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Catégorie « Québec »

Si le nombre de titres pour la rentrée littéraire devrait logiquement diminuer, les libraires ne manqueront pas de travail. Des monceaux d’ouvrages en perspective, et le casse-tête des choix, des sélections et de la place sur les tables. Étonnamment, certains élèves italiens rencontreraient les mêmes difficultés…

La Grand Messe n’aura pas lieu : cet office où les romans remplacent l’hostie, moment sacré de l’année, a été balayé par les mesures de sécurité, la distanciation, les masques, le gel hydroalcoolique… Bref, il n’y aura pas de traditionnelle réunion pour les libraires, en prévision de la rentrée littéraire. Enfin, pas comme on pouvait la connaître. 

Une première sélection interne

Les salons littéraires sont-ils la chasse gardée de quelques libraires ? C'est la question que se posent plusieurs professionnels, regrettant que le Centre National du Livre ne se soit pas penché sur la question à l'occasion de son étude sur les manifestations littéraires. La présence dans les salons assure en effet un chiffre d'affaires significatif aux libraires présents, avec un impact sur l'activité économique des absents.

Rentrée littéraire rime avec abondance de biens à proposer en librairie. Mais cette année, les libraires ne trouvent pas spécialement de gros moteurs de vente pour accompagner la disparition automnale de chlorophylle. Mais si les feuilles passent donc du vert au rouge, les résultats de vente demeurent bons. Et même en belle progression en regard de l’année Covid 2020 ou 2019. 

Le conseil d'une libraire pour la rentrée littéraire

Pour cette 18e édition du Prix Wepler-Fondation La Poste, les organisateurs « récidivent » dans leur action « en pérennisant ce qui nous a différenciés de bien d’autres prix ». Ils tenteront « encore cette année de mettre en valeur une diversité incomparable d’auteurs et d’éditeurs dont nous espérons contribuer à l’émergence dans l’histoire contemporaine de la littérature ».

Anselm Kiefer, le scultpeur, reçoit le Prix de la paix, récompense littéraire

Cette année, pas moins de 581 romans et recueils de nouvelles français et étrangers sont annoncés par les éditeurs pour la rentrée littéraire... Et d'après les libraires que nous avons interrogés, il s'agirait d'un bon cru. Comment se prépare la rentrée littéraire en librairie ? Comment les libraires font-ils pour se repérer parmi ce nombre impressionnant d'ouvrages et vous présenter leurs coups de cœur ?

Ils ont tourné la page du confinement, certains regrettant amèrement de n’avoir pas enclenché des systèmes de vente à emporter. Or, pour la librairie, sonne et résonne désormais l’heure des centaines de romans de la rentrée littéraire. Le tout accompagné des mesures de sécurité sanitaire obligatoires. 

Le Prix des libraires a dévoilé sa seconde sélection. Créé par des libraires de la Fédération Française des Syndicats de Libraires (FFSL) en 1955, il récompense un roman français. La troisième sélection est prévue le 19 mars et le Prix sera remis le 16 mai prochain. 

L’écrivain corrézien Franck Bouysse recevra ce soir au CNL (Centre National du Livre) le prix des libraires 2019 pour son roman Né d’aucune femme, paru à la Manufacture des Livres le 10 janvier dernier. 

Une mobilisation forte, plus de 800 libraires participant au vote final : Miguel Bonnefoy reçoit pour Héritage, paru chez Rivages, le Prix des libraires 2021. Dans cette langue si reconnaissable, aussi vibrante que gourmande, il a su rendre hommage à l’ensemble de tous ceux qui ont à ses yeux contribué à porter ce titre depuis sa parution.

Pour sa 58e édition, c'est le livre de Virginie Deloffre qui a été consacré par le Prix des libraires. Le roman Léna, publié chez Albin Michel remporte ainsi la course. 

Eh oui, dans la foule des prix littéraires qui seront remis dans les prochaines semaines, nous allions presque les oublier. Les libraires...

