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Joe Wikert, éditeur et intervenant au sein du groupe de réflexion Tools of Change, a quelques infos croustillantes sur la gestion des DRM par un « petit éditeur » qui préfère rester anonyme. D'après Wikert, ce mystérieux interlocuteur envisage de favoriser l'achat direct en proposant des fichiers sans DRM uniquement sur le site de l'éditeur, au détriment des grosses boîtes comme Amazon ou Google Play.

Les vidéos sur internet pour faire la promo des livres, ou trailers du genre éditoriaux, semblent être un bon argument de vente. C'est du moins celui que Simon & Schuster choisit pour faire connaître ses auteurs, non plus seulement en présentant une bande-annonce copiant les bandes-annonces du septième art, mais en diffusant des interviews de ses auteurs par exemple, sur les réseaux sociaux, et notamment les sites Roku Blinkx, Taboola ou encore AOL.com.

L'Australie a accueilli récemment une installation artistique réalisée à même la rue. Et pour cause, l'intitulé de l'exposition était Literature Versus Traffic. Ainsi, des milliers de livres ont été éparpillés sur le bitume, tous récupérés dans les stocks de l'Armée du Salut.

Il est désormais clair que les réseaux sociaux participent pleinement de toute opération marketing organisée autour d'un produit en particulier ou d'une marque en général. Et le livre ne reste pas à l'écart de cette règle. Mais il s'agit aussi d'en faire un bon usage si l'on veut arriver, par ce moyen à doper les ventes d'un ouvrage.

La présentation de la grille d'été chez France Culture se déroulait hier au 22e étage de la grande Maison de la Radio. Dommage que la brume ait obscurci le paysage, alors qu'à nos pieds, la tour Eiffel, la Seine, et tout Paris, si l'on prend le temps d'en faire le tour. Mais qu'importe, le discours d'Olivier Poivre d'Arvor aura au moins levé le voile sur les projets de la radio, durant cette période.

« Le 15 juin, on pourra commander les ouvrages publie.net dans toutes les librairies », amorçait François Bon, mi-mai, pour annoncer la création de Publie.papier. Suite logique diront certains de la coopérative Publie.net, proposant des livres numériques exclusivement, cette initiative s'appuie sur l'impression à la demande, pour que le public puisse retrouver les livres également en librairie.

Quelques jours après la publication des nouveaux résultats de ventes des éditeurs membres de l'Association of American Publishers, les chiffres se croisent et parfois se ressemblent. C'est que les ventes de livres remontent la pente, bien entendu, mais que celles de films font grise mine. Aucune causalité ? Bien sûr que non…

Dans la série ‘De l'horrible danger de la lecture', voici une aventure qui n'aurait pas déplu à Voltaire, pour ce qu'elle a de piquant. En effet, en Indonésie, un tribunal vient de condamner à dix-huit années de prison un terroriste qui utilisait des livres pour réaliser ses attentats.

Dans un communiqué de presse, Amazon annonce officiellement vendre désormais sur son site davantage de livres pour son lecteur ebook que d'exemplaires papier

Issus des fonds de 3 bibliothèques madrilènes, les ouvrages sont actuellement exposés au musée Meadows de l'université méthodiste du sud, à Dallas (États-Unis). 

En 1998, qui dit livre numérique dit numérisation, la majorité des livres existant seulement en version imprimée. Pour pouvoir être consulté à l'écran, un livre peut être numérisé soit en mode texte soit en mode image, les deux modes de numérisation étant complémentaires.

Une liste de lectures pour les enfants d'école primaire ? Pourquoi pas, après tout ? Établie par le gouvernement anglais, cette liste contiendrait un certain nombre de titres qui doivent être lus à partir d'un certain âge. De quoi constituer un bagage commun d'oeuvres à tous les élèves du pays...

Cette histoire de fonds d'écran placés dans le Kindle pour en faire réduire le prix de vente public a fait son oeuvre : tout le monde a parlé d'Amazon.

Le Biblet de Telecom Italia a vu le jour sous le ciel d'automne 2010. Mais son catalogue s'est enrichi ce printemps, grâce à des accords passés avec huit cents maisons d'édition, dont Mondadori, Segrate livres, Einaudi, Sperling et Knupfer, et Piemme. Le Biblet présente en outre un réel intérêt économique pour les e-lecteurs gloutons.

