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De la rencontre du New York Times avec une mouche, au fil des âges

Cela fait plus d’une semaine que la guerre est déclarée entre le candidat aux élections américaines, Ted Cruz, et le New York Times. Alors qu’un porte-parole d’Amazon faisait état de 13e position de son livre dans son classement des meilleures ventes, le journal refusait de faire figurer A Time for Truth dans sa liste des best-sellers, soupçonnant des ventes gonflées. Une opposition de courte durée, puisque l’ouvrage de l’homme politique a désormais trouvé sa place en 7e position du fameux classement du journal. 

Même en France, et sans prêter une attention démesurée aux classements de vente, la New York Times Best Seller list, publiée de manière hebdomadaire, intrigue et fascine. Pour un éditeur, outre-Atlantique, elle indique carrément si l'année sera bonne ou non.

Pour un journal de l’envergure du New York Times, l’accusation fait mal. Quand bien même Jill Abramson n’en est plus la rédactrice en chef, une accusation de plagiat équivaut à une très vilaine communication. Dans son dernier livre, Merchant of Truth, l’intéressée aurait effectué des emprunts multiples, dissimulant à peine ses copier-coller.

Que les politiciens achètent des exemplaires de leur livre pour en distribuer à leurs proches reste une pratique courante. Cela fait généralement la joie de l’éditeur, qui se retrouve avec un stock déjà écoulé, sans avoir à trop s’investir. Cette fois, les choses sont plus complexes : Amazon s’en mêle, et annonce que le livre de Ted Cruz, ses mémoires de sénateur du Texas, A Time for Truth, mériteraient de figurer dans la liste des meilleures ventes du New York Times. Lequel refuse totalement...

Crise : New-York ne soutient pas ses bibliothèques

David François et Régis Hautière ont déjà signé ensemble le très réussi « De pierre et de sang », chez Casterman. Cette fois, le sujet les amène de l’autre côté de l’océan, à New York, à l’époque où cette ville monstre qui sert de sous-titres aux deux volets de ce diptyque était en construction. Ses gratte-ciel, du moins. En effet, c’est sur les chantiers, haut perché, que Sacha, arrivé tout droit d’Ukraine par la mer, va trouver de quoi gagner sa croûte. Mais pas que... car, à côté de son travail de jour, le moustachu célibataire se retrouve à jouer les hommes de main pour la mafia.

La New York Public Library est l'un des bâtiments phares de la ville, que ce soit aux yeux des habitants eux-mêmes ou des touristes. La vénérable instutition doit être rénovée sous la direction de l'architecte britannique Norman Foster qui jouit d'une excellente réputation, entièrement justifiée au regard de ses précédentes réalisations. Pourtant, l'un des grands critiques d'architecture n'est pas convaincu, loin de là. 

La bibliothèque de New York a annoncé ce lundi 16 décembre avoir acquis l’ensemble des archives du magazine The New York Rview of Books. Bimensuel emblématique aux États-Unis depuis sa création en 1963, la revue traite de questions littéraires, culturelles, et de grands débats d’actualité. De telles archives vont ainsi permettre à la bibliothèque publique de détenir et décrypter plus de 50 ans d’histoires. 

Fidèles au projet humaniste de favoriser la connaissance et le progrès intellectuel, les Services culturels de l'Ambassade de France aux Etats-Unis ouvrent le 27 septembre, à New York, la librairie Albertine, entièrement dédiée aux œuvres francophones en version française et en traduction anglaise. Lieu de lecture, mais aussi de débats, d'inspiration et de réflexion, la librairie Albertine mêlera étroitement tradition et modernité, sous l'angle de la diversité culturelle.

Une innovation qui n'en est plus vraiment une, tant les expériences du genre se sont multipliées ces dernières années : la ville de New York inaugure aujourd'hui une rame de métro-bibliothèque, qui circulera sur les lignes E et F entre Brooklyn, Manhattan et le Queens. C'est la prestigieuse New York Public Library qui gère le tout, et propose aux usagers de télécharger différents ouvrages, complets ou sous forme d'extraits.

Pas de petites économies, vous dirait-on chez Disney, qui vient de décider, après avoir claqué plus de 4 milliards € pour s'acheter Marvel, de finalement emménager avec la nouvelle mariée...

Le Daily Mail n'en revient pas... Salman Rushdie, comme pour se moquer de la fatwa, a été très présent à de nombreux rendez-vous mondains de New York, ces derniers temps.

Henry, un gars un peu paumé après le grand drame américain des Twin Towers, a rencontré, dans les rues de New York où il traîne une vie bancale, une fille superbe, Tulip. Celle-ci lui a présenté un ami à elle, un vieux Monsieur, Aris Kindt. Aris est un vieillard un peu étonnant, au passé assez mystérieux et aux activités un peu louches.

