre les mains de James Daunt et son équipe, qui restent à la direction de la chaîne.

Le 22 juillet dernier, un incendie s'est déclaré dans l'est de Londres, dans le centre commercial à Walthamstow, qui compte 66 magasins. Personne n'a été blessé dans l'incident, mais plusieurs boutiques sont contraintes de fermer suite à de gros dégâts. Notamment une des librairies de la chaine Waterstones, très appréciée par les habitants. 

Le « rôle vital » des libraires

Le déconfinement tant attendu est sur le point de se mettre en place en Grande Bretagne et les librairies vont pouvoir de nouveau ouvrir leurs portes. Au complexe problème du contact entre la couverture des livres et les clients, la chaîne de librairies britannique Waterstones apporte une solution radicale, et se prépare à mettre les ouvrages touchés par les consommateurs en quarantaine pendant 72h. 

Après plusieurs années de farouche résistance et de critique ouverte, James Daunt révélait en mai dernier que la chaîne de librairies britanniques dont il est le directeur général, Waterstones, distribuerait les Kindle d'Amazon en magasins. (voir notre actualitté) Une alliance étrange, dont quelques détails ont été dévoilés : après une réorganisation globale des librairies, les Kindle débarqueront bien, dès le mois d'octobre.

Waterstones connaît une période difficile, comme nombre de librairies. C'est peut-être l'une des raisons du départ de Sarah Clarke, directrice des relations avec les éditeurs, vers l'éditeur Pan Macmillan. Une information relayée par The Bookseller. 

Suite à un essai concluant dans un petit nombre de magasins, la chaîne de librairies Waterstones va désormais proposer le paiement sans contact à ses clients dans ses autres boutiques au Royaume-Uni. Les clients n'auront ainsi plus à entrer leur code de carte bleue pour effectuer des achats.

Apple a dévoilé sa montre connectée, et le temps s'est arrêté, pour ceux qui suivent les innovations technologiques de la marque. La chaîne de librairies physiques Waterstones se distingue de ses concurrents par une défense Mordicus du livre papier, essentiel dans ses rayons et sa stratégie. La firme a réalisé une parodie de keynote autour de sa Waterstones Watch.

Après avoir coupé court à son accord contre nature avec Amazon et son Kindle en octobre 2015, le libraire britannique Waterstones tire un nouveau trait sur la lecture numérique. La chaîne a décidé de cesser la vente de livres numériques depuis son propre site et renverra désormais vers la plateforme de vente Kobo. Les clients seront redirigés comme il se doit – et Kobo s’installe un peu plus dans le paysage d’outre-Manche.

La chaîne Waterstones a décidé de fermer un de ses établissements, situés dans le centre commercial The Oracle Shopping Center. Un message sobre sur une feuille A4 pour informer les clients, est apparu le 8 janvier. Avec une échéance fixée pour le 10 janvier. À peine le temps de se retourner pour les clients, qui n’en reviennent pas.

On s'amuse bien chez Waterstones : pour fêter à leur façon la sortie du film La Grande Aventure Lego, les libraires ont décidé de reproduire quelques unes des scènes les plus marquantes de leurs dernières lectures. Dracula, Roméo et Juliette ou Game of Thrones, les titres sont variés mais le plastique est toujours aussi haut en couleurs.

Quelle mouche a piqué James Daunt ? Le directeur général de la chaîne de librairie Waterstones a surpris tout le monde en annonçant hier une alliance avec Amazon, pourtant qualifié d'« impitoyable démon de la cupidité » quelques semaines auparavant. Si les détails de l'accord ne seront révélés qu'à l'automne, plusieurs indices ont déjà filtrés et laissent dubitatifs quant à l'avenir de Waterstones.

Propriétaire de Waterstones au Royaume-Uni et de Barnes & Noble aux États-Unis, le fonds d'investissement américain Elliott Advisors semble intéressé pour étendre ses propriétés dans le domaine de la librairie, avec le potentiel rachat de la chaine de librairies Blackwell's.

Le livre numérique est mort. Ou du moins, entre-t-il dans un déclin funeste : voilà l'avenir que le fondateur de la chaîne de librairies, Tim Waterstone, lui prédit. Selon lui, l'amour pour le mot, imprimé, n'est pas mort en Grande-Bretagne, et l'objet papier est l'un des produits de consommation les plus réussis. Autrement dit, la révolution numérique va prendre du plomb dans l'aile - et pas seulement le sel qu'on lui expédie régulièrement.

L'annonce récente de la maison d'édition américaine Barnes & Noble d'un déploiement imminent de son offre de lecteurs ebooks et de tablettes à l'international a immédiatement fait envisager un contrat très probable avec le libraire britannique Waterstone.

Waterstone's arrive quelque peu en retard, mais son directeur général James Daunt reste confiant : « Nous avons besoin de vous offrir quelque chose qui soit au moins aussi bon, et de préférence substantiellement meilleur, que ce que propose notre rival sur Internet. »

Toutes les librairies - les chaînes, tout du moins - dans le monde, considèrent donc que c'est Amazon qui a raison. Et pour suivre la voie tracée par le marchand de Seattle, c'est un nouvel acteur britannique qui va lancer son lecteur ebook.

L'empire du contrat d'agence s'étend petit à petit. Après Amazon, c'est au tour de Waterstone de lâcher prise face à Hachette et Apple.

L'ensemble des poèmes de George Orwell est désormais compilé dans un seul et même livre. George Orwell : The Complete Poetry présente une originalité de taille : chaque poème est accompagné des circonstances dans laquelle il a été écrit, allant jusqu’à expliquer l’état de santé ou psychologique d’Orwell au moment de la rédaction. Des détails qui avaient poussé les ayants droit à ne diffuser le livret qu'auprès des membres de la Orwell Society... C’était sans compter sur un petit coup de pression de la part d'Amazon ou encore Waterstones. 

La chaîne de librairies britanniques Waterstones a renoué avec la rentabilité, et son actuel possesseur, le milliardaire russe Alexander Mamut va s’en séparer. L’actuel directeur général, James Daunt, espère bien conserver son poste, après que les nouveaux propriétaires auront pris les boutiques en main.

Cinq démissions encaissées, alors que le patron James Daunt s’apprête à quitter le Royaume-Uni pour diriger les librairies Barnes & Noble, cela n’augure rien de bien méchant ? Peut-être pas, mais les questions salariales chez Waterstones commencent à devenir récurrentes.

Il était peut-être à ses débuts un modeste libraire indépendant, mais depuis, la chaîne Waterstones a bien grandi. Et son propriétaire Tim Waterstone, qui l’a fondée en 1982, n’est pas peu fier de cette réussite. Même si elle s’est accompagnée de la fermeture de nombreux établissements indépendants.