abonnement numérique livres

La quatrième édition est sera consacrée à la place prise aujourd'hui par les plateformes numériques dans l'activité des éditeurs, des libraires et des bibliothécaires (bibliothèques publiques et universitaires confondues).

De conférences en salons du livre, depuis le Parlement jusqu'aux plateaux de télévision, quand il faut parler de livre numérique on se tourne le plus souvent vers les grands éditeurs papier. Bien que leur compétence dans le domaine de l'édition soit incontestable et qu'ils soient concernés par le sujet, on peut se demander s'ils sont cependant les plus à même pour conduire, sans biais, les débats sur le livre numérique.

Le service d'accès et de lecture de livres audio Bardowl, lancé en 2012, avait tout pour séduire : outre sa chouette mascotte, le site proposait un modèle économique audacieux. Pour 9,99 £ par mois, l'abonné accédait à un catalogue de livres lus, en version illimitée. Restait à convaincre les éditeurs, ce que le service n'a pas su faire à temps pour assurer sa survie économique.

Depuis mai 2010, un grand mouvement a été mis en branle : l'Identification of E-Books Working Group a été fondée pour réfléchir aux principes d'identification des livres numériques, suivant les recommandations de l'Agence ISBN. Des ebooks et de tout ce qui est oeuvre numérique.

Voilà une start-up qui a de grandes ambitions. Oyster veut proposer un nouveau système d'abonnement aux livres numériques, essentiellement sur smartphone. Ces abonnements existent déjà, chez Amazon  par exemple, mais Eric Stromberg et son équipe entendent bien se démarquer du reste du marché.

Formation à Fontaine O Livres le vendredi 21 juin 2013.

Les catalogues de timbres de la maison Yvert & Tellier, une des maisons les plus connues au niveau international dans la philatélie, viennent d’être numérisés, et seront bientôt disponibles le 2 septembre.

Les interventions des dirigeants d'Amazon sont suffisamment rares pour attirer l'attention, surtout s'il s'agit de parler de sujets sensibles. Russ Grandinetti est récemment intervenu dans un événement, Digital Book World, qui se déroulait à New York. L'occasion d'évoquer le marché du livre américain, et les perspectives de la firme de Jeff Bezos.

La société espagnole 24Symbols a monté une offre d’abonnement illimité de livres numériques. Récemment, la firme a signé avec l’opérateur téléphonique Orange, pour apporter aux clients espagnols leur service de lecture. Le responsable Business Development, chargé des relations avec les éditeurs, Alex Fernández, nous parle de ce nouveau développement.

Que l'on soit clair, autant que faire se peut : désormais, toute vente d'un abonnement par le biais d'une application iOS sera ponctionnée de 30 % à direction d'Apple. Voilà une semaine que la firme en a décidé ainsi, pour ne pas perdre trop d'argent. Mais la situation n'est pas si évidente que cela pour les développeurs.

Avec la création d’un pôle éditorial dédié, Bookinou proposera plus de 300 histoires au format audio d’ici la fin d’année, dont 30 % de productions internes. Pour profiter pleinement de ces contenus, Bookinou lance l’abonnement Bookili+. Objectif : 300 histoires jeunesse au format audio.
 

Si la France reste toujours en retard dans le développement du livre numérique, les secteurs du livre pratique et de la littérature jeunesse pourraient être de nouveaux relais de croissance. C'est du moins ce que conclut la dernière étude du cabinet de conseil Bain & Company présentée au Forum d'Avignon, rapporte l'AFP.

Au Salon du livre américain («Book Expo America»), Evan Schnittman et David Steinberger ont indiqué des pistes pour promouvoir le livre numérique, auprès des lecteurs et des éditeurs.

D'abord regardé avec méfiance, le modèle de l'abonnement pour accéder aux livres numériques devient une piste de développement pour les grands groupes éditoriaux. Le suédois Bonnier annonce ainsi la mise en place d'une offre d'abonnement, sur le site BookBeat, avec la perspective d'une expansion à l'international.

Visiblement, le service public créé toujours des vocations : à Manille, Hernando Guanlao a tenu à monter sa propre bibliothèque en hommage à ses parents, tous deux fonctionnaires. Sur Balagtas Street, l'homme a installé son étal, qui semble ne tenir que par la force des centaines d'ouvrages disposés derrière lui. Mais ne lui parlez pas d'abonnement, de pénalités de retard, ou même... de retours.

