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Révolutionnaire : Acheter un site internet en livre, avec updates

Voilà, voilà, ce n’est pas Noël, mais ce 28 novembre y ressemble bien pour les librairies françaises. Enfin autorisées à accueillir du public — avec les mesures sanitaires qui s’imposent — les voici prises d’assaut par des lecteurs que l’on n’avait pas imaginé si nombreux. Ou des clients à la recherche d’un cadeau peu coûteux pour les fêtes ? Qu’importe : ils sont de retour.

A Montréal, le Bibliobus vient livrer des livres aux jeunes lecteurs

Dans la continuité de ce qui avait été fait durant le Salon du livre de Paris, Bookeen décide de poursuivre son investissement du métro parisien, avec deux nouvelles campagnes de publicité, autour des Cybook Opus et Orizon.

Au cours du mois de juillet dernier, Amazon lançait officiellement son service de lecture illimitée par abonnement, Kindle Unlimited, aux États-Unis. Une offre présentant un avantage certain pour les grands dévoreurs de livres, qui y auront peut-être trouvé un moyen de réduire leur budget livresque mensuel, mais certainement de moindre attrait pour ceux qui lisent peu. Si la firme de Bezos communique peu ses chiffres, le rapport Nielsen Books & Consumers Market Research apporte un éclairage avec quelques statistiques.

Scanner la paume de la main, pour réaliser le paiement d'un café, d'un livre, ou simplement de son repas, voilà quelque chose qui n'a plus rien de futuriste, en Suède. Expérimental, certes, à l'initiative des ingénieurs étudiants de l'université de Lund. Ils sont parvenus à remplacer la gameboy dans laquelle on rentre sa carte bleue, par la simple application de la main. Miraculeux ?

La situation est presque drôle : alors que France et Italie sont à couteaux tirés après les déclarations d’Emmanuel Macron, le second fait un point sur le « Bonus Cultura ». Ce cadeau de 500 € fait aux jeunes Italiens de 18 ans aurait porté ses fruits, indique l’association des éditeurs. 

Les développeurs s’amusent depuis quelque temps à produire des extensions pour navigateurs. Et parmi les petites perles, il en existe de nombreuses qui s’appuient sur les bases de données d’Amazon, pour attirer l’attention sur les commerces indépendants. Bookindy en fait partie. Cette petite chose permet de parcourir les colonnes du cybermarchand, pour acheter chez un revendeur local.

Roland C. est manifestement une variété très rare de kleptomane bibliophile, mais le tribunal correctionnel de Nivelles, en Belgique, ne s'en est pas ému. Inculpé de pour vols de livres, avec récidives, son histoire n'est cependant pas des plus amusantes. L'accusé a affirmé qu'il volait et revendait les ouvrages, pour s'acheter de l'héroïne.

En Belgique, une libraire en colère s'est fendue d'une petite réponse à la question promotionnelle d'un célèbre magazine suédois de vente de meubles en kit. Le message demandait « Pourquoi toujours offrir un livre ? » Et de proposer un siège vendu 59 € et quelques, en guise de réponse. Pas vraiment du goût de Géraldine Frognet.

Plutôt que d'acheter les livres, pourquoi ne pas les louer ?

L'éditeur arrête d'acheter des livres puis sa directrice démissionne

Dévaluation du dollar : le moment est idéal pour acheter des livres

Les NFT, qui assurent l'authentification d'un bien numérique comme unique, n'ont pas vraiment révolutionné le monde du livre. Pour l'instant, veut croire la jeune société Liwé, à l'origine d'une librairie en ligne : cette technologie permettrait en effet la création d'un marché d'occasion pour l'ebook, légal et rémunérateur, tant pour les éditeurs que les auteurs.

Le 12 août est jour de fête pour les libraires du Québec ! Depuis 2014, c'est le jour – presque officiel – où les amoureux du livre achètent un ouvrage québécois, sur une initiative de 2 auteurs de fantasy : l'opération « Le 12 août, j'achète un livre québécois » reviendra samedi pour une 4e édition.

Les infographies sont à l'information ce que le journal de 20h est au journalisme : un moment où l'on n'a pas besoin de réfléchir. La dernière en date propose même de laissser tomber son cerveau pour découvrir l'état de l'art sur le marché du livre numérique. En s'appuyant sur des données Nielsen, elle propose un panorama des habitudes de consommation des clients d'ebooks.

La Commission européenne a présenté deux initiatives pour stimuler le commerce électronique, notamment par une lutte portée contre le principe de géoblocking. Il s’agit principalement, dans les exemples fournis, d’offres audiovisuelles. Andrus Ansip, à l’occasion d’une conférence de presse, assure que les consommateurs doivent être traités d’une manière égale, sur l’ensemble des territoires européens et des États. 

