fermeture ebookstore

Le distributeur de livres numériques Numilog a annoncé l'ouverture d'une librairie numérique française aux États-Unis, permettant aux lecteurs francophones de découvrir les titres venus de l'Hexagone. Le catalogue de Ebookezvous comprend pour le moment une sélection limitée de références, mais Numilog a visiblement de grandes ambitions.

Finalement, enterrer le géant japonais dans le domaine de la lecture numérique serait peut-être prématuré. Certes, on n'entend plus vraiment parler de celui qui devait compter parmi les trois grands acteurs de ce marché, mais certains soubresauts agitent encore la société. Des chants pour le cygne ? À voir...

Le patron du groupement de distribution, Michel E. Leclerc, a annoncé cet après-midi sur BFM Radio le lancement d'une librairie en ligne dans le courant du mois de décembre prochain.

« Sony se retire de l'activité de lecture numérique aux États-Unis », a confirmé un porte-parole de la société, Maya Wasserman. Et plus qu'un simple abandon, c'est presque un aveu d'échec que la firme laisse se profiler : désormais, les possesseurs d'appareils Sony Reader, les différents PRS, se tourneront vers Kobo, à parti de la fin mars, pour la gestion de leur bibliothèque. Et pour couronner le tout, certains smartphones et tablettes Xperia embarqueront l'application Kobo Android. Gloups ? 

La presse, en difficulté à peu près partout, se tourne vers des activités de libraire numérique : tandis que Libération, en France, communique en masse sur sa bibliothèque d'ebooks, le tabloïd allemand Bild rejoint l'initiative made in Germany Tolino. Le journal a ouvert sa bibliothèque dédiée, qui reprend le catalogue Tolino, tout en proposant le lecteur Tolino Shine.

Information ActuaLitté : La nouvelle a secoué l'internet français. Depuis l'annonce du lancement de Google Play, la prochaine plateforme regroupant tout un ensemble de contenus dématérialisés, la rumeur a grandi d'une ouverture de l'ebookstore en France. Enfin des livres numériques vendus par la société californienne dans l'Hexagone ? « Prochainement », commente paisiblement Philippe Colombet, directeur de Google Livres. 

L’opérateur téléphonique allemand, Deutsche Telekom, devrait donc ouvrir son propre ebookstore, d’ici à quelques semaines, nous apprend le Financial Times, dans sa version germaine, comme ma cousine. Enfin, on y trouvera très probablement des livres numériques, bien que pour l’heure, l’opérateur ne communique pas sur le nom du prestataire...

C'était l'un des derniers revendeurs grand public de matériel high-tech à ne pas disposer de sa librairie de livres numériques. Mais désormais, Boulanger est à l'abri : Numilog vient de lui faire une boutique complète, avec des ebooks chargés aux DRM.

L'accord passé entre Google eBook, la librairie de la firme californienne et l'ensemble des libraires indépendants du territoire étatsunien ne serait finalement pas si importante que prévu. En effet, selon des chiffres donnés par le président de l'American Booksellers Association, seuls 20 % des membres auraient contractualisé.

Voilà l'idée : quelle est la pertinence de proposer une librairie dans laquelle seraient intégrés des livres numériques pour une tranche d'âge de 8 à 18 ans ? En vue de la création de son entreprise, Romain Champourlier a mis en ligne une étude de marché.

C'est parti : les sociétés NTT Docomo et Dai Nippon Printing viennent d'annoncer l'ouverture pour demain de leur service diffusant des ebooks sur appareils mobiles (smartphones, tablettes, etc.)

Un acteur de la grande distribution allemande vient d'annoncer l'ouverture de son ebookstore à destination de tous les consommateurs désireux de se procurer des livres numériques.

L'éditeur HarperCollins a annoncé vendredi 19 novembre la fermeture de sa librairie en ligne. Pauvres clients... s'il y en avait !

L'Allemagne verra-t-elle un ebookstore Kindle débarquer début 2011 ? Et plus précisément (ou moins, c'est selon), avant la fin du printemps 2011 ? Hmmm... intéressant.

Le classement Forbes a consacré trois hommes, millionnaires (et plutôt quelques centaines de fois qu'une), Mark Zuckerberg, créateur de Facebook, Steve Jobs, patron d'Apple, et Bill Gates, l'ancien de Microsoft... Amusant, non ?

