Évidemment, si le mois de janvier angoumoisin se passait uniquement dans la contemplation des feuilles mortes, il manquerait quelque chose. C'est en substance ce que précisait le directeur de 9e Art+, la société qui organise le FIBD, grand salon des bulles, à Angoulême. Un Festival qui est « un bien commun », soulignait-il fin janvier, à l'occasion des États généraux de la BD. Et qui en est passe de connaître quelques changements.