Pour tenter le coup de sortir un magazine papier à partir d'un site Web animé par des bénévoles, il faut probablement avoir « la plume d'un maître reporté, le talent d'un photographe de renom et les couilles en bronze d'un acteur », emphase sur le dernier élément. Les gusses de chez Gonzaï, un des rares sites culturels valables, ont choisi cette voie à bord de leur bolide foutraque. Mais on arrête avec Thompson, Gonzaï mène désormais le business avec sa propre came.