violence Amérique vengeance

ROMAN FRANCOPHONE - À la sortie du tribunal, Pierre, le narrateur, apprend qu’il est condamné à quatre mois de prison avec sursis pour violences conjugales, assortis d’une mise à l’épreuve de dix-huit mois et d’une injonction de soins. Il a trente-trois ans. Ainsi débute le récit d’un triste fait divers. Sale bourge, premier roman de Nicolas Rodier, fait partie des cinq livres finalistes du Prix de L’Instant. 

Au sein d'une conférence animée par Isabelle de Gaulmyn, du Figaro, c'est le lien qui peut exister entre violence et religion qui a été mis en débat. Avec, autour de la table pour en parler la journaliste au Point Mirelle Duteil (dont l'ouvrage Les islamistes ont déjà perdu va sortir en mai 2013), Rachid Benzine (qui a écrit notamment Le Coran expliqué aux jeunes, Seuil, 200 pages, 9 €) et Frédéric Rognon (pasteur et auteur de Les chrétiens et la violence, Olivétan 255 pages, 22,50 €).

L’auteure à succès, Christine Angot, rencontrait ses lecteurs ce mardi 15 février à la FNAC de Montparnasse à Paris.

Depuis septembre, la révolte gronde, portée par les femmes du pays. Et une violente répression répond aux revendications qu’elles portent. En l’espace de deux semaines, une centaine de personnes avait perdu la vie au cours des manifestations. Des voiles brandis en protestation, réclamant une liberté interdite, à laquelle répondent des tirs à balles réelles. Et ce 15 novembre, une nouvelle pierre s’ajoute à l’édifice.

Absentéisme et violence scolaire : Sarkozy à Beauvais

« Il me tient par le menton et j’ai peur de mourir. » Lou adore et adule son père, Gérard. Conteur merveilleux, avec sa grosse voix et son rire ébouriffant, la vie pour lui est une aventure. Chaque moment, une mission dans laquelle il ne cesse d’entraîner sa fille, qu’il surnomme « moussaillon » avec malice. Comment ne pas être parfaitement séduite par cette figure paternelle merveilleuse ? Pourtant, sous la joie exubérante couve la violence. 

Recrudescence de violence scolaire, insécurité en baisse

Une hausse marquée de la violence en milieu scolaire :

Nicola Lagioia, né en 1973, a reçu le prestigieux prix Strega en 2015 pour son roman, La Féroce (Flammarion, 2017), ainsi que le prix Viareggio pour Case départ (Arléa, 2014). Il a été directeur du Salon international du livre de Turin de 2017 à 2023. Son dernier livre, La ville des vivants, a été publié et traduit de l'italien en 2022 par Laura Brignon. Interviewé par ActuaLitté, il évoque trois thèmes centraux, dont le premier est la mort, la violence.

Commencée en 2002 avec La Mémoire dans la peau, la saga Jason Bourne offrait une alternative sympathique aux films de l'espion le plus connu du monde, James Bond. Matt Damon a enfilé à 5 reprises le costume de l'agent de la CIA amnésique.

AVANT-PARUTION – Pour son prochain roman, le maître islandais du polar Arnaldur Indridason nous emportera dans une histoire de victimes et de vengeance. Elle est condamnée, il l’aime, elle l’entraîne dans une vendetta mortelle. 

Elle est le vent furieux est un recueil de colère et d’espoir porté par six autrices qui prêtent leurs plumes à Mère Nature. Sur une impulsion de Marie Pavlenko, Sophia Adriansen, Marie Alhinho, Coline Pierré, Cindy Van Wilder et Flore Vesco, tour à tour, inventent la vengeance du monde. Six nouvelles, six voix, une même constatation, faut-il en arriver là pour ouvrir les yeux sur nos comportements ? Qu'attendons-nous pour passer à l’action ? 

Et surtout vengeance indirectement, puisqu'en dehors des conflits commerciaux et de la concurrence, le Nook n'avait pas vraiment de raison de s'en prendre à la tablette d'Amazon. En revanche, on avait découvert que sur les tablettes Kobo Vox, il était possible d'installer l'application Kindle, et d'acheter des ouvrages par ce biais...

