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Mamie, grand-maman, Mamoune… ces surnoms donnés aux grands-mères ne vaudront jamais celui qu’ont choisi Sylvain Frécont et Mélissa-Asli Petit, pour leur bande dessinée. Les Mémés célèbre son troisième volume – et à cet âge, même en gardant bon pied bon œil, chaque opus est une victoire.

Loin des remèdes de bonne femme et des petits plats confectionnés avec amour, ce trio de choc – Huguette, Lucette et Paulette (tout lien avec des personnes ayant existé serait fortuit) – clame sa grande liberté. Surtout sa liberté de parole et d’irrévérence, battant en brèche les clichés qui collent au grand âge.

Adorables autant qu’insupportables, ces mémés abordent sans complexe les sujets les plus modernes – technologies, féminisme, amour ou sexualité, aussi bien que traitement des cheveux blancs ou changement de roues de caddies…

Et si la Mort s’approche chaque jour un peu plus, ces grandes malades magnifiques sont résolues à rire, encore et encore, en l’attendant de pied ferme.

Après son panorama des étagères les plus sympas, le Huffington Post propose de découvrir une sélection de 15 serre-livres aussi exotiques que surprenants.

Il y en a pour tous les goûts : geeks, nostalgiques, surréalistes ou encore dédiés aux fans de Star Wars.

La rédaction vous invite à vous exprimer sur votre accessoire préféré.

Sur la droite des photos, une interface vous permet de noter chaque serre-livre et de découvrir le classement.

Député de la Savoie, Hervé Gaymard s'est fait remarquer par le passé - et dans un passé pas si lointain - pour une implication qui le rendrait presque proche de la librairie française. Une histoire d'affinité avec le livre, probablement.

C'est à ce titre, et également celui d'homme public, que nous l'avons interrogé, sur le livre, les livres, et toutes ces sortes de choses...

Petit extrait :

« La loi sur le prix unique de 1981, qui confortait législativement une “bonne pratique” française depuis le milieu du XIXe siècle, à l’exception de l’entre-deux-guerres et des années 1978-1981, a été une loi de développement durable, tant au plan économique, culturel, que territorial. Il faut que l’éditeur détermine le prix de vente. C’est capital.

Il doit en être de même pour le livre numérique. C’est le sens d’une proposition de loi que je vais déposer prochainement. »

Accéder à l'interview de Hervé Gaymard, L'enjeu principal du numérique ? Que la qualité ne baisse pas !

 Pas simple de se dire que le tome 2 n'arrivera qu'en juin 2009… pourquoi je commence par la fin alors que je ne vous ai pas encore parlé cette première aventure ?
Uniquement pour que vous puissiez comprendre que le tome 1 de fait partie des très bons romans jeunesse d'aventure fantastique de la rentrée.
Début juin, Carina Rozenfeld nous surprenait avec Le Mystère Olphite aux Editions Atalante où dans une société très proche de la notre quelques humains mutés avaient la particularité de pouvoir voyager dans le cosmos en accompagnant les comètes tout en restant sur Terre !

Début septembre aux Editions Intervista, Carina commence une vraie trilogie passionnante La quête du livre monde Tome 1 : Le livre des âmes.
En quelques mots : Nous sommes en France, le jeune Ezéchiel dit Zec est un ado comme il en existe tant… pas forcément à l'aise dans sa peau, il écrit un blog, il essaye de dragouiller maladroitement les filles de son lycée, bref, rien de bien folichon jusqu'au jour où, après une nuit d'intenses souffrances, des ailes se mettent à lui pousser dans le dos !
Plus que surpris et se voyant déjà sur la table de dissection de quelques médecins, il fait la connaissance de Eyver un vieux bonhomme tout ratatiné sur sa chaise roulante qui lui apprend qu'il y a 16 ans, un passage a été créé entre la planète Chébérith, d'où il vient, et la Terre pour y déposer les deux derniers représentants. Et parmi ces deux… Zech !
Forcement, incompréhension, le monde qu'il connaissait s'écroule un peu et justement la mission que lui confie Eyver et de reconstruire Chébérith que le méchant du livre, l'Avaleur de Monde, a détruit juste avant sa naissance…

Sacrée mission donc, qu'il ne pourra réussir que s'il retrouve les trois livres-mondes celui des âmes donc dans ce premier tome mais aussi celui des lieux et celui de l'Histoire.

C'est un excellent début de trilogie pour les lecteurs à partir de 12-13 ans où le thème entre les lignes de l'adolescence, du corps qui change, des responsabilités qui évoluent, est plutôt bien maîtrisé et où les amateurs de super-héros s'amuseront à reconnaître avec plaisir les nombreux clins d'œil...

