essor crowdfunding confinement

Au Québec, ville de Trois-Pistoles, l'écrivain Victor Lévy-Beaulieu, aka VLB, a finalement atteint

L'article de l'Express nous apprend que Fleur Pellerin, ministre déléguée à l'économie numérique, a fait du financement participatif un axe majeur de travail. Précisons que c'est au statut juridique des sites de financement participatif que s'intéresse principalement la ministre.

L'opération menée par les 13 employés de la librairie Les Volcans, qui veulent reprendre la boutique sous forme de Scop, rencontre un franc succès. Une semaine à peine après avoir lancé leur appel aux dons sur la plateforme Ulule, dédiée aux campagnes de crowdfunding, la reprise est financée à 140 %. Tandis qu'il leur fallait rassembler au moins la somme de 20.000 euros, la barre des 28.000 vient d'être dépassée. Il leur reste encore 33 jours pour faire exploser les compteurs et pouvoir se payer un nouvel espace dédié aux animations.

Mano Silberzahn et Nathan Hubert, deux jeunes éco-designers engagés pour un monde plus durable, ont lancé une campagne de crowdfunding sur Ulule pour financer un ouvrage, Vaincre l’obsolescence - mode d’emploi.

La plateforme Scryf ne revendique aucune originalité, ni unicité : il s'agit d'un espace de publication de textes numériques, qui rejette l'effet entrepôt de stockage. L'entière communauté est bénévole, et fonctionne sans sponsor ni publicité.

Un nouveau défi se présente au gouvernement afghan. Permettre au développement de l’édition locale de se poursuivre tout en luttant contre les reproductions frauduleuses. Et quand on sait que les reproductions pirates se retrouvent jusque dans les librairies, la partie promet de durer .

À l'occasion de l'année dédiée à la bande dessinée, l'Observatoire du dépôt légal de la Bibliothèque nationale de France consacre une partie de son bilan à un panorama de 10 ans de BD. Si la production de BD est en hausse comme pour d'autres formats éditoriaux, la bande dessinée documentaire se démarque particulièrement...

Un couvre-feu national vient de s'installer en Italie, et les ressources numériques vont de nouveau être sollicitées. Selon l’AIE (l’Association italienne des éditeurs), un élève sur trois a téléchargé sur la plateforme « Zaino digitale » au moins un livre numérique pendant le confinement du printemps dernier. Voilà qui double le nombre total de téléchargements par rapport à l’année dernière. Et les éditeurs s’adaptent. 

Christian Roblin, directeur de la Sofia, n'était pas convié à intervenir dans le cadre de la table ronde qui se déroulait hier à la Maison de la poésie. Il a cependant pris la parole à plusieurs reprises, pour apporter plusieurs précisions. L'une d'entre elles portait sur l'importance que les librairies, et les librairies indépendantes, pouvaient revêtir. Attention, ne pas sourire, cela est très sérieux.

Un rapport de l'Association des éditeurs américains, a été commenté dernièrement sur le blog de l'écrivain Nicholas G. Carr, auteur notamment de The Big Switch, autoédité à l'occasion de Building Bridges ou encore finaliste du Pulitzer 2011 avec The Shallows. Il fait état d'une stabilisation des ventes de livres numériques, tandis qu'aux États-Unis, au cours du premier trimestre 2013, celles-ci affichaient 5 % de mieux que l'an passé sur la même période. Et si l'essor des tablettes y était pour quelque chose ?

Une grande étude menée par Pew Research a montré que la lecture numérique avait de plus en plus d'aficionados aux États-Unis. Désormais, on compte en effet un Américain sur cinq qui a pratiqué le livre numérique, durant le mois de février. Des chiffres qui augmentent sans cesse...

Essor sans précédent en Espagne pour le marché du livre

L'École nationale supérieure des sciences de l'information et des bibliothèques (Enssib) propose, à partir de ce mardi 31 mars, un séminaire en ligne consacré au rôle des bibliothèques pendant les périodes de crise, avec une actualité toute trouvée pour cette question. 10 épisodes et autant de rendez-vous en ligne sont prévus, pour creuser la réflexion...

NB : Ceci est une parodie de ces journaux d’insupportables autrices qui jouent les bourgeoises dans Mad Max. On les retrouve assez facilement dans les médias actuellement. À croire que c'est dans l'air du temps...

Redoutée depuis plusieurs jours, avec la propagation des variants britannique et sud-africain, l’annonce d’un nouveau confinement devient imminente. D'après le JDD qui évoque « une question de jours », le président de la République préparerait une intervention – mercredi selon toute vraisemblance, au sortir du conseil de défense. Selon les sources qu'avance le journal, « la décision est sur le point d’être prise ». Restent les quand et comment.

S’appuyant sur l’illustration du livre d’Olivier Tallec, C’est mon arbre, Prix du Grand Chêne 2020, l’école des loisirs monte au créneau. Avec la fin annoncée du salon du livre de Montreuil, d’où l’éditeur aurait vraisemblablement été absent, le soutien aux libraires devient indispensable.

