En marge du festival Quais du polar, nous avons eu l'occasion de discuter et d'échanger avec deux personnes, équipées d'un Kobo. Pourquoi ? « Parce que ça m'a paru être la solution la plus simple, et surtout, ça restait un peu français. » Faute avouée, à moitié pardonnée, n'est-ce pas ?