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Le Salon du livre insulaire ouvre ses portes sur l’île d’Ouessant pour sa douzième année consécutive.

Du 18 au 22 août, la littérature des îles de la métropole et d’Outre-mer sera présentée au travers de remises de prix, de conférences et de projections de films. Toute la journée du 19, le salon rendra hommage au romancier Henri Queffélec, figure de père spirituel pour l’évènement.

Sous l’égide de sa présidente, Anne Queffélec, fille de l’auteur, la programmation proposera un film sur Ouessant façon carnet de voyage.

Cette manifestation de la littérature est l’occasion de revenir sur la production écrite de Bretagne, de Corse mais aussi des Antilles, de l’île Maurice, ou encore de l’archipel des Vanuatu.

Promoteur de cette littérature entre terre et mer, l’association ouessantine de Culture, arts et lettres des îles (Calî) publie sa propre revue semestrielle l’Archipel des Lettres.

Et ce sont dans ses pages que les lauréats du concours de nouvelles 2010 pourront faire découvrir leur production. « Les lauréats du concours de nouvelles gagnent des livres, mais aussi le droit d'être publiés dans la revue », indique Isabelle Le Bal, présidente fondatrice de l'association Calî. « On a souvent d'excellentes surprises », ajoute-t-elle. Ouvert du1er juin au 10 août, le thème de cette édition est : Le Gouverneur décida d’installer 50 nouvelles familles sur une île de Bretagne. Un an après…

Preuve de sa renommée bien ancrée, le salon attend la présence de 70 auteurs, dont certains venus de Calédonie, 40 éditeurs, le tout orchestré par 144 bénévoles de Calî.

Parce que le livre insulaire participe à la littérature moderne, des ateliers de réflexions seront ouverts sur la question du livre numérique.

Île d'Ouessant. Bourg de Lampaul. ( Gymnase, salle polyvalente et chapiteaux)
Tel 06 81 85 41 71
www.livre-insulaire.fr / salon@livre-insulaire.fr

(crédits photographiques Salon du livre insulaire)

La capitale mondiale du livre pour l'année 2012 a été choisie et l'annonce vient de tomber. Il s'agira de Yerevan (autrement appelée Erevan) en Armenie. Cette année c'est Ljubljana en Slovenie qui détient le titre jusqu'au 22 avril prochain. À partir du 23 avril (journée mondiale du livre UNESCO) 2011, ça sera Buenos Aires en Argentine qui restera capitale du livre jusqu'au 22 avril et passera le relais à Yerevan donc.

Yerevan est la plus grande ville d'Arménie et c'est aussi sa 12e capitale, amusante coïncidence elle sera aussi la 12e capitale mondiale du livre et ce pour l'année 2012... hum, ça fait beaucoup de coïncidences, Dan Brown pourrait y voir une énigme à déchiffrer, attention !

Les autres villes à avoir eu cette distinction sont Madrid (en 2001), Alexandrie (en 2002), New Delhi (en 2003), Anvers (en 2004), Montreal (en 2005), Turin (en 2006), Bogotá (en 2007), Amsterdam (en 2008) et Beyrouth (en 2009).

Trois organisations sélectionnent chaque année la capitale mondiale du livre, il s'agit de l'Association internationale des éditeurs, la Fédération internationale des libraires et la Fédération internationale des associations de bibliothèques et institutions.

Jens Bammel, le secrétaire général de l'Association internationale des éditeurs a déclaré : « Yerevan a construit un programme passionnant axé sur la liberté d'expression, les droits d'auteur, et des activités pour les enfants qui seront les lecteurs, les auteurs et les éditeurs de demain. Nous attendons avec impatience de travailler avec les différents intervenants arméniens, en particulier les éditeurs locaux, pour contribuer au succès de Yerevan capitale mondiale du livre 2012 ».

