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Encore une fois, le jury du Goncourt aura donné dans la surprise en choisissant de distinguer Pas pleurer (Seuil, 278 pages, 18,50 €) de Lydie Salvayre. On attendait bien plutôt Charlotte, de David Foenkinos (Gallimard) et Meursault contre-enquête (Actes Sud) de Kamel Daoud.

Le Prix Goncourt fut créé par le testament d'Edmond de Goncourt en 1892, mais la première récompense ne fut décernée que le 21 décembre 1903. Et, depuis, inutile de souligner que cette récompense littéraire est la plus suivie — et la plus contestée de l'Hexagone. En 1979, le Journal de 20 heures de France 2 révélait les secrets du Prix Goncourt...

Poids lourd de la rentrée, en matière de prix littéraire, le Goncourt et ses jurés ont dévoilé sa sélection de 15 romans. Comme pour le Renaudot qui n’a pas vraiment versé dans l’inattendu, l’académie Goncourt s’est contentée du minimum vital. 

Alice Zeniter pour L'Art de perdre (Flammarion) : le nom de la lauréate du Prix Goncourt 2017 a été révélé ce matin à l'Hôtel de Ville de Rennes par le jury de 13 lycéens qui l'a désigné. Ce prix littéraire très convoité, souvent plus vendeur que son aîné, le prestigieux Prix Goncourt, vient rattraper une cuvée 2017 de prix littéraires presque totalement dédiée aux hommes.

Les finalistes du Prix Goncourt des Lycéens

Le jury Goncourt, sous la présidence de Bernard Pivot, vient d'annoncer les quatre finalistes du cru 2017.

Le prix Goncourt de la biographie Edmonde Charles-Roux revient cette année à Denis Demonpion pour Salinger intime : enquête sur l’auteur de L’Attrape-cœurs aux éditions Robert Laffont. Il retrace la vie de l’auteur américain Jerome David Salinger décédé en 2010.

Et de deux, pour l’Académie Goncourt, qui après son président, voit partir l’une de ses jurés : Virginie Despentes. Dans une lettre adressée à ses coreligionnaires, celle qui était arrivée en même temps qu’Éric-Emmanuel Schmitt détaille les raisons de sa rupture avec l’Académie. Des repas trop copieux ? Non point. Enfin, sait-on jamais ?

Dernière sélection pour les membres de l'Académie Goncourt, avec quatre finalistes désignés pour l'édition 2020 du plus prestigieux des prix littéraires. Cette année, exceptionnellement, les Académiciens ont voté et délibéré en visioconférence, ce mardi 27 octobre. Rendez-vous le 10 novembre, à présent, pour le roman lauréat.

En pleine saison de grands prix littéraires pour littérature blanche, les auteurs se répartissent en deux catégories : ceux qui sont sur les listes, et ceux qui en sortent. Pour les autres, point de salut — encore que. Comme chaque année, les yeux sont rivés sur le Goncourt, qui entraînera quelques 300 ou 400.000 ventes. 

« Double élection mardi à l’académie : Philippe Claudel en est devenu le Secrétaire général (fonction qu’il assumait déjà par intérim depuis l’élection de Didier Decoin à la présidence de la Société littéraire), Camille Laurens est maintenant Trésorière de l’association », indique le célèbre prix dans un message sur Twitter. Une officialisation qui suit le remplacement de Bernard Pivot par Didier Decoin en janvier 2020.

Ce mardi 15 septembre, l’académie Goncourt à dévoilé sa première sélection pour l’édition 2020 de son prix. Quinze titres sont désormais en lice pour la prestigieuse récompense. 

Le jury du prix Goncourt a souhaité donner dans le changement en révélant le nom des quatre finalistes retenus pour le cru 2012 non plus au restaurant Drouant mais au Salon du livre francophone de Beyrouth, rapporte nos confrères de Bibliobs. Un clin d'œil d'ouverture donc.

Avec HHhH, premier roman consacré à l'attentat contre le dirigeant nazi Reinhard Heydrich, Laurent Binet avait bouleversé ses lecteurs, obtenant ainsi le Goncourt 2010. Projeté un certain 27 mai 1947 sur une route menant au siège du pouvoir à Prague, on était amené à suivre les interrogations de l'auteur qui hésitait entre fiction et faits bruts.