L'Ordre Des Jours, de Gérald Tenenbaum : le goût de la vengeance :

ROMAN ÉTRANGER – Horacio est un génie. Une pure merveille. Depuis son Bal des vipères, passablement fou, nous ne l’avons jamais quitté. Avec Moronga, lui qui affirmait « ne pas aimer se répéter » fait une fois encore évoluer sa narration. Muter, même. Livre de la violence, de la diaspora, c’est avant tout un ouvrage résolument contre le puritanisme américain. En avant !

La prochaine aventure de Lucky Luke se déroulera en Louisiane et abordera le thème de la ségrégation raciale. Intitulé Un cow-boy dans le coton la BD sera disponible le 23 octobre aux éditions Lucky Comics. 

L'éditeur de logiciels Druide Informatique se retrouve dans une procédure juridique lancée par Québec Amérique, suite à un recours intenté le 13 août 2012. Alors que les deux sociétés auraient dû rester muettes sur la question, pour éviter de voir se propager dans la presse des communications diverses et variées, l'éditeur s'estime contraint à une réponse, pour contrer les tentatives qualifiées des désespérées de QA.

RentreeLitteraire23 - « Il y a un grand bruit du côté de la porte, un grand froid, plusieurs vitres tombent comme la glace qui finit par céder à la lisière du toit, mais pas vraiment pareil. 

Les enquêtes insolites des maîtres de l'étrange...

Qu'en pense la Reine ? La respectable British Library a visiblement retrouvé le chemin vers ses collections les moins soignées de ces dernières années, celles des comics, qu'elle exposera cet été dans Comics Unmasked : Art and Anarchy in the UK. L'occasion de redécouvrir des titres au succès populaire indéniable, longtemps considérés comme mineurs malgré l'influence exercée sur les dessinateurs contemporains.

Le mois dernier Bernard Barrault , PDG de la maison Julliard, et Betty Mialet, directrice, toujours enthousiastes et « amoureux de leurs auteurs », présentaient en leur compagnie les trois titres de leur rentrée. Trois romans, entre errances et violences politiques, religieuses, sociales et personnelles.

Un tribunal russe vient de rendre justice — et les utilisateurs lui feraient volontiers rendre gorge. En effet, plusieurs sites de streaming se voient interdire la diffusion de l’anime Death Note, ainsi que d’autres mangas qualifiés de violents par la décision. Au menu, Tokyo Ghoul et Inuyashiki, qui sont également frappés d’ostracisme par le verdict.

Ce guide décolonial nous emmène du côté de la Porte Dorée, à Paris, visiter un « triangle colonial » composé de trois monuments qui offrent un condensé de l’histoire coloniale, culturelle, économique, raciale et politique de la France. On y croisera une immense fresque mettant en scène, « l’air de rien », l’économie extractiviste basée sur l’esclavage et le travail forcé dans les colonies, un monument qui fait régulièrement l’objet d’actions anti-colonialistes, et une statue d’Athéna représentant « La France apportant la paix et la prospérité aux colonies ». 

Chaque jour, retrouvez un petit morceau de l'histoire du monde, pour voyager et se souvenir. Aujourd'hui, tour du monde...

Selon un récent rapport de l'Unicef et de l'Observatoire international de la violence à l'Ecole, en France, un élève sur dix est victime de harcèlement à l'école. Depuis quelques années, le sujet est de plus en plus évoqué : reportages, témoignages, faits divers révèlent d'un état de fait alarmant.

Avec une littérature faisant état de plus de vingt années de violence, le pays arrive enfin sous le feu des projecteurs, grâce aux traductions.

De plus en plus nombreux sur grands écrans, les héros Marvel et DC Comics sauvent le monde avec toujours un peu plus d’explosions pyrotechniques. Une lutte contre le mal qui, si elle est respectable, n’est pas sans conséquences pour les plus jeunes.

Le père de Jeanne est un homme violent, qui crache des insultes jour après jour. Envers sa mère, qui se recroqueville et accuse le coup, au quotidien. Envers sa sœur aînée, Emma, qui ne se défend pas plus. Et envers elle, une fois seulement, alors qu’elle ose lui tenir tête du haut de ses huit ans. La fois de trop. Celle qui allume au fond de son être une colère qui la brûle, la consume tout entière. 

Le dernier livre de Chantal Chawaf, et l’un de ses plus remarquables, comprend trois récits précédés d’un préambule. Les premiers mots, intitulés « Préambule à la séduction », et écrits à la première personne, affrontent la question épineuse, mais essentielle des relations entre la violence et le langage. Écrire la violence exorcise-t-il ou aiguise-t-il la souffrance ?