Mamie, grand-maman, Mamoune… ces surnoms donnés aux grands-mères ne vaudront jamais celui qu’ont choisi Sylvain Frécont et Mélissa-Asli Petit, pour leur bande dessinée. Les Mémés célèbre son troisième volume – et à cet âge, même en gardant bon pied bon œil, chaque opus est une victoire.

Loin des remèdes de bonne femme et des petits plats confectionnés avec amour, ce trio de choc – Huguette, Lucette et Paulette (tout lien avec des personnes ayant existé serait fortuit) – clame sa grande liberté. Surtout sa liberté de parole et d’irrévérence, battant en brèche les clichés qui collent au grand âge.

Adorables autant qu’insupportables, ces mémés abordent sans complexe les sujets les plus modernes – technologies, féminisme, amour ou sexualité, aussi bien que traitement des cheveux blancs ou changement de roues de caddies… Et si la Mort s’approche chaque jour un peu plus, ces grandes malades magnifiques sont résolues à rire, encore et encore, en l’attendant de pied ferme.

Une collecte de livres destinée à plusieurs bibliothèques cambodgiennes est organisée à la BnF. Le personnel est invité à faire des dons jusqu'au 20 mars, journée internationale de la francophonie. Ce jour-là les visiteurs et les lecteurs pourront offrir des livres. Le tout sera remis à ADIFLOR (Association pour la Diffusion Internationale Francophone de Livres, Ouvrages et Revues) qui l'acheminera vers les partenaires cambodgiens identifiés conjointement par la BnF et l'Ambassade de France à Phnom-Penh.

Il est important que les livres collectés soient des livres neufs ou à l'état neuf (et de préférence récents, de moins de 3 ans, sauf exception).

Les livres collectés peuvent être des usuels ou manuels, ouvrages fondamentaux ou de référence :
- atlas, chronologies, encyclopédies (y compris encyclopédies littéraires), dont encyclopédies par l'image ;
- dictionnaires unilingues français et bilingues français/anglais, y compris dictionnaires visuels ;
- manuels de français langue étrangère ; ouvrages linguistiques sur le français ;
- livres fondamentaux (et de référence) de droit, de diplomatie, de science politique, d'économie, de médecine et d'archéologie
- livres pratiques sur les métiers : menuiserie, mécanique automobile, soudure, etc.
- des livres pour la jeunesse

Ainsi que des livres sur :
- l'Asie et l'Asie du Sud-Est, en particulier par pays (Cambodge, Laos, Vietnam, Thaïlande, Birmanie, Malaisie, voire Chine) et par thèmes (histoire, religion, civilisation, arts, etc.) ;
- la péninsule indochinoise, et en particulier des recueils de photographies anciennes (spécialement livres anciens sur l'Indochine) ;
- Paris et la France (art, tourisme, culture) ;
- la francophonie ;
- l'environnement.

Où et quand déposer vos livres ?

* Jusqu'au 19 mars
> Sur le site François-Mitterrand :
- le mardi 16 mars lors du Midi de l'Info sur la Francophonie au Petit auditorium
- le jeudi 18 mars au restaurant du personnel, de 12h à 13h30
- 2 points de collecte permanents sont assurés à la délégation aux Relations internationales (T3-N4 bureau 91) et à la mission de la Communication interne (en T2-N7 bureaux 44 et 55).

> Sur le site Richelieu : une collecte ponctuelle sera réalisée le 19 mars, de 12h à 13h30, dans le hall en face de la librairie.

> Des collectes permanentes sont ouvertes, en accord avec les responsables des sites :
- Bibliothèque de l'Arsenal : auprès du secrétariat du directeur du département (Sylvie Godet) ;
- Bussy-Saint-Georges : auprès du secrétariat du responsable du site (Valérie Vauthier)
- Sablé : auprès du secrétariat du du responsable du site (Jocelyne Grinié, Danielle Pasquereau)

* Le 20 mars
> Le public et le personnel sont invités à déposer leurs livres le samedi 20 mars à partir de 10h sur le site François-Mitterrand, au stand d'ADIFLOR situé devant la librarie, Hall Est.

La chaîne de supermarchés Sainsbury a lancé hier une offre promotionnelle sur les livres. Ainsi sur une sélection de 100 titres dans 300 magasins, on pourra se procurer deux livres pour £5.

Phil Carroll, le directeur du département livre chez Sainsbury indique qu'il s'agit d'un « mix de notre gamme » qui comprend entre autres des polars, de l'Histoire, des bestsellers etc.

Pour Phil Carroll, il s'agit avec ce genre d'offre d'atteindre l'objectif qu'il s'est fixé, avoir une croissance à deux chiffres. Et tout sera mis en place pour que les potentiels consommateurs ne passent pas à côté. Une grande campagne de publicité est notamment prévue. Carroll a déclaré : « Nous n'avons jamais fait autant de publicité pour une offre sur les livres auparavant, avec quatre campagnes publicitaires sur une période de deux semaines, même pas à Noël ».