Si Alexis Jenni a obtenu le Goncourt, le Goncourt des lycéens ne pouvait manifestement pas échapper aux éditions Gallimard. En période de centenaire, difficile de passer à côté de l'éditeur.

Le coup d'envoi a été donné avant-hier par le Prix Fnac, remis à Laurent Binet, et le Prix Goncourt s'engouffre désormais dans le tunnel des récompenses de la rentrée. Une première sélection a fait son apparition, sans le récompensé cité ci-dessus, et quelques autres têtes d'affiche. Mais il y a largement de quoi faire malgré tout.

Il était entré par la grande porte du restaurant Le Drouant, où siègent et délibèrent les jurés du Goncourt, en janvier 2011. Au pied levé, Régis Debray remplaçait Michel Tournier, qui avait annoncé en juin 2010 qu’il quitterait le célèbre prix littéraire. Après cinq années de loyaux services, Régis Debray suit donc le même mouvement. 

Les jurés du prestigieux prix Goncourt ont révélé à l'AFP leur première sélection, avec 15 romans en lice. La liste des potentiels lauréats fait apparaître 4 femmes et 9 hommes, et sera suivie par deux autres listes, avant la remise de la récompense le 4 novembre prochain.

C'est à partir de 1914 que le restaurant Drouant s'est mis à accueillir l'Académie Goncourt, fondée une dizaine d'années auparavant, rapporte l'AFP. Autant dire que dans un an, on pourra fêter ce centenaire d'un goût un peu particulier. Pour 2013, il faudra attendre le 4 novembre à 12h45 afin de connaître le successeur de Jérôme Ferrari.

Paru le 12 janvier dernier, c'est donc le roman de François Garde qui emporte le Goncourt du premier roman, pour cette édition 2012. Une récompense de plus pour la maison Gallimard, qui n'en finit pas de fêter son centenaire, en empochant un prix Goncourt de plus.

Selon l'AFP, à l'occasion du 20e Salon francophone du Livre de Beyrouth, un prix spécial va être attribué par un jury d'étudiants arabes à l'un des romans en compétition pour le prix Goncourt. Ce prix, intitulé « Choix de l'Orient 2012 », sera décerné à l'occasion de la visite du jury du Goncourt à Beyrouth ce mardi, pour annoncer les quatre ouvrages restant en compétition.

La nouvelle vient de tomber, le prix Goncourt du premier roman 2011 vient d'être attribué à Michel Rostain pour son roman " Le Fils ".

Renaudot, Goncourt et Femina, trois prix littéraire parmi les plus renommés ont décidé d’associer leurs forces afin de créer une instance plus influente sur le monde littéraire français.

Imaginez l'impensable : les illustres membres de l'Académie Goncourt, feuilletant les manuscrits de la rentrée littéraire sur un lecteur ebook... Science-fiction, criez-vous ? Pas certain.

Petite nouvelle dans les rangs de l'Académie Goncourt, avec l'arrivée de Régis Debray, qui mangera littéralement dans l'assiette de Michel Tournier lequel « avait, en juin 2010, demandé à être admis à l'honorariat ».

Ils sont sept. Et pour chacun, un point commun : c'est leur premier roman. L'an passé, c'est le livre de Laurent Binet, HHhH, paru chez Grasset qui avait été primé. Pour cette année, les paris sont lancés.

C'est ainsi, la tradition, c'est la tradition, alors il faut la respecter. Et quand l'Académie Goncourt dit qu'elle fera trois sélections avant de rendre son prix, elle s'y tient.

Ce sont les premiers prix de la grande rentrée littéraire. Avant eux, Fnac et Virgin grillent quelque peu la politesse, mais chez Goncourt et Renaudot, on a une certaine tradition... et un petit historique.

Évidemment, pour sa quatrième nomination, Michel Houellebecq a dû brûler des cierges, et en pagaille. Et si ce n'est pas lui qui l'a fait, Teresa Cremisi, la sainte patronne de Flammarion s'en est probablement chargée. Trois fois qu'on citait son Michel, sans qu'il reparte avec les honneurs du jury de Drouant.

Les Bienveillantes, Goncourt 2006 : ravalement de façade