Le plus important moteur de recherche de la Chine, Baidu, vient de montrer patte blanche. Aisément accusé de simplifier la vie des internautes qui souhaitent pirater des oeuvres de l'esprit, le moteur a décidé de faire volte-face.

Nombreux sont ceux qui parient sur un prochain dépassement du marché physique des biens culturels par celui des produits directement téléchargés. Mais on en est encore bien loin. L’institut GfK relève qu’en 2010, un produit culturel acheté sur dix était dématérialisé. Ce même institut annonce par ailleurs qu’on devrait dépasser, dans le courant de l’année 2011 le milliard d’euros de chiffres d’affaires sur le plan des achats de produits culturels téléchargés.

Les DRM sont morts. Ce n'est qu'une question de temps, mais la chose est inéluctable. Déjà en France, les éditeurs migrent : le Diable Vauvert est le dernier en date, mais Bragelonne l'avait précédé, et bien avant eux, Publie.net propose des ebooks dépourvus de DRM.

Après avoir expérimenté une collection baptisée M@nuscrits, destinée à donner l'espoir d'une publication, les éditions Léo Scheer récidivent, cette fois avec l'ancien directeur de TF1. On prend une formule assez similaire, et on recommence.

Une virée en Belgique ça vous tente ? Il y a plein de choses super en Belgique ! Les gaufres, le chocolat, le sirop de liège, la bière, la fête des chats (si, si c'est vrai), le musée Yohji Yamamoto mais ça n'a rien à voir avec les livres tout ça... alors pourquoi diable aller en Belgique dans les jours à venir alors que tout ça, vous pouvez l'avoir en France en vous connectant sur le net ou en allant au supermarché ?!

Est-ce une provocation ? Alors que l'on célébrera le trentenaire - bon anniversaire, ma petite - de la Loi Lang de 1981, une chose incongrue nous est signalée. Si, si, incongrue.

Promis, juré, Google ne veut pas, n'ira pas et laisse vraiment les éditeurs déjà installés. D'ailleurs pour le moment, la société se considère bien plus comme un facilitateur d'accès à l'information, en l'organisant et en la mettant à disposition. Le boulot de Google, c'est la recherche et les réponses...

Ouvrant la semaine du développement durable, le marchand en ligne Alapage vient d'envoyer un message à ses abonnés pour annoncer son engagement pour le respect de l'environnement.

Si pour certains, avoir une Rolex à 50 ans est une marque de réussite - contestable - de son existence, la question serait de savoir combien de livres il faudrait avoir lu à cet âge-là. Et dans le domaine, le ministre anglais de l'Éducation vient de livrer ses propres réflexions.

Chacun a croisé lors de ses heures en bibliothèque ces meubles massifs à mille tiroirs, accueillant en leurs sein les fiches de chaque ouvrage catalogué par l'institution et sa disponibilité à l'emprunt.

Soyons un peu objectifs. Le cricket est un sport pratiqué par des mecs qui ont raté leur carrière dans le baseball, ou qui n'ont jamais réussi à choisir entre le hockey sur glace et les pelouses de footeux de leur enfance. En clair, le cricketeur est une personne dangereuse, car frustrée. Méfiance, grande méfiance !

Sale temps pour la lecture, vraiment. Alors qu'outre-Manche, Booktrust s'est fait couper les fonds, c'est une autre mauvaise nouvelle du genre que nous apprenons. Livres au trésor cessera définitivement ses activités à compter de la fin du mois de décembre.

Après des études de cinéma, de publicité et de littérature, Jorge Franco s'est mis, un beau jour à écrire pour de bon. Et puis, c'est le succès avec un premier ouvrage adapté au cinéma, à la télévision.

Le Projet Gutenberg est un projet visionnaire lancé par Michael Hart en juillet 1971 pour créer des versions électroniques d’oeuvres littéraires et les diffuser gratuitement dans le monde entier. Ce projet trouve un second souffle et un rayonnement international avec l’apparition du web en 1990 puis la création de Distributed Proofreaders en 2000, pour partager la relecture des livres entre des milliers de volontaires.

Le communiqué est cinglant, et reflète une ambiance de mouvements sociaux qui se sont déroulés à Lyon, place Bellecour. Si le mercredi 27 octobre faisait montre d'un certain calme, finalement, les événements, comme le dit pudiquement le communiqué n'en restent pas moins palpables.