Le financement participatif a donc le vent en poupe et les créateurs en profitent amplement, si l’on observe les résultats de Kickstarter. Avec plus de 5,3 milliards $ générés, l’impact économique n’est pas du tout négligeable, d’autant plus qu’il se concrétise par des créations d’emplois – et la réalisation de projets parfois fous.

Face aux tablettes et autres smartphones, les lecteurs ebook à encre électronique ont du mal à tenir le rythme de la concurrence. Leur meilleure chance de survie serait peut-être de se lier aux appareils à écrans LCD, pour garantir un meilleur confort de lecture et préserver la batterie. La société Oaxis, depuis Los Angeles, a proposé une collecte de fonds pour un étui de protection dans lequel s'encastre un écran à encre électronique. Et a relevé son pari en 3 heures.

Décidément, le financement participatif semble conquérir tous les domaines de l'édition. L'éditeur américain Digital Manga vient de mettre en place une opération de crowdfunding sur la plateforme Kickstarter (voir notre actualitté) afin de proposer le financement de la traduction d'un manga d'Osamu Tezuka : Captain Ken.

La filiale Cornerstone, du groupe Penguin Random House, a convenu d'un accord de joint-venture dans le cadre de la publication des titres financés via crowdfunding par la startup Unbound. Cette dernière pourra ainsi se focaliser sur son activité de financement participatif novateur dans le livre, développant à sa façon la relation entre auteurs et lecteurs. Elle produira les exemplaires destinés aux bailleurs de fonds, et Cornerstone ceux destinés au marché. 

Pour le site de financement participatif de bande dessinée Sandawe.com c'est un record. Et même tous sites confondus. Lancé hier soir, le tome 3 de Sara Lone a récolté plus 14 000 € en quelques heures. 

Spécialisées dans la publication de bandes dessinées, les Editions Kotoji sont aujourd’hui en difficulté financière. Pour tenter de remonter la pente, la maison d’édition compte sur le soutien de ses lecteurs. Pour ce faire, ses fondateurs ont lancé une levée de fonds sur la plateforme de crowdfunding Ulule.

C'est en s'appuyant sur la lecture sociale et le partage d'informations que désormais Libros.com va tenter de parvenir au financement d'oeuvres littéraires. Libros.com sera une plateforme de crowdfunding, par laquelle les internautes seront invités à financer des oeuvres pour qu'elles puissent vivre en librairie. 

Le projet d'un auteur déposé sur Kickstarter vient de dépasser 1250000 $ de financement grâce à près de 15000 contributeurs. Ceux-ci ont chacun réalisé un don dont le montant varie entre 10 et 5000 dollars. La création dispose désormais d'un moyen numérique pour lever des fonds équivalents à ceux d'un studio ou d'un éditeur, mais l'enjeu reste toujours le même : se faire remarquer.

Le principe du crowdfunding fait des émules : ce financement de projets, opéré par les internautes en l'échange d'une contrepartie marchande, a même donné lieu à la création de maisons d'édition reposant sur ce principe.

La société Inkshares a ouvert ses portes début 2014, avec comme mantra la fusion entre édition traditionnelle et collecte de fonds. Un ou plusieurs auteurs indépendants publient leur projet de livres, et l'équipe d'Inkshares se charge d'informer les lecteurs et autres intéressés, qui manifestent leur soutien aux idées en suivant leur développement, en précommandant ou en participant à la création elle-même. Visiblement, pour atteindre ces soutiens et les impliquer, Facebook et l'email sont des moyens efficaces.

Nées en 2006, les éditions du Poisson Cube sont spécialisées dans le traitement des mondes imaginaires pour la jeunesse. Fermement ancrée dans le livre papier, cette petite maison a créé et soutenu cinq livres : une trilogie de science-fiction et les deux premiers tomes d'une collection intitulée Poil'dur le Yéti qui s'adresse aux tout-petits.

La plateforme de crowdfunding Ulule propose aux curieux d'assister à un atelier de formation, pour découvrir comment s'utilise une plateforme de crowdfunding, dans le cadre de travaux éditoriaux, livres et BD. La société française dispose d'une expertise de 3 ans dans le domaine du financement participatif. Et assure que de « plus en plus d'éditeurs indépendants ou d'auteurs qui s'autopublient » ou testent leurs projets et les financent par ce biais. 

La société Voice Bunny ne s'emploie pas à vendre des lapins. Elle s'ancre dans une logique de financement collectif, ou crowdfunding, proposant des voix, susceptibles de raconter tout ce que l'on souhaite. Il suffit de poster un enregistremernet, ou de chercher un enregistrement, pour utiliser les voix des personnes, et ce, dans plus de 50 langues. Facile, et assez insolite. 

Pubslush, une plate-forme de crowdfunding pour éditer des auteurs, a décidé d'opter pour un système plus proche de la célèbre plate-forme Kickstarter. Fini le contrat d'exclusivité avec la société.