Le dernier de mes amis à m'avoir offert un polar n'est aujourd'hui plus en mesure de le raconter, mais les médecins ont assuré à sa famille qu'avec le temps, il parviendrait à parler.

C’est une géographie mythologique qui dévoile à nous autant qu’une invitation au voyage.

La bibliothèque de New York n’est pas à l’abri des recéleurs : une femme est actuellement accusée de possession de livres dérobés à l’établissement. Il s’agit de plusieurs manuscrits très rares, et précieux par conséquent, dont l’un est de Benjamin Franlin. Ces livres ont été dérobés depuis plusieurs dizaines d’années, mais l’accusée plaide qu’ils font partie de l’héritage qui lui a légué son défunt père. 

Faites le test comme je l'ai fait : si vous prononcez les noms de Sacco et Vanzetti, votre interlocuteur se met à chanter "Here's to you, Nicola and Bart... " menaçant par là de mettre à mal une météo déjà bien instable ! 

« Il est tellement difficile de se faire remarquer quand on est un auteur débutant » plaide Andrew Kessler au

Depuis lundi 10 mai, les portes de la NYPL ont rouvert... du moins partiellement. Ce n’est malheureusement pas tout de suite que les habitués de la bibliothèque new-yorkaise pourront venir fouiner dans les rayons.

POLAR FLAUBERTIEN – Alors mes licornettes et licorneaux, on se prépare pour ce déconfinement tant attendu ? J’imagine que, comme moi, vous vous êtes rués à la pharmacie pour vous munir du fameux masque, devenu si inutilement indispensable. Et que, comme moi, vous vous êtes vus opposer cette réponse embarrassée : « Désolés, mais nous pensions en recevoir beaucoup, mais alors beaucoup plus. Je vous inscris sur la liste d’attente ? »

La New York Public Library a ravivé un projet ambitieux pour rénover son porte-étendard de la 5ème avenue et refonder ses différentes branches pour un cout total de plus d'un milliard de dollars. La genèse du projet est vieille de plus de dix ans mais il avait été retardé par divers éléments. Aujourd'hui, la NYPL se dit prête « à l'exécution de nos plans » selon les mots mêmes du tout nouveau directeur Anthony W. Marx.

Le look peut laisser songeur. En revanche, le concept, lui, est tout à fait louable. C'est dans le cadre d'un partenariat entre l'Architectural League of New York et le PEN World Voices Festival que cette bibliothèque pas comme les autres. Avec son look futuriste, la « Little Free Library » propose aux badauds d'emprunter un livre parmi une sélection assez restreinte, manque de place oblige. 

Le métro aussi se connecte, et la bibliothèque numérique accompagne désormais les usagers des transports en commun dans les sous-sols de plusieurs grandes villes à travers le globe. Après Tokyo, Séoul, Bucarest ou encore Buenos Aires, trois étudiants de la Miami Ad School, Max Pilwat, Keri Tan et Ferdi Rodriguez ont mis au point un nouveau moyen pour communiquer aux New-yorkais la passion pour les bibliothèques locales. Un mode de promotion du service public, qui semble sur de bons rails...

Depuis 2013, un groupe de théâtre new-yorkais s'est lancé dans un projet littéraire. En s'appuyant sur les sonnets de William Shakespeare, le New York Shakespeare Exchange a entrepris de tourner 154 courts métrages, dans 154 lieux de la Big Apple. Le tout avec 154 acteurs et 154 sonnets empruntés au Barde, avec une mise en scène toute particulière. 

En l’honneur de l’anniversaire de William Shakespeare, le Shakespeare Sonnet Slam, un projet annuel parrainé par l’organisation de services d’arts Fractured Atlas, une campagne de crowdfunding a été lancée sur la plateforme en ligne Indiegogo afin de récolter les fonds nécessaires au bon déroulement de l’événement. La productrice Melinda Hall, à l’origine de cette campagne, souhaite amasser 4000 $ pour financer la 6e édition du Shakespeare Sonnet Slam. À l’heure actuelle, 52 % de l’objectif final a été atteint, soit 2090 $ qui ont été récoltés via la plateforme de financement participatif. 

Le plus grand événement sportif américain, à 4,5 millions $ les 30 secondes de spot publicitaire, a connu un nouvel engouement. Ce sont 100 millions de téléspectateurs et 80.000 spectateurs dans le stade de New York qui ont observé la confrontation entre les Seahawks de Seattle et les Broncos de Denver. Un match qui a tourné court pour ces derniers, littéralement pulvérisés 43 à 8. Ce fut également l'occasion du premier titre de Seattle, une belle victoire en somme.