groupe Editis Planeta

C’est aujourd’hui que le président Carles Puigdemont doit prendre la parole, et sceller pour partie l’avenir du territoire catalan. Une intervention qui se fera devant le parlement de la Région, et dans un contexte de grandes tensions. 

La rentrée coïncide toujours avec le retour des négociations sociales. L’édition n’y coupe pas et plus spécifiquement, le groupe Editis. Suite à la publication des résultats 2016, à l’occasion d’une réunion du Comité de groupe en juin dernier, les différents syndicats ont rappelé quelques faits élémentaires. Et probablement très significatifs.

Le Conseil d’administration d’Editis, présidé par Alain Kouck, a décidé de nommer Pierre Conte directeur général du groupe Editis. Il prendra ses fonctions en septembre 2017 et remplacera ainsi José Manuel Lara, le fils de... José Manuel Lara Bosch, président du groupe Planeta (propriétaire d'Editis), décédé en 2015.

Exclusif : On se souvient encore que mi-avril, Pierre Dutilleul, directeur délégué en charge des Ressources Humaines, de la Communication et des relations extérieures et interprofessionnelles du groupe Editis, était nommé à la direction générale du groupe Robert Laffont. Et ce, suite à la démission de Leonello Brandolini. Cette nomination prenait effet à compter du 15 avril.

Empreinte Magnétique, le studio de podcast du groupe Editis lance Tamtam, son offre audio jeunesse. Elle proposera des podcasts joyeux et intelligents, adaptés de grands succès de l’édition jeunesse, pour les petits curieux de 3 à 8 ans. Avec Tamtam, Empreinte Magnétique s’appuie sur la richesse et la diversité du catalogue Editis, deuxième groupe éditorial en France, pour proposer aux parents une alternative divertis­sante aux écrans.  

Planet Ranger : l'écolo le plus con de la planète

Virginie Clayssen, responsable de la stratégie numérique du groupe Editis, vient d'être élue à la tête de la Commission numérique du Syndicat national de l'édition (SNE), annonce un communiqué interne. Elle remplace Alban Cerisier (Madrigall-Gallimard).

La date choisie pour annoncer l’entrée en négociations exclusives a quelque chose de symbolique : le Syndicat national de l’édition vient de dévoiler les données statistiques de l’année 2018 sur l’industrie du livre. Et la concentration qui sévit prend un nouveau tournant : le groupe Editis, filiale de Vivendi, entre en négociations exclusives avec le groupe l’Archipel.

Fondées en 2004, les Éditions Héloïse d'Ormesson vont rejoindre le groupe Editis après un rachat annoncé dans un communiqué de presse. La maison d'édition sera toujours présidée par sa fondatrice Héloïse d’Ormesson et sera directement rattachée à Pierre Conte, directeur général du groupe Editis. 

En acquérant Educlever, Editis se dote d’une société pionnière en France sur les marchés de l'éducation et de la formation numérique à destination des apprenants, des enseignants et des formateurs. Reconnue comme l’une des 500 pépites françaises de l’intelligence artificielle par France Digitale, Educlever compte parmi ses services les plateformes de soutien scolaire Maxicours et Enseigno, la plateforme de formation en français Orthodidacte, et la certification Le Robert.

En fin d’année dernière, Daniel Křetínský faisait savoir son intérêt pour Editis. Il y a quelques jours, on apprenait qu’il s’associait de justesse à deux autres milliardaires pour s’assurer l'acquisition du numéro deux français de l’édition. Mais avant même le fin mot de l’histoire, on lui prête de nouvelles vélléités : le rachat du groupe Fnac Darty.

Après deux années de procédure, Hachette Livre s’est finalement désisté de l’action intentée en 2020. Selon le groupe, le contrat de diffusion-distribution signé avec Les Arènes, L’Iconoclaste et Rue Jacob Diffusion (groupe Margot) n’avait pas été dénoncé en bonne et due forme. À ce titre, il chiffrait le préjudice à 4,4 millions €, et impliquait également Editis Holding.

Originellement fixée au 19 avril, la décision de la Commission européenne dans l’affaire Vivendi/Lagardère a été repoussée au 23 mai. Puis au 14 juin. Bruxelles aurait déjà tranché en faveur de l’OPA et les grandes manœuvres approchent. Avec une première question : qui dirigera le groupe Editis, que Vivendi doit impérativement céder, une fois vendu à Daniel Kretinsky ? Petit exercice prospectif...

Lonely Planet, société d'édition spécialisée dans les guides voyage et propriété du groupe américain NC2 Media, annonce un rapprochement avec Hachette, outre-Atlantique, qui prendra en charge gestion du stock, distribution et service après-vente en Amérique du Nord et en Amérique latine.

