Voilà maintenant trois ans que des tentatives d’usurpation d’identité, en vue de dérober des ouvrages très, très attendus, voient le jour dans l’industrie du livre. Qu’elles aient été jusqu’alors cachées, ou qu’une véritable vague de menace place, le constat s’impose : l’édition n’est absolument plus à l’abri. Et les pirates rivalisent d’une ingéniosité dont Margaret Atwood a manqué d'être victime.