chercheurs technologie robot

C’est l’histoire d’une histoire, auxquelles se mêle celle d’une startup. Mais c’est avant tout l’histoire d’une profonde déception, qui décide les quatre cofondateurs à se lancer. Lost My Name avait déjà eu le droit à son coup de projecteur, lorsque Google y injecta quelque 9 millions $ pour en assurer le développement. Maintenant, le rythme de travail s’intensifie.

L'évènement à une saveur toute asimovienne. La retransmission en streaming des prix Hugo a soudainement été interrompue en cours de diffusion dimanche soir par un robot. À la place du flux en direct, un message de la plateforme de diffusion Ustream se contentait d'expliquer que la « Worldcon [convention co-organisatrice du prix, ndlr] avait été bannie pour infraction aux droits de la propriété ». Un message devenu bien célébré sur le web qui est intervenu au moment ou l'auteur Neil Gaiman recevait un prix pour son scénario d'un épisode de Doctor Who.

Le mythe du manuscrit envoyé par la poste et bénéificiant d'une publication a la peau dure. Entretenu ou non par le secteur, il n'en reste pas moins une forme mythique qui auréole les maisons d'édition.

Et si toute enquête policière aboutissait à la rédaction d’un roman ? Les revenus des ventes financeraient de la sorte les coûts informatiques de l’ordinateur central de la police. Une littérature qui s’autorentabiliserait, parce que précisément rédigée par les bons soins d’un robot littéraire : une intelligence artificielle complexe en mesure d’analyser les faits et de les relater. Voici l’heure des rapports d’enquête devenus romans policiers. 

Nicolas Sarkozy, l'hyperprésident doublé par un robot

Ninomiya-kun, le premier robot qui sait lire

Angry Robot, la nouvellle collection SF de HarperCollins

Les solutions développées par Gutenberg Technology permettent de construire le contenu d’un livre de façon à ce qu’il soit par la suite possible de le publier aussi bien au format numérique qu’au format papier.

L'émergence de la lecture numérique aurait non seulement changé la donne pour les écrivains qui ne parvenaient à se faire publier par les maisons traditionnelles, mais également façonné de nouvelles habitudes pour les publics rencontrant des difficultés à lire. Tandis qu'au Royaume-Uni on dénombrerait un lecteur adulte sur six déclarant lutter avec les écrits, l'organisme de bienfaisance Quick Reads, lancé en 2006, a récemment publié les résultats d'une enquête démontrant les bienfaits de l'ebook sur les comportements de ceux qui ont adopté la technologie. La moitié d'entre eux estime qu'elle lirait désormais plus qu'avant.

La plateforme européenne pour la valorisation du patrimoine culturel Europeana vient d’être célébrée comme l’un des 100 projets les plus exemplaires dans le monde numérique. Le Nominet Trust 100 récompense les personnes et organisations qui travaillent à changer le monde. De l’innovation sociale à travers les technologies numériques, en somme. 

La situation critique dans laquelle vivent aujourd’hui de nombreux auteurs et éditeurs invite à chercher de nouveaux modèles économiques à même de supporter la création et les créateurs. Ce texte voudrait introduire le lecteur à l’arrivée prochaine d’une plateforme de financement collaborative qui permettra aux internautes d’investir sur des projets, d’en devenir collaborateur et d’obtenir des rémunérations.

COMICS – Pour ce nouveau rendez-vous au cœur du 9e art, ActuaLitté et les libraires des magasins Momie vous emmène dans un futur lointain. Ici, pas de robots ni d’humanoïdes, mais des planètes terraformées et des mondes magiques. Qu’y aura-t-il après la technologie ? Le monde sera-t-il meilleur sans machine ? Ces deux comics en donnent un aperçu... 

Elle ne manque pas de ressources, la romancière canadienne. Une nouvelle édition de son livre propose en effet de découvrir de nouvelles technologies de lecture, pour les internautes. Et par quel type d'appareil cette découverte inédite doit-elle transiter ? Hmm ? Accrochez-vous, ça vaut le détour.