Le jury du Prix des libraires s’est réuni le 4 avril, et après décompte de tous les votes des libraires indépendants de France, il est très heureux de vous annoncer les 5 finalistes pour l’édition 2022. Son parrain n’est autre que le lauréat 2021 du prix, Miguel Bonnefoy.

Organisé par l’Association des libraires du Québec, c’est la librairie de quartier Un livre à soi qui a dévoilé les finalistes du Prix des libraires du Québec 2023 pour le volet adulte. Catherine Brunet, la nouvelle ambassadrice a animé la soirée dédiée aux nommés des catégories Bande dessinée, Essai, Poésie et Roman/Nouvelles/Récit.

Dominique Mainard lauréate 2009 du prix des libraires

Le jury du Prix des libraires dévoila sa sélection de dix romans français en lice pour son édition 2022. Son parrain n’est autre que le lauréat 2021 du prix, Miguel Bonnefoy.

Les jurés permanents de l’association du Prix des libraires, soit 11 libraires, toutes et tous issus de la librairie indépendante, se sont réunis pour procéder au décompte des votes afin d’établir la deuxième sélection pour le Prix des libraires 2023. Toutes et tous devront à nouveau s’exprimer du 6 avril au 10 mai pour choisir le ou la lauréate.

Les 11 libraires indépendants, qui font partie du jury permanent de l'association du Prix des libraires, avaient comptabilisé les votes afin de former la deuxième sélection pour le Prix des libraires 2023. Ce 17 mai, le prix des Libraires est remis à Gilles Marchand pour Le soldat désaccordé.

Le bureau de l'association, composé de 12 libraires issus du secteur de la librairie indépendante, s'est réuni lundi dernier. Cette sélection vise à être libre, diverse, et reflète les choix des libraires indépendants de France, qui voteront de nouveau pour leur roman favori, à partir du lundi 5 février. 

L'illustrateur et scénariste de bandes dessinées espagnol Jordi Lafebre a reçu, au Festival international de la bande dessinée d'Angoulême, le Prix des Libraires CANAL BD 2024 pour Je suis leur silence. L'album, dont la traduction est assurée par Geneviève Maubille, a été publié en octobre 2023 par les éditions Dargaud.

L’avènement des prix remonte à la Renaissance où il existait des concours floraux, c’étaient des concours de poésie – des joutes improvisées qui existaient déjà au Moyen Âge –, avec désignation du meilleur compétiteur. Ils représentent une préfiguration de ce que vont devenir les prix littéraires. La création de prix de commémoration à partir du XVIIe siècle est la deuxième étape : les prix de l’Académie française, les prix de fondations où des personnalités donnent leur fortune pour célébrer leur nom, leur œuvre. 

Le Conseil des Arts du Canada a dévoilé les lauréats des prestigieux Prix littéraires du Gouverneur général, qui comptent parmi les prix littéraires les plus anciens du Canada. Écrivains, poètes, dramaturges, illustrateurs et traducteurs québécois et canadiens sont récompensés, dans diverses catégories.

Le 2 novembre prochain, sera révélé l'heureux lauréat du Prix Goncourt et, dans l'échelle des prix littéraires, c'est celui qu'il faut décrocher si l'on veut vendre : à la clef, pas moins de 400 000 ventes, selon l'institut Gfk. Ce chiffre est divisé par deux si l'on n'a « que » le Renaudot.

Quand viendra la fin de l'été, s'approchera à grands pas la saison des prix littéraires. Avec une première sélection présentée le 9 septembre prochain, l'Académie Goncourt donnera le top départ de ces différentes récompenses.

Le défilé démarre aujourd'hui, avec le Grand Prix du roman de l'Académie française, qui met en lice Jérôme Ferrari pour son Sermon sur la chute de Rome (Actes Sud), Joël Dicker pour La Vérité sur l'affaire Harry Quebert (Fallois) et Gwenaëlle Aubry pour Partages (Mercure de France), rappelle l'AFP.