Des mois de négociations, pour aboutir finalement à un « accord relatif au télétravail au sein d’Editis ». Les organisations syndicales représentatives et le secrétaire général, Jean Spiri, sont parvenus à s’entendre sur les conditions de cette mise en place de ce cadre légal. Qui laisse chez certains un goût d’inachevé, sans rien de poétique.

En dévoilant ce 28 juillet qu’un projet de cession globale d’Editis était en cours, Vivendi en a choqué plus d’un. Une solution inattendue, alors que depuis des mois, la perspective d’une nouvelle structure — Edithachette — fleurissait dans les médias. L’orientation a de quoi marquer les esprits, et, selon les informations de ActuaLitté, l’actuelle directrice générale, Michèle Benbunan, a souhaité conserver la tête du groupe éditorial.

FBM20 — Le groupe Editis a décidé de ne pas investir dans un stand à la Foire du Livre de Francfort, imitant ainsi plusieurs groupes d'édition français, dont Albin Michel et Hachette. Organisée du 14 au 18 octobre 2020, la Foire du Livre de Francfort voit sa 72e édition maintenue, pour le moment, malgré l'absence de nombreux éditeurs du monde entier.

Des rumeurs persistantes se vérifient : la société Dark Horse Media fait l'objet d'une acquisition par le groupe européen Embracer Group, dont les filiales développent et éditent des jeux vidéo. Dark Horse Comics, Dark Horse Entertainment et une autre filiale font partie de la transaction.

L’annonce d’une OPA de Vivendi sur Lagardère a déchaîné un vent de folie : le démantèlement du groupe d’Arnaud, déjà dénoncé par Arnaud Nourry, la fin de l’identité Hachette, la concentration… Et les analyses dans la presse se suivent, toujours avec des perspectives alarmistes. Mais si, hypothèse de travail, Vincent Bolloré n’avait pas en tête de faire engloutir Hachette par Editis ? Mais au contraire, de produire une entité tierce ?

Après avoir été éditeur de magazines chez Mondadori puis consultant en stratégie chez Bain, Benjamin a co-dirigé iProspect, l'agence de performance digitale du groupe Dentsu. Il a ensuite dirigé les activités marketing et relation client ainsi que l'animation commerciale et le digital chez Nexity. 

Le groupe Hachette vient d’annoncer que le rachat du groupe Perseus avait été conclu. La vente a été effectuée par Centre Lane Partners, un fonds d’investissement. Fin juin 2014, un premier rapprochement des deux entités avait été envisagé. Puis, le rachat, prévu pour le 31 juillet, était finalement repoussé, avant d’être définitivement annulé début août.

La pratique est connue, et finalement, sert avant tous les intérêts du vendeur : on laisse courir les bruits les plus probables, voire improbables, pour s'assurer que l'enchère (ou la jarretière) de la mariée, monte le plus haut possible. Et aujourd'hui, c'est au tour de l'AFP de faire monter les enchères autour de la vente de Flammarion. 

Le prix Planeta, organisé par le groupe espagnol Planeta, propriétaire d'Editis, a annonce que Clara Sanchez avait remporté la 66e édition de sa célèbre récompense. Pour son roman El Cielo ha Vuelto, elle empoche la dotation de 601.000 €.

Grupo Planeta, groupe éditorial détenteur du groupe français Editis, vient de quitter son prestigieux siège de Madrid du 4 del Paseo Recoletos, pour un immeuble situé 42 de la calle Josefa Varcárcel. Le groupe se retrouvera avec le journal La Razon, également propriété du Grupo.

Depuis le 31 janvier, l’acquisition du groupe Editis par Vivendi est désormais actée. Montant de l’opération : 833 millions € peu ou prou (en ce compris le remboursement de l’endettement). Mais désormais, on ne pourra donc plus parler d’Editis filiale du Grupo Planeta. Avec cette transition, le groupe éditorial décide d’un changement d’identité visuelle.

Vivendi annonce l'acquisition à 100 % du groupe d'édition Editis, auparavant propriété du groupe espagnol Planeta, pour environ 900 millions €. Le deuxième groupe d'édition français rejoint ainsi Vivendi, qui mène déjà des activités dans les domaines de la musique, de la télévision et des communications.

Le modèle existe depuis plusieurs années chez Hachette, avec la plateforme Myboox, qui deviendra prochainement hachette.fr, un nouveau repositionnement. Editis, le deuxième groupe d’édition en France, s’est vu imposer par son propriétaire, le groupe espagnol Planeta, de suivre le mouvement. 

Le directeur général du groupe Editis, filiale de l’Espagnol Planeta, vient d’annoncer que l’acquisition de Volumen Loglibris était désormais actée. Cette filiale spécialisée dans la distribution/diffusion de livres appartenait au groupe La Martinière. Selon Guillaume Vicaire, directeur général d’Editis, il s’agit de « l’aboutissement d’un processus amorcé et suivi avec détermination depuis des années ».