En Grande-Bretagne, le premier trimestre 2009 aurait vu les ventes de livres diminuer de 6,5 % sur le marché intérieur par rapport à la même période en 2008. C'est ce qu'affirme un rapport de la Publishers Association Sales Monitor (PASM), organisme qui fournit des études sur les ventes de livres britanniques et auquel participent 70 % des éditeurs du pays. En volume, la diminution serait de 4%.
Néanmoins, grâce aux exportations, la diminution globale des ventes n'est que de 0,6 % par rapport à l'an dernier. Les ventes à l'exportation sont, elles, en effet en hausse de 10 %.

D'après Simon Juden, président de la PASM, « il est évident qu'au niveau national, le résultat annuel est décevant, mais il est le reflet de l'environnement médiocre de la vente au détail. Je pense que les listes pour l'automne sont solides, nous gardons espoir pour la fin d'année ».

Juden a déploré « l'effondrement de la confiance des consommateurs, avec qui s'est passé pour Woolworths, dont nous ressentons encore les ondes de choc ». La chaîne de distribution Woolworths avait dû fermer en janvier dernier.

La société Atiz lance sur le marché son nouveau scanneur. Idéalement adapté pour les livres avec son support en V pour un bon maintient de ceux-ci, il s'adresse selon la société aux collectionneurs qui veulent sauvegarder leur collection en numérique, aux bibliothèques ou à tous ceux qui ne veulent pas être dépendant de Google.

Dans la présentation de son produit Atiz surfe beaucoup sur la vague anti-Google et se sert de la peur que le géant américain inspire dans ce domaine. Peu importe, ce scanneur reste un engin intéressant capable de numériser dit-on plus de 70 pages à l'heure. Il utilise des caméras SLR repositionnables.

Il ne sera par contre pas adapté à toutes les bourses car il faudra dépenser entre 6 000 et 14 000 dollars (soit entre 4 000 et 9 000 euros) pour s'en procurer un.

Située à quelques encablures de la ville de Kansas City, Topeka est la ville du comté de Shawnee où la polémique a été déclenchée. En effet, le conseil d'administration a voté en faveur de l'interdiction de quatre livres jugés trop portés sur le sexe, à 5 voix contre 3 après plus de deux heures de témoignages et de discussions.

Les différents livres inculpés sont : The Joy of Sex, The Joy of Gay Sex, Sex for Busy People, et Lesbian Kama Sutra. Bon, pas vraiment moyen de dire qu'ils ne sont pas portés sur la chose, les titres sont explicites. Leur accès a pour le moment été limité au seul personnel de la bibliothèque, et ce, malgré l'avis de la directrice de l'établissement, Gina Millsap.

Pour le groupe qui a plaidé en faveur de cette interdiction, il ne s'agit que de rester cohérent avec soi-même, après l'accès restreint qui a frappé les revues Playboy, ou encore les films classés X et les sites consultables via l'ordinateur. Estimant les livres cités comme préjudiciables aux mineurs, on avance à pas d'éléphants dans l'argumentation : « Si ces livres avaient été portés au cinéma, comment auraient-ils été réglementés », interroge-t-on.

La loi de l'État définit en outre comme nuisible pour les mineurs ce qui est un appel au sexe ou encore « manifestement contraire aux normes dans la communauté adulte, eu égard à ce qui est approprié pour les mineurs ». Hmm. Un délice. D'autre part, si l'ouvrage incriminé manque d'un « sérieux littéraire, scientifique, éducatif, artistique ou politique pour les mineurs », c'est fini, il est cuit.

Pas éducatif, le Kama Sutra ?

Pour la directrice, ce genre de comportement est une porte ouverte vers toutes les fenêtres en ce qu'il va nécessiter d'appliquer pour des livres à venir un âge minimum de consultation. Et de déplorer qu'une fois ce pas franchi, « il n'y a pas de fin aux contenus qui peuvent être considérés comme répréhensibles ».

De son côté, le public était manifestement partagé entre le bon sens de la directrice - « Il n'existe pas de bureau de bibliothécaire assez grand pour dissimuler tous les livres que quelqu'un peut trouver répréhensibles », pointe Jason Chaika, vice-président d'une association pour l'égalité - et le bon sens commun.

Mais voilà, cette pratique de censure pourrait s'avérer inconstitutionnelle et bravant le premier amendement de la constitution auquel les Américains sont si attachés : celui de la liberté d'expression. Risquant de stigmatiser les adultes qui souhaitent obtenir les informations qu'ils contiennent, l'interdiction soulèverait alors des questions qui pourraient n'être réglables que devant les tribunaux...