L'ebookstore du Kindle vient d'ouvrir en Angleterre

Numilog offre des ebookstore chez lui aux libraires indépendants

L'environnement Kobo arrive en Australie : lecteur et ebookstore

Permettant d'agréger, sur une même page, de nombreux contenus, l'application Flipboard a su s'attirer les faveurs du public. Présente sur un iPad sur 10, elle est à présent également accessible lorsqu'on navigue sous Android. Mais, la vraie nouveauté, c'est que désormais, Flipboard intègre l'offre de l'iBookstore.

Exclusif ActuaLitté : Personne n'y avait vraiment fait attention, et pourtant, le plus symbolique des éditeurs parisiens vient d'entrer, en catimini, sur l'iBookstore. Troisième pilier de l'association formée par Eden Livres, qui réunissait Flammarion et La Martinière, l'éditeur propose donc son catalogue de titres directement dans la librairie en ligne d'Apple. Une ultime réticence, désormais vaincue.

La réforme des applications pour iOS va faire des morts. Ou nécessiter une adaptation très, très rapide. Et quasi impensable. Si elle pose déjà problème aux développeurs indépendants, qui ne s'aventurent plus qu'à reculons dans la création de leur appli, les plus gros vont rencontrer un gros souci. (notre actualitté)

C'est un petit début de révolution, mais assurément, un grand pas pour l'humanité. La librairie d'Appl, l'iBookstore est désormais intégré directement dans iTunes, à travers un tout petit onglet.

Depuis une quinzaine de jours, Microsoft est détenteur d'un brevet qui pourrait devenir une menace pour tout ebookstore vendant des applications. Estampillé No. 7925548, le brevet est décrit assez largement, mais surtout avec une finalité claire.

Alors que la société a récemment porté plainte contre Apple, estimant avoir été une des victimes du contrat d'agence et de l'entente avec les éditeurs américains, Diesel eBooks semble dans une situation critique. The Digital Reader a découvert un message qui met un terme à toute forme d'interrogation : Diesel eBooks s'apprête à fermer rapidement.

Un peu moins de 60 ans après sa création, la librairie Lagarde, à Cahors, doit fermer ses portes. Dominique Lagarde, qui a repris la librairie, il y a environ 27 ans, après le décès de son père, nous expose les raisons économiques de la fermeture : depuis l’ouverture de l'Espace Culture Leclerc dans la ville de 20 000 habitants, en passant par l’explosion d’internet jusqu’à la perte des marchés publics scolaires. En parallèle, la libraire organise une journée de brocante. 

Suite aux restrictions budgétaires annoncées par les autorités, des bibliothèques ne sont plus exclues de fermeture après la réunion du Conseil de Sheffield qui évaluera les besoins et les répartitions en octobre.

Située au cœur de Picadilly Circus, The Italian Bookshop est une institution londonienne. Depuis plus de vingt ans que la librairie est installée, il s'agit de l'unique lieu spécialisé en œuvres italiennes, explique Ornella Tarantola. Mais pas simplement pour trouver des livres : la librairie est devenue un endroit où les Italiens de Londres se retrouvent. Et où ils ne se retrouveront peut-être plus...

La bibliothèque parisienne Italie (XIIIe) doit depuis longtemps faire face à des locaux vétustes, ce qui entraîne des infiltrations d'eau très fréquentes. Devant une telle situation, l'établissement est pour l'instant fermé jusqu'à nouvel ordre.

Avec la fin des audiences de la commission parlementaire, chargée de consulter les acteurs de l'édition, pour l'examen d'une loi portant sur le prix unique du livre, l'Association des libraires du Québec a appris que deux établissements venaient de fermer. Dans un communiqué, l'ALQ déplore cette coïncidence malheureuse.

La Corporation des bibliothécaires professionnels du Québec (CBPQ) et l'Union des écrivaines et des écrivains du Québec (UNEQ) s'insurgent contre la décision du gouvernement fédéral de fermer les bibliothèques scientifiques de nombreux ministères en raison de compressions budgétaires. Les deux regroupements demandent à Ottawa de revoir sa politique et de trouver, en collaboration avec les professionnels concernés, les moyens de sauvegarder les contenus de ces centres de documentation dont la valeur est inestimable.