Le LABO BnF propose à ses visiteurs une expérience d'un genre un peu particulier. A l'appui de la technologie Kinect de Microsoft, le collectif Kalamar-e kidz a conçu une œuvre qui immerge l'utilisateur dans l'œuvre littéraire.

La société E Ink, qui fabrique des écrans à base d'encre électronique, pour l'ensemble, ou presque, des sociétés commercialisant des lecteurs ebook dans le monde, va faire évoluer ses technologies. La nécessité fait force de loi, et pour le coup, un récent entretien autour de l'écran Mobius, développé en partenariat avec Sony, n'a pas apporté de révélations bien fameuses. 

L'américain Ectaco (East-Coast Trading American Company Incorporated) vient de dévoiler le Jetbook 2, en Russie, ou la firme prévoit la commercialisation de l'ereader d'ici le mois de mars 2013. Contrairement aux apparences, et notamment pour ceux qui avaient tiré leurs conclusions suite à la fin des efforts d'Amazon dans le cadre de la diffusion de son Kindle DX cette année, les lecteurs ebook à écran large ne sont peut être pas encore en voie de disparition.

L’entreprise chinoise Hanvon vient de développer une nouvelle technologie intitulée ERT Dual-Touch et qui consisterait en un écran tactile et électromagnétique.

Le défi des librairies indépendantes sera celui du numérique, non pas comme concurrent, mais comme produit à vendre. En fait, comment trouver une place dans les librairies au livre numérique pour qu'elles puissent l'apprivoiser ? C'est que la bête est farouche...

Pearl, la technologie nouvelle génération d'encre électronique

La technologie de Minority Report en open source

L'Institut européen de technologie (IET) prend forme

Toujours en prise sur le monde numérique, Google vient de placer dans son escarcelle une nouvelle société, rachetée pour un montant non dévoilé. eBook Technologies Inc. rentre désormais dans le giron de la firme californienne.

Technologies numériques et éducation : colloque Connexité

À l'occasion des 20 ans du consortium Couperin, chargé de négocier l'accès aux revues scientifiques pour les bibliothèques universitaires, les premiers résultats d'une grande enquête menée auprès de plus de 11.000 chercheurs ont été dévoilés. Le système de l'édition scientifique actuel trouve ses limites pour une majorité d'entre eux, qui se disent prêts à s'investir très largement dans l'accès ouvert.

La Direction générale de la concurrence de la commission européenne a été saisie par « un groupe de chercheurs » qui dénoncent, dans un signalement, ce qu'ils pensent relever de « pratiques anticoncurrentielles » mises en oeuvre par le groupe RELX et la société Elsevier, dans les domaines de l'édition académique et de l'analyse de données.

ROMAN FRANCOPHONE – « Vanitas, vanitatum et omnia vanitas », clamait solennellement Qoeleth, qui devait s’ennuyer profondément. L’Ecclésiaste, qui en savait une de plus que le diable rajoutait avec ses mots à lui, et toujours en hébreu : « À quoi bon se pourrir l’existence et se mettre la rate au court-bouillon chaque jour ? » La traduction prend quelques libertés ; le sens est là. Ce premier roman de Laurent Nunez apporte sa couche de sarcasme, entre hommage flaubertien avoué et exercice universitaire, façon art content pour rien.

Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche est fier de présenter ses derniers lauréats, du prix Goût des sciences. Ce dernier récompense un auteur de vulgarisation scientifique, dans le domaine généraliste, puis dans une spécialisation.

Avec plus de 70 000 livres électroniques disponibles, ebrary propose une offre d’une très grande diversité. Mettant l’accent sur le contenu à destination des professionnels, la plateforme a mis en ligne 16 000 nouveaux titres dans le domaine « Academic », à savoir tout ce qui est lié à la recherche.

C'est sous la forme d'une pétition signée par de nombreux enseignants-chercheurs que la profession a voulu dénoncer le système d'évaluation systématique qui est actuellement utilisé. Ils entendent ainsi remettre en cause un outil inadapté à leur mode de fonctionnement.

Université : Les étudiants encore avec les enseignants-chercheurs ?