L'information fit hier une bonne centaine de fois le tour du net : Amazon envisagerait un service d'abonnement, à la manière de Netflix, pour sa tablette. Une somme forfaitaire, contre un accès illimité (?) à l'ensemble des contenus culturels ? Une sorte de bibliothèque payante, donc...

La société espagnole 24Symbols vient de faire une entrée fracassante en Allemagne, où elle va proposer son offre de livres numériques en lecture illimitée. Cette exportation intervient quelques mois après celle de Skoobe, un service allemand propulsé par Georg von Holtzbrinck, Random House et Bertelsmann, parmi les plus grands éditeurs allemands.

2013 aura marqué l'éclosion des outils de streaming dans le monde du livre. Autant de services qui se sont développés pour offrir un accès illimité aux livres, contre une formule d'abonnement mensuel. Une solution présentée souvent comme l'alternative au piratage, d'autant plus qu'elle se doublait d'une offre gratuite, contre publicité. Spotify pour le livre ?

Nous vous l'avions annoncé, le modèle de l'abonnement mensuel pour emprunter des ebooks sur des librairies en ligne pourrait bien se généraliser.

Pour 2023, Amazon mettra fin à la location de manuels scolaires imprimés aux Etats-Unis. La plateforme entend également diminuer son offre d’abonnement aux journaux et magazines papier comme numériques disponible via Kindle. Parmi les raisons évoquées, le ralentissement qui touche le secteur du livre depuis la fin de la pandémie.

Le livre n'est sûrement pas l'industrie culturelle la plus touchée par le piratage, mais le développement du format numérique pousse — ou non — les professionnels à s'armer d'un peu de prudence. Lettres numériques propose les 5 raisons qui peuvent pousser un lecteur à commettre l'irréparable, à travers une simple recherche Google. Ou comment se prémunir du téléchargement pirate, pour un éditeur.

L'opposition ne date pas d'hier, et c'est sur elle que repose tout le conflit entre la France et le Luxembourg, et la Commission européenne : le livre numérique, ce n'est pas un livre. Et c'est la raison pour laquelle on lui applique une TVA plein pot, contre l'acceptation d'une TVA réduite pour les formats papier. Mais la Commission n'est pas seule à avoir décidé de ce fait. Les écoles en font également la douloureuse expérience.

Connu avant tout pour son rôle de distributeur, Immatériel s'est fixé pour mission d'assurer une circulation optimale des ebooks de ses 300 éditeurs dans une chaîne du livre en pleine mutation. Au-delà de ça, Immatériel, c'est aussi une boutique et un fournisseur d'outils pour les librairies et les bibliothèques. Rencontré au Salon du Livre de Paris en mars dernier, Xavier Cazin nous a évoqué avec nous l'histoire d'Immatériel.

Dans le cadre du Contrat de progrès pour l'économie du livre en Limousin, le Centre régional du livre organise, le lundi 1er décembre 2014, à l'Hôtel de Région, de Limoges, une journée interprofessionnelle sur le thème « Livre numérique – livre papier : une nécessaire complémentarité ».

La plateforme Custommade propose une infographie comparative, mesurant les avantages écologiques des lecteurs ebook contre les livres imprimés. Et de prime abord, il semble bien que se débarrasser de sa bibliothèque de papier ne soit pas l'action la plus écolofriendly que l'on puisse faire. 

Qu’est-ce que le numérique a changé à la chaîne du livre ? Tout d’abord la dématérialisation : sans l’objet livre disparaissent évidemment tous les métiers liés à sa fabrication, ainsi qu’à sa circulation physique... mais de nouveaux métiers spécialisés dans le traitement informatique des données apparaissent en conséquence. Voici une infographie pour visualiser ces bouleversements. 

Faut-il encore se préoccuper d'un format imprimé, quand on a envie de publier un livre ?À l'heure du livre dématérialisé, de la commercialisation sur les plateformes les plus variées, d'une mise en vente dans les territoires du monde entier... pourquoi du papier ? La question est plutôt de savoir si le livre numérique est réellement plus rentable pour l'écrivain qui s'y plonge. Book Patrol présente une infographie assez intéressante.