« Pas d'auteurs, pas de livres », entendait-on dans les allées du Salon du livre de Paris. À Londres, les écrivains ne se sont pas mobilisés de la sorte, mais la situation des créateurs n'a rien de bien enviable. Ce travail, certainement idéalisé dans l'imaginaire collectif, laisse voir une réalité plus sombre. L'Université Queen Mary de Londres montre qu'un auteur sur dix parvient à vivre de ses écrits.