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Le camion des mots a cette année encore fait le déplacement jusqu'au Salon du Livre. Cet antre de la sauvegarde des mots et de la langue française pèse plus de 40 tonnes. Il a accueilli durant tout le Salon des élèves dont le niveau allait du CE2 à la 3ème, mais aussi les chalands de tous âges voulant se prêter au jeu.

En effet, dans ce camion rien ne se passe comme dans une salle de classe. Le principe est de s'amuser avec les mots. Alors, on peut parler, demander conseil à son professeur, ou rire. Le tout est de se prendre au jeu des mots. Dans chacun des 14 ordinateurs mis à disposition des enfants, plus de 4000 jeux interactifs sont enregistrés, soit à peu près 700 par niveau pour une durée de trente minutes.

Avant de quitter le camion des mots, les enfants reçoivent un « diplôme » et un petit livre de « 50 Trucs et Astuces » adapté à leur niveau. Les professeurs quant à eux, repartent avec un livret de 100 jeux pour prolonger l'expérience en classe.

Cette initiative est soutenue par le groupe Express-Expansion, la MAIF, le réseau de France 3, France Info, et l'association « Lire et faire lire ». C'est de cette association cofondée par Alexandre Jardin, que sont issus les bénévoles qui s'occupent du camion.

Le 40 tonnes sillonne la France depuis le 15 septembre 2005, et « Cette opération [qui] est spectaculaire, ludique et pédagogique » (Bernard Pivot) devrait rencontrer cette année son 100 000ème visiteur. Le camion connaît chaque année, un succès qui ne se dément pas et devrait continuer à arpenter les chemins de l'école buissonnière, pour permettre aux enfants de découvrir que l'on peut s'amuser avec les mots.

Le Mai du livre d’art fête ses vingt ans cette année, à cette occasion il sera organisé un salon du livre d’art. Celui-ci aura lieu le 17 mai dans un lieu en rapport avec La nuit des Musée.

Un salon qui vient à point nommé puisque le Salon du livre de Paris a supprimé cette année le « carré des Arts ». Les éditeurs sont présents bien sûr et pourront présenter des ouvrages et leurs nouveautés sur les thèmes l’art et la jeunesse. Pour chacun de ces deux thèmes il sera décerné un prix par un jury de professionnels à l’issue du salon.

Évidemment comme tous les ans le mois de mai sera ponctué par diverses manifestations en rapport avec l’art. Actualitte.com reste sur la brèche et vous tiendra au courant de toutes les surprises que nous réservent cette année le mai du livre d’art et son salon.

En Grèce le livre sur la famille sépharade des Mallah remporte un véritable succès. Il retrace l’histoire de la communauté juive en Grèce (qui vint s’installer en Salonique à la fin du XVIe siècle) de la fin du XIXe au début XXe siècle au travers de cette famille dont est issu notre président.

Le livre Ego, o eggonos enos ellina (traduction : Moi, le petit-fils d'un Grec) a déjà été vendu à plus de 5 500 exemplaires (ce qui est considérable en Grèce) et en est à sa troisième édition après deux semaines.

Le Livre a même eut droit à une présentation publique par la ministre des Affaires étrangères Dora Bakoyannis et son prédécesseur socialiste Théodore Pangalos, en présence de l'ex-Premier ministre conservateur Costas Mitsotakis et des ambassadeurs de France et d'Israël, peut-être parce que l’histoire de la communauté juive de salonique à longtemps été oublié voire cachée par les Grecs.

Le premier ministre Costas Caramanlis a pour sa part un remis un exemplaire en main propre à Nicolas sarkozy lors d’un sommet européen, en lui promettant qu’il serait bientôt traduit en français. Concernant notre président, Christos Raptis (co auteur du livre avec Georges Anastasiadis et Léon Nar) précise que « le fait que le président français ait des racines juives et grecques suscite un fort intérêt des Grecs ».

Un honneur qui doit réchauffer le cœur du président après les attaques d’un de ses opposants (J.M. Le Pen) aux présidentielles, sur ses origines et le conforter dans son sentiment que « ses racines » sont là-bas.