Que dirait-on si Jean-Yves Le Drian sortait un nouveau livre, et mobilisait les lecteurs intéressés à se le procurer sur Amazon uniquement ? C’est pourtant ce que le ministre des Affaires étrangères italien, Luigi di Maio, membre du Cinque Stelle — plutôt orienté à gauche — vient de réaliser. La réaction du président de ALI, l’Association des libraires italiens, ne s’est pas fait attendre. 

Pas de veine pour les écoliers russes. Après la décision de Vladimir d'imposer un corpus de cent livres à connaître et avoir lu, pour certifier que l'on a bien la fibre patriotique — et accessoirement culturelle - russe, voilà que dans la région de Tver, l'obligation a frappé que d'acheter les ouvrages du premier ministre... 

Place des libraires : ne cherchez plus où acheter un livre

BILLET D'HUMEUR - Oui le titre est cynique. OK. Nous voyons tous plus ou moins combien nos vies vont être bouleversées ces prochains jours. Que les plus débonnaires, ou carrément égoïstes, continuent à faire comme si de rien n’était. Que les plus inquiets cèdent aux cassandres télévisuelles avec des réactions quelque peu saugrenues. Que les plus sensés se demandent effarés ce qui est en train de se passer. Que les plus honnêtes essaient de se préparer avec un minimum de calme, mais à quoi ?

Les revendeurs de livres en ligne généreraient donc la moitié des ventes de livres sur le territoire américain, assure une étude réalisée par Bowkers. Aux États-Unis, durant le mois de novembre 2012, les détaillants en ligne ont réalisé près de 44 % (43,8 % précisément) des ventes de livres, contre 32 % pour les boutiques physiques, les librairies indépendantes et autres grandes surfaces spécialisées. 

Le PILEN, Partenariat interprofessionnel du livre et de l'édition numérique, vient de confier à l'institut de sondage Ipsos le soin de réaliser un sondage auprès de la population des lecteurs de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Cette étude ciblait quatre points principaux : mesurer l'attractivité du livre numérique ; évaluer les marchés du livre en ligne qui échappent à l'étude des circuits traditionnels soutenus par la FWB (librairies physiques, bibliothèques publiques) ; estimer le budget moyen consacré à l'achat de livres imprimés et numériques ; identifier les canaux de distribution. Lettres Numériques vient de nous en dévoiler l'intégralité. 

La réglementation du prix du livre en Israël, pour assurer la protection des librairies, devient essentielle. Ils sont plus de 270 écrivains, traducteurs, écrivains et professionnels à avoir adressé une lettre au ministre des Sports d'Israël, LImor Livnat, pour qu'elle prenne en charge le plus rapidement possible, ce dossier. 

Salon du livre, sur fond de Daniel Morin : un seul livre à acheter

Les deux principales chaines de librairies brésiliennes sont à la peine : Saraiva et Livraria cumulent à elles deux près de 235 millions € de dettes, et la situation économique n'est pas loin de la catastrophe. L'industrie de l'édition tente de mobiliser les Brésiliens, à l'approche des fêtes de fin d'année, et craint déjà les répercussions économiques sur sa propre activité.

Il aura fallu plus d’une année pour que le projet se concrétise : LIBER, initialement porté par les acteurs de Suisse romande, démarre une grande campagne. Concrètement, il s’agit de bons d’achat, d’une valeur de 100 francs (94 €), pour lequel les lecteurs investissent 60 francs. Le complément est apporté par le financement de partenaires publics et privés.

Parmi les stratégies employées durant une campagne, écrire un livre est une tradition pour les candidats politiques aux États-Unis. En plus de représenter un certain revenu abondant aux fonds de campagnes souvent coûteuses, le livre développe les arguments de manière plus approfondie, tout en faisant parler d’eux auprès du public. Or il semblerait que beaucoup de candidats utilisent l’argent des donateurs pour acheter leur propres livres…

Les levées de fonds à travers de multiples solutions de crowdfunding ont fait le bonheur de milliers de créateurs. Impliquer le public dans le financement d’une œuvre permet de mesurer le degré de popularité, et d’obtenir le montant nécessaire à sa réalisation. Mais la maison Globo Books vient de subir un vilain revers de fortune, contrainte de lever de l’argent... pour détruire un livre.

Le géant chinois de la recherche sur internet, Baidu, vient d'injecter quelque 191,5 millions de yuans pour acquérir une plateforme concurrente, proposant la commercialisation de livres numériques. Soit un petit pactole de 22,91 millions € pour devenir propriétaire de Huanxiang Zongheng, ancienne filiale de la